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Laporte (Ex)-Président de la FFR


Mahatma

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il y a 49 minutes, BenBenBen a dit :

Oh putain, la vieille journée pour Laporte !!!

 

L'affaire Novès-Laporte sera jugée à Toulouse

 

 

A Ernest Wallon ? ou au Stadium ??

 

B)

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Il y a 8 heures, Stofe a dit :

Ca peut etre jugé n’importe ou les prud’hommes ca sert a rin le perdant fera appel

 

 

Et l'appel ne sera pas jugé au même endroit.

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Peut-être, mais là ça commence à faire beaucoup, et je pense que les joueurs sont impactés par cette avalanche de merde qui coule de leur fédération.

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il y a 4 minutes, stadeli a dit :

Peut-être, mais là ça commence à faire beaucoup, et je pense que les joueurs sont impactés par cette avalanche de merde qui coule de leur fédération.

Tout ça, ça vient toujours de l'Equipe 

Et quand on sait que Laporte boycotte ce journal

 

La FFR là, est pire que Dallas et son univers impitoyable :sorcerer:

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http://www.lepoint.fr/sport/xv-de-france-accord-financier-entre-la-ffr-et-les-ex-adjoints-de-noves-29-01-2018-2190589_26.php

 

Citation

 

Jean-Frédéric Dubois et Yannick Bru, les adjoints de Guy Novès limogés fin décembre en même temps que l'ex-sélectionneur du XV de France, ont trouvé lundi un arrangement financier avec la Fédération, a indiqué cette dernière, confirmant une information de RMS Sport.

"Messieurs Yannick Bru, Jean-Frédéric Dubois et la Fédération Française de Rugby se sont entendus pour régler amiablement les conséquences de leur séparation, de sorte qu'il ne sera, ni de part ni d'autre, effectué de quelconques autres ou plus amples commentaires", a indiqué la FFR, sollicitée par l'AFP.

Un accord sur les modalités de leur licenciement, conséquence d'une désastreuse série de six tests sans victoire pour les Bleus fin 2017, a été rendu possible par le fait que les deux adjoints n'aient pas été débarqués pour faute grave, contrairement à Novès, qui a saisi les prud'hommes pour contester la rupture de son contrat contre son gré.

Novès reproche en particulier à Bernard Laporte, le président de la FFR avec qui il entretenait une inimitié notoire, de ne pas l'avoir convoqué à un entretien préalable.

Entré en fonction après la Coupe du monde 2015 pour redresser une sélection française en déclin depuis des années, Novès devait mener les Bleus à la Coupe du monde 2019. C'est le premier sélectionneur français à être débarqué.

Laporte a remplacé Novès par Jacques Brunel, son adjoint en charge des avants à l'époque où il était lui-même sélectionneur (2000-2007). Manager de Bordeaux-Bègles en début de saison, le Gersois dirigera les Bleus pour la première fois samedi au Stade de France face à l'Irlande.

 

 

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Il y a 2 heures, tropézien a dit :

Si quelqu’un a l’article du monde qui parle des augmentations de salaires à la FFR depuis l’arrivée de la binocle, je suis preneur. 

 

Cadeau :

 

Rugby : les bons contrats de l’équipe de Bernard Laporte
« Le Monde » révèle notamment que certains proches du président de la Fédération française de rugby ont bénéficié d’importantes augmentations de salaire.

 

LE MONDE | 02.02.2018 à 06h30 • Mis à jour le 02.02.2018 à 10h50 | Par Adrien Pécout

 

Vu comme ça, la petite commune de Marcoussis, dans l’Essonne, ressemble fort peu à Pyongyang. Des pavillons, un étang, une église… Et puis aussi le siège de la Fédération française de rugby (FFR), l’une des plus puissantes organisations sportives du pays.

 

Il y a encore un an et deux mois, Bernard Laporte disait pourtant sa peur que la « fédé » devienne « la Corée du Nord du sport français », une institution figée dans le temps, coupée des réalités extérieures. Le candidat à la présidence de la FFR menait alors campagne avec une promesse aux clubs amateurs : « faire réellement vivre la démocratie et la concertation au sein de la fédération ».

 

Jolie promesse et belle hypocrisie, selon ses détracteurs. De fait, depuis son élection, le 3 décembre 2016, rien n’est vraiment paisible à Marcoussis. Ce domaine de 42 hectares, qui possède plusieurs terrains de rugby – dont un couvert – et des bâtiments administratifs, est l’épicentre de secousses qui agitent bien au-delà de l’Ovalie.

 

Le président de la FFR joue collectif
Les opposants à Bernard Laporte ne lui reprochent pas seulement de potentiels conflits d’intérêts et la récente perquisition dans les bureaux de la FFR ainsi qu’à son domicile. Ils dénoncent aussi la mise en place, à marche forcée et à bourse déliée, de son propre système, et l’intronisation de ses fidèles.

 

Le Monde a eu connaissance des contrats de certains d’entre eux. A l’évidence, ils peuvent s’estimer heureux : désormais installés aux postes stratégiques, les voici récompensés de tous ces mois passés à militer pour M. Laporte, au gré de 120 déplacements à travers le pays.

 

A 53 ans, le président de la FFR, ancien demi de mêlée, continue de jouer collectif envers ses ex-coéquipiers du club de Bègles-Bordeaux, champion de France en 1991. Au poste de directeur général, il a placé Sébastien Conchy. Celui-ci perçoit un salaire mensuel de 7 700 euros brut. Une somme modeste pour un tel poste dans une telle entreprise (la FFR compte un peu plus de 270 000 licenciés et 120 salariés), mais assortie de divers avantages : la prise en charge d’un vol aller-retour hebdomadaire Bordeaux-Orly ; une chambre au Centre national de rugby à Marcoussis ; une prime de fin de saison pouvant aller jusqu’à 20 % de la rémunération annuelle. Des conditions d’autant plus appréciables que M. Conchy travaillait auparavant pour une entreprise familiale placée en redressement judiciaire, Exosun, dans le domaine de l’énergie solaire.

 

A Marcoussis, une ambiance pesante
Deux autres anciens de Bègles-Bordeaux ont intégré l’effectif. D’abord, l’omniprésent Serge Simon, vice-président aux attributions à rallonge : équipes de France, haut niveau, marketing-communication…. Sa rémunération, déjà ébruitée dans la presse, dépasse les 9 000 euros par mois.

 

D’après nos informations, celle de Christophe Reigt, manager des équipes nationales de rugby à 7, s’élèverait à 7 700 euros, soit plus de trois fois le salaire de son prédécesseur, Jean-Claude Skrela. Un bon job pour le néoentraîneur, dont l’expérience principale, en tant que directeur technique, se résumait pourtant à un passage auprès de la sélection roumaine de rugby à 7 (2011-2012).

 

Autre cas d’espèce, celui de Philippe Rougé-Thomas. Cet ancien responsable du secteur formation du Stade toulousain devait en principe siéger au comité directeur de la FFR en qualité d’élu de la liste Laporte. Un mois à peine après l’élection, il a préféré en démissionner pour devenir directeur de la formation, un poste créé pour lui, à hauteur de 7 700 euros mensuels. Les statuts fédéraux auraient interdit sa rémunération s’il avait conservé son simple mandat d’élu, dans la mesure où la FFR avait déjà atteint son plafond de trois élus rémunérés : le vice-président Serge Simon donc, mais aussi Christian Dullin (secrétaire général) et Alexandre Martinez (trésorier général).

 

Dans les allées de Marcoussis, un petit monde où règne depuis des mois une ambiance pesante, la manœuvre a surpris, voire attisé les convoitises de nombreux proches du pouvoir. Philippe Rougé-Thomas travaillait jusque-là au Stade toulousain, tout en menant activement campagne pour la liste Laporte auprès des petits clubs d’Occitanie. D’autres ont aussi plaidé la cause du futur président, mais devront se satisfaire d’un mandat de bénévole.

 

Tous ces contrats à durée indéterminée ont un point commun : Bernard Laporte les a voulus au plus vite. Quitte à se dispenser de tout processus classique de recrutement pour le poste, pourtant technique, de directeur général.

 

Silence radio à tous les étages
Cet empressement a aussi profité à un personnage familier de l’Ovalie : Claude Atcher, un ancien joueur du Racing qui facture ses prestations pour le compte de sa société de management, Score XV. Il a d’abord œuvré à l’élection de M. Laporte, puis à celle de la France comme pays hôte de la Coupe du monde 2023, acquise en novembre 2017, date à laquelle expirait le contrat pour cette mission.

 

L’homme est pourtant contesté depuis longtemps : en 1995, alors qu’il conseillait déjà la FFR, un rapport du ministère des sports le soupçonnait d’avoir été en position de favoriser une de ses sociétés par l’intermédiaire de la « fédé ». Dossier classé sans suite. Sollicité par Le Monde, M. Atcher n’a pas voulu répondre par téléphone à nos questions.

 

Depuis un an, il continue de faire travailler ses relations. D’après nos informations, il a notamment enrôlé pour deux missions ponctuelles l’un de ses amis, Michel Tachdjian, un autre ancien racingman. Deux missions très rémunératrices pour cet ex-deuxième-ligne, qui exerce ces fonctions de consultant parallèlement à son travail au service des sports du conseil départemental des Hauts-de-Seine. « Je n’ai pas grand-chose à dire là-dessus, élude ce dernier, interrogé par Le Monde. J’ai donné des conseils sur la manière de mobiliser les institutions rapidement. » Sa première mission concernait un tournoi de rugby à 7, le Paris Sevens ; la seconde portait sur la Coupe du monde 2023. Toutes deux ont été validées en mai 2017, précisent nos sources.

 

A Marcoussis, une fois franchie la grille de l’entrée siglée FFR, autant abdiquer tout espoir de plus amples confidences sur l’organigramme ainsi imposé par M. Laporte. Silence radio à tous les étages, surtout au premier, celui de la présidence.

 

Et à plus forte raison depuis le 23 janvier : ce jour-là, la brigade de répression de la délinquance économique perquisitionnait les bureaux. Le parquet national financier soupçonne M. Laporte d’avoir fait pression pour réduire des sanctions disciplinaires contre le club de Montpellier, propriété du milliardaire Mohed Altrad, avec lequel il avait signé, à titre personnel, un contrat d’image.

 

Du sur-mesure pour des recrues proches de M. Laporte
Difficile, dans ce climat, de trouver des volontaires prêts à remplacer certains hauts responsables du secteur administratif de la FFR. Ainsi, trois postes importants sont vacants depuis un an : directeur administratif financier, directeur des projets sportifs, directeur du marketing et de la communication. Les titulaires ont tous quitté les lieux en raison de désaccords avec la nouvelle équipe. L’un a même engagé une procédure aux prud’hommes, les deux autres ont procédé à une rupture conventionnelle.

 

Le secteur des ressources humaines est lui aussi à l’arrêt, sa responsable étant en arrêt-maladie longue durée. Sans oublier l’absence actuelle d’un contrôleur de gestion (le précédent ayant démissionné, comme d’autres collègues), plutôt gênante pour une fédération dont le budget dépasse les 100 millions d’euros.

 

En parallèle, d’autres postes ont fait leur apparition. Du sur-mesure pour accueillir des recrues proches du pouvoir. Par exemple, Laurent Latour, propulsé « directeur digital et du système informatique » de la FFR. Avec la société Webedia, cet homme de 33 ans « avait participé à la campagne de Bernard Laporte pour la présidence », rappelle le site Internet de son école de commerce, l’ISC Paris. Depuis, M. Laporte a voulu lui signifier sa reconnaissance : la FFR lui verse un salaire de 6 200 euros, soit davantage qu’au directeur général adjoint, Laurent Gabbanini.

 

Toutes ces questions de gouvernance, qui n’ont a priori rien d’illégal, pourraient faire l’objet de longs débats. Las ! les réunions mensuelles du comité directeur laissent peu de place à la contradiction, d’après les rares élus de l’opposition.

 

« La dernière blague ? Comme on s’est permis de critiquer dans la presse le fonctionnement du comité directeur, on a été menacés de commission de discipline, voire de radiation de la FFR », raconte Florian Grill, le président du comité d’Ile-de-France. Le Francilien figure parmi les six élus rescapés de la liste de Pierre Camou, le président sortant (2008-2016).

« Il y a plein de réformes sportives de l’équipe Laporte que je valide et avec lesquelles je suis à l’aise », souligne-t-il. Mais il déplore le fonctionnement « clanique » de l’institution. « Ce n’est pas un principe de saine gouvernance, assure-t-il. Si tu ne fais pas partie du clan, tu es exclu, quelles que soient tes compétences. » Exemple personnel : le rugby à 5, secteur dont il a perdu la responsabilité et qu’il avait pourtant développé.

 

Lui aussi dans l’opposition, Serge Blanco, personnalité historique du rugby national, qualifie la situation d’« ubuesque » : « Le tout, c’est de savoir la valeur et la compétence des personnes que Laporte met à certains postes. Il y en a certaines de très intéressantes, et d’autres, inconsistantes… »

 

« C’est le règne du manque de respect de l’autre »
Plusieurs habitués de Marcoussis partagent cette amertume. Didier Mené, l’ancien responsable de la commission centrale des arbitres, a dû abandonner ses fonctions sitôt Laporte élu : « Ce n’est pas forcément Bernard Laporte lui-même, mais ses lieutenants qui ont introduit un climat délétère dans le rugby français. C’est le règne du manque de respect de l’autre. » Ce cadre supérieur dans la pétrochimie officiait à titre bénévole à la FFR. A l’inverse de Joël Dumé, son successeur au plus haut niveau de l’arbitrage, qui perçoit un salaire. Or, d’après M. Mené, « le patron de l’arbitrage aurait dû rester un élu indépendant qui n’a aucun lien de subordination, et encore moins économique ».

 

Un mécanisme similaire est à l’œuvre à la tête de la commission médicale. Son responsable, Thierry Hermerel, touche désormais un salaire non négligeable pour un mi-temps, là où Jean-Claude Peyrin, son prédécesseur, exerçait bénévolement. Il faut dire que M. Hermerel, médecin du club d’Agen, est un proche de M. Laporte : il a officié comme docteur du XV de France quand ce dernier en avait la charge (1999-2007).

 

Chez les féminines aussi, on déplore volontiers un manque de concertation. « J’ai perdu mes compétences le samedi 3 décembre 2016, ironise Nathalie Janvier, ancienne chef de mission du XV de France féminin. Le samedi, j’ai quitté Marcoussis, je n’ai reçu aucun coup de fil. On bossait sur un projet de Coupe du monde depuis quatre ans… »

 

La dirigeante avait le tort de figurer sur la liste Camou. Une pro-Laporte, Annick Hayraud, l’a remplacée avec la manière forte. Dès le mois suivant, elle congédiait le duo d’entraîneurs avec qui les Françaises venaient pourtant de remporter le Tournoi des six nations. Cette même compétition que le XV de France masculin attend toujours de gagner depuis le Grand Chelem de 2010. Autre époque, autre gouvernance.

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il y a 45 minutes, Zuzu31 a dit :

Une seule phrase correspond à ma pensée : "Ils l'ont voulu, ils l'ont !"

 

Le problème c'est que lorsque l'ordre établi depuis trop longtemps doit être bouleversé mais que tu as le choix entre la peste et le choléra, il peut paraître concevable de se dire que le nouveau (la peste) sera moins pire que l'ancien (le choléra)...le problème étant que l'inverse se produit souvent et qu'on en vient à regretter l'ancien régime, moins pire mais pas très vertueux pour autant. Ce constat qui est applicable partout et notamment en politique (Etat-Unis 2016, Tunisie 2011....) pourrait être qualifié d' "Effet Jacques Chirac".

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Pour revenir dans le cas présent du rugby français, certes Laporte bat tous les records du monde en terme de magouille, corruption, triche, abus de biens sociaux et j'en passe mais faudrait pas oublier non plus qu'avant lui, c'était loin d'être tout rose non plus. C'est ce que Jacques Verdier a rappelé un temps, certes maladroitement voire malhonnêtement.

 

Et on en revient malheureusement au caricatural, démagogique mais néanmoins vérifiable maintes fois "tous pourris"

Modifié par le corse
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il y a 12 minutes, le corse a dit :

Ce constat qui est applicable partout et notamment en politique (Etat-Unis 2016, Tunisie 2011....) pourrait être qualifié d' "Effet Jacques Chirac".

 

On pourrait aussi l'appeler "effet Giscard", "effet Mitterand", "effet Sarkozy", "effet Hollande"… Ca marche vachement bien ce truc en fait.

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il y a 29 minutes, Gabi a dit :

Et ca ne fait qu'un an qu'il est élu... Il n'a pas perdu de temps.

 

Un point godwin me tente...

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il y a une heure, le corse a dit :

Pour revenir dans le cas présent du rugby français, certes Laporte bat tous les records du monde en terme de magouille, corruption, triche, abus de biens sociaux et j'en passe mais faudrait pas oublier non plus qu'avant lui, c'était loin d'être tout rose non plus. C'est ce que Jacques Verdier a rappelé un temps, certes maladroitement voire malhonnêtement.

 

Et on en revient malheureusement au caricatural, démagogique mais néanmoins vérifiable maintes fois "tous pourris"

 

Le problème c'est que tu le dis très bien : avant, "c'était loin d'être tout rose" et maintenant avec Laporte on "bat tous les records du monde en terme de magouille, corruption, triche, abus de biens sociaux" etc....

Comme disait Coluche, "vous connaissez pire ?, et bien là c'est encore pire !"

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Il y a 1 heure, Papalou a dit :

 

On pourrait aussi l'appeler "effet Giscard", "effet Mitterand", "effet Sarkozy", "effet Hollande"… Ca marche vachement bien ce truc en fait.

 

Pour les deux premiers, je n'étais pas né mais je veux bien te croire :clin

 

Par contre, pas sûr que beaucoup aient regretté Sarko lors du quinquennat d'Hollande, idem pour ce dernier aujourd'hui. 

 

Alors que j'entends très souvent des gens dirent que Chirac était bien mieux que les 3 derniers gusses qu'on a eu depuis 2007, cela avec parfois de la nostalgie.

 

Fin du HS, Laporte démission. 

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Il y a 2 heures, le corse a dit :

Et on en revient malheureusement au caricatural, démagogique mais néanmoins vérifiable maintes fois "tous pourris"

 

OK, mais le problème c'est que Laporte a basé une bonne partie de sa campagne sur le thème de la "fin du copinage et de la république bananière ", pour finalement en arriver là (favoritisme, copinage...).

M'enfin les promesses n'engagent que ceux qui veulent bien y croire...

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Entre les indemnités aux communes pour le grand stade, les indemnités de licenciement à Noves, les très gros salaires FFR à ses potes, les bagnoles de fonction à d'autres copains, les cadeaux aux clubs  (ballons, télés, canal), il va pas rester grand chose dans les caisses.

Son bienfaiteur Altrad va devoir payer davantage.

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il y a 1 minute, Gabi a dit :

Entre les indemnités aux communes pour le grand stade, les indemnités de licenciement à Noves, les très gros salaires FFR à ses potes, les bagnoles de fonction à d'autres copains, les cadeaux aux clubs  (ballons, télés, canal), il va pas rester grand chose dans les caisses.

Son bienfaiteur Altrad va devoir payer davantage.

 

S'il accepte. Parce que le Mohed il a quand même déclaré publiquement que le traitement réservé à Novès n'était pas digne, ce qui interpelle quand on sait qu'il est l'un des premiers soutiens de Laporte...moi ça m'étonnerait pas qu'Altrad commence à lâcher la Binocle en se rendant compte du gros foutoir actuel causé par les différentes affaires. 

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il y a 15 minutes, Gabi a dit :

Entre les indemnités aux communes pour le grand stade, les indemnités de licenciement à Noves, les très gros salaires FFR à ses potes, les bagnoles de fonction à d'autres copains, les cadeaux aux clubs  (ballons, télés, canal), il va pas rester grand chose dans les caisses.

Son bienfaiteur Altrad va devoir payer davantage.

Il ne restera plus d’argent pour le rugby amateur, les vrais cocus de cette situation.

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C'est bien marqué que les contrats des potes à Laporte sont à durée indéterminée, non!?

C'est pas mal joué ce truc là!

 

Laporte démission!

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il y a 11 minutes, ESQ4 a dit :

Il ne restera plus d’argent pour le rugby amateur, les vrais cocus de cette situation.

cocu et..masochiste. :P

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il y a une heure, Gabi a dit :

Entre les indemnités aux communes pour le grand stade, les indemnités de licenciement à Noves, les très gros salaires FFR à ses potes, les bagnoles de fonction à d'autres copains, les cadeaux aux clubs  (ballons, télés, canal), il va pas rester grand chose dans les caisses.

Son bienfaiteur Altrad va devoir payer davantage.

 

Suffit de demander à tous les mecs qui boivent gratos au bar du CNR de payer leur note et le trou devrait se combler. 

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À partir du moment où n'importe quel connard est élu il se sent "légitime" en tant que personne. 

 

Du coup il ne faut pas s'étonner qu'il extrapole ce sentiment à l'ensemble de ses actes.

 

Si on ajoute le fait que son statut lui confère une certaine impunité il faut être con pour croire que ce connard va se priver de vous la mettre bien profond tout en trouvant ça normal et légitime...

 

Notre environnement proche fonctionne comme ça depuis deux siècles et tout le monde continue à mettre son bulletin dans l'urne.

C'est magique !

 

Bref, Bernard a compris ça depuis son passage en politique et il l'applique à son petit niveau, tranquille, pépère. 

 

Mais quoi d'étonnant ? Bernard ou le système qui lui permet d'être à sa place ?

 

 

Le Roi est mort, vive le Roi ! J'ai dit.

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grand schtroumpf 83
Il y a 5 heures, tropézien a dit :

 

J'te promets et ça me coûte de le dire.

Bah en meme temps, vu ton amour de Bernie, tu le regrettes depuis la proclamation des résultats. C'est pas un scoop du coup.

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