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Au Revoir, Au Revoir...


Invité

Messages recommandés

Reste à voir pour qui sera la veste: be weared or not be weared.

On en perd notre latin.

Enfin du moment que ce n'est pas Wayne Barnes qui (nous) dépouille...

Au revoir.

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Reste à voir pour qui sera la veste: be weared or not be weared.

On en perd notre latin.

Enfin du moment que ce n'est pas Wayne Barnes qui (nous) dépouille...

Au revoir.

Ponce Pilate aussi !?

Modifié par kestandi
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Quels cons ces belges, il y connaissent quoi en rugby?

D'après eux le CAB Corrèze sort ses burnes face au RM92: 53/47

ce n'est pas repris dans le Midol.

Au revoir.

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Quels cons ces belges, il y connaissent quoi en rugby?

D'après eux le CAB Corrèze sort ses burnes face au RM92: 53/47

ce n'est pas repris dans le Midol.

Au revoir.

Inéluctable : Berbizier ne fait plus l'unanimité dans son camp depuis longtemps...

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Quels cons ces belges, il y connaissent quoi en rugby?

D'après eux le CAB Corrèze sort ses burnes face au RM92: 53/47

ce n'est pas repris dans le Midol.

Au revoir.

Inéluctable : Berbizier ne fait plus l'unanimité dans son camp depuis longtemps...

Mola aurait gagné alors?

Au revoir.

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fanofnumber10

au revoir et a jamais

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fanofnumber10

T'as voté à New York ? :sorcerer:

procuration, monsieur

mais je suis a DC, je prefererai vivre a NYC :clover:

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T'as voté à New York ? :sorcerer:

procuration, monsieur

mais je suis a DC, je prefererai vivre a NYC :clover:

Ah, c'est donc devant chez toi qu'il y avait des ballons jaune et bleu en mai 2010.

Au revoir.

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Je croyais que l'on ne parlait pas politique sur ce forum. :censored :censored :censored

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Je croyais que l'on ne parlait pas politique sur ce forum. :censored :censored :censored

Ça te les brise, Marine.

Au revoir.

Quest-ce que tu racontes toi. :homestar:

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Je croyais que l'on ne parlait pas politique sur ce forum. :censored :censored :censored

Adopte la politique de l'autruche...

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T'as voté à New York ? :sorcerer:

procuration, monsieur

mais je suis a DC, je prefererai vivre a NYC :clover:

Tu bosses dans quoi Fanof? MP si tu veux.

Je te demande car je dois faire un stage à l'étranger l'an prochain, donc si tu as des pistes qui peuvent peut être m'aider :drinks

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Je croyais que l'on ne parlait pas politique sur ce forum. :censored :censored :censored

Adopte la politique de l'autruche...

Même pas en rêve ça ferait trop plaisir à certains. Je préfère m'auto :censored

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T'as voté à New York ? :sorcerer:

procuration, monsieur

mais je suis a DC, je prefererai vivre a NYC :clover:

La ville des phénomènes strasburg et RG3 quand meme :)

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On peut faire une exception, juste ce soir.

On a tellement souffert pendant 5 (trop) longues années... Et puis toi, t'a pas caché ta joie à ce moment là.

Chacun son tour.

Sinon, une question : "Es-ce que Mickael Vendetta a pris son billet d'avion ?":sorcerer:

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On peut faire une exception, juste ce soir.

On a tellement souffert pendant 5 (trop) longues années... Et puis toi, t'a pas caché ta joie à ce moment là.

Chacun son tour.

Sinon, une question : "Es-ce que Mickael Vendetta a pris son billet d'avion ?":sorcerer:

une solution pour atténuer ta souffrance : offre toi le requiem de fauré.

tu pourras enterrer plus facilement une espérance qui s'est transformée en une trahison.

si tu as besoin de conseil sur la meilleure version, je te répondrais en mp.

quand on pense tous la même chose c'est qu'on ne pense plus rien.

mais quand on pense pas la même chose, on n'ose pas prendre prétexte sur les valeurs pour habiller un choix mauvais et contraire aux actions qu'on prétend mettre en oeuvre ... à moins que l'appétit des places soient plus important que les convictions qu'on prétend défendre.

ça s'appelle la cohérence.

Modifié par verite
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@ Verite

Qu'on puisse choisir en fonction de valeurs et non pas d'un programme économique et social (dont on sait très bien qu'il est difficilement applicable), il est normal que quelqu'un qui n'a pas de valeurs ne puisse pas comprendre...

Personnellement, je n'attends pas grand chose du nouveau président sur le plan économique et social (trop de contraintes internationales difficilement maîtrisables); par contre, je préfère un président qui s'exprime en bon français, ne méprise pas la culture classique, tient des discours républicains, plutôt qu'un président beauf, volontairement inculte, et qui tient des discours néopétainisants.

Et on dirait qu'une majorité de Français a eu la même préférence...:sorcerer:

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@ Verite

Qu'on puisse choisir en fonction de valeurs et non pas d'un programme économique et social (dont on sait très bien qu'il est difficilement applicable), il est normal que quelqu'un qui n'a pas de valeurs ne puisse pas comprendre...

Personnellement, je n'attends pas grand chose du nouveau président sur le plan économique et social (trop de contraintes internationales difficilement maîtrisables); par contre, je préfère un président qui s'exprime en bon français, ne méprise pas la culture classique, tient des discours républicains, plutôt qu'un président beauf, volontairement inculte, et qui tient des discours néopétainisants.

Et on dirait qu'une majorité de Français a eu la même préférence...:sorcerer:

Heureusement que le Top 14 montre l'exemple avec son attachement à la diversité. Manquerait plus que certains se plaignent d'une trop grande place des étrangers !

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Personnellement, je n'attends pas grand chose du nouveau président sur le plan économique et social (trop de contraintes internationales difficilement maîtrisables); par contre, je préfère un président qui s'exprime en bon français, ne méprise pas la culture classique, tient des discours républicains, plutôt qu'un président beauf, volontairement inculte, et qui tient des discours néopétainisants.

Et on dirait qu'une majorité de Français a eu la même préférence...:sorcerer:

La je t'arrete tout de suite. Au contraire à lui de montrer de quoi il est capable afin de ne pas nous mettre dans la même situation que la Grèce. Le plan d'austérité je n'en veux pas et le parti néo nazi entre 6 et 8% encore moins !!!

Evitons d'avance de lui chercher de fausses excuses "trop de contraintes internationales etc etc" stop le blabla, faut se sortir les doigts.

Par contre par pitié si il pouvait dégager la Ségolène :drinks

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fanofnumber10

Allez bonne nuit les cocos

pourquoi j'ai l'impression que dans ta bouche, coco sonne comme une insulte?

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Personnellement, je n'attends pas grand chose du nouveau président sur le plan économique et social (trop de contraintes internationales difficilement maîtrisables); par contre, je préfère un président qui s'exprime en bon français, ne méprise pas la culture classique, tient des discours républicains, plutôt qu'un président beauf, volontairement inculte, et qui tient des discours néopétainisants.

Et on dirait qu'une majorité de Français a eu la même préférence...:sorcerer:

La je t'arrete tout de suite. Au contraire à lui de montrer de quoi il est capable afin de ne pas nous mettre dans la même situation que la Grèce. Le plan d'austérité je n'en veux pas et le parti néo nazi entre 6 et 8% encore moins !!!

Evitons d'avance de lui chercher de fausses excuses "trop de contraintes internationales etc etc" stop le blabla, faut se sortir les doigts.

Par contre par pitié si il pouvait dégager la Ségolène :drinks

Je ne cherche pas des "fausses excuses" à Hollande. J'expliquai juste les raisons de mon vote (les valeurs plutôt qu'un programme de mesures dont on sait que les effets seront contrariés par ce qui se passe dans le monde). Mais bon, même avec une mauvaise politique économique, la France ne sera jamais au niveau de la Grèce. Même à la cellule riposte de l'UMP (où ce ne sont pas des poètes), ils ne parlaient plus de la Grèce mais de l'Espagne...

Par contre, éviter de tenir des discours néopétainisant, avec la recherche de boucs-émissaires, ça dépend à 100% de celui qui est à l'Elysée. Et personnellement, ce type de discours me dérange. :sorcerer:

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@ Verite

Qu'on puisse choisir en fonction de valeurs et non pas d'un programme économique et social (dont on sait très bien qu'il est difficilement applicable), il est normal que quelqu'un qui n'a pas de valeurs ne puisse pas comprendre...

Personnellement, je n'attends pas grand chose du nouveau président sur le plan économique et social (trop de contraintes internationales difficilement maîtrisables); par contre, je préfère un président qui s'exprime en bon français, ne méprise pas la culture classique, tient des discours républicains, plutôt qu'un président beauf, volontairement inculte, et qui tient des discours néopétainisants.

Et on dirait qu'une majorité de Français a eu la même préférence...:sorcerer:

une très courte majorité qui ne donne pas de quoi fanfaronner à tous les donneurs de leçons et faiseurs de morale.

je te rappelle que le record de votes blancs ou nuls a été battu ce soir.

le comble est que tu t'appropries cette victoire. drôle d'incohérence consistant à mettre au premier plan les valeurs et au second les solutions pour résoudre les problèmes auxquels nous sommes confrontés. manière particulière de concevoir la politique.

j'ai du me tromper en pensant, il y a 5 ans, que l'enjeu de l'élan béarnais n'était pas le bien pensant mais le juste agissant.

ce qui compte c'est ce qu'on fait pas ce qu'on dit.

Modifié par verite
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Vu que tu me tutoies, tu dois me connaître, alors donne ton nom et ton prénom, ça ira plus vite! lol

Par ailleurs, je parle en mon nom, et je ne représente pas François Bayrou. Si tu veux dialoguer avec François Bayrou, envoie lui un mail directement.

Après, je ne fanfaronne pas. Je suis juste content que Sarkozy et les valeurs qu'ils représentent soient battus et bien battus ce soir.

Pour finir, nous n'avons pas la même conception de la politique. Je suis convaincu que ce sont justement les valeurs et la morale (houla le vilain gros mot... faut presque s'excuser de prononcer ces mots à notre époque) qui doivent guider l'action politique, qui en sont les fondements. Les mesures, les actions découlent des valeurs.

Et je ne partagerai jamais les valeurs issues du pétainisme. Après, il y a des électeurs de droite qui se sont bouché les oreilles, ont fait la politique de l'autruche, ou ont prétendu que tous ces discours néopétainisants n'étaient que tactiques, n'ont vu que leur feuille d'impôts, un peu bêtement effrayés par une gauche socialiste qui gouvernera finalement au centre gauche. Libres à eux, mais ils ont contribué à répandre un virus bleu marine...

:sorcerer:

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La je t'arrete tout de suite. Au contraire à lui de montrer de quoi il est capable afin de ne pas nous mettre dans la même situation que la Grèce.

En effet ce soir on ne fait que parler d'une élection qui franchement ne changera pas grand chose, on a vu les politiques de la droite et la gauche depuis 30 ans avec des différences minimes mais des accords fondamentaux bien réels au moment de voter systématiquement des budgets en déficit par exemple. Non le vrai événement politique du jour s'est bien passé en Grèce avec en toile de fond une Europe qui se retrouve au bord de l'implosion.

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La je t'arrete tout de suite. Au contraire à lui de montrer de quoi il est capable afin de ne pas nous mettre dans la même situation que la Grèce.

En effet ce soir on ne fait que parler d'une élection qui franchement ne changera pas grand chose, on a vu les politiques de la droite et la gauche depuis 30 ans avec des différences minimes mais des accords fondamentaux bien réels au moment de voter systématiquement des budgets en déficit par exemple. Non le vrai événement politique du jour s'est bien passé en Grèce avec en toile de fond une Europe qui se retrouve au bord de l'implosion.

Implosion amenée bien comme il faut par Angéla et Nicolas

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J'ai bien aimé hier soir sur la place du Capitol, je sais plus qui a dit cela " il faut que l'on partage , l'alternance c'est bien" :sorcerer:

Faudra vous en souvenir le 09 juin (si c'est contre nous bien sûr).

:drinks :drinks

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VGE n'a plus posté ici (topic) depuis hier soir 21h59... :crying:

...on a bien entendu de l'accordéon hier soir à Tulle. :rolleyes:

Moi j'aime bien l'accordéon.

Modifié par kestandi
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Je n'ai rien contre M. Hollande, il a gagné tant mieux pour lui, ce qui m'inquiète c'est son entourage qui l'a traité de tous les noms d'oiseaux et qui maintenant lui lèche les bottes.

J'espère qu'il va réussir sa mission, car maintenant c'est le vrai boulot, et non pas un département au bord du gouffre.

Par contre je suis vraiment :censored par certains qui parlent de "propos Pétainiste". Là vous ne faites pas honneur à votre pays (êtes vous de ce pays ?).

D'autre part j'ai regardé comme tout le monde la tv hier au soir, et DEJA à Bastille on pouvait ici et là des drapeaux Algérien et Egyptien. Et bien moi cela me choque au plus haut point.

Vous bien sûr vous êtes heureux, grand bien vous fasse.

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J'aime pas la tournure que prend ce topic.

"Je vous demande de vous arrêter , je vous demande de vous arrêter..." :ramon

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J'aime pas la tournure que prend ce topic.

"Je vous demande de vous arrêter , je vous demande de vous arrêter..." :ramon

Normal, il y a quelqu'un qui n'est pas de l'avis du super président du forum et de ses sbires. :zorro:

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J'aime pas la tournure que prend ce topic.

"Je vous demande de vous arrêter , je vous demande de vous arrêter..." :ramon

Normal, il y a quelqu'un qui n'est pas de l'avis du super président du forum et de ses sbires. :zorro:

Vive le Québec libre ! :sorcerer:

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Je n'ai rien contre M. Hollande, il a gagné tant mieux pour lui, ce qui m'inquiète c'est son entourage qui l'a traité de tous les noms d'oiseaux et qui maintenant lui lèche les bottes.

J'espère qu'il va réussir sa mission, car maintenant c'est le vrai boulot, et non pas un département au bord du gouffre.

Par contre je suis vraiment :censored par certains qui parlent de "propos Pétainiste". Là vous ne faites pas honneur à votre pays (êtes vous de ce pays ?).

D'autre part j'ai regardé comme tout le monde la tv hier au soir, et DEJA à Bastille on pouvait ici et là des drapeaux Algérien et Egyptien. Et bien moi cela me choque au plus haut point.

Vous bien sûr vous êtes heureux, grand bien vous fasse.

Je t'invite à revisiter les points de vue sur Sarkozy de la part de son entourage, ne serait-ce qu'entre 1995 et 2000 par exemple, et à partir de maintenant pour faire simple.

La Corrèze au bord du gouffre? Tu dois parler des cascades de Gimel. Sinon c'est vrai que le 19 était surendetté depuis la gestion précédente. Il est fou, Hollande, il ne fait que se faire élire dans des contrées vérolées par les gestions précédentes. Bonne chance à lui en effet.

Dans notre pays ( c'est dingue la propension de certains à s'arroger le droit de juger de qui en fait partie ou pas), s'il suffit de ne pas être fortement droitier pour être illico catalogué coco (cf post antérieur... jouons avec les mots), on se réjouira que les références à Pétain choquent. mais sans illusion aucune.

Quant aux drapeaux, j'en ai même vu un Irlandais. Ça n'arrive pas à me choquer plus que le fait qu'un parti s'arroge le monopole (qu'il n'a pas d'ailleurs)de la nationalité, du patriotisme et de saines valeurs qu'il corrompt depuis sa création, sans parler de ses origines... au pétainisme de plus en plus assumé, ce qui peut expliquer, plus que de réelles convictions de sa part, l'utilisation au minimum démagogique de telles références de la part de l'ex le plus frais de France.

Sinon je vais donner mon sang tout à l'heure, et je me fous de l'opinion, l'origine et la situation de la personne qui en bénéficiera.

Au revoir.

Modifié par VGE
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Le WSJ ne fait pas l'analyse la moins pertinente ( le Point):

Étonnamment, l'édito du Wall Street Journal, pourtant peu suspect de sympathies gauchistes, est presque plus positif envers Hollande qu'envers Sarkozy. "À la fois le nouveau président et ses partisans risquent de découvrir vite que le socialisme ne peut résoudre les maux français, mais ça ne veut pas dire que les électeurs n'ont pas eu raison de limoger M. Sarkozy." En clair, Sarko, au lieu de restaurer le dynamisme économique, de réduire la bureaucratie et les dépenses comme il l'avait promis, a surtout transformé son quinquennat en "soap opera". Le WSJ ne va pas jusqu'à faire l'éloge de Hollande, mais explique que s'il a "l'intelligence de réaliser les limites du dirigisme" comme Mitterrand avant lui, tout n'est peut-être pas perdu. Et après tout comme le souligne Time, si François Hollande "a réussi contre toute probabilité à vaincre Sarkozy, qui sait quoi d'autre peut être possible".

Au revoir.

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Vu que tu me tutoies, tu dois me connaître, alors donne ton nom et ton prénom, ça ira plus vite! lol

Par ailleurs, je parle en mon nom, et je ne représente pas François Bayrou. Si tu veux dialoguer avec François Bayrou, envoie lui un mail directement.

Après, je ne fanfaronne pas. Je suis juste content que Sarkozy et les valeurs qu'ils représentent soient battus et bien battus ce soir.

Pour finir, nous n'avons pas la même conception de la politique. Je suis convaincu que ce sont justement les valeurs et la morale (houla le vilain gros mot... faut presque s'excuser de prononcer ces mots à notre époque) qui doivent guider l'action politique, qui en sont les fondements. Les mesures, les actions découlent des valeurs.

Et je ne partagerai jamais les valeurs issues du pétainisme. Après, il y a des électeurs de droite qui se sont bouché les oreilles, ont fait la politique de l'autruche, ou ont prétendu que tous ces discours néopétainisants n'étaient que tactiques, n'ont vu que leur feuille d'impôts, un peu bêtement effrayés par une gauche socialiste qui gouvernera finalement au centre gauche. Libres à eux, mais ils ont contribué à répandre un virus bleu marine...

:sorcerer:

Ma vérité c'est celle des faits et non des discours. Cela ne signifie pas le reniement des valeurs humanistes.

Mais, les questions posées aujourd'hui sont celles qui suivent. On a changé l'homme qui incarne la France, notre monarque républicain.

L'heure de vérité, c'est le 10 et le 17 juin 2012. On verra ce que tu feras parce que le 17 juin, tu n'auras plus l'excuse de Sarko comme tant d'autres.

Accélération de l'Histoire, régression de l'Europe...

Jamais depuis 1958 une élection présidentielle ne s'est déroulée sur fond de plus grands bouleversements historiques. La Ve République est née de l'impuissance du régime parlementaire à trouver une issue à la guerre d'Algérie, dans un contexte de forte croissance et de stabilisation de la guerre froide après la disparition de Staline. L'élection de François Mitterrand, en 1981, dut beaucoup aux chocs pétroliers et à la crise déclenchée par l'implosion de la régulation keynésienne sous les assauts conjugués du chômage et de l'inflation, tandis que sa réélection précéda d'un an la chute du mur de Berlin.

Le scrutin de 2012 se situe pour sa part au confluent de quatre révolutions qui remettent en cause la situation de la France et de l'Europe.La première révolution est liée à la mondialisation, qui fait basculer le centre de gravité du capitalisme vers les pays émergents - ces derniers assurent désormais 52% de la production industrielle, réalisent 48% des exportations et détiennent 80% des réserves de change mondiales. D'où un double choc pour les pays développés, confrontés à la désindustrialisation et à un chômage structurel qui déstabilise leurs classes moyennes, tandis que l'Occident voit contester le monopole qu'il détenait sur l'histoire du monde depuis le XVIe siècle. La deuxième découle du cumul de la crise mondiale du capitalisme dérégulé et de la crise européenne des risques souverains qui ne sont nullement achevées. Elles entraînent le recul relatif des États-Unis et leur recentrage stratégique autour de leur territoire et de l'Asie, tandis que l'Europe se trouve aspirée dans une dynamique déflationniste comparable à celle du Japon, mêlant vieillissement démographique, surendettement, perte de compétitivité et surévaluation de la monnaie. Le troisième bouleversement est à chercher dans l'onde de choc du soulèvement des peuples lancée par les révolutions du monde arabo-musulman et qui a gagné jusqu'à la Russie et à la Chine. Animées par la révolte contre les autocraties, la corruption et les inégalités, elles n'ont pas pour autant comme objectif, contrairement à l'automne des peuples de 1989, le passage à la démocratie occidentale et à l'économie de marché. Enfin, une nouvelle révolution technologique se poursuit, portée par l'information, la génétique mais aussi la transition énergétique sous la pression de la raréfaction des ressources, du réchauffement climatique et de la catastrophe de Fukushima

L'Europe est la grande perdante de cette nouvelle donne. La zone euro, épicentre de la crise des dettes souveraines, est devenue le plus important risque pour l'économie mondiale, que l'implosion de la monnaie unique plongerait dans une grande dépression. Elle est le seul des grands pôles de la mondialisation dont la production reste inférieure à son niveau de 2007 et à rechuter dans la récession, accompagnée d'un chômage qui touche 10,8% de la population active tandis que les déficits et la dette publics atteignent 4,1%, et 87% du PIB. Elle compte trois États en situation de défaut, qui menacent d'être rejoints par l'Espagne, prise en tenailles par la récession et le chômage (25% de la population active), d'une part, la faillite du système bancaire qui ploie sous 200 milliards d'euros de créances douteuses et l'explosion des coûts de la dette publique, d'autre part.

À l'exception du nord du continent, l'Europe est devenue l'otage de modèles de croissance à crédit caducs et d'États providence insoutenables au regard de l'évolution de la démographie et de la chute de la croissance potentielle. Au moment où les déséquilibres de la mondialisation tendent à se réduire, la divergence entre les pays de la zone euro s'exacerbe. L'Allemagne, forte de sa réunification et de ses réformes, affiche une croissance stable, des excédents commerciaux et courants records (158 et 135 milliards d'euros), un retour au plein emploi avec un chômage revenu en dix ans de 12 à 6% de la population active, ce qui lui vaut d'attirer des dizaines de milliers de jeunes diplômés d'Europe du Sud.

La faiblesse de la gouvernance européenne achève de rendre la situation critique. La crise a démontré la fausseté des principes qui ont présidé à la création de l'euro et l'incapacité à gérer les crises en l'absence d'un gouvernement économique, d'une Banque centrale qui dispose du statut de prêteur en dernier ressort, d'une solidarité financière et d'une responsabilité budgétaire. Mais alors que chacun s'accorde sur le fait que la survie de la zone euro passe par une intégration renforcée, les nations qui la composent ne cessent d'afficher leurs désaccords, leurs difficultés à nouer des compromis et à exécuter les décisions arrêtées. Dans l'Union tout entière, les États renationalisent à marche forcée la politique économique et restaurent les frontières sous la pression des populismes qui érigent l'Europe en bouc émissaire et manipulent les peurs provoquées par les grandes transformations historiques.

... et déclin de la France

De cette Europe aspirée par le vide et la désintégration, la France est désormais le grand corps malade. La crise a en effet donné un spectaculaire coup d'accélérateur à son déclin économique et social. La croissance, limitée à 1,2% au cours des années 2000, est à l'arrêt en raison de l'euthanasie du secteur privé, du retard de l'investissement et du blocage de l'innovation, provoqué par la chute des profits, de l'effondrement de la compétitivité dont témoigne le déficit commercial le plus élevé de la zone euro (70 milliards en 2011). La dette publique s'est envolée et atteindra 90% du PIB en 2012, seuil à partir duquel elle pèse négativement sur l'activité et l'emploi. Le chômage frappe 10% de la population active depuis trois décennies. Il en résulte une paupérisation rapide des Français, dont le revenu par tête est désormais inférieur à celui des Européens. La nation se balkanise avec la reconstitution d'un sous-prolétariat de 6 millions d'exclus vivant dans des ghettos, plongés dans l'anomie sociale et dépendant uniquement des transferts sociaux. Confrontés à la fermeture du marché du travail et de la société, les jeunes - dont 161.000 abandonnent chaque année le système éducatif sans aucune formation - basculent dans l'exclusion ou font le choix de l'exil.

Le décrochage de la France, contrairement aux autres pays développés, ne résulte pas de l'éclatement de l'économie de bulle en 2007, mais d'un modèle de croissance par la dette publique où le seul moteur d'une activité en baisse régulière est fourni par la consommation, alimentée par des transferts sociaux qui culminent à 33% du PIB et sont financés majoritairement par la hausse de la dette et accessoirement par celle des prélèvements publics. La montée parallèle des dépenses et des recettes publiques, qui culminent à 56,6% et 49 % du PIB, mine la production et l'emploi marchands, avivant l'anxiété sociale, qui légitime de nouvelles demandes de protection. L'État providence a ainsi cannibalisé l'État régalien et la redistribution, évincé la production. Dans le même temps, l'étatisme et le corporatisme figent et ferment la société. Et la France de se couper du monde ouvert du XXIe siècle. Loin d'être anecdotique, la dégradation financière a ainsi acté le déclassement de la France en Europe et dans le monde.

Avec la maîtrise de ses comptes publics, notre pays a perdu sa souveraineté face aux marchés financiers comme à l'Allemagne, qui assume désormais seule - et non sans erreurs - le leadership de la zone euro et de l'Europe continentale. Il sera le coeur du prochain choc sur la zone euro. En dépit du faux calme qui a prévalu depuis la dégradation de sa notation financière, le télescopage du mur de la dette se rapproche. La France doit lever 180 milliards d'euros en 2012 et plus de 200 milliards en 2013 sur les marchés, dont les deux tiers auprès des investisseurs internationaux. Or, elle se trouve prise dans une double tenaille. La première, intérieure, entre la course folle de la dette publique, d'une part, le blocage de la croissance et la chute de la compétitivité, d'autre part. La seconde, européenne, entre l'Allemagne d'Angela Merkel, leader de l'Europe du Nord compétitive, et l'Italie de Mario Monti, symbole de l'Europe du Sud qui se réforme. Le choc annoncé sur la dette française entraînera une dégradation immédiate de nos banques tout en relançant spectaculairement la déstabilisation de la zone euro à travers la mise en risque d'une dette de 1700 milliards mais aussi des mécanismes de secours que notre pays garantissait.

Réinventer le modèle français et l'Europe

Pour la France et l'Europe, la décennie 2010 sera décisive et déterminera largement leur place dans le XXIe siècle. Sans réforme de son modèle économique et social, la France ne figurera plus dans les dix premières puissances mondiales en 2025. Elle ne peut plus affronter seule un choc sur sa dette et devra compter sur l'aide de l'Europe. Une Europe qui devra choisir entre la relance de son intégration ou l'éclatement de la zone euro, sans pouvoir se reposer sur le renfort d'une Amérique surendettée et profondément divisée, ni sur l'appui d'un Japon ravagé par la déflation, le tsunami et la catastrophe de Fukushima, ni sur le secours des émergents tout entiers tendus vers leur rattrapage de l'Occident et animés d'une volonté de revanche contre les anciennes puissances coloniales. En bref, la France et l'Europe vont devoir décider au cours des prochaines années de se réinventer ou de sortir de l'Histoire universelle.

Pour la France, l'enjeu prioritaire concerne la modernisation du modèle économique, qui passe par un nouveau pacte productif. Dès lors que la consommation excède la production de 10%, le choix est entre la déflation par la baisse des salaires et la reflation par l'augmentation du travail, de l'investissement et de l'innovation. D'autres pays européens se sont engagés avec succès dans cette voie, à l'image de l'Allemagne ou de la Suède. Et il n'existe aucune fatalité à ce que la France figure parmi les perdants de la mondialisation, comme le montrent le dynamisme des Français installés à l'étranger ou les performances des grands groupes. De fait, notre pays dispose d'atouts majeurs: la vigueur de sa démographie, la productivité d'une partie de sa main-d'oeuvre, l'abondance de l'épargne - en dépit d'une taxation aberrante approchant 40% -, la qualité de ses infrastructures, l'excellence de certains pôles publics et privés en situation de leadership mondial, un patrimoine, une culture, un mode de vie, des paysages et un climat exceptionnels. Ces atouts doivent devenir le socle pour le redressement de l'offre nationale.

e schéma keynésien d'une croissance tirée par des dépenses publiques financées par la dette est mort. Parce que la consommation se porte sur les importations dans une économie ouverte si l'appareil de production n'est plus performant. Parce que la dépense publique et l'impôt euthanasient l'activité et l'emploi marchands. Parce que l'excès de dette publique ruine le crédit de l'État et la confiance. Voilà pourquoi ce ne sont pas les dépenses publiques mais les réformes de structure qui peuvent relancer la croissance. Voilà pourquoi la priorité doit aller à la maîtrise des coûts de production, à l'investissement, à l'innovation et à la recherche.

La reconstruction d'une offre nationale compétitive a pour condition le retour à l'équilibre des finances de la nation, qui implique la rupture avec la préférence pour la dépense publique. Pierre Mendès France aimait à rappeler que «les comptes en désordre sont la marque des nations qui s'abandonnent». Le modèle de croissance fondé sur la dette publique et privée - qui atteint 160% du PIB contre 128% en Allemagne et 126% en Italie - est caduc. La Cour des comptes a établi que l'effort d'économie pour ramener les comptes publics à l'équilibre s'élève à 120 milliards d'euros sur cinq ans. Les stratégies de redressement conduites dans les pays développés, de la Suède à l'Allemagne en passant par le Canada, montrent qu'il doit être effectué à hauteur d'un quart par des hausses d'impôts centrés sur les ménages et de trois quarts par des baisses de dépenses. Les impôts et taxes ont augmenté de 32 milliards d'euros dans les deux dernières années, dont plus de la moitié à la charge des entreprises, dont le taux de marge se situe à un point bas historique depuis les années 1980. La priorité doit donc aller aux coupes dans les dépenses publiques et au basculement des dépenses stériles vers les usages productifs: le travail, l'investissement, l'éducation et la recherche.

Il ne fait aucun doute que la France ne pourra continuer à emprunter sur les marchés les mêmes volumes aux mêmes prix au cours des prochaines années. Voilà pourquoi il n'existe pas d'alternative à la rigueur, qui sera soit décidée volontairement par les autorités françaises, soit imposée par les marchés financiers et nos partenaires européens. Les déficits et la dette publics ne sont pas les alliés mais les fossoyeurs de la solidarité, car ils sont des impôts sur les pauvres et les générations futures. La France reste en quête d'un pacte social et citoyen qui permette de refonder la nation. Le chômage permanent est un cancer qui ronge l'économie mais aussi la société. Il ne peut être combattu que par une réunification et une libéralisation du marché du travail, qui lient flexibilité et sécurité. La protection absolue des uns ne peut continuer à avoir pour pendant la précarité et l'exclusion d'un nombre sans cesse croissant de Français. Il est par ailleurs impératif d'interrompre la dégradation des performances du système éducatif et de mettre un terme à l'échec scolaire, qui constitue une machine à reproduire l'exclusion. La même stratégie de réunification doit être conduite à l'échelle de la nation, où la volonté de vivre ensemble s'efface de plus en plus devant les clivages entre riches et pauvres, inclus et exclus, jeunes et vieux, actifs et retraités, villes et campagnes. L'atomisation des individus sous le choc de la crise et la divergence du corps social trouvent une traduction directe dans la vie publique avec la radicalisation et la poussée des populismes. Il n'est d'autre antidote à cette crise démocratique que le renforcement de l'État de droit et la mobilisation de l'énergie des citoyens au service du redressement du pays.

Le chemin de sortie de crise de l'euro existe

Comme en 1983, mais beaucoup plus rapidement, la France sera confrontée, après l'élection présidentielle de 2012, à une décision cruciale avec le heurt programmé du mur de la dette: soit la sanctuarisation d'un modèle social insoutenable qui implique l'éclatement de l'euro; soit la réaffirmation de l'engagement dans l'euro qui exige des réformes radicales. Le chemin de sortie de crise de la zone euro existe. Il repose sur la poursuite de l'assouplissement monétaire engagé par Mario Draghi à la tête de la BCE, le retour progressif à l'équilibre des pays déficitaires prévu par le traité budgétaire et l'introduction de règles d'or nationales, l'accord sur une initiative de croissance portée par les pays excédentaires - Allemagne au premier chef - et par les institutions européennes. Il implique surtout des actes politiques en faveur d'une relance de l'intégration du continent, via la constitution d'un gouvernement économique de la zone euro, la poursuite du grand marché, l'engagement d'une politique de sécurité et de défense du continent, rendue indispensable par le retrait américain.

Le refus de la France de traiter ses problèmes de compétitivité et de déficits tuerait dans l'oeuf la nouvelle donne monétaire de la BCE comme les possibilités de soutien de la croissance. Il achèverait de déséquilibrer le couple franco-allemand et, partant, la capacité à passer et mettre en oeuvre des compromis politiques au sein de l'Union. Voilà pourquoi la réforme du modèle français est non seulement la clé du redressement national mais de la survie de l'euro et de la possibilité pour l'Europe de figurer parmi les grands pôles qui structurent la mondialisation.Le choix cardinal qui se présente aux Français reste celui de leur rapport à la société ouverte du XXIe siècle. La France s'est engagée dans une voie totalement régressive avec la multiplication des propositions protectionnistes, les appels à la reconstitution des frontières, le déchaînement de la démagogie hostile à l'Europe et de la xénophobie. La volonté d'ériger des lignes Maginot contre la mondialisation est aussi chimérique que dangereuse. Elle réédite l'erreur tragique des années 1930, lorsque la France s'est coupée du monde réel en refusant de s'adapter à l'environnement de la grande déflation et de répondre à la montée en puissance des régimes totalitaires.

Il n'existe pas aujourd'hui de menaces extérieures directes mais un danger latent, celui d'une marginalisation doucereuse allant de pair avec la dépossession de la souveraineté qui accompagnerait l'incapacité à équilibrer les comptes publics. La fermeture et le repli sur un passé mythifié ne constituent pas une stratégie alternative de redressement mais la promesse d'un déclin accéléré. Marc Bloch, dans L'Étrange Défaite, conclut sur l'origine du désastre de 1940 dans les termes suivants: «Ce n'est pas seulement sur le terrain militaire que notre défaite a eu ses causes intellectuelles. Pour pouvoir être vainqueurs, n'avions-nous pas, en tant que nation, trop pris l'habitude de nous contenter de connaissances incomplètes et d'idées insuffisamment lucides?» La France de 2012 doit cesser de vivre dans le passé ou de cultiver des chimères pour se penser et agir dans le monde du XXIe siècle. Et les Français sont à la veille d'un choix décisif: soit se secouer et s'engager par la voie démocratique dans les réformes; soit prendre le risque d'une tutelle étrangère, voire d'une contre-révolution nationale destructrice de la liberté, avant de se relever.

Nicolas Baverez in Le figaro

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Vu que tu me tutoies, tu dois me connaître, alors donne ton nom et ton prénom, ça ira plus vite! lol

Par ailleurs, je parle en mon nom, et je ne représente pas François Bayrou. Si tu veux dialoguer avec François Bayrou, envoie lui un mail directement.

Après, je ne fanfaronne pas. Je suis juste content que Sarkozy et les valeurs qu'ils représentent soient battus et bien battus ce soir.

Pour finir, nous n'avons pas la même conception de la politique. Je suis convaincu que ce sont justement les valeurs et la morale (houla le vilain gros mot... faut presque s'excuser de prononcer ces mots à notre époque) qui doivent guider l'action politique, qui en sont les fondements. Les mesures, les actions découlent des valeurs.

Et je ne partagerai jamais les valeurs issues du pétainisme. Après, il y a des électeurs de droite qui se sont bouché les oreilles, ont fait la politique de l'autruche, ou ont prétendu que tous ces discours néopétainisants n'étaient que tactiques, n'ont vu que leur feuille d'impôts, un peu bêtement effrayés par une gauche socialiste qui gouvernera finalement au centre gauche. Libres à eux, mais ils ont contribué à répandre un virus bleu marine...

:sorcerer:

Ma vérité c'est celle des faits et non des discours. Cela ne signifie pas le reniement des valeurs humanistes.

Mais, les questions posées aujourd'hui sont celles qui suivent. On a changé l'homme qui incarne la France, notre monarque républicain.

L'heure de vérité, c'est le 10 et le 17 juin 2012. On verra ce que tu feras parce que le 17 juin, tu n'auras plus l'excuse de Sarko comme tant d'autres.

Sorry, j'ai pas quoté le papier du Figaro, ma religion me l'interdit... :sorcerer:

Mais tu as raison de rappeler que nous ne sommes qu'à la mi-temps du chantier d'assainissement... Reste deux tours...

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