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Youssoufa À Toulon Avec Corneille!


Invité

Messages recommandés

Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient du courage !

J'en cache mes deux bières, aussitôt qu'aviné

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voie suivre le pilou pilou.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir Boudjellal,

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et sa mère montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

Modifié par VGE
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Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient de courage !

J'en cache les deux bières, aussitôt qu'avinés

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles;

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et la mer montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

Joli :chinois::drinks

edit après deuxième lecture je dirais même mazette!! :nuke:

Modifié par olivier11
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Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient de courage !

J'en cache les deux bières, aussitôt qu'avinés

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles;

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et la mer montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

Toujours aussi bon.

Superbe Thierry :chinois:

Modifié par Uderzo
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Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient de courage !

J'en cache les deux bières, aussitôt qu'avinés

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles;

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et la mer montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

Toujours aussi bon.

Superbe Thierry :chinois:

Je croyais qu'il s'appelait Valéry?? :shaun: :shaun:

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Voici la Lettre que Guy Novès a rédigé à l'attention des siens, que Laporte a décidé de lire à ses joueurs en congés:

"Mon petit Gallan chéri,

mon tout petit Clerc adoré,

mon petit Mac A aimé,

On va tous crever! ! Ce que je vous demande, toi, en particulier mon petit Gallan, c'est d'être courageux. Je le suis et je veux l'être autant que les catalans, parisiens, montois, castrais, qui sont passés avant moi. Certes, j'aurais voulu gagner. Mais ce que je souhaite de tout mon cœur, c'est que ma déroute serve à quelque chose. Je n'ai pas eu le temps d'embrasser Jean Bouilhou J'ai embrassé mes deux frères William et Jean Ba. Quant au véritable, je ne peux le faire, Élias!

J'espère que toutes mes affaires te seront renvoyées elles pourront servir à Tropico qui, je l'escompte, sera fier de les porter un jour. A toi petit Mac A si je t'ai fait ainsi qu'à mon petit Gallan, bien des peines à l'entraînement, je te salue une dernière fois. Sache que j'ai fait de mon mieux pour te faire suivre la voie que je t'ai tracée.

Un dernier adieu à tous mes amis, à Fickou que j'aime beaucoup. Qu'il s'entraîne bien pour être plus tard un homme.

58 ans et demi, ma vie a été courte, je n'ai aucun regret, si ce n'est de vous quitter tous. On va vraiment tous crever. Gallan, ce que je te demande, ce que je veux que tu me promettes, c'est d'être courageux et de surmonter ta peine.

Je ne peux pas en mettre davantage, Mourad le fera pour moi. Je vous quitte tous, toutes, toi Gallan, Tropico, Mac A je vous embrasse de tout mon cœur d'enfant. Courage !

Votre Guy qui vous aime"

Au revoir.

Modifié par VGE
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Adishatz les copains

Maman m'a tres justement fait remarquer, ce matin aux croissants, qu'il y avait bien longtemps qu'une immitation des pleurnicheries de Noves n'etait aussi aboutie. J'etais à mille lieux de m'imaginer que Laporte etait capable d'intelligence situationnelle. La bande à moumou, c'est pas les fils à Jo

Ils s'étaient fait les poches

Pour se payer un vieux tacot

Fleuri sur le capot

Qui rêvait de Provence

Et qui mourut metro Empalot

je vous laisse, mon chat il a faim

Amitiés rugbystique

Pierre V.

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Invité Tropico

Voici la Lettre que Guy Novès a rédigé à l'attention des siens, que Laporte a décidé de lire à ses joueurs en congés:

"Mon petit Gallan chéri,

mon tout petit Clerc adoré,

mon petit Mac A aimé,

On va tous crever! ! Ce que je vous demande, toi, en particulier mon petit Gallan, c'est d'être courageux. Je le suis et je veux l'être autant que les catalans, parisiens, montois, castrais, qui sont passés avant moi. Certes, j'aurais voulu gagner. Mais ce que je souhaite de tout mon cœur, c'est que ma déroute serve à quelque chose. Je n'ai pas eu le temps d'embrasser Jean Bouilhou J'ai embrassé mes deux frères William et Jean Ba. Quant au véritable, je ne peux le faire, Élias!

J'espère que toutes mes affaires te seront renvoyées elles pourront servir à Tropico qui, je l'escompte, sera fier de les porter un jour. A toi petit Mac A si je t'ai fait ainsi qu'à mon petit Gallan, bien des peines à l'entraînement, je te salue une dernière fois. Sache que j'ai fait de mon mieux pour te faire suivre la voie que je t'ai tracée.

Un dernier adieu à tous mes amis, à Fickou que j'aime beaucoup. Qu'il s'entraîne bien pour être plus tard un homme.

58 ans et demi, ma vie a été courte, je n'ai aucun regret, si ce n'est de vous quitter tous. On va vraiment tous crever. Gallan, ce que je te demande, ce que je veux que tu me promettes, c'est d'être courageux et de surmonter ta peine.

Je ne peux pas en mettre davantage, Mourad le fera pour moi. Je vous quitte tous, toutes, toi Gallan, Tropico, Mac A je vous embrasse de tout mon cœur d'enfant. Courage !

Votre Guy qui vous aime"

Au revoir.

:chinois:

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Lettre de Pierre Camou, président de la Fédération française de rugby à Guy Novès, entraîneur du stade toulousain à l'occasion d'un nième annonce de sélection de l'équipe de France de rugby.

Centre National du rugby,

Marcoussis, à peu près tous les ans à la même époque.

Chère Monsieur,

Je viens de voir dans les dossiers de la fédération française de rugby un rapport du manager du XV de France disant que vous êtes l'entraîneur de huit joueurs, et que ces huit joueurs sont tous sélectionnés en équipe de France. J'imagine combien serait vain et inutile le moindre mot de ma part pour essayer de vous distraire de l'embarras causé par une aussi terrible diminution de votre effectif. Mais je ne peux toutefois m'empêcher de vous rappeler la consolation que vous pourrez trouver dans la gratitude de la fédération pour laquelle ils sont sélectionnés. Je prie pour que Notre Trésorier qui est pingre apaise la colère qui est vôtre et vous laisse seulement le strict minimum de vos chères indemnités et la fierté bien fondée et solennelle d'avoir offert un si précieux sacrifice sur l'autel du rugby français.

Votre très sincère et très respectueux,

Pierre Camou

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Des agrégés de lettres modernes (ou classique?) sur ce forum...En tout cas, la 1° est magnifique, riche et rythmée...M'enfin, on le savait que notre D'Estaing national était féru de poésie lyrique.

Bravo!!

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A défaut d'améliorations, j'ai apporté quelques autres modifications.

Non sans difficultés. Je n'arrive pas à introduire "sodomie arbitrale" qui rime pourtant avec "Boudjellal"

Mais au moins j'ai réussi à le mettre.

Au revoir.

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Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient du courage !

J'en cache mes deux bières, aussitôt qu'aviné

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voie suivre le pilou pilou.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir Boudjellal,

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et sa mère montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

star trek VI !! je t'aime VGE :smile:

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Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient du courage !

J'en cache mes deux bières, aussitôt qu'aviné

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voie suivre le pilou pilou.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir Boudjellal,

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et sa mère montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

star trek VI !! je t'aime VGE :smile:

Pardon mon bon Gabi pour l'illusion comique, je n'ai pas changé un seul mot de cet alexandrin.

Au revoir.

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Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient du courage !

J'en cache mes deux bières, aussitôt qu'aviné

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voie suivre le pilou pilou.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir Boudjellal,

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et sa mère montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

star trek VI !! je t'aime VGE :smile:

Pardon mon bon Gabi pour l'illusion comique, je n'ai pas changé un seul mot de cet alexandrin.

Au revoir.

Tu aurais pu placer:

"Ce lourd silence assourdissant"

je dis ça comme ça.

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Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient du courage !

J'en cache mes deux bières, aussitôt qu'aviné

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voie suivre le pilou pilou.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir Boudjellal,

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et sa mère montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

star trek VI !! je t'aime VGE :smile:

Pardon mon bon Gabi pour l'illusion comique, je n'ai pas changé un seul mot de cet alexandrin.

Au revoir.

Tu aurais pu placer:

"Ce lourd silence assourdissant"

je dis ça comme ça.

De toute façon à la fin les maures sont morts.

Occis, Maures.

Au revoir.

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Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

star trek VI !! je t'aime VGE :smile:

Pardon mon bon Gabi pour l'illusion comique, je n'ai pas changé un seul mot de cet alexandrin.

Au revoir.

VGE, tu voulais dire : "Mon bon Mikacuba" je suppose. :whist:

J'en profite pour te féliciter pour cette tirade. Va, je ne te hais point. :chinois:

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Sous moi donc cette troupe s'avance,

Et porte sur le front une mâle assurance.

Nous partîmes quatorze mais pour aider Mourad

Nous nous vîmes dix huit en arrivant en Rade

Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,

Les plus piloupilés reprenaient du courage !

J'en cache mes deux bières, aussitôt qu'aviné

Dans le fond des journaux qui lors furent jetés,

Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,

Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,

Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit

Vomit une bonne part d'une si belle nuit.

Par mon commandement Laporte en fait de même,

Et se tenant caché, aide à mon stratagème;

Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous

L'ordre qu'on me voie suivre le pilou pilou.

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Enfin avec le flux nous fait voir Boudjellal,

L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort

Youssoufa et sa mère montent jusques au port.

On le laisse passer ; tout lui paraît tranquille;

Point de mordus au port, point de fadas en ville.

Notre profond silence abusant son esprit,

Ils n'ose plus douter de nous avoir surpris;

Il avance sans peur, il rape, il slame, il scande

Et court se livrer aux sifflets qui l'attendent

(...)

Au revoir.

star trek VI !! je t'aime VGE :smile:

Pardon mon bon Gabi pour l'illusion comique, je n'ai pas changé un seul mot de cet alexandrin.

Au revoir.

Tu aurais pu placer:

"Ce lourd silence assourdissant"

je dis ça comme ça.

De toute façon à la fin les maures sont morts.

Occis, Maures.

Au revoir.

Occis, Maures ...... les pauvres ! on dit que parmi eux se trouvaient un poète dont le luth constellé portait le soleil noir de la mélancolie. --> son prénom était Gérarrrrd !! :smile:

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Il croule sous les ans et on le dit gâteux,

Mais VGE est bien le caïd du forum

ses contrepets cinglants font souvent des envieux

et laissent Tropico pantois. Ce très bel homme

Qu'est notre président quand il met son dentier

Me met le rouge au front et la sueur aux tempes

Moi qui passe des heures et plus, des jours entiers

A rimer au hasard la victoire et les trempes

Du pôôôvre stad' Français ! :chinois:

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faut aller du cote du PSG, le club de la capitale qui a le vent en poupe

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A défaut d'améliorations, j'ai apporté quelques autres modifications.

Non sans difficultés. Je n'arrive pas à introduire "sodomie arbitrale" qui rime pourtant avec "Boudjellal"

Mais au moins j'ai réussi à le mettre.

Au revoir.

Mourad avait d'ailleurs lui-même demandé de mettre un terme au "mettre".

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Mon ami Hugo ( le loser d'ASM/La Voulte) inspiré par la Légende des Siècles des Siècles:

Le grand sélectionneur à la barbe blanche n'en croyait pas ses oreilles. Quel était donc ce grondement sourd qui s'élevait du paradis d'ovalie ? Etait-ce encore ces incorrigibles basques qui s'entredéchiraient en regardant le derby des pires aînés ?

- Ça ne peut plus durer! Un dimanche en plus, ils ne respectent plus rien ! M'obliger à me déplacer pendant l'émission de Drucker.. Je m'en vais de ce pas leur supprimer leur abonnement à Céleste+. Trop c'est trop, et dire que Lucien va bientôt arriver pestait Saint Pierre en se dirigeant vers les portes du paradis d'ovalie ...

Sitôt sur le parvis, il dut faire face à une impressionnante délégation à la tête de laquelle il reconnut Saint Albert, flanqué du petit caporal. Toutes les figures légendaires du royaume d'ovalie, tous les grands anciens, tous les vieux pardessus râpés étaient là, s'agitant et vociférant comme des damnés de la rade...

- Que se passe t-il, tempêta le vénérable. J'espère au moins que vous n'avez pas dérangés les toulousains. S'ils venaient à découvrir brutalement qu'ils ne sont pas seuls au royaume d'ovalie, Saint Guy ne s'en remettrait jamais... Quel est donc ce courroux qui vous anime ?

- Quoi Fouroux s'emporta Albert qui avait visiblement débranché son sonotone.

- Allez les petits, calmez vous ! Saint Roger s'avança vers Saint Pierre et tous se turent avec respect, comme envoutés par l'accent rocailleux du saint patron de Mauvezin.

- Ah mon bon Roger ! Toi dont la dépouille repose les jambes tournées vers le terrain de rugby et la tête vers l'église, toi le seigneur du micro, l'inventeur du transistor à images, dis moi quel est l'objet de ce courroux.

- Quoi Fouroux s'emporta à nouveau Albert en tripotant son sonotone

- Il faut les comprendre repris Saint Roger, ils n'en peuvent plus les petits !

- Comment ça ils n'en peuvent plus s'étonna Saint Pierre ! N'avez vous pas les plus beaux terrains, les plus beaux et grands joueurs ? Certes vous manquez d'arbitres. Mais est ce de ma faute si la plupart se retrouve au purgatoire ? Est ce de ma faute s'ils sont accusés de tant de péchés, de tant de maux, qu'ils ont bien du mal à arriver jusqu'au paradis...? Et puis mon bon Roger, depuis l'arrivée de la télévision numérique céleste, les petits, ils peuvent regarder les matchs sur des nuages géant dernier cri, en 3D en plus...La TNC c'est formidable Roger ! Surtout avec l'abonnement à Céleste+, tous les matchs en permanence...que du rugby !

- Ben justement, l'objet du courroux, c'est bien ça...susurra Roger, ils n'en peuvent plus les petits.

- Quoi Fouroux grommela Albert en piétinant son sonotone

- Tu parles Charles ! Pardon, Saint Pierre voulais-je dire, repris Saint Roger retrouvant ses accents patriotique. Rugby, rugby outragé ! rugby brisé ! rugby martyrisé ! Ils n'en peuvent plus les petits ! ils veulent être li-bé-rés !

- Libérés ? Mais n'êtes vous pas libre ? s'étonna Saint Pierre.

Saint Raoul s'avança au devant du vénérable. Le Sorcier de Sauclières fut aussitôt suivi de la confrérie des gros. Ils se serrèrent religieusement pour entendre les paroles du sage.

- C'est pas des terrains qu'il nous faudra bientôt au paradis, mais des piscines !

- Des piscines ! Répliqua le vénérable à la barbe blanche. Tu es devenu fou ?

- il parle de Fouroux susurra Albert

Saint Raoul poursuivit : Être obligé de regarder, toutes les semaines, tous ces matchs, où nos congénères plongent, à chaque mêlée, comme de vulgaires palmipèdes barboteurs c'est insupportable. Un véritable enfer !

- Des chèvres je vous dis, repris Le Duc.

- Des chèvres s'étonna Saint Pierre ! Comme vous y allez Amédée !

- Brouter, le nez dans l'herbe en permanence, moi j'appelle ça une chèvre. Et celui qui tient le micro c'est Bayle. C'est pas une preuve ça glissa Le Duc, fier de son effet. Saint Raoul a raison. Nous obliger à assister à ces pratiques dégradantes pour notre confrérie c'est inhumain.

Habituellement les bons mots du Duc auraient déchainé l'hilarité des gros. Seul un murmure d'approbation parcouru l'assemblée

- C'est donc ça l'objet de votre courroux ?

- Albert s'était assoupit...

- Oui c'est bien de cela dont il s'agit... !

Tous les gros s'écartèrent respectueusement pour laisser passer celui qui venait de prendre la parole. La souris, poussé sur le devant du parvis par Jean Dauger et l'inséparable duo Maurice Prat- Roger Martine, vint à la rencontre du vénérable, suivi par toutes les gazelles du paradis d'ovalie.

- Maître Guy. Content de vous voir. j'ai ouïe dire que vos chers montois vous causaient bien des tourments. Et comment va votre frère ? S'enquit Saint Pierre.

- Mes montois sont comme le rugby : malades ! Quant à mon frère il ne tardera pas à me rejoindre tellement le monde d'en bas est cruel. Mais vénérable, pourquoi nous infliger cette torture ? Qu'avons nous donc fait pour mériter cela ? Voir tous ces ballons tombés, ces gazelles désemparées, apeurées à l'idée de jouer, c'est trop triste. Nous n'en pouvons plus, plutôt l'enfer...

- Soit trancha Saint Pierre que proposez vous ?

- Débranchez ! Débranchez scanda en chœur l'assemblée.

- Que voulez vous dire ? On doit euthanasier le rugby ? Interrogea, inquiet, le vieillard à la barbe blanche

- Le rugby, notre rugby est mourant. Nous ne pouvons hélas plus rien pour lui. Les ministres de ce sport se chargeront bien, tout seul, de l'achever. Non c'est nous qui voulons être déconnecté du supplice que vous nous infligez chaque week-end répondit Guy, des sanglots dans la voix.

- Laissez nous nos souvenirs, ils suffisent à notre bonheur. Les plus beaux souvenirs ne sont ils pas ceux que l'on s'invente...et vous savez combien nous sommes inventifs.

- Soit trancha Saint Pierre. Jouez en paix je vais en référer au grand patron...

_ Quoi Fouroux ? Albert venait de se réveiller...

Le lendemain un communiqué s'affichât sur les nuages cathodiques :

Et dans ces temps difficiles, où le mal rôde et frappe dans le royaume d'ovalie, je souhaite que la Providence veille sur le rugby, pour son bonheur, pour son bien et pour sa grandeur. Au revoir la TNC !

Un cri de joie s'éleva dans le ciel : ICI ! ICI ! C'est le PA-RA-DIS ! ICI ! ICI ! C'est le PA-RA-DIS !

Et son çlin d'oeil aux adieux de VGE me rappelle qu'on peut toujours compter sur les amis.

Ici, ici, c'est Haut, Valy.

Au revoir.

Modifié par VGE
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Adishatz les copains,

Ca m'rappelle mes jeunes années d'intelligence situationnelle, l'époque où l'on savait que celui qui part à la chasse, bin il perd sa place pardi. C'est lors de l'une des ces occasions que j'ai rencontré maman, d'ailleurs

Il avait nom Will Quisonne, ô gué! ô gué!

Tout l'mond' peut pas s'app'ler Durand, ô gué! ô gué!

Il avait nom Will Quisonne, ô gué! ô gué!

Tout l'mond' peut pas s'app'ler Durand, ô gué! ô gué!

En le regardant avec un oeil de poète,

On aurait pu croire, à son frontal de prophète,

Qu'il avait les grand's eaux d'la rade dans la tête,

Will Quisonne.

Mais que le Bon Dieu lui pardonne, ô gué! ô gué!

C'étaient celles du robinet! ô gué! ô gué!

Mais que le Bon Dieu lui pardonne, ô gué! ô gué!

C'étaient celles d'la mediterranée! ô gué! ô gué!

On aurait pu croire, en l'voyant faire ses rondes,

Qu'il se plongeait dans des méditations profondes

Sur l'aspect fugitif des regles de ce monde...

Will Quisonne.

C'était hélas! pour s'assurer, ô gué! ô gué!

Qu'le vent n'l'avait pas décoiffé, ô gué! ô gué!

C'était hélas! pour s'assurer, ô gué! ô gué!

Qu'le vent n'l'avait pas décoiffé, ô gué! ô gué!

Il proclamait à sons de trompe à tous les canals

"Il n'y'a que dans l'midi qu'ils sachent le stade anal,

La virtuosité, c'est une affaire de Boudjellal"

Will Quisonne.

Il potassait à la chandel', ô gué! ô gué!

Des traités de maintien sexuel, ô gué! ô gué!

Et sur les gars du stade Francais, ô gué! ô gué!

Faisait l'brouillon d'ses calendriers, ô gué! ô gué!

Petit à petit, ô gué! ô gué!

On a tout su de lui, ô gué! ô gué!

On a su qu'il était pas enfant d'la rade...

Mais qu'il risquerait son trou de balle

A cueillir un muguet pour son Mourad,

Will Quisonne.

Qu'il avait un petit copian ô gué! ô gué!

Haut placé chez les toulousains, ô gué! ô gué!

Et que les jours de pénuri', ô gué! ô gué!

Il prenait ses repas chez lui, ô gué! ô gué!

C'est même en revenant d'chez cet antipathique,

Qu'il tomba victim' d'une indigestion critique

Et refusa l'secours de la thérapeutique,

Will Quisonne.

Parc' que c'était un Catalan, ô gué! ô gué!

Qu'on devait le médicament, ô gué! ô gué!

Parc' que c'était un Catalan, ô gué! ô gué!

Qu'on devait le médicament, ô gué! ô gué!

Il rendit mort dans l'ame son maillot d'ouverture,

Pour partir une semaine en villegiature,

La Miche et Durand assumeraient bien la couverture..

Will Quisonne.

Alors sa veuve en gémissant, ô gué! ô gué!

Coucha z'avec son remplaçant, ô gué! ô gué!

Alors sa veuve en gémissant, ô gué! ô gué!

Coucha z'avec son remplaçant, ô gué! ô gué!

Je vous laisse, mon chat il a faim

Amitiés rugbystique

Pierre V.

Modifié par Vil & Preux
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Adishatz les copains,

Ca m'rappelle mes jeunes années d'intelligence situationnelle, l'époque où l'on savait que celui qui part à la chasse, bin il perd sa place pardi. C'est lors de l'une des ces occasions que j'ai rencontré maman, d'ailleurs

Il avait nom Will Quisonne, ô gué! ô gué!

Tout l'mond' peut pas s'app'ler Durand, ô gué! ô gué!

Il avait nom Will Quisonne, ô gué! ô gué!

Tout l'mond' peut pas s'app'ler Durand, ô gué! ô gué!

En le regardant avec un oeil de poète,

On aurait pu croire, à son frontal de prophète,

Qu'il avait les grand's eaux d'la rade dans la tête,

Will Quisonne.

Mais que le Bon Dieu lui pardonne, ô gué! ô gué!

C'étaient celles du robinet! ô gué! ô gué!

Mais que le Bon Dieu lui pardonne, ô gué! ô gué!

C'étaient celles d'la mediterranée! ô gué! ô gué!

On aurait pu croire, en l'voyant faire ses rondes,

Qu'il se plongeait dans des méditations profondes

Sur l'aspect fugitif des regles de ce monde...

Will Quisonne.

C'était hélas! pour s'assurer, ô gué! ô gué!

Qu'le vent n'l'avait pas décoiffé, ô gué! ô gué!

C'était hélas! pour s'assurer, ô gué! ô gué!

Qu'le vent n'l'avait pas décoiffé, ô gué! ô gué!

Il proclamait à sons de trompe à tous les canals

"Il n'y'a que dans l'midi qu'ils sachent le stade anal,

La virtuosité, c'est une affaire de Boudjellal"

Will Quisonne.

Il potassait à la chandel', ô gué! ô gué!

Des traités de maintien sexuel, ô gué! ô gué!

Et sur les gars du stade Francais, ô gué! ô gué!

Faisait l'brouillon d'ses calendriers, ô gué! ô gué!

Petit à petit, ô gué! ô gué!

On a tout su de lui, ô gué! ô gué!

On a su qu'il était pas enfant d'la rade...

Mais qu'il risquerait son trou de balle

A cueillir un muguet pour son Mourad,

Will Quisonne.

Qu'il avait un petit copian ô gué! ô gué!

Haut placé chez les toulousains, ô gué! ô gué!

Et que les jours de pénuri', ô gué! ô gué!

Il prenait ses repas chez lui, ô gué! ô gué!

C'est même en revenant d'chez cet antipathique,

Qu'il tomba victim' d'une indigestion critique

Et refusa l'secours de la thérapeutique,

Will Quisonne.

Parc' que c'était un Catalan, ô gué! ô gué!

Qu'on devait le médicament, ô gué! ô gué!

Parc' que c'était un Catalan, ô gué! ô gué!

Qu'on devait le médicament, ô gué! ô gué!

Il rendit mort dans l'ame son maillot d'ouverture,

Pour partir une semaine en villegiature,

La Miche et Durand assumeraient bien la couverture..

Will Quisonne.

Alors sa veuve en gémissant, ô gué! ô gué!

Coucha z'avec son remplaçant, ô gué! ô gué!

Alors sa veuve en gémissant, ô gué! ô gué!

Coucha z'avec son remplaçant, ô gué! ô gué!

Je vous laisse, mon chat il a faim

Amitiés rugbystique

Pierre V.

Joli :original:

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grand schtroumpf 83

Adishatz les copains,

Ca m'rappelle mes jeunes années d'intelligence situationnelle, l'époque où l'on savait que celui qui part à la chasse, bin il perd sa place pardi. C'est lors de l'une des ces occasions que j'ai rencontré maman, d'ailleurs

Il avait nom Will Quisonne, ô gué! ô gué!

Tout l'mond' peut pas s'app'ler Durand, ô gué! ô gué!

Il avait nom Will Quisonne, ô gué! ô gué!

Tout l'mond' peut pas s'app'ler Durand, ô gué! ô gué!

En le regardant avec un oeil de poète,

On aurait pu croire, à son frontal de prophète,

Qu'il avait les grand's eaux d'la rade dans la tête,

Will Quisonne.

Mais que le Bon Dieu lui pardonne, ô gué! ô gué!

C'étaient celles du robinet! ô gué! ô gué!

Mais que le Bon Dieu lui pardonne, ô gué! ô gué!

C'étaient celles d'la mediterranée! ô gué! ô gué!

On aurait pu croire, en l'voyant faire ses rondes,

Qu'il se plongeait dans des méditations profondes

Sur l'aspect fugitif des regles de ce monde...

Will Quisonne.

C'était hélas! pour s'assurer, ô gué! ô gué!

Qu'le vent n'l'avait pas décoiffé, ô gué! ô gué!

C'était hélas! pour s'assurer, ô gué! ô gué!

Qu'le vent n'l'avait pas décoiffé, ô gué! ô gué!

Il proclamait à sons de trompe à tous les canals

"Il n'y'a que dans l'midi qu'ils sachent le stade anal,

La virtuosité, c'est une affaire de Boudjellal"

Will Quisonne.

Il potassait à la chandel', ô gué! ô gué!

Des traités de maintien sexuel, ô gué! ô gué!

Et sur les gars du stade Francais, ô gué! ô gué!

Faisait l'brouillon d'ses calendriers, ô gué! ô gué!

Petit à petit, ô gué! ô gué!

On a tout su de lui, ô gué! ô gué!

On a su qu'il était pas enfant d'la rade...

Mais qu'il risquerait son trou de balle

A cueillir un muguet pour son Mourad,

Will Quisonne.

Qu'il avait un petit copian ô gué! ô gué!

Haut placé chez les toulousains, ô gué! ô gué!

Et que les jours de pénuri', ô gué! ô gué!

Il prenait ses repas chez lui, ô gué! ô gué!

C'est même en revenant d'chez cet antipathique,

Qu'il tomba victim' d'une indigestion critique

Et refusa l'secours de la thérapeutique,

Will Quisonne.

Parc' que c'était un Catalan, ô gué! ô gué!

Qu'on devait le médicament, ô gué! ô gué!

Parc' que c'était un Catalan, ô gué! ô gué!

Qu'on devait le médicament, ô gué! ô gué!

Il rendit mort dans l'ame son maillot d'ouverture,

Pour partir une semaine en villegiature,

La Miche et Durand assumeraient bien la couverture..

Will Quisonne.

Alors sa veuve en gémissant, ô gué! ô gué!

Coucha z'avec son remplaçant, ô gué! ô gué!

Alors sa veuve en gémissant, ô gué! ô gué!

Coucha z'avec son remplaçant, ô gué! ô gué!

Je vous laisse, mon chat il a faim

Amitiés rugbystique

Pierre V.

Joli :original:

Moi, j'ai rien compris. ça me fait vaguement penser à une chanson de Brassens mais pour les paroles, je vois pas où il veut en venir.

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