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Le Baron Kelleher


Parigot_Paris

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Mes Toulouzaingues,

D'habitude je fais pas trop de flooding mais là on me demande pourquoi nous surnommons Byron "le Baron" Kelleher. C'est moi qui ai eu l'idée :chinois: d'un personnage de vieux truand retiré des affaires, venu passer sa retraite au stade français. Quand je m'emmerdre au boulot je poste de petites saynètes sur le forum des Cybervulcans. Celle-ci se passe dans la salle de musculation du Stade Français, avec "le Baron" Kelleher et son ouvreur, le jeune Jules Plisson.

Byron « Le Baron » Kelleher : Alors mon Julot, t’as vu ça ? Ce que c’est qu’un grand ? Hop, cadrage ! Hop, débordement ! Feinte de passe, feinte de corps, percée de vingt mètres et je t’offre un essai des grands ducs, servi sur un plateau, à cette truffe de Rabadan ! Joyeux Noël, mon Pierrot, ne me remercie surtout pas trop ! L’était content le Pierrot, la dernière fois qu’il avait marqué, c’était en challenge européen !

Jules Plisson : Ben justement, là aussi, c’était en challenge européen.

Byron « Le Baron » Kelleher : Ah ouais ? Ah ouais, c’est vrai. Contre qui déjà, les Angliches ?

Jules Plisson : Non, les Italiens de Crociati Rugby.

Byron « Le Baron » Kelleher : Ouais, enfin, on les entendait plus, les Ritals ! C’est pour ça que je les confonds avec les Rosbifs ! Cinquante points dans le prose et les voilà repartis bouffer de la pizza en pleurant sur leur mandoline « Mamma, elle est morte la Mamma ! » Enfin bon, moi j’ai fait ma force, maintenant jusqu’à la fin de la saison re-pos ! A partir de désormais, la seule ferraille que je soulève, c’est mes trois boules à la pétanque et encore, un dimanche sur deux ! Une p’tite guinguette sur les bords de Marne, un coup de Sauvignon sur le lapin en gibelotte, une belote coinchée avec Attoub et Roncero et voilà, heu-reux, le Byron ! Comme un coq en pâte !

Jules Plisson : De toute façon, Monsieur Cheika il dit qu’il y a trop de concurrence à votre poste pour que vous puissiez jouer en Top 14.

Byron « Le Baron » Kelleher : il dit ça, l’Arabe ? Et ben, tu veux que je te dise ? Il a bien raison. Moi Dupuy et Fillol, ils me font trembler. Quand je vois leurs passes à Contepomi, j’ai envie de m’inscrire à l’école de rugby, sans déconner. Et leurs coups de pieds dans la boîte ? Si on me montrait pas les vidéos, ma parole, j’y croirais pas. Enfin, tant que le salaire tombe à la fin du mois… J’ai plus l’âge de jouer en espoirs, mon fiston, je laisse ça aux ambitieux…

Jules Plisson : Justement, Monsieur Cheika il a dit qu’en janvier nous partons ensemble en Roumanie ! Avec tous mes amis : Danty, et Camara et Slimani et Flanquart et…

Byron « Le Baron » Kelleher : et Winnie l’Ourson et Riri Fifi et Loulou ! Sans déconner, la Roumanie ! Compte tes reins en sortant de la douche, ils font du trafic d’organes ! Enfin, après le match on ira aux filles, il paraît qu’à quatorze ans, elles sont encore séronégatives !

Jules Plisson : moi je n’irai pas, j’ai ma petite fiancée qui m’attend en France !

Byron « Le Baron » Kelleher : et tu la laisses à Szarzewski ! Le fils de mineur charmant aux yeux qui chantent « les corons » à travers la couche de charbon. Mon bon Julot, d’ici à ce qu’on soit rentrés de Roumanie t’auras des cornes tellement longues qu’elles rentreront plus dans l’avion ! :sorcerer:

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Mes Toulouzaingues,

D'habitude je fais pas trop de flooding mais là on me demande pourquoi nous surnommons Byron "le Baron" Kelleher. C'est moi qui ai eu l'idée :chinois: d'un personnage de vieux truand retiré des affaires, venu passer sa retraite au stade français. Quand je m'emmerdre au boulot je poste de petites saynètes sur le forum des Cybervulcans. Celle-ci se passe dans la salle de musculation du Stade Français, avec "le Baron" Kelleher et son ouvreur, le jeune Jules Plisson.

Byron « Le Baron » Kelleher : Alors mon Julot, t’as vu ça ? Ce que c’est qu’un grand ? Hop, cadrage ! Hop, débordement ! Feinte de passe, feinte de corps, percée de vingt mètres et je t’offre un essai des grands ducs, servi sur un plateau, à cette truffe de Rabadan ! Joyeux Noël, mon Pierrot, ne me remercie surtout pas trop ! L’était content le Pierrot, la dernière fois qu’il avait marqué, c’était en challenge européen !

Jules Plisson : Ben justement, là aussi, c’était en challenge européen.

Byron « Le Baron » Kelleher : Ah ouais ? Ah ouais, c’est vrai. Contre qui déjà, les Angliches ?

Jules Plisson : Non, les Italiens de Crociati Rugby.

Byron « Le Baron » Kelleher : Ouais, enfin, on les entendait plus, les Ritals ! C’est pour ça que je les confonds avec les Rosbifs ! Cinquante points dans le prose et les voilà repartis bouffer de la pizza en pleurant sur leur mandoline « Mamma, elle est morte la Mamma ! » Enfin bon, moi j’ai fait ma force, maintenant jusqu’à la fin de la saison re-pos ! A partir de désormais, la seule ferraille que je soulève, c’est mes trois boules à la pétanque et encore, un dimanche sur deux ! Une p’tite guinguette sur les bords de Marne, un coup de Sauvignon sur le lapin en gibelotte, une belote coinchée avec Attoub et Roncero et voilà, heu-reux, le Byron ! Comme un coq en pâte !

Jules Plisson : De toute façon, Monsieur Cheika il dit qu’il y a trop de concurrence à votre poste pour que vous puissiez jouer en Top 14.

Byron « Le Baron » Kelleher : il dit ça, l’Arabe ? Et ben, tu veux que je te dise ? Il a bien raison. Moi Dupuy et Fillol, ils me font trembler. Quand je vois leurs passes à Contepomi, j’ai envie de m’inscrire à l’école de rugby, sans déconner. Et leurs coups de pieds dans la boîte ? Si on me montrait pas les vidéos, ma parole, j’y croirais pas. Enfin, tant que le salaire tombe à la fin du mois… J’ai plus l’âge de jouer en espoirs, mon fiston, je laisse ça aux ambitieux…

Jules Plisson : Justement, Monsieur Cheika il a dit qu’en janvier nous partons ensemble en Roumanie ! Avec tous mes amis : Danty, et Camara et Slimani et Flanquart et…

Byron « Le Baron » Kelleher : et Winnie l’Ourson et Riri Fifi et Loulou ! Sans déconner, la Roumanie ! Compte tes reins en sortant de la douche, ils font du trafic d’organes ! Enfin, après le match on ira aux filles, il paraît qu’à quatorze ans, elles sont encore séronégatives !

Jules Plisson : moi je n’irai pas, j’ai ma petite fiancée qui m’attend en France !

Byron « Le Baron » Kelleher : et tu la laisses à Szarzewski ! Le fils de mineur charmant aux yeux qui chantent « les corons » à travers la couche de charbon. Mon bon Julot, d’ici à ce qu’on soit rentrés de Roumanie t’auras des cornes tellement longues qu’elles rentreront plus dans l’avion ! :sorcerer:

T'es con.... Je viens de balancer mon café partout sur l'écran :drinks

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:sleeping:

"Enfin, après le match on ira aux filles, il paraît qu’à quatorze ans, elles sont encore séronégatives !"
:sleeping:

oui, oui et surtout Joyeux Noel à Tous !

Par curiosité, c'est du copier-coller de ce qui est publié chez les cybervulcans ? ou c'est un episode exclusif pour les capitouls ??

:clin

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:sleeping:

"Enfin, après le match on ira aux filles, il paraît qu'à quatorze ans, elles sont encore séronégatives !"
:sleeping:

oui, oui et surtout Joyeux Noel à Tous !

Par curiosité, c'est du copier-coller de ce qui est publié chez les cybervulcans ? ou c'est un episode exclusif pour les capitouls ??

:clin

ce passage est en effet tout sauf drole

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:sleeping:

"Enfin, après le match on ira aux filles, il paraît qu'à quatorze ans, elles sont encore séronégatives !"
:sleeping:

oui, oui et surtout Joyeux Noel à Tous !

Par curiosité, c'est du copier-coller de ce qui est publié chez les cybervulcans ? ou c'est un episode exclusif pour les capitouls ??

:clin

ce passage est en effet tout sauf drole

Au contraire, c'est le meilleur passage du texte, y'a que ça qui m'a fait rire d'ailleurs. :stuart:

Par contre, insulter Cheika d'arabe, même avec un A je trouve ça très raciste.

Modifié par Rigs
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:sleeping:

"Enfin, après le match on ira aux filles, il paraît qu'à quatorze ans, elles sont encore séronégatives !"
:sleeping:

oui, oui et surtout Joyeux Noel à Tous !

Par curiosité, c'est du copier-coller de ce qui est publié chez les cybervulcans ? ou c'est un episode exclusif pour les capitouls ??

:clin

ce passage est en effet tout sauf drole

Au contraire, c'est le meilleur passage du texte, y'a que ça qui m'a fait rire d'ailleurs. :stuart:

Par contre, insulter Cheika d'arabe, même avec un A je trouve ça très raciste.

et ben lôôôôôôôôô :crying:

Je pensais le toulousain (sans généraliser) avoir bien plus d'humour , mon chef est toulousain je vais lui en causer 2 mots :clover:

Mais bon si cela ne vous plait pas , moi je souhaite une seule chose qu'il continue ....mais a lui de voir sur quels forums il doit continuer et sur lesquels il doit arrêter .

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@Tolosa : c'est en effet posté chez les Cybers, où il y en a toute une série. Effectivement l'humour est un peu cru. Je modérerai à l'avenir... :chinois:

:rolleyes:

Désolé si mon post a été dur et tres critique.

Je n'ai effectivement pas trop gouté à l ironie sur les Jeunes Roumaines... alors que la tirade sur le passage de l'Arabe (A majuscule) m'est passée inaperçue...

Comme quoi chacun a son sens de l humour ! (ou plutot sa gene avec l humour).

Il n'y a pas de "moderation" de ma part. J'ai juste deplacé le sujet dans la rubrique "Journalistes sportifs en herbe". Si il y a des amateurs, no soucis !

Il n' y a pas non plus, de recherche d'exclusivité pour les c@pitouls. Chacun est libre de ses propos, sur les différents forums. C'etait une vraie question de curiosité.

Voilà, la critique est aisée, l'art est difficile..toussa..toussa... :smile:

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  • 3 weeks later...
:original: Alorsse voilà, j'ai une demande : je viens de poster chez les Cybervulcans un bref épisode des aventures du Baron Kellher et de son ouvreur le jeune Jules Plisson en Roumanie, et je voudrais savoir si je pouver le poster chez les C@pitouls sans être accusé de flooding ? :original:
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Dans le hall de l’hôtel de Vlad l’Empaleur et du Commerce Réunis – Bucarest

Byron « Le Baron » Kelleher : Je préviens tout le monde, j’ai une lame de rasoir dans la poche. Je charcute le premier qui touche à mes valbombes !

Petru : Bonjour grande vedette rugby ! Moi Petru, chasseur de l’hôtel et officier de liaison hospitalité grand club roumain des Wolves ! Pouvoir prendre valises ?

Byron « Le Baron » Kelleher : Décidément… encore un qui a été bercé trop près du mur… Julot, oh, mon Julot, dis au rastacouère que c’est toi qui porte les valises.

Jules Plisson : Monsieur Cheika il a dit que j’étais votre ouvreur. Quand je lui ai dit que je devais aussi repasser votre linge et nourrir votre hamster et lire le courrier de votre vieille maman malade, il a dit que c’était pas dans le contrat.

Petru : Valises très lourdes ! Vous quoi mettre là-dedans ?

Byron « Le Baron » Kelleher : Si tu touches à mon marteau piqueur je te fais un deuxième trou au cul ! Tu vas voir mon z’ami ! On me mute sur le front de l’Est mais le Baron a de la ressource. De l’atout plein les manches ! Je laisse passer la collation d’avant match et hop, direction les égouts et une heure plus tard me voilà libre !

Petru : Hôtel pas égout, vous évader dans fosse septique !

Byron « Le Baron » Kelleher : Ouais ? On verra ça. Bon elle est où cette collation ?

Petru : moi poser valise et vous amener à collation, très bonne offerte par les Bucarest Wolves !

Plus tard, au buffet de l’Hôtel de Vlad l’Empaleur et du Commerce Réunis

Jules Plisson : je crois que je vais reprendre de la hure de porc séchée.

Byron « Le Baron » Kelleher : Beuh... Merci pour moi mon julot, mais je vais tâter de leur salade. Euuurk, mais qu’est-ce que c’est !? On a râpé une savonnette usagée dans votre truc ?!

Petru : Ca topinambour, ça très bon ! Grande équipe Bucarest Wolves aussi en mettre dans corbeille de fruits hospitalité !

Byron « Le Baron » Kelleher : Faîtes gaffe les enfants ! Vous filez un mauvais coton ! La prochaine fois je reviens avec mon poteau Pascal Papé ! C’est un fou dangereux ! Il va vous casser les dents en deux pichenettes ! Et y a aussi Attoub, la fourchette invisible, des lentilles de contacts coincées sous les ongles !

Petru : trop tard représailles toute façon, match bientôt commencer !

La suite au prochain épisode :sorcerer: :sorcerer: :sorcerer:

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Excellent (j'ai lu la suite sur un site marchand où tu publies de temps à autre) :sorcerer:

Dommage qu'il n'y ait plus de déplacement à l'est, le personnage de Petru méritait d'être développé... :chuis:

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Bon alors à la demande générale, la suite :

Sur le terrain des Bucarest Wolves

Byron « Le Baron » Kelleher : Enfin on est arrivé ! Je croyais que le bus s’était paumé ! Bon. L’endroit est plus choucard que ce que j’avais imaginé. Sympa le clubhouse, je voyais ça moins rupin, moi.

Petru : Ca pas clubhouse, ça église orthodoxe ! [NB : authentique, voir les photos du match sur www.stade.fr]. Nous pas clubhouse, seulement vestiaires. Etre de l’autre côté du terrain.

Byron « Le Baron » Kelleher : Ah ouais ? Fais voir… Ben c’est pas mal quand même, franchement j’imaginais pire… Entrons…

Petru : non, ça pas vestiaire, ça église protestante. Vestiaire être bâtiment à côté.

Byron « Le Baron » Kelleher : Quoi ? Tu appelles ça un bâtiment ? Moi appeler ça cabane à chiottes, ouais !

Petru : non, non, vestiaire faire seulement douches ! Pour toilettes vous creuser trou derrière vestiaire !

Jules Plisson : Ca pour ce qui est de creuser… Lui spécialiste !

M. l’arbitre : capitaine ? C’est vous le capitaine ? On va peut-être commencer…

Byron « Le Baron » Kelleher : Jules, Oh, mon julot ! Depuis quand je suis capitaine ? Et pourquoi pas balance pendant qu’on y est ? Le Baron ne travaille pas pour la Rousse, y’a maldonne, là !

Jules Plisson : Depuis ce matin. Monsieur Cheika a dit que c’est un grand honneur pour vous et aussi que vous pourrez vous relancer !

Byron « Le Baron » Kelleher : relancer, relancer… Lancer de nains oui, il a vu que j’étais le moins grand de l’équipe ! Cheika raciste, Plisson complice ! Bon à ce propos, il a quoi comme accent pourri l’arbitre ? Parce que s’il faut être arbitré par un local, je préfère déclarer forfait. Il est bon le Baron, mais il est pas con ! Oh, l’arbitre ! Toi vouloir topinambours ? Moi tout dégueulé dans votre chiotte de jardin !

M. l’arbitre : j’ai peur de comprendre ! Qu’est –ce que vous voulez me dire, capitaine ?

Jules Plisson : il voulait vous demander de quelle nationalité vous êtes. Mais M. Cheika il dit que c’est pas important du tout que vous ayez un accent bizarre!

M. l’arbitre : je suis Ecossais, jeune homme ! Et mon accent n’est pas bizarre !

(il donne le coup d’envoi, le ballon de Jules Plisson ne fait pas dix mètres. Mêlée au centre du terrain)

Roman : moi être demi de mêlée Wolves de Bucarest ! Fier de rencontrer grand Byron Kelleher Aujourd’hui être grand jour ! Vous échanger maillot et signer autographe et…

Byron « Le Baron » Kelleher : Eh, abruti, tu pourrais peut-être introduire le ballon sous ta mêlée, pour une fois que vous avez l’introduction !

M. l’arbitre : Ca écroule du côté de M. Roncero, pénalité en faveur des noirs.

Rabah Slimani : Mais il est blessé, Roro ! C’est moi qui joue à gauche [NB : Roro : surnom de Roncero au sein du SF, ne pas confondre avec Aurélien Rougerie qui n’a qu’une vague ressemblance…]

Byron « Le Baron » Kelleher : Te fatigue pas, bouboule, il en a après nous, l’Angliche !

M. L’arbitre : traitez-moi encore une fois d’Angliche et je vous envoie à la douche ! Je dis Roncero quand ça écroule c’est juste une déformation professionnelle ! Allez à dix mètres !

Byron « Le Baron » Kelleher : Je suis à dix mètres ! Si vous me voyez plus près c’est parce que je suis plus grand qu’il n’y paraît de prime abord… Une illusion d’optique comme qui dirait…

M. l’arbitre : Mon pied droit est sous votre crampon…

Roman : donner crampons après match ?

Petru : Roman, toi pas embêter M. Kelleher, grand joueur bientôt en retraite ! Lui avoir besoin vendre crampons pour améliorer ordinaire !

Jules Plisson : moi je veux bien donner mes crampons mais d’abord on a un match à jouer, d’accord ?

Roman : et après donner maillot !

Byron « Le Baron » Kelleher : Et après bouffer topinambour à la réception d’après match ! Si j’avais pas écouté Laporte je serais à Bayonne où il ne se passe jamais rien ! :sorcerer: :sorcerer: :sorcerer:

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  • 3 weeks later...

Vous avez pu le lire chez les Cybervulcans, vous pouvez le lire chez les C@pitouls ! La suite des aventures du Baron Kelleher et de son ouvreur le jeune Jules Plisson ! :original:

Dans la salle de musculation du Stade Français Paris

Byron « le Baron » Kelleher : Julot, oh, dis, Julot, tu veux pas aller me chercher un sandwich pendant que je me passe un peu de talc sur les adducteurs ? Je les sens tout inflammatoires.

Jules Plisson : la dernière fois vous m’avez dit de promener votre chien parce que vous aviez une entorse du genou, et puis de passer l’aspirateur parce que vous aviez une tendinite au coude. Vous êtes sûr de ne pas trop vous écouter ?

Byron « le Baron » Kelleher : T’as pas compris, mon Julot. Là je travaille à améliorer ma forme ! A-ffu-té le Byron ! Tiens, je vais retirer deux rondelles de fonte sur cette barre comme ça je ferai trois squats de plus. Tu veux que je te dise ? Finis les projets d’évasion, finie la vie de seigneur des palaces, les femmes qu’on quitte à l’aube et les apéros gourmands avec Papé ! Maintenant je suis pacifié. Rangé des voitures, le Baron ! Plus de tunnels sous les douches, plus d’échelles de corde en haut des tribunes ! Maintenant je vis et je respire pour le Stade Français Paris rugby ! Une entrée à la 70e comme remplaçant par ci, une titularisation en challenge par là et je vais leur montrer que le Baron c’est toujours le king des pelouses ! Je crois que j’ai trouvé ma voie, je fais repeindre ma Porsche en rose et dans le calendrier je vais faire tout un trimestre !

Jules Plisson : Il faudra être en forme parce que M. Cheika il a dit que vous serez titulaire à Bayonne.

Byron « le Baron » Kelleher : Qu’est-ce qu’il a dit l’Oriental ? Nan mais il abuse, le Bédouin ! J’ai dit que je renonçais à ma vie de crime, j’ai pas dit que je devenais donneuse ! Il se couche pas le Baron, si la savonnette glisse par terre c’est pas lui qui la ramasse ! Clerc m’avait prévenu, hors de Toulouse point de salut, regarde Heymans ! Sauf qu’ils m’ont viré, mais bon, quand tu as oncle Novès comme garde-chiourme il vaut mieux filer droit ! Mais je ne me sens pas du tout d’aller souffler 80 minutes chez les Basques ! Et puis Bayonne c’est sentimental pour moi… J’avais adhéré à tout : le projet de jeu, et le public, ah le public… En-thou-si-aste, le public ! Ils chantent tellement fort qu’on ramasse des dentiers sur la pelouse ! Et Pottoka ! Il m’a tellement fait rire que j’en ai lâché mon chien par inadvertance ! Eh ben, crois moi si tu veux, un acrobate dans une peluche ça court moins vite qu’un dogue argentin ! Et Afflelou ! Une épée, celui-là, un maître ! Il a fait tout ce que Laporte lui a conseillé : que des quadragénaires, et tous payés très cher ! Avec ses lunettes triple foyer il a tout de suite vu que Rokocoko avait le profil bayonnais ! C’est simple, il a le tour de taille d’Iguiniz, que de la bonne viande de race basque !

Jules Plisson : Monsieur Cheika il dit qu’il ne faut jamais se moquer d’un adversaire.

Byron « le Baron » Kelleher : Ca, il a raison, l’émir ! Avec ce qu’on prend à chaque match extérieur on aurait tort de faire les mariolles ! Bordeaux, Lyon, les deux promus : dans l’cul Lulu. Y a qu’aux Perpinyühs qu’on a réussi à mettre la pâtée et encore ils avaient un Porical à échappement libre ! Bon, et il y a un plan de jeu pour Bayonne ?

La suite bientôt …

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Et la suite... :sorcerer: :sorcerer: :sorcerer:

Où l'on découvre que les combinaisons du Stade Français portent des noms de couleurs et de villes. :fume:

Au Stade Jean-Dauger à Bayonne

Byron « Le Baron » Kelleher : Alors mon Julot, on n’est pas bien ici ? Profites du bon air, respire ! La mer est tout près, mets-toi des embruns plein les bronches, de l’iode à ras les alvéoles !

Jules Plisson : Monsieur Cheika il dit que c’est la deuxième mi-temps, qu’on a déjà deux essais et dix-sept points en haut du rectum et qu’il faut se sortir les doigts ! Il reste 30 minutes à jouer, je passe en dix, M. Warwick passe en quinze et on lance des combinaisons différentes !

Byron « Le Baron » Kelleher : Ho là, faut toujours qu’il s’énerve, le Muezzin ! Bon, on va accélérer ! Je sens venir mon deuxième souffle ! Laisse que je m’énerve, le Basque va trembler !

M. Maciello : Capitaine rose ? Deuxième arrêt, vous jouez le ballon !

Byron « Le Baron » Kelleher : Mais y avait pas de maul ! C’est juste Rodrigo qui s’est appuyé sur De Malmanche pour finir sa sieste ! Tiens attrape, mon Julot, le ballon est encore chaud.

Jules Plisson : Rouge, rouge, rouge ! Bordeaux !

Byron « Le Baron » Kelleher : Mais qu’est-ce qu’il raconte, ce gland ? On a pas encore fait l’apéro qu’il compte déjà passer aux côtes de Blaye ! Doucement mon Julot, prends le temps de boire ! Crois en le foie du Baron, qui veut voyager loin ménage sa biture !

(la passe de Jules Plisson saute Warwick intercalé et trouve Paul Sackey)

Paul Sackey : Et là je suis censé faiwe quoi, les copains ? Ouh, je suis pas en cannes moi, aujouwd’hui !

Jules Plisson : Bordeaux ! J’ai dit Bordeaux ! Mais va au bout, espèce de cornichon !

(Paul Sackey trouve un intervalle et va à l’essai)

Paul Sackey : Ouh, ça fait bizawwe comme sensation ! Pouw un peu j’ai cwu qu’on jouait à toucher !Wepasse moi le ballon, pouw voiw si je peux le wefaiwe ! Oooooh Jammin’ !

Byron « Le Baron » Kelleher : Eh ben voilà ! Moi qui passais le ballon aux gros comme un gland! Heureusement que tu es là mon Julot ! Une inspiration divine et c’est rasta Rockett qui sauve la patrie ! Je savais pas qu’il était chaud comme la braise, l’ami Paulo ! Eh, Paulo, gardes-en pour ce soir, on va en thalasso coquine à Saint-Jean de Luz ! Tiens, attrape mon Julot, il me brûle les doigts.

Jules Plisson : Bleu, bleu bleu ! Glasgow, New-York, Zanzibar, Pernambouc !

(le ballon atterrit dans les bras de Roriguez-Gurruchaga, feinte de passe, feinte de coup de pied, cadrage débordement, double raffut, chistera vers Paul Sackey qui prend le ballon et va tout droit.)

Paul Sackey : C’est extwaowdinaiwe ! Jah Rastafari ! No Woman no Cwy ! Je cwois que je vais avoiw un owgasme !

Roncero : En tout cas merci dé né plou mé passer le ballon, yé commençais à êtré crévé, moi, puta madre cabron !

La sirène retentit, défaite du Stade Français 26 à 20.

Byron « Le Baron » Kelleher : Eh ben mes aïeux, quelle intensité ! A courir comme ça j’ai bien perdu un demi-bourrelet ! Avec une seule poignée d’amour, je suis bon pour niquer une manchotte ! Mais fais pas la gueule mon Julot, on rapporte un poitn à Paris, c’est mieux que Papé, Szarzewski et Dupuy réunis ! :sorcerer: :sorcerer: :sorcerer:

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Eh bien moi, je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit mais, depuis qu'il est tout de rose vêtu, je n'aime plus Byron.

Pourtant j'aime bien les pâtes au fromage mais je n'arrive pas à imaginer Le Bison en train de gratiner dans mon four ...

C'est étrange, non ? :blink:

© Parigot_Paris ... merci d'animer mes journées de boulot souvent chiantes à l'extrême ! :chinois:

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  • 3 weeks later...
Parigot_Paris

et maintenant... Amédée Domenech ! :sorcerer:

Les aventures du baron Kelleher et de son porteur d’eau le jeune Jules Plisson à Brive

Au Stade Amédée Doménech, à la trentième minute du match CAB - SF

Byron Le Baron Kelleher : mon Julot, tu nous arranges deux petits pastis, tu seras gentil ? C’est pour ma pomme et mhôssieuh l’arbitre. On est menés onze à neuf mais je sens que je l’ai à ma pogne l’homme au sifflet, les faces de zèbres sont pénalisés grave ! Un petit pastis et le Rebollal il nous accorde des essais de pénalité ! Sinon il dit quoi le Marabout, il doit être content, non ? Trente minutes de jeu et on n’a que deux points dans le fion !

Jules Plisson : Monsieur Cheika il a dit que je vous portais de l’eau, alors je vous porte de l’eau. La fois où il m’a pris en train de vous servir du Get27 à la place du Gatorade il m’a pincé les oreilles et j’ai saigné ! Sinon il a donné comme consigne « sortez vous les doigts du cul on est menés ! »

M. Rebollal : en avant noir, mêlée rose ici ! Attention, flexion ! Touchez ! Stop ! Entr… mais qu’est-ce qu’il fait lui ?

Roncero : Ouuuuuh mon dos ! Y’aurais pas dou réprendre des frites avec l’entrécôte, yé mé sens tout ballonné !

M.Rebollal : bon, mêlée écroulée, ça ne recule pas, on la refait, même introduction ! Flexion, touchez, stop… Hé là, c’est quoi encore !?

Roncero : Yé troubé oune trèfle à quatré feuilles, régardez mhôssieuh l’arbitre !

M.Rebollal : Monsieur, vous refusez la poussée, vous effacez l’épaule, pénalité noire, ici !

Byron Le Baron Kelleher : allons mon Rébobo, allons ! T’avais même pas dit « entrez » ! Te laisse pas aller à tes instincts autoritaires, tu vas te faire des ulcères pour rien. Jules, oh, Julot, fais nous donc tomber deux coupes de champagne pour moi et mon ami Rebollal.

(Jules Plisson quitte le terrain sans un mot. Rodrigo Roncero le suit et lui chipe deux bouteilles d’eau qu’il avale d’un seul trait. Caminati transforme la pénalité : 14 à 9)

M.Rebollal : le coup de renvoi n’a pas fait dix mètres ! Mêlée noire au centre du terrain, ici.

Roncero : Yé crois qué yé vé mé trouver mal !

Byron Le Baron Kelleher : Te fais pas de bile mon Roro, mon ami Rebollal va nous inverser cette mêlée dès qu’il la verra tourner ! Pas vrai mon Rébobo ?

M.Rébollal : Flexion, touchez, stop, entrez !

(Rodrigo Roncero recule soudainement, la mêlée tourne comme une toupie, Byron Le Baron Kelleher se retrouve collé à son vis-à-vis.)

Byron Le Baron Kelleher : casse-toi ! Non mais dégage, face de rat malade ! Mêlée tournée égale mêlée inversée, c’est mon ballon ! Tiens, mange ça, ça contient des vitamines ! (il envoie une mandale au 9 noir et blanc qui riposte brutalement.)

Byron Le Baron Kelleher : L’arbitre, Oh, l’arbitre ! Y’a agression, là ! Julot, mon Julot, va chercher les condés, on s’en prend à un honnête homme ! J’ai pas quitté la vie d’homme pour me faire coller à l’amende par des malfaisants !

(la suite bientôt) :sorcerer: :sorcerer: :sorcerer:

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Parigot_Paris

Suite des aventures du baron Kelleher et de son porteur d’eau le jeune Jules Plisson à Amédée Domenech

La scène se passe en deuxième mi-temps du match Brive – SF. Le SF est mené. Le Baron Kelleher vient d’envoyer une mandale au 9 briviste et il en a prise une en retour.

M.Rebollal : Capitaine rose ?

Rodrigo Roncero : Si, señor arbitré, yé youre qué yé rien fait de mal !

M.Rebollal : ça n’est pas après vous que j’en ai, capitaine. Il y a eu échange de coups autour de la mêlée et c’est votre numéro 9 qui commence. Vous lui dites de se calmer ou bien il ira se reposer dix minutes ! On reprend !

Rodrigo Roncero : Si, si, bien soûr qué jé loui dirai, señor arbitré, monsieur, bwana, sahib, effendi (© Fluide Gacial, du temps où la plupart d’entre vous n’était pas née).

Byron Le Baron Kelleher : Il disait quoi mon Rébobo ? Il me cause plus, il me reconnaît plus ? Avec moi, il a remonté la rue de la soif la langue par terre et maintenant il me montre le fond de ses narines alors qu’hier encore on se tapait sur le bide ? C’est à se tenir les côtes !

M.Rebollal : coup franc indirect en faveur des noirs, mêlée noire ici !

Rodrigo Roncero : Santa Maria del Gesù ! Yé bais y laisser la peau, moi avec leur connéries ! Oh, Youlot, passé un petit coup dé flotté !

Jules Plisson : Je t’ai mis une larme de Redbull dedans, c’est violent mais c’est légal !

Rodrigo Roncero : biolent ? biolent ? Passé moi un pétit coup d’aguardiente, ça c’est biolent ! Chez l’ASM les porteurs d’eau ils ont dé la berbeine, ça au moins ça rébeille oune pilier !

Paul Sackey : Hey, man, on pouwait passer un peu le ballon aux ailes ? C’est que j’ai fwoid moi, Jah Wastafawi !

Felipe Contepomi : Ma, Paul, yé youré à Cheika qué y’attaquais la ligné auyourd’houi ! Moi aussi yé froid ! Toi au moins tou n’es pas chaube, alors qué moi, hombre !

M.Rebollal : arrêt du temps ! Dites les roses, ça vous ennuierait de rentrer en mêlée ? Reprise du temps.

Rodrigo Roncero : tout dé souite señor arbitré, hombre, excellencé, sahib, mon yénéral ! Ouuuuuh la bacca ! Mais pourquoi tou mé poussé dans les côtes toi, enfoiré ? Yé oun kyste pouroulent sour ma côté flottanté !

M.Rébollal : pénalité noire, le 1 rose vous poussez en travers, c’est dangereux !

(le buteur du CAB passe les trois points, en dépit des pressions de Roncero qui lui jette des petits cailloux pendant qu’il pose son ballon).

M.Rebollal : allez on reprend. Capitaine rose, vous êtes soûr, pardon, sûr que vous voulez donner le coup de renvoi ?

Rodrigo Roncero : si, señor arbitré, c’est pas pour bexer Felipe, ma si il lé foire encore c’est sour moi qué ça rétombé !

Le ballon roule au sol, parcoure environ vingt centimètres et s’arrête aux pieds de l’arbitre.

M.Rebollal : bon. Le ballon ne fait pas dix mètres au coup de renvoi, mêlée noire au centre du terrain !

Rodrigo Roncero : Misère, ma maman si tou pouvais boir ton pobre fils ! Et toi l’arbitré hijo de la tua madre qu’ellé pompait des militaires au métro Château de Bincennes !

M.Rebollal : pardon ?

Byron Le Baron Kelleher : il voulait dire…

Rodrigo Roncero : ma yé youre qué yé rien dit dou tout ! Hijo dé puta d’abord c’est pas oune insoulte, c’est comme oun compliment chez nous les Argentinos dé la pampa ! Car lé pouma est fier !

Jules Plisson : M. Cheika aussi il dit des gros mots. L’autre jour j’ai tenté un drop et il a dit « punaise » ou quelque chose de ce genre…

Voilà c’est tout mes Toulouzaingues. Prochain épisode : le Baron Kelleher au Mans ! :sorcerer: :sorcerer: :sorcerer:

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  • 1 month later...
Parigot_Paris

Tout a une fin mes Toulouzaingues ! :clover:

Dans la salle de musculation du Stade Français Paris Rugby

Byron « Le Baron » Kelleher : Mon Julot ?

Jules Plisson : Je ne vous parle plus. Monsieur Cheika il a dit que vous avez rendu vos badges d’accès maintenant vous êtes comme un supporter ordinaire, moins même. Un quidam. Un monsieur comme un autre. Je suis déçu, déçu, déçu.

Byron « Le Baron » Kelleher : Ben justement mon Julot, je me disais qu’au nom de notre vieille amitié, après tout ce qu’on a vécu ensemble… En Roumanie, en Italie, en seconde classe du train La Souterraine – Brive La Gaillarde quand le courant a été coupé sous un tunnel, que la motrice a brûlé, que le contrôleur a fait un arrêt cardiaque, que je me suis fait pincer les fesses par une femme cougar dans l’obscurité et que c’est toi qui a pris la baffe en retour. Au nom de notre vieille amitié…

Jules Plisson : j’ai les yeux qui piquent quand vous parlez comme ça… Vous voulez m’offrir un verre, un dernier ? Je prendrai un lait fraise. Monsieur Cheika il a dit que le lait fraise c’était bon pour mes cartilages et mon système tendineux.

Byron « Le Baron » Kelleher : … au nom de notre veille amitié, tu pourrais m’aider à faire mes cartons ! Et après si tu veux me payer un Jack on the rocks, tu peux toujours ! Ca va te faire drôle de mettre un taquet à ton cochon en porcelaine mais le Baron sait être magnanime, je ne commanderai pas le Mumm Millésime !

Jules Plisson : Bon, je veux bien vous aider à vider votre casier, mais seulement le vôtre ! La dernière fois où vous avez dit que vous partiez pour de bon, vous avez volé le dentier neuf de Monsieur papé et vous l’avez échangé en Roumanie contre une Dacia d’occasion ! Quand Monsieur Papé à appris ça il a été très colère et il a tapé sur le jeune Rémi Bonfils au motif que seul « un rouquin qui pue » pouvait avoir fait le coup !

Byron « Le Baron » Kelleher : Ouais. Ca va quand même me faire drôle de vous laisser tous. Quand Attoub a été suspendu je me suis dit : ça fait longtemps que j’attendais de me trouver en tôle avec de vrais hommes ! Des qui mouftent pas devant les condés ! Alors qu’à Toulouse j’étais obligé de rapporter des titres comme une vraie gagneuse et de jouer au gendre idéal…

Jules Plisson : M. Cheika il a dit que la vie privée d’un grand sportif se doit d’être exemplaire !

Byron « Le Baron » Kelleher : Eh ben il a raison, le Loukoum ! J’ai juste servi d’exemple au Journal du Hard dans la rubrique « crossover ».

Jules Plisson : Ma petite amie elle a dit que je ne dois pas regarder toutes ces cochonneries.

Byron « Le Baron » Kelleher : laisse que je lui roucoule ma sérénade dans l’oreille à ta petite amie, elle miaulera comme un chaton qui demande du lait !

Jules Plisson : ah bon. Et ben moi je suis bien content que vous partiez ! Là ! Et toc !

Byron « Le Baron » Kelleher : Oh, ça, je sais bien mon Julot. C’est le crépuscule des aigles ! La fin des vrais hommes ! L’adieu aux armes ! On ne verra plus de vraies épées au Stade Français ! Vous finirez tous dans la restauration honnête ! Papé va distribuer des gaufres à l’entrée du parking au lieu des mornifles dans les rucks ! Attoub aura sa fourchette au Gault et Millau plutôt qu’en commission de discipline de l’ERC ! Quand à ton Cheika je le vois bien dans la restauration orientale, le genre « couscous tous les jeudis, menu à €10 Sidi-Brahim compris » Porte de Bagnolet !

Jules Plisson : M. Cheika est un grand entraîneur, avec lui je vais conquérir des titres ! En challenge européen ou en championnat de France espoirs !

Byron « Le Baron » Kelleher : eh ben mon Julot y’en a au moins un qu’il aura fait rêver, le Cheikh !

:sorcerer: :sorcerer: :sorcerer:

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