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Des Nouvelles Des Blessés


guigui toul

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DarkSideOfTheMaul
il y a 59 minutes, tire-bouchon a dit :

Personnellement je pense que les staffs médicaux dans les clubs s' arrogent des pouvoirs qui ne leurs reviennent pas.

Pour le cas Jalibert, entre autres, il y a à Bordeaux un des meilleurs CHU de France, une Clinique du Sport de pointe et un Centre Cardio de niveau Européen.

Le staff médical d' un club fusse  t'il un club Pro est là pour les 1er secours et la bobologie.

C' est comme si à Montferrand le Staff médical traitait les traumatos des joueurs alors qu'ils ont service de pointe au CHU de Clermont.

Fofana likes this :chinois:

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Beau-jeu-laid
Il y a 5 heures, Saint Thomas ST a dit :

On peut tirer à boulets rouges, mais pas si simple quand même pour les médecins, tiraillés entre Hippocrate et les pressions du club (dont ils sont salariés...) pour remettre les joueurs sur le pré.

 

Je pense que la pression  la plus importante vient des joueurs...

Alde qui a caché ses blessures en est un bon exemple.

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il y a 16 minutes, gael a dit :

hello

quelqu un aurait l’article sur la cocaine dans le rugby? Dans "l'équipe"

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Comment-la-cocaine-gangrene-le-monde-du-rugby/1327748

 

Comment la cocaïne gangrène le monde du rugby

 

À l'image de la société, la consommation de cocaïne dans le rugby, pro comme amateur, s'est banalisée. Un recours qui peut s'expliquer par un besoin de décompresser mais aussi d'absorber les chocs et la rudesse de ce sport.

 

Antoine Bourlon et Alexis Danj

 

« Personne ne se cache », dit un joueur pro. Il assure en avoir vu, des coéquipiers, quitter la piste de danse pour les toilettes de la boîte de nuit du coin ou la salle de bains de l'appartement. « La cocaïne est devenue banale », prétend l'un de ses confrères. « Quand j'ai commencé, certains fumaient leur petit bédo de cannabis, poursuit-il. Ça a été remplacé par la cocaïne. » Une pratique banale, ou plutôt commune dans le rugby d'aujourd'hui ? « Réveillez-vous, ça fait un moment qu'elle circule, depuis que le rugby est devenu professionnel... » Bernard Dusfour, ancien président de la commission médicale de la Ligue nationale de rugby (LNR), a le ton badin lorsqu'il évoque cette drogue dure.

 

Vingt ans que « la coke » fait partie du paysage, à l'écouter. Le contrôle positif à la cocaïne, le 27 février, de la star australienne du rugby à XIII James Maloney, ancien des Dragons Catalans, aujourd'hui sous le maillot de Lézignan (le demi d'ouverture a été suspendu provisoirement et mis à pied à titre conservatoire par son club dans l'attente de la fin de la procédure engagée par l'AFLD) est l'exemple le plus récent : « Oui, ça circule », confie un ancien international, fraîchement retraité.

 

Il a arrêté, lui, de consommer, et donc de contacter ses fournisseurs, ceux de monsieur et madame Tout-le-Monde. « En soirée, à la cité... », explique-t-on ici et là. « Quand on sort, vraiment, ce n'est pas très compliqué », lance un autre pro. Plus facile en tout cas que d'en parler. Discuter cocaïne avec les joueurs revient à raviver le souvenir de plusieurs anciens : l'ex-pilier international français Pieter de Villiers, positif en 2002 après un contrôle inopiné, frappé ensuite de nullité pour vice de forme ; ou les stars néo-zélandaise Ali Williams (77 sélections) et australienne James O'Connor (59 sélections), arrêtées en possession de cocaïne en février 2017 à proximité d'une boîte de nuit de l'ouest parisien.

 

Convoqué devant le tribunal pour « achat de stupéfiants », le premier avait été condamné à une amende de 1 500 euros puis licencié par son club, le Racing 92. Lors de sa comparution, il avait plaidé coupable. Le Toulonnais James O'Connor s'était, lui, vu notifier une amende pour « usage » dans le cadre d'une ordonnance pénale. « J'ai vraiment l'impression, et ça n'engage que moi, que dans beaucoup de clubs, la cocaïne s'est un peu invitée dans le milieu festif », racontait alors Mourad Boudjellal, l'ex-président du RC Toulon

 

« Des joueurs du Top 14, actuellement en activité, en tapent

Un joueur pro toujours en activité

 

C'est aussi s'ouvrir à quelques rumeurs que de questionner la cocaïne auprès des rugbymen actuels. Un ancien champion de France, dont le palmarès commence à dater, est cité. Il le reconnaît d'emblée : il a franchi la ligne blanche. « J'en ai pris de la coke, et alors ? Je n'ai rien à cacher. Ça n'a rien d'exceptionnel. Tout le monde en consomme dans le milieu. Des joueurs du Top 14, actuellement en activité, en tapent », assure-t-il. Et de poursuivre, tantôt agressif, tantôt rigolard : « Comme par hasard, c'est à moi que vous posez ces questions... » Le propos est décousu, l'entretien, très tendu : il se terminera d'ailleurs par un « va te faire foutre ! » L'interview est entrecoupée de rires sardoniques, d'insultes et de moqueries. Mais aussi d'un début d'explication.

 

« Je souhaite à n'importe quel mec lambda d'être un jour sportif professionnel, de gagner plein d'argent et d'être sous pression du matin au soir. C'est compliqué à vivre au quotidien. Personne ne peut comprendre tant qu'il ne l'a pas vécu, tant qu'il n'a pas joué et été applaudi par des milliers de personnes. Quand tu dois bien manger toute ta vie, t'entraîner, faire tout ce qu'on te dit, être à 800 % du matin au soir, sept jours sur sept, à un moment, il faut sortir, s'amuser, relâcher la pression. Certains font de la marche, d'autres prennent de la drogue. Pareil quand tu te retrouves en tribunes et que tu ne joues pas : tu retrouves cette adrénaline avec la coke.

 

Le joueur n'a jamais été contrôlé positif. Il savait à quels moments de la semaine il pouvait se droguer. « Ça ne reste que 36 heures (48 heures maximum) dans les urines », assure-t-il, avant cette déroutante confidence : « Et puis, il suffit de regarder la liste des produits dopants : il est autorisé de prendre de la cocaïne à l'entraînement, pas les jours de match. » Toujours en activité, le joueur assure qu'il n'en consomme plus depuis qu'il n'évolue plus en Top 14.

 

Le sujet demeure sensible et les rares qui acceptent d'en parler le font sous couvert d'anonymat. Peur d'être suspendu et de prendre pour les autres. Peur d'être marginalisé. Peur, enfin, d'être poursuivi. L'usage de stupéfiants est un délit en France, puni d'une amende forfaitaire d'un montant de 200 euros, inscrite au casier judiciaire, pouvant être accompagnée d'une peine d'emprisonnement d'un an maximum. « Quand j'évoque le sujet, par exemple avec mes potes en Top 14, non, personne n'en parle, répond un trois-quart de Pro D2. C'est vraiment tabou.

 

Un à trois mois de suspension pour un usage hors compétition.

 

Depuis le 1er janvier 2021, la cocaïne est considérée comme une substance d'abus dans le code antidopage de l'Agence mondiale antidopage (AMA), au même titre que le cannabis, parce que ces drogues sont souvent consommées en dehors du contexte sportif. Elle n'est donc pas interdite hors compétition. « Si un sportif est testé positif à la cocaïne en compétition et qu'il établit que la prise de cette substance est hors compétition et qu'elle est sans lien avec la performance sportive, la suspension est réduite, explique Jérémy Roubin, de l'AFLD. Il encourt deux ans, sinon. C'est un allégement significatif.

Selon l'article 10.2.4.1 du code, la sanction est de trois mois. La période de suspension peut même être ramenée à un mois si le sportif suit un programme de traitement contre les substances d'abus. L'AFLD effectue rarement des signalements auprès des autorités en cas de contrôle positif. « Il n'y a pas de suite judiciaire étant donné que les parquets ne poursuivent pas les consommateurs, détaille Jérémy Roubin (les parquets peuvent décider de faire des rappels à la loi ou contraindre à des injonctions de soins). On procède désormais à des signalements à l'autorité judiciaire quand on n'est pas simplement face à une consommation individuelle, mais à quelque chose de plus organisé. Le dossier est ensuite entre les mains du procureur de la République. À lui de choisir d'engager des poursuites. 

 

L'histoire d'un autre champion de France des années 2010 est aussi évoquée. « Il a bouffé tout son argent dans la came, raconte, anonymement, l'un de ses anciens présidents. Celui qui aime sortir, picoler, qui n'a pas envie d'avoir une vie stable, bah voilà, c'est assez simple de tomber là-dedans. Certains deviennent agressifs également. En quittant un de ses clubs précédents, il n'avait plus de pognon - et même des dettes. Ça coûte cher, la came ! » Une grosse écurie du Championnat lui avait offert jusqu'à 20 000 euros par mois de salaire mais il était ruiné. Lui non plus n'a jamais été contrôlé positif.

 

« La cocaïne ne reste dans les urines que 48 heures maximum. Les joueurs en prennent en début de semaine, par exemple, décrypte Christian Bagate, en charge de la lutte antidopage à la FFR pendant des années. Il n'y a plus de traces de drogue les jours de match. Nous n'avons d'ailleurs eu aucun cas de contrôle positif à la cocaïne en compétition, même si on sait très bien que les joueurs en prennent. » Ils seraient même de plus en plus nombreux à le faire, selon l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).

 

« On s'aperçoit qu'il y a une augmentation du nombre de cas ces dernières années, détaille Jérémy Roubin, le secrétaire général de l'organisation. On sent bien qu'il se passe quelque chose. Il y a une tendance. On la constate uniformément, aussi bien au niveau professionnel qu'amateur. » L'année dernière, l'AFLD a été saisie de sept rapports d'analyse anormaux comportant de la cocaïne. Cinq concernaient des rugbymen, dont un international.

 

Trois dossiers ont été classés sans suite en raison du seuil fixé par l'agence mondiale antidopage (50 ng/mL). Les deux derniers concernent des joueurs évoluant au niveau amateur, en Fédérale. « Dans certains coins de France, après un match, c'est cocaïne party », selon un joueur de Pro D2. Au niveau fédéral, certains derbys très chauds peuvent aussi être l'occasion de dérives.

 

Comment expliquer le fait que certains se fassent attraper ? « Lorsqu'il y a un test positif à cette substance en compétition, cela signifie qu'il y a un usage régulier et conséquent, poursuit Jérémy Roubin. Avec le seuil de détection, ça ne peut pas être un accident. » Il n'y a que du jeudi au dimanche que les pros jouent, le calendrier se prête donc aux tours de passe-passe. « La cocaïne, on l'appelle "le dopage du lundi, mardi, mercredi" », dévoile Christian Bagate. « Ceux qui en consomment ne sont pas fous : ils font attention au moment où ils en prennent, confirme une source. Ils attendent que le match soit passé.

 

« La connerie, l'effet de groupe, le relâchement, dans un sport très "troisième mi-temps" peuvent t'amener à consommer

Un joueur de Pro D2

 

Un contrôleur de l'AFLD confie qu'un changement « d'habitude » a été opéré pour attraper ceux qui franchissent la ligne. « Avant, nous arrivions avant le début du match, précise-t-il. Du coup, les joueurs étaient alertés et ne prenaient rien. Maintenant, nous devons, dans la mesure du possible, nous présenter en début de deuxième mi-temps car on sait que certains attendent la mi-temps pour en prendre.

 

Il y a quatre ans, après l'affaire Williams-O'Connor, Robins Tchale-Watchou, le président de Provale, le syndicat des joueurs, avait lancé l'alerte. « Les joueurs prenaient de la cocaïne, oui, c'était l'un des principaux enseignements d'une étude sociologique consacrée au rugby professionnel, explique-t-il aujourd'hui. Et certains étaient addicts.

 

« Il s'agit d'un problème de santé publique majeur donc il est évident qu'on le retrouve dans le rugby aussi », avance le docteur Dusfour. En France, selon l'Observatoire des drogues et toxicomanies (OFDT), la cocaïne fait partie des substances illicites dont la diffusion a le plus progressé ces dernières années. Elle est aujourd'hui la deuxième drogue la plus utilisée avec 600 000 consommateurs en 2021, la plus grande proportion étant la tranche des 26-34 ans.

 

Certaines mesures visent à aider les joueurs. Robins Tchale-Watchou, encore : « Un numéro vert ; la mise en place d'une cellule psychologique ; de la sensibilisation, notamment au fait qu'il ne faut pas voir la cocaïne comme quelque chose de ludique, que sa consommation peut avoir des conséquences et, surtout, comment repérer un copain en détresse, la façon d'agir pour l'aider, les personnes à contacter. Il y a eu beaucoup d'appels au numéro vert. Et il y en a toujours.

 

Certains joueurs pros avancent que le problème est peu pris au sérieux. « Certains clubs voient leurs joueurs comme de la chair à canon », gronde un dirigeant. Un joueur de Pro D2 assure ne jamais avoir eu de réunion sur le sujet depuis le centre de formation : « Les données du problème sont censées être acquises. Mais la connerie, l'effet de groupe, le relâchement, dans un sport très "troisième mi-temps", et une hygiène de vie bancale peuvent t'amener à consommer.

 

Selon Robins Tchale-Watchou, la consommation de cocaïne répond aussi « à un mal-être ». La pression du très haut niveau peut être un facteur. Pour certains, le produit libère l'esprit, rompt la solitude. Offre au corps un répit face aux chocs et aux excès du rugby moderne. « L'utilisation de la cocaïne dépend vraiment des individus, résume Bernard Dusfour. Pour certains, elle va les stimuler. Pour d'autres, elle est à usage récréatif. » Un jeune pro témoigne : « De ce que j'ai vu, c'est très troisième mi-temps. Et ça se voit dans le comportement. Je pense que le phénomène est beaucoup plus fréquent maintenant.

 

« Le joueur est tellement désinhibé et excité qu'il en devient incontrôlable

Jérémy Roubin, secrétaire général de l'AFL

 

Un autre concède que le produit « fait un peu office d'anti-inflammatoire ». « Avec le médecin d'un club, on avait remarqué que les joueurs en consommaient pour adoucir les chocs et les douleurs », précise Jean-Pierre Verdy, directeur des contrôles de l'AFLD entre 2006 et 2015, qui confirme la singularité du rugby face au phénomène : « On ne l'a pas perçu [l'usage de la cocaïne] à ce niveau-là dans d'autres sports. » « La cocaïne, ça fait du bien, hein, s'étend un dirigeant. Du moins, ils le croient. Ça améliore la performance, l'état psychologique, tout. » Cela fait beaucoup de mal, surtout. « Cela pose aussi des problèmes de sécurité, rappelle Jérémy Roubin, de l'AFLD. Le joueur est tellement désinhibé et excité qu'il en devient incontrôlable.

 

La plupart de nos interlocuteurs insistent sur ce point : la cocaïne n'est pas réservée au monde pro. « Ils achètent la semaine, puis consomment le week-end en soirée, explique un demi de mêlée amateur. Ils en prennent dans la rue, parfois. » Lui joue près de Bordeaux, mais le phénomène touche aussi les campagnes. Certains consomment à l'apéro, prennent le volant, parfois, ensuite. « Chez moi, c'est surtout les plus vieux, ceux qui ont côtoyé le plus haut niveau », dit un joueur de Fédérale 2. Dans un club du sud-ouest, c'est le Covid qui aurait engendré des « vocations ». « Des joueurs faisaient des soirées clandestines, ça a commencé comme ça », confie-t-on. Jusqu'au jour où la fête s'arrête.

 

« La cocaïne peut entraîner la mort subite"

 

Spécialiste en médecine interne et addictologue, le docteur William Lowenstein est depuis 2013 le président de SOS Addictions. Le pneumologue de formation alerte sur les risques graves pour la santé liés à la prise de cocaïne.

 

« La prise de cocaïne s'est banalisée dans la société et dans certains sports, comme le rugby. Peut-elle aider à supporter les charges d'entraînement.

 

La cocaïne étant un neuro-excitant, elle permet de s'entraîner davantage et de se donner à fond. D'aller au choc car elle est hypo-anesthésiante : on sent moins les coups dans l'immédiat. Il y a une moindre sensibilité à la douleur, associée à la désinhibition et à l'agressivité, ce qui permet de moins sentir les contacts. En résumé, la cocaïne permet de supporter les charges d'entraînement, de diminuer la douleur, d'augmenter l'agressivité et la motivation. C'est un produit dopant idéal.

 

Doit-on s'inquiéter pour la santé des rugbymens.

 

Absolument. La cocaïne fait partie de ces substances dont la dangerosité a toujours été sous-estimée. Cette drogue est entourée d'un côté paillettes et festif, alors que c'est aussi dangereux que l'héroïne, dont l'image a toujours été terrible dans l'imaginaire collectif. Il y a pourtant beaucoup plus d'hospitalisations et de complications avec la cocaïne qu'avec l'héroïne. Il y a une vraie sous-estimation des risques physiques et neuropsychiatriques. En ce qui concerne les risques physiques, la prise de cocaïne va entraîner une augmentation importante de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle, ce qui peut conduire à des AVC (accidents vasculaires cérébraux). Étant donné que cette drogue est vasoconstrictrice, c'est-à-dire qu'elle ferme les vaisseaux, elle peut entraîner des accidents cardiaques, des infarctus. Cette vasoconstriction peut aussi entraîner des insuffisances rénales aiguës. Cette substance est également génératrice de troubles du rythme cardiaque, surtout à l'effort, donc sa prise peut générer des tachycardies ventriculaires qui peuvent mener à la mort subite. Ces effets sont souvent ignorés et sous-estimés en France.

 

Et les risques neuropsychiatriques

 

Ce qui au début est vécu comme de la convivialité et une atténuation de la fatigue peut se transformer en mégalomanie, en baisse de la perception du risque, en agressivité, voire en paranoïa.

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delacaravelle
il y a 5 minutes, Bota a dit :

ça sent le "met moala, puis met le pansement" de Colza, ou un truc dans le genre...

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il y a 10 minutes, Bota a dit :

 

Oui ils vont finir l'année en roue libre avec les jeunes, le maintien étant presque assurée et la place dans les 6 un peu loin surtout sans 4 ou 5 pièces maitresses de l'effectif (Yato, Matsushima, Penaud, Moala).

Dommage qu'on ait déjà joué l'aller retour contre eux.

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Je n'avais pas vu passé l'info mais visiblement c'est saison terminée pour Mallez qui est touché au ménisque ? https://www.stadetoulousain.fr/actu/9795/point-infirmerie-sfp-st, j'aurai aimé le voir pour faire souffler alternativement Faumuina et Aldegheri même s'il nous reste Tafili
 

Edit : Brennan aussi est blessé

Modifié par Maestro
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Pita avec une poche de glace sur le genou aujourd'hui ( photo des réseaux sociaux ).

Donc au repos contre Toulon parce-que derrière on enchaine La Rochelle, Munster et une éventuelle demi finale .

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il y a 4 minutes, CaPuChO65 a dit :

Pita avec une poche de glace sur le genou aujourd'hui ( photo des réseaux sociaux ).

Donc au repos contre Toulon parce-que derrière on enchaine La Rochelle, Munster et une éventuelle demi finale .

 

Ca sera Holmes-Tauzin on a plus aucun choix tant que Fouyssac, Mallia, Chocobares ne sont pas de retours.

 

Vu les dernières perfs de Holmes y'a pire comme paire de centre de l'équipe B voir C.

Modifié par papapoupa
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il y a 7 minutes, papapoupa a dit :

 

Ca sera Holmes-Tauzin on a plus aucun choix tant que Fouyssac, Mallia, Chocobares ne sont pas de retours.

 

Vu les dernières perfs de Holmes y'a pire comme paire de centre de l'équipe B voir C.

 

Fouyssac est disponible je crois

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il y a 9 minutes, papapoupa a dit :

 

Ca sera Holmes-Tauzin on a plus aucun choix tant que Fouyssac, Mallia, Chocobares ne sont pas de retours.

 

Vu les dernières perfs de Holmes y'a pire comme paire de centre de l'équipe B voir C.

Holmes : s'il a eu une commotion, il faut attendre le feu vert des toubibs

Fouyssac était à l'entrainement. 

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J'ai pas tout suivi dernièrement, on en est ou des blessés ?

De ce que je sais, on a à l'infirmerie Baille, Guitoune, Cros, Holmes, Placines, Brennan, Youyoutte, Lebel, Bonneval, Marchand, Mallez, Chocobares.

Qui peut espéré participer au match de Toulon ?

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Le 17/04/2022 à 20:11, Maestro a dit :

 

Fouyssac est disponible je crois

 

Fake News je te croirai pas jusqu'à l'annonce de la compo.

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Le 13/04/2022 à 22:31, tire-bouchon a dit :

Personnellement je pense que les staffs médicaux dans les clubs s' arrogent des pouvoirs qui ne leurs reviennent pas.

Pour le cas Jalibert, entre autres, il y a à Bordeaux un des meilleurs CHU de France, une Clinique du Sport de pointe et un Centre Cardio de niveau Européen.

Le staff médical d' un club fusse  t'il un club Pro est là pour les 1er secours et la bobologie.

C' est comme si à Montferrand le Staff médical traitait les traumatos des joueurs alors qu'ils ont service de pointe au CHU de Clermont.

  Je comprends pourquoi tu t'es installé sur l'agglo bordelaise .

 Mais ils ont aussi une morgue confortable et un service funéraire au top .

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Il y a 4 heures, PabloBaresco a dit :

J'ai pas tout suivi dernièrement, on en est ou des blessés ?

De ce que je sais, on a à l'infirmerie Baille, Guitoune, Cros, Holmes, Placines, Brennan, Youyoutte, Lebel, Bonneval, Marchand, Mallez, Chocobares.

Qui peut espéré participer au match de Toulon ?

Pas moi, j habite trop loin 

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Le 17/04/2022 à 20:11, Maestro a dit :

Fouyssac est disponible je crois

Et ca fait un moment (depuis fin février).

S'il ne joue pas, c'est juste qu'il est très loin dans la hiérarchie.

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Il y a 5 heures, Gabi a dit :

Et ca fait un moment (depuis fin février).

S'il ne joue pas, c'est juste qu'il est très loin dans la hiérarchie.

 

Déjà on l'a revu sur un terrain de rugby lors d'un match pro. Vu la durée de son absence, il faut qu'il redevienne un joueur de haut niveau et ça peut ne jamais être le cas.

En général le Stade prend le temps de bien guérir les blessures de ses joueurs, plus qu'ailleurs. Fouyssac sera sur la feuille si on préserve Ahki et que Chocobares n'est pas dispo. En tout cas sinon c'est incompréhensible.

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il y a 2 minutes, GuyNess a dit :

Ca pique le resumé de la pharmacie Lafayette:

Selevasio Tolofua, Julien Marchand et Paul Mallez entrent à l’infirmerie. :close:

Ils ont pas du supporter le caisson hyperbare,

Julien et Selevasio sont titulaire ce soir, Mallez s'est déjà fait opéré

 

https://www.stadetoulousain.fr/actu/9795/point-infirmerie-rct-st

 

Chocobares sera sûrement disponible pour le match face à Brive et celui contre Biarritz

 

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il y a une heure, Maestro a dit :

Julien et Selevasio sont titulaire ce soir, Mallez s'est déjà fait opéré

 

https://www.stadetoulousain.fr/actu/9795/point-infirmerie-rct-st

 

Chocobares sera sûrement disponible pour le match face à Brive et celui contre Biarritz

 

 

3 semaines de protocole pour Holmes à l'entrainement  ....

Il a piqué la chocolatine à meafou  ou quoi ?

 

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il y a une heure, GuyNess a dit :

Ca pique le resumé de la pharmacie Lafayette:

Selevasio Tolofua, Julien Marchand et Paul Mallez entrent à l’infirmerie. :close:

Ils ont pas du supporter le caisson hyperbare,

Tu as écrit ça après l'apéro ?

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Il y a 2 heures, Raph a dit :

Aïe coup dur pour le mhr 


 

 

 

Vu le nombre de match qu'il leur sauve , je vois pas comment ils pourraient gagner le Brenus .

Modifié par Bota
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Sofiane Guitoune à l'instant sur Bein pour le match du téfécé. Il indique que sa blessure est moins grave que prévu et qu'il pourrait être de retour avant la fin de saison.

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Ben là, pour sa blessure au bras, ce n'est pas l'âge qui veut ça. 

C'est juste du "pas de bol".

 

Il doit être le premier embêté par cette situation, je pense.

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il y a une heure, brayaud's a dit :

Il doit être le premier embêté par cette situation, je pense.

Je dirais le deuxième.

Je pense que le 1er, c'est la CPAM du Puy de Dôme.

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Il y a 2 heures, brayaud's a dit :

Ben là, pour sa blessure au bras, ce n'est pas l'âge qui veut ça. 

C'est juste du "pas de bol".

 

Il doit être le premier embêté par cette situation, je pense.

t'as mal compris, je veux dire vu son âge ça va etre dur de revenir

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il y a 13 minutes, gael a dit :

t'as mal compris, je veux dire vu son âge ça va etre dur de revenir

Oui, pour une future prolongation, ça peut jouer:yes:

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Zack Holmes, Arthur Bonneval, Selevasio Tolofua et Joshua Brennan ont réintégré l’entraînement du groupe professionnel.

Richie Arnold retrouvera les entraînements rugby la semaine prochaine.

Santiago Chocobares débute des ateliers rugby et un travail de changement d’appuis et intensification de la course et de la musculation du bas du corps pour Yannick Youyoutte.

Travail sur le bas du corps pour Lucas Tauzin et sur le haut du corps pour Charlie Faumuina.

Nelson Epée débutun renforcement iso cinétique et Sofiane Guitoune commence un renforcement sans mise en charge.

Reprise de la course et d’un travail cardio pour Tim Nanaï-Williams, Paul Mallez et Alban Placines.

https://www.stadetoulousain.fr/actu/9795/point-infirmerie-mun-st

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il y a une heure, Adidi a dit :

Zack Holmes, Arthur Bonneval, Selevasio Tolofua et Joshua Brennan ont réintégré l’entraînement du groupe professionnel.

Richie Arnold retrouvera les entraînements rugby la semaine prochaine.

Santiago Chocobares débute des ateliers rugby et un travail de changement d’appuis et intensification de la course et de la musculation du bas du corps pour Yannick Youyoutte.

Travail sur le bas du corps pour Lucas Tauzin et sur le haut du corps pour Charlie Faumuina.

Nelson Epée débutun renforcement iso cinétique et Sofiane Guitoune commence un renforcement sans mise en charge.

Reprise de la course et d’un travail cardio pour Tim Nanaï-Williams, Paul Mallez et Alban Placines.

https://www.stadetoulousain.fr/actu/9795/point-infirmerie-mun-st

Le mec du point infirmerie nous a presque fait un best-of de tous les termes qu'il connaissait.

Mon avis : il ne pense pas que Fouyssac se re-blessera cette saison, sinon le gars il est à poil niveau termes.

Modifié par capitole46
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Saint Thomas ST
Il y a 9 heures, Adidi a dit :

Travail sur le bas du corps pour Lucas Tauzin et sur le haut du corps pour Charlie Faumuina

 En simultané ?

Il faut nommer les choses par leur nom. 

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il y a 46 minutes, Keke a dit :

Neti a certainement terminé sa saison aujourd’hui. Touché à l’aponévrose plantaire.

triste pour lui.

Et vraiment dommage car il avait beaucoup progressé, muri et était devenu n°1 des piliers gauches devant un Baille hors de forme.

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A noter que Duprat qui était prêté à Agen n'a pas le droit de rejouer avec le ST cette saison. Il aurait du pour cela revenir avant le 10 avril.

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