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Laporte (Ex)-Président de la FFR


Mahatma

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Il y a 2 heures, penjolum a dit :

Comme discours d'apaisement et rassemblement de toutes les forces vives, il y a mieux. 

Et encore il prévient qu'il ne veut pas ajouter du fiel au fiel.

Imagine s'il avait introduit par "je vais sortir la sulfateuse !" :biggrin:

 

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Garbajauzion
Il y a 3 heures, Ardbeg a dit :

Grosse déception pour Servant. La soupe doit être bonne.

 

Pareil, surtout que j'avais lu qu'ils étaient amis dans la vie avec Guy Noves, qu'il ait pas hésité à rejoindre Laporte après qu'il a viré Noves comme un malpropre ça m'avait gêné, qu'il le soutienne encore après sa condamnation ça me fait un peu mal au cul parce qu'à part ça j'ai une très bonne image de lui.

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tire-bouchon
il y a 17 minutes, Garbajauzion a dit :

 

Pareil, surtout que j'avais lu qu'ils étaient amis dans la vie avec Guy Noves, qu'il ait pas hésité à rejoindre Laporte après qu'il a viré Noves comme un malpropre ça m'avait gêné, qu'il le soutienne encore après sa condamnation ça me fait un peu mal au cul parce qu'à part ça j'ai une très bonne image de lui.

Ne pas oublier que comme tout le monde, il doit faire chauffer la marmite familiale.

Et que son rôle technique n' est pas secondaire en EdF.

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Garbajauzion
il y a 7 minutes, tire-bouchon a dit :

Ne pas oublier que comme tout le monde, il doit faire chauffer la marmite familiale.

Et que son rôle technique n' est pas secondaire en EdF.

 

Bien sûr bien sûr... Il avait quand même un bon job au Stade mais pourquoi pas, surtout j'imagine que ça pouvait être un rêve pour lui d'être dans le staff de l'EDF mais qu'est-ce qui l'oblige à soutenir Laporte encore aujourd'hui ? Non faut se rendre à l'évidence il l'aime bien !

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le zèbre aux courges
Il y a 2 heures, Garbajauzion a dit :

 

Bien sûr bien sûr... Il avait quand même un bon job au Stade mais pourquoi pas, surtout j'imagine que ça pouvait être un rêve pour lui d'être dans le staff de l'EDF mais qu'est-ce qui l'oblige à soutenir Laporte encore aujourd'hui ? Non faut se rendre à l'évidence il l'aime bien !

Comme lacroix et Novès depuis qu'il lui a fait un chèque :)

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Il y a 5 heures, capitole46 a dit :

Tu as vraiment pris au premier degré mon message?

 

Dans le même genre, tu cherches une Visa Rallye sur Clermont ou pas?:yes:

 

Non ça ne visait personne, mais quand on parle de Brunel, la première chose qui me vient à l esprit c'est que Laporte lui doit beaucoup. 

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On 3/26/2023 at 4:13 PM, Gabi said:

Et encore il prévient qu'il ne veut pas ajouter du fiel au fiel.

Imagine s'il avait introduit par "je vais sortir la sulfateuse !" :biggrin:

 

Comme au Ball Trap, mais c'est dans sa nature apparemment  : https://www.laporte.biz :sorcerer:

 

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La tambouille est plus marinée qu'un plat de mounjetes :crying:

 

Bernard Laporte, président démissionnaire de la FFR, en compagnie d'Alexandre Martinez, président par intérim, font face à l'opposition de Florian Grill (en médaillon à gauche), alors qu'Alain Doucet, issu du camp Laporte, pourrait également se présenter. (M. Allili/MaxPPP)
Rugby, 
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Intrigues à Marcoussis pour la succession de Bernard Laporte à la présidence de la FFR

Bernard Laporte, président démissionnaire de la FFR, en compagnie d'Alexandre Martinez, président par intérim, font face à l'opposition de Florian Grill (en médaillon à gauche), alors qu'Alain Doucet, issu du camp Laporte, pourrait également se présenter. (M. Allili/MaxPPP)

Bernard Laporte hors circuit, plusieurs de ses anciens colistiers ont manifesté des velléités de devenir l'héritier du trône de la FFR en juin prochain. Le perdant du référendum de fin janvier, Patrick Buisson, devrait être investi mais une candidature d'Alain Doucet n'est pas à exclure. Au même moment, la majorité a lancé des approches pour marchander avec le camp Grill.

Renaud Bourel et Frédéric Bernèsmis à jour le 28 mars 2023 à 00h10
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Du temps de Bernard Laporte, il y avait des problèmes, et des graves (*). Mais pas celui de se demander qui serait le candidat incontournable de la majorité à une élection suprême. La démission du chef, un vendredi grelottant de janvier (le 27), a fait sauter le vernis de l'unité.

 

Pour un bout de pouvoir ou une place sur la photo au balcon pendant la Coupe du monde, certains se sentent soudain plus légitimes que les autres. Le départ sans fanfare, mais avec casseroles, du quintuple condamné Laporte - il a fait appel du jugement - aurait pu être surmonté assez simplement, les statuts de la FFR permettant de convoquer dans un délai de six semaines des élections générales.

(*) Le 13 décembre 2022, Bernard Laporte a été condamné en première instance par le Tribunal correctionnel de Paris à deux ans de prison avec sursis, 75 000 euros d'amende et deux ans d'interdiction d'exercer toute fonction, même bénévole, en lien avec le rugby, pour corruption, trafic d'influence, prise illégale d'intérêts, recel d'abus de biens sociaux et abus de biens sociaux.

Six semaines, ce serait tombé à peu près maintenant. C'était le scénario que privilégiait l'autorité de tutelle du ministère des Sports. Mais c'était sans compter sur les collapsologues de Marcoussis. Promettant l'effondrement de la Coupe du monde à la maison et même de la maison quinze de France, et sans doute un changement de rotation de l'axe de la Terre, ils préférèrent en passer par un référendum pour élire le président délégué proposé par Laporte.

Le vote des clubs fut perdu le 26 janvier par le candidat Patrick Buisson et immédiatement recyclé en kleenex puisque la majorité se moucha avec en nommant un président intérimaire, Alexandre Martinez. Ces élections générales auraient provoqué « le chaos » (dixit Martinez). Même raisonnement pour Patrick Buisson : « Si vous passez par de nouvelles élections, cela va prendre six mois. Si on arrive à cela, bon courage à l'équipe de France et aux clubs français. Ce serait prôner la division. Les clubs veulent jouer, pas voter toutes les trois semaines. »

 

Venant de celui qui propose de fermer tout le rugby français amateur pendant la durée de la Coupe du monde, cela ne manque pas de croquant.

Une campagne électorale permanente pendant les trois prochains mois

Deux mois plus tard, la majorité ne peut que suivre les recommandations du comité d'éthique qu'elle avait saisi pour savoir comment organiser au mieux, le temps d'un week-end d'assemblée générale ordinaire à Lille (29-30 juillet), les deux scrutins obligatoires : d'abord compléter le comité directeur (12 sièges vacants, dont les 9 des élus démissionnaires de l'opposition Ovale Ensemble) puis élire un nouveau président de plein droit de la FFR, jusqu'à fin 2024, date d'expiration du mandat de quatre ans. Réponse du Comité d'éthique : oubliez Lille.

À une assemblée générale ordinaire qui n'autorise que le vote physique, le comité d'éthique a préconisé l'usage du vote électronique, plus à même de renflouer le crédit d'un exécutif qui en manque tant. Il a aussi recommandé de respecter deux temps électoraux espacés, pour que les candidats aient le temps de se faire connaître et de mener campagne avant chaque scrutin.

« Comment vouliez-vous qu'un membre élu le jeudi au comité directeur puisse faire sa déclaration et sa campagne le vendredi avant le vote du samedi midi ? », résume-t-on en interne. Dans cette configuration d'une vacance au poste de président, seul un membre du comité directeur pourra briguer la présidence de la FFR, dans un scrutin non pas de listes mais uninominal.

Moralité : plutôt que d'organiser un seul scrutin - des élections générales de listes en six semaines - il faudra voter trois fois en six mois : janvier, mai et juin. Puis remettre le couvert un an et demi plus tard. Le canal historique des pro-Laporte voulant à tout prix garder la majorité au comité directeur et surtout garder son hochet pour la Coupe du monde, le rugby français va vivre sous campagne électorale permanente pendant les trois prochains mois.

Les clubs ne voulaient peut-être pas voter mais on ne leur aura jamais autant demandé de le faire. Moralité (bis) : ce n'est pas le vent qui change de sens, c'est la girouette qui tourne.

Buisson et Dullin candidats de la majorité ?

L'état de la façade du château de Marcoussis, avec fissures apparentes, rappelle à certains la grande pièce de théâtre de 1991, rythmée par les coups de Jarnac entre l'alliance Bernard Lapasset-Robert Paparemborde, jadis ennemis, et le favori Jean Fabre, le tout sous les yeux à gros monosourcil de tonton Albert Ferrasse. À l'époque, c'était juste après une Coupe du monde. Cette fois, c'est juste avant.

Le Centre national de rugby de Marcoussis est au centre de toutes les attentions depuis plusieurs mois. Et pas seulement pour des raisons sportives. (PAQUOT BAPTISTE/L'Équipe)
 
Le Centre national de rugby de Marcoussis est au centre de toutes les attentions depuis plusieurs mois. Et pas seulement pour des raisons sportives. (PAQUOT BAPTISTE/L'Équipe)

D'après nos informations, Buisson et Christian Dullin se verraient bien dans le rôle du candidat de la majorité à la présidentielle. Martinez le voulait aussi. Président intérimaire pendant le Tournoi, il a pris goût à la lumière. Mais on lui aurait depuis fait comprendre qu'il n'était pas le mieux placé et il serait rentré dans le rang. Le nom de Brigitte Jugla, vice-présidente en charge du rugby féminin, a brièvement circulé la semaine dernière, avant de repartir comme il était venu.

Secrétaire général de la FFR, Christian Dullin se sent à l'écart et aurait acquis la conviction que son heure a sonné. « Lui, il a toujours envie d'y aller, c'est les autres qui ne veulent pas », indique-t-on à Marcoussis. Mais le bout de gras devrait revenir à Buisson, vice-président chargé du rugby amateur. Oui oui, le même que celui qui a perdu au référendum, mais six mois plus vieux.

Et ce n'est pas tout : borduré (et vexé de l'être) par la création, annoncée au comité directeur du 14 février, d'un « bureau fédéral exécutif restreint » qui n'a aucune justification si ce n'est de concentrer plus encore le pouvoir entre quelques mains, Alain Doucet a démissionné du bureau fédéral classique, tout en conservant son siège au comité directeur. Patron de la Ligue Occitanie, la plus puissante de France, il réfléchit à se présenter à la présidence de son côté. « Isolez-vous à plusieurs ! », disait un entraîneur de rugby à ses joueurs dans un discours d'avant match approximatif. Nous y voilà. On n'en est pas encore à vérifier le contenu des carafes à la cantine de Marcoussis mais les basses manoeuvres ont commencé.

Depuis plusieurs jours, des membres de l'opposition, menée par Florian Grill (chef de file d'Ovale Ensemble, liste démissionnaire du comité directeur le 27 janvier), ont été approchés par des émissaires de la majorité. Les ficelles ont l'épaisseur de cordes de marine mais l'objectif est toujours le même : tenter de sauver la gouvernance actuelle, du moins ce qu'il en reste, jusqu'à la Coupe du monde, en offrant au camp Grill de retrouver quelques menus avantages de gouvernance contre une certaine docilité sur la suite du mandat.

Les résultats de la double enquête sur les finances de la FFR attendus

Ce marchandage doit sans doute être rangé avec les fameux « risques politiques » dont parlait le docteur Serge Simon pendant le procès de septembre dernier (affaire Laporte - Altrad). Lui-même ne peut pas se présenter au prétexte que le comité d'éthique lui avait déjà déconseillé de le faire en janvier au moment du référendum, considérant que l'appel formé contre lui par le Parquet national financier (PNF) faisait planer une menace trop lourde. Cette inéligibilité préventive n'émeut pas des masses en interne car personne ne croit qu'il pourrait gagner une élection sur son nom. Mais cela ne l'empêche pas de manigancer.

Une autre menace plane au-dessus de cette gouvernance : les résultats de la double enquête sur les finances de la FFR, menée par les inspections générales des ministères de l'Économie et des Sports, sont attendus d'ici mai ou juin. Les inspecteurs ont investigué à Marcoussis le 7 mars et procédé aux premières auditions.

Il ne manquait plus à ce tableau que la contribution personnelle de Bernard Laporte. Dans un entretien publié par Eurosport le week-end dernier, l'ancien président de la FFR a déclaré : « Florian Grill ne maîtrise pas ce qu'est le haut niveau, il ne le connaît pas. Or, le président de la FFR doit connaître le haut niveau [...] Quand je vois ceux qui entourent Grill... Abdelatif Benazzi n'a même pas fait un an dans un staff à Montpellier et il est détesté de tout le monde. Fabien Pelous a été viré de Toulouse. Je ne peux même pas leur en vouloir tellement ils me font rire ! Ils sont juste là pour exister dans une fédération parce qu'ils sont nuls. Pelous a été un très grand joueur et a mérité les sélections que je lui ai données mais il a fait quoi après ? Je dis à ces gens, prenez des clubs, gagnez comme je l'ai fait et après vous pourrez parler ! » En disant cela, Laporte disqualifie tout autant Buisson, Martinez, Simon que Dullin... Tout le monde, à part lui.

Florian Grill (à gauche) et Bernard Laporte, lors des élections en 2020. (A. Réau/L'Équipe)
 
Florian Grill (à gauche) et Bernard Laporte, lors des élections en 2020. (A. Réau/L'Équipe)
Florian Grill : « On ne sait plus qui décide »
Le 27 janvier, après le refus des clubs de faire de Patrick Buisson le président délégué choisi par Bernard Laporte, les neuf élus de l'opposition avaient démissionné du comité directeur. Aujourd'hui, le collectif Ovale Ensemble a décidé de présenter des candidats pour reconquérir ces sièges. « Nous révélerons nos candidats au moment de notre AG du 22 avril, informe leur chef de file Florian Grill. Nous persistons à penser, et à dire, que la meilleure solution pour préserver le rugby français et le doter d'une gouvernance bien élue consiste à organiser des élections générales en six semaines.La cohabitation (au cas où un membre de l'opposition gagne la présidence) n'est pas un format idéal.Mais la gravité des faits qui se sont ajoutés ces derniers temps nous a convaincus de présenter des candidats. »
« Alors que ces dossiers sont sur la table, on assiste à une guerre de chefs et de courants, ajoute Grill. Il n'y a pas de leadership. Patrick Buisson porte une réforme qui vise à reporter les compétitions amateurs pendant la Coupe du monde, repoussant le début de saison au mois de novembre. Cela nous semble insensé. Et puis, il y a une inquiétude latente avec l'inspection générale des Finances et des Sports. Les deux dernières inspections de ce genre (à la FFR dans le cadre de l'affaire Altrad-Laporte puis au GIP 2023) ont donné lieu à deux signalements en justice via l'article 40. Le passé ne plaide pas pour le présent. »
Florian Grill et ses soutiens, au sein de la liste Ovale Ensemble. (A. Réau/L'Équipe)
 
Florian Grill et ses soutiens, au sein de la liste Ovale Ensemble. (A. Réau/L'Équipe)
 

 

 

 

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il y a 56 minutes, Ardbeg a dit :

Midol (Marc Duzan) qui se mouille un peu:

Dans une interview publiée dimanche chez nos confrères d’Eurosport, Bernard Laporte a réglé ses comptes et tiré à vue. Mais pas toujours à bon escient…

J’ai lu avec attention, et en riant parfois même à pleins poumons, la dernière interview de Bernard Laporte. Au-delà des règlements de compte empreints d’une exquise mauvaise foi auxquels s’y livrait Bernie, un passage a plus particulièrement retenu mon attention. Celui-ci : « Qui dans cette opposition est capable de faire ce qu’on a fait nous ? Florian Grill ne maîtrise pas ce qu’est le haut niveau, il ne le connaît pas. Or, le président de la FFR doit connaître le haut niveau car l’essentiel des revenus de la fédération provient de l’équipe de France. […] Si on ne connaît pas le haut niveau, on ne nomme pas les bonnes personnes pour former un staff. » Avant d’entrer dans le coeur du débat, j’ai déjà souvenir qu’avant de nommer Fabien Galthié à la tête du XV de France, le président démissionnaire n’avait d’yeux que pour Warren Gatland, aussitôt retoqué pour le plus grand bonheur de tous par les clubs amateurs du rugby français, au fil du référendum que l’on sait. Que Bernie ait finalement « nommé la bonne personne » au poste de sélectionneur est donc une certitude. Que l’arrivée de Galthié à Marcoussis tienne aussi à un concours de circonstances que l’on a depuis tous oublié en est une autre…

Mais venons-en au coeur du débat, à présent : un président de fédération doit-il nécessairement connaître « le haut niveau » ? On est en droit d’en douter, monsieur Laporte et de ce que l’on sait, le « chief executive » de la fédé néo-zélandaise, Steve Tew, n’avait derrière lui qu’une humble carrière de joueur universitaire avant de prendre en mains une institution qui, sous ses ordres, remporta pourtant la Coupe du monde à deux reprises (2011 et 2015). Comme l’on doute, franchement, que le Rob Andrew que vous citez en exemple au fil de cette même prise de parole ait toujours pris les « bonnes décisions » à la RFU, en atteste le fait d’avoir nommé Stuart Lancaster au poste de sélectionneur trois ans avant de le virer manu militari, au gré du fiasco que l’on connait. Franchement ? On se fout donc un peu qu’un président de fédération connaisse ou pas le « haut niveau ». On lui demandera même plus volontiers de globalement maîtriser les contours de la charte éthique du dirigeant fédéral, de gérer les 1900 clubs du rugby amateur avec le bon sens d’un père de famille et de laisser, in fine, le sélectionneur ou le DTN gérer le reste, soit le « haut niveau » dont vous causiez dimanche. Et puisque les prochains candidats au titre suprême, Alexandre Martinez d’un côté et Florian Grill de l’autre, n’ont ni vos trois coupes d’Europe ni vos deux grands chelems, puisque leurs carrières de deuxième ligne à Lavaur et de numéro 9 à Boulogne-Billancourt -à moins que ce ne soit l’inverse- les exclut de fait de toute expertise en « haut niveau », je leur saurais gré de mettre leurs autres qualités au service des 350 000 licenciés que regroupe encore le paquebot fédéral… Car c’est bien tout ce qui importe, n’est-ce pas…

Voici un discours très à contre-courant de la ligne habituelle du midol. 
Edito plein de bon sens mais il n’apparaît pas dans la version papier du midol non?

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il y a 5 minutes, Raph a dit :

Voici un discours très à contre-courant de la ligne habituelle du midol. 
Edito plein de bon sens mais il n’apparaît pas dans la version papier du midol non?

Sur le site Rugbyrama.

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Il y a 20 heures, stadeli a dit :

Le midol ménage les deux camps au cas où...


La chèvre et le chou au cas où le loup … blabla etc… 

Si je rajoute mon point de vue , je préférai Bobby à JR vue que Pamela n’a aucune chance … :sleeping:

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Les cons ça ose tout,c est à ça qu on les reconnaît.. 

 

Et sinon comment foutre le bordel dans un truc qui a l air de bien fonctionner et se faire hara kiri à 6 mois de la cdm?

Modifié par Julien81
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Pas sur que la ministre apprécie. Déjà pas sur qu'elle reste en poste si remaniement il y a.

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Et aller , le poisson ce n’est que le 1er après nous avoir fait essayer de gober via Google qu’il intégrait le ST . Aller on va dire très rigolo… :baby:

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il y a une heure, Zuzu31 a dit :

 

Comment apprécier ce staff qui voudrait donner un rôle à un condamné, rejeté par la base du rugby français ?

Ils sont complètement déconnectés les mecs...


Par la base mais peut-être pas par l’élite. Hors de nos jours ….:whist:

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Il y a 1 heure, Ardbeg a dit :

Pas sur que la ministre apprécie. Déjà pas sur qu'elle reste en poste si remaniement il y a.

Tu crois que BL pourrait la remplacer ? :yes:

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L'info c'est surtout d'apprendre que Nanard a réussi à recaser l'éternel Bernard Vivies. "Chef délégation du XV de France"...

 

C'est quoi la différence avec Ibanez ? Et Simon ?

 

Et entre le staff et les pardessus, y a combien de personnes qui s'occupent de l'EdF maintenant ?

Quand je pense que Novés était seul avec 2 adjoints...

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https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Vente-de-marcoussis-projet-a-pantin-les-surprenantes-operations-immobilieres-de-la-ffr/1389955

 

Vente de Marcoussis, projet à Pantin : les surprenantes opérations immobilières de la FFR

Pensant vendre « Marcoussis » et déménager au soleil, la FFR a investi dans la création d'un projet mi-immobilier mi-sportif à Pantin (Seine-Saint-Denis) dont on peine à comprendre la nécessité.

 
Frédéric Bernès et Renaud Bourel
05 avril 2023 à 19h30
 

Certains l'appellent « leur » petit stade, à ne pas confondre avec le projet du Grand Stade, porté par l'administration Camou, combattu et enterré par Bernard Laporte et son équipe. Ce petit stade a déjà un nom, Raoul-Montbrand, en mémoire d'un postier, meneur des grandes grèves de 1909 et mort au front en 1916. Il a aussi une histoire, celle du club de l'ASPTT, où Jonathan Danty a débuté au poste de numéro 8.

 
 

Situé à Pantin, à 4 kilomètres à l'est du Stade de France, Raoul-Montbrand attend toujours que les travaux, décidés par le département de Seine-Saint-Denis, propriétaire, et l'actuelle gouvernance de la FFR, qui a signé une convention d'occupation temporaire du domaine public pour une durée de soixante-dix ans, commencent enfin. En attendant, les hautes herbes poussent en paix.

 

Bientôt, elles s'inclineront devant ce projet mêlant l'immobilier (logements intermédiaires et étudiants, maison de santé, restaurant, bureaux...) et le rugby (trois terrains, une tribune neuve de 600 places, une salle de musculation). « S'agissant de son coût, il s'écartera sensiblement de ce qui a pu être annoncé ici où là, assure-t-on à la FFR. Après actualisation, le projet devrait "peser" de l'ordre de 20 M€ sur nos finances. » Soit le tiers du coût global. Pour quoi faire ? Là est la question.

Pour comprendre, il faut retracer la généalogie de ce projet en dominos. L'idée de départ consistait à déménager la partie sportive du Centre national du rugby (CNR) au soleil, au milieu des pins parasols, sur la commune de La Londe-les-Maures, dans le Var, la région d'élection de MM. Mondino (vice-président), Gabbanini (directeur général) et Laporte, président à l'époque.

 
 

Bernard Laporte avait même montré cet emplacement de 7 hectares à Fabien Galthié et son staff l'année dernière quand le quinze de France était en stage à Aubagne (Bouches-du-Rhône). Ici, devaient se construire quatre terrains, là un hôtel quatre étoiles et là-bas un centre de remise en forme de pointe. Sur ce site a longtemps prospéré l'usine de fabrication de torpilles des Bormettes, avant que la Marine rachète le terrain.

 

En simultané, la FFR investissait donc à Pantin, où elle comptait installer son département administratif. Premier domino à ne pas tomber : les tractations n'ont pas abouti à La Londe-les-Maures, a priori parce que l'armée ne souhaitait pas, ou plus, se séparer de ces terrains. Le second domino récalcitrant aurait dû être le premier, mais personne à la FFR ne semble s'être demandé s'il ne valait mieux pas, au préalable, s'assurer qu'il était possible de vendre le CNR de Marcoussis, dont la Fédération vient de rembourser la dernière traite.

 

« J'ai bien sûr entendu parler de ce projet dans le Var, mais aucun décideur de la FFR n'est venu me parler de quoi que ce soit, indique le maire de la petite commune de l'Essonne, Olivier Thomas. Ils voulaient vendre Marcoussis ? Mais ils ne méconnaissent quand même pas les règles de l'urbanisme ? À Marcoussis comme partout, il existe un PLU (plan local d'urbanisme) qui classifie chaque zone. Or le CNR est bâti sur une zone d'équipement sportif. On ne peut pas y construire des logements, des bureaux ou je ne sais quoi. À part le PSG ou la FFF, qui pourrait racheter cela en France ? Et je ne vois pas pourquoi le PSG, qui s'installe à Poissy, et la FFF, qui est très bien à Clairefontaine, viendraient. »

À moins de modifier le PLU, une démarche qui demande des années... « Mais pourquoi voulez-vous qu'on se coupe une jambe ? demande l'édile. Notre village bénéficie du rayonnement du rugby et des équipes de France. Notre budget n'est pas défaillant. Et nous ne manquons pas de logements. » Il aurait sans doute fallu commencer par là.

D'après nos informations, la FFR a essayé d'initier une sorte de vente à la découpe du CNR, en demandant au maire de Linas, commune limitrophe sur laquelle sont construits deux des terrains, de changer son PLU pour y construire un complexe hôtelier assez luxueux. Le maire a refusé. Et de toute façon, la zone était inondable... Cet épisode pose en creux une autre question : est-ce le rôle d'une fédération de mener de cette façon des opérations immobilières ?

Le site de Pantin proposé au Stade Français et à la Ligue d'Île-de-France

Reste l'investissement à Raoul-Montbrand, dont la livraison est attendue fin 2025. Pour qui, pour quoi ? En décembre dernier, Thomas Lombard, directeur général du Stade Français, informait Le Parisienque la FFR avait proposé au club de la capitale d'occuper le site, mais qu'il avait refusé. « On se demande pourquoi la FFR devrait investir autant d'argent dans un projet qui finirait par être occupé par un club du Top 14 », questionne Florian Grill, leader de l'opposition. La Fédération a ensuite « offert » à la Ligue d'Île-de-France d'y installer ses bureaux. « Les travaux sont tellement somptuaires que les loyers qu'ils nous ont proposés étaient hors de prix », poursuit Grill, président de ladite Ligue.

Contactée, la FFR nous a fait savoir que le « projet Montbrand sera le centre des innovations des rugbys dont l'objet sera de mettre à la disposition des clubs de Seine-Saint-Denis, et plus largement de l'Île-de-France, un outil référence destiné à développer notre sport ». Mais aussi faire de ce « phare pour notre rugby » le logis de « la future académie du 93 » et « tester les pratiques et enseignements nouveaux, issus des expériences de nos équipes Élites ». « Ces occupants ne couvriront pas tous les mètres carrés de ce programme démesuré », insiste Grill.

 

Dans son village, le maire Olivier Thomas ajoute une question dans la question : « Je ne comprends toujours pas pourquoi Marcoussis va rester inoccupé pendant la Coupe du monde. Bernard Laporte m'avait expliqué que l'équipe de France ne voulait pas être avantagée. Enfin, elle y a résidé en 2007 et ça n'a pas posé de problèmes d'avantages. Il me semble même que Laporte en était le sélectionneur. Pourquoi la FFR va-t-elle payer pour une installation à Rueil-Malmaison ? Et pourquoi ne pas faire profiter le Chili ou le Portugal de Marcoussis, ou un autre pays ? »

publié le 5 avril 2023 à 19h30

 

 

 

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il y a 20 minutes, Gabi a dit :

https://www.lequipe.fr/Rugby/Article/Vente-de-marcoussis-projet-a-pantin-les-surprenantes-operations-immobilieres-de-la-ffr/1389955

 

Vente de Marcoussis, projet à Pantin : les surprenantes opérations immobilières de la FFR

Pensant vendre « Marcoussis » et déménager au soleil, la FFR a investi dans la création d'un projet mi-immobilier mi-sportif à Pantin (Seine-Saint-Denis) dont on peine à comprendre la nécessité.

 
Frédéric Bernès et Renaud Bourel
05 avril 2023 à 19h30
 

Certains l'appellent « leur » petit stade, à ne pas confondre avec le projet du Grand Stade, porté par l'administration Camou, combattu et enterré par Bernard Laporte et son équipe. Ce petit stade a déjà un nom, Raoul-Montbrand, en mémoire d'un postier, meneur des grandes grèves de 1909 et mort au front en 1916. Il a aussi une histoire, celle du club de l'ASPTT, où Jonathan Danty a débuté au poste de numéro 8.

 
 

Situé à Pantin, à 4 kilomètres à l'est du Stade de France, Raoul-Montbrand attend toujours que les travaux, décidés par le département de Seine-Saint-Denis, propriétaire, et l'actuelle gouvernance de la FFR, qui a signé une convention d'occupation temporaire du domaine public pour une durée de soixante-dix ans, commencent enfin. En attendant, les hautes herbes poussent en paix.

 

Bientôt, elles s'inclineront devant ce projet mêlant l'immobilier (logements intermédiaires et étudiants, maison de santé, restaurant, bureaux...) et le rugby (trois terrains, une tribune neuve de 600 places, une salle de musculation). « S'agissant de son coût, il s'écartera sensiblement de ce qui a pu être annoncé ici où là, assure-t-on à la FFR. Après actualisation, le projet devrait "peser" de l'ordre de 20 M€ sur nos finances. » Soit le tiers du coût global. Pour quoi faire ? Là est la question.

Pour comprendre, il faut retracer la généalogie de ce projet en dominos. L'idée de départ consistait à déménager la partie sportive du Centre national du rugby (CNR) au soleil, au milieu des pins parasols, sur la commune de La Londe-les-Maures, dans le Var, la région d'élection de MM. Mondino (vice-président), Gabbanini (directeur général) et Laporte, président à l'époque.

 
 

Bernard Laporte avait même montré cet emplacement de 7 hectares à Fabien Galthié et son staff l'année dernière quand le quinze de France était en stage à Aubagne (Bouches-du-Rhône). Ici, devaient se construire quatre terrains, là un hôtel quatre étoiles et là-bas un centre de remise en forme de pointe. Sur ce site a longtemps prospéré l'usine de fabrication de torpilles des Bormettes, avant que la Marine rachète le terrain.

 

En simultané, la FFR investissait donc à Pantin, où elle comptait installer son département administratif. Premier domino à ne pas tomber : les tractations n'ont pas abouti à La Londe-les-Maures, a priori parce que l'armée ne souhaitait pas, ou plus, se séparer de ces terrains. Le second domino récalcitrant aurait dû être le premier, mais personne à la FFR ne semble s'être demandé s'il ne valait mieux pas, au préalable, s'assurer qu'il était possible de vendre le CNR de Marcoussis, dont la Fédération vient de rembourser la dernière traite.

 

« J'ai bien sûr entendu parler de ce projet dans le Var, mais aucun décideur de la FFR n'est venu me parler de quoi que ce soit, indique le maire de la petite commune de l'Essonne, Olivier Thomas. Ils voulaient vendre Marcoussis ? Mais ils ne méconnaissent quand même pas les règles de l'urbanisme ? À Marcoussis comme partout, il existe un PLU (plan local d'urbanisme) qui classifie chaque zone. Or le CNR est bâti sur une zone d'équipement sportif. On ne peut pas y construire des logements, des bureaux ou je ne sais quoi. À part le PSG ou la FFF, qui pourrait racheter cela en France ? Et je ne vois pas pourquoi le PSG, qui s'installe à Poissy, et la FFF, qui est très bien à Clairefontaine, viendraient. »

À moins de modifier le PLU, une démarche qui demande des années... « Mais pourquoi voulez-vous qu'on se coupe une jambe ? demande l'édile. Notre village bénéficie du rayonnement du rugby et des équipes de France. Notre budget n'est pas défaillant. Et nous ne manquons pas de logements. » Il aurait sans doute fallu commencer par là.

D'après nos informations, la FFR a essayé d'initier une sorte de vente à la découpe du CNR, en demandant au maire de Linas, commune limitrophe sur laquelle sont construits deux des terrains, de changer son PLU pour y construire un complexe hôtelier assez luxueux. Le maire a refusé. Et de toute façon, la zone était inondable... Cet épisode pose en creux une autre question : est-ce le rôle d'une fédération de mener de cette façon des opérations immobilières ?

Le site de Pantin proposé au Stade Français et à la Ligue d'Île-de-France

Reste l'investissement à Raoul-Montbrand, dont la livraison est attendue fin 2025. Pour qui, pour quoi ? En décembre dernier, Thomas Lombard, directeur général du Stade Français, informait Le Parisienque la FFR avait proposé au club de la capitale d'occuper le site, mais qu'il avait refusé. « On se demande pourquoi la FFR devrait investir autant d'argent dans un projet qui finirait par être occupé par un club du Top 14 », questionne Florian Grill, leader de l'opposition. La Fédération a ensuite « offert » à la Ligue d'Île-de-France d'y installer ses bureaux. « Les travaux sont tellement somptuaires que les loyers qu'ils nous ont proposés étaient hors de prix », poursuit Grill, président de ladite Ligue.

Contactée, la FFR nous a fait savoir que le « projet Montbrand sera le centre des innovations des rugbys dont l'objet sera de mettre à la disposition des clubs de Seine-Saint-Denis, et plus largement de l'Île-de-France, un outil référence destiné à développer notre sport ». Mais aussi faire de ce « phare pour notre rugby » le logis de « la future académie du 93 » et « tester les pratiques et enseignements nouveaux, issus des expériences de nos équipes Élites ». « Ces occupants ne couvriront pas tous les mètres carrés de ce programme démesuré », insiste Grill.

 

Dans son village, le maire Olivier Thomas ajoute une question dans la question : « Je ne comprends toujours pas pourquoi Marcoussis va rester inoccupé pendant la Coupe du monde. Bernard Laporte m'avait expliqué que l'équipe de France ne voulait pas être avantagée. Enfin, elle y a résidé en 2007 et ça n'a pas posé de problèmes d'avantages. Il me semble même que Laporte en était le sélectionneur. Pourquoi la FFR va-t-elle payer pour une installation à Rueil-Malmaison ? Et pourquoi ne pas faire profiter le Chili ou le Portugal de Marcoussis, ou un autre pays ? »

publié le 5 avril 2023 à 19h30

 

 

 


Encore du grand n’importe quoi , dire qu’il est arrivé pour faire des économies… (arrêtez de gueuler je déconne) 

De longue mémoire, je connaissait bien ce stade de l’ASPTT et de l’autre côté du mur il y avait l’ASPP, 2 clubs disparus qui évoluaient entre 2eme et 3 eme division à l’époque. En effet ça pourrait donner quelque chose de sympa mais pourquoi là ? Ca ne ressemble à rien. Quartier chaud à qlqs mètres des consommateurs de crack ????? Juste hallucinant !!!!! 
Mieux vaut s’abstenir…

Modifié par daqcxv
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il y a 17 minutes, Gabi a dit :

Quelqu'un est déjà allé au CNR Marcoussis ? Ce n'est pas un outil satisfaisant ? Pourquoi essayer de le vendre ?


Une dizaine de fois depuis l’ouverture, ce qui est sûr , ça faisait moins pampa qu’en face de chez les footeux , pas loin d’Orly , les infrastructures bonnes, j’avoue ne pas comprendre ou connaître ce rejet . 
Ça doit être inondable aussi … :lol:  Ou encore à cause des fouilles archéologiques et des 3 batailles de Montlhery :P

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Il y a 2 heures, Gabi a dit :

Quelqu'un est déjà allé au CNR Marcoussis ? Ce n'est pas un outil satisfaisant ? Pourquoi essayer de le vendre ?

Pour en faire un camping avec casino.

  • Haha 2
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Il y a 10 heures, Gabi a dit :

Quelqu'un est déjà allé au CNR Marcoussis ? Ce n'est pas un outil satisfaisant ? Pourquoi essayer de le vendre ?

 

 

Pour toucher des commissions d intermédiaire immobilier.

 

Y aucune autre raison, mais c'est pas la FFR qui encaissera hein? 🫣

  • Upvote 1
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Il y a 16 heures, Gabi a dit :

Quelqu'un est déjà allé au CNR Marcoussis ? Ce n'est pas un outil satisfaisant ? Pourquoi essayer de le vendre ?

 

Oui, une fois pour un stage d’un week-end. Les installations sont tops (je n’ai pas les exigences d’un joueur de l’EDF non plus), le lieu est calme et joli, c’est un super souvenir. 

Aucune raison particulière, à mon avis, pour que les équipes de France quittent le CNR, juste l’occasion de faire un billet pour certain. 

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il y a 41 minutes, RMP a dit :

 

Oui, une fois pour un stage d’un week-end. Les installations sont tops (je n’ai pas les exigences d’un joueur de l’EDF non plus), le lieu est calme et joli, c’est un super souvenir. 

Aucune raison particulière, à mon avis, pour que les équipes de France quittent le CNR, juste l’occasion de faire un billet pour certain. 

Merci du retour.

Tout ce que je connais qui y sont allés m'ont dit que c'était top. Donc franchement, très curieux cette volonté de vouloir s'en débarrasser.

Surtout que, comme expliqué dans l'article, PLU oblige, personne n'a droit de l'acheter à part une fédé sportive.

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Ça ressemble bizarrement à : tout ce qui était avant, c’est nul et à éliminer, nous allons nettoyer et faire bien mieux. Un certain rapprochement nauséabond.

Modifié par daqcxv
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Il y a 1 heure, daqcxv a dit :

Ça ressemble bizarrement à : tout ce qui était avant, c’est nul et à éliminer, nous allons nettoyer et faire bien mieux. Un certain rapprochement nauséabond.

Pour nettoyer, rien de vaut le karcher.

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Le 06/04/2023 à 15:03, Gabi a dit :

Merci du retour.

Tout ce que je connais qui y sont allés m'ont dit que c'était top. Donc franchement, très curieux cette volonté de vouloir s'en débarrasser.

Surtout que, comme expliqué dans l'article, PLU oblige, personne n'a droit de l'acheter à part une fédé sportive.

 

On parle des mêmes types qui ont abandonné le projet grand stade sans se renseigner sur les engagements avec les collectivités et les éventuelles obligations contractuelles...

 

(Attention, j'étais contre ce projet de grand stade, mais il fallait juste faire ça dans l'ordre et la négociation. Pas en faisant tout péter et en signant des chèques de millions d'euros)

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Oui un énorme gâchis. Au départ un poil trop ambitieux, peut-être aurait-il fallu simplement réduire les accotés mais ces grands gestionnaires ont fait à l’arrache et sûrement jetés en pâture financière leurs successeurs pour des années y compris eux-mêmes, allons savoir. 

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il y a 6 minutes, sauce a dit :

Y'a pas à dire, les dirigeants de la FFR sont fortiches surtout pour gérer du pognon qui n'est pas le leur.

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