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[Top 14- J20] La Rochelle - Stade toulousain (dimanche 24 mars à 21h)


Saint Thomas ST

Messages recommandés

Sur le rythme actuel, 4 victoires dont 2 avec BO: 18 points. 1 nul: 2 points 1défaites avec bd 1 point. Ric-rac donc

 

Le mieux, et je pense que tout le monde sera d'accord, serait 6 victoires avec BO, sans blessés. Y'a un papier à signer quelque part?

 

 

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Il y a 4 heures, will31 a dit :

Sur le rythme actuel, 4 victoires dont 2 avec BO: 18 points. 1 nul: 2 points 1défaites avec bd 1 point. Ric-rac donc

 

Le mieux, et je pense que tout le monde sera d'accord, serait 6 victoires avec BO, sans blessés. Y'a un papier à signer quelque part?

 

 

Moi j'échange tes 6 victoires en saison régulière de top 14 contre 3 victoires en Hcup et 2 en phase finale de top 14 sans bo : j'économise 1 victoire, du sopalin et les remontrances de Raphaëlle!:smile:

Modifié par capitole46
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Il y a 4 heures, Hugogo a dit :

Il faudrait prendre 21 points en 6 matchs pour battre le record . Ça va être compliqué....

On s'en tape... Le but maintenant c'est de bien gérer notre fin de saison pour arriver au top sur les matchs couperets.

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il y a 2 minutes, Keke a dit :

On s'en tape... Le but maintenant c'est de bien gérer notre fin de saison pour arriver au top sur les matchs couperets.

 

+1 !

On a déjà bien assez de records comme ça !

:yes:

 

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il y a 22 minutes, Keke a dit :

On s'en tape... Le but maintenant c'est de bien gérer notre fin de saison pour arriver au top sur les matchs couperets.

Évidemment que l’on s’en tape , c’est juste un challenge. 

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il y a 43 minutes, capitole46 a dit :

Moi j'échange tes 6 victoires en saison régulière de top 14 contre 3 victoires en Hcup et 2 en phase finale de top 14 sans bo : j'économise 1 victoire, du sopalin et les remontrances de Raphaëlle!:smile:

A mon avis avec la dépense de sopalin engendrée par un doublé il n'y aura pas d'économie de ce côté là, on risque même une rupture de stock mondiale :stuart:

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L'Equipe papier du jour :


DE TAILLE S À XXL


DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL LAURENT CAMPISTRON

Estimé un poil juste en début de saison, l’effectif du Stade Toulousain s’est élargi grâce à l’épanouissement de jeunes espoirs et à la résurrection de cadres confirmés.
TOULOUSE – Souvenez-vous, c’était en septembre. Le Stade Toulousain prenait une valse terrible à Montpellier (66-15, 5e j.) avec une équipe excessivement remaniée. La gifle était telle que beaucoup imaginaient alors que ce groupe, profondément rajeuni après les départs ou arrêts de plusieurs cadres quelques mois plus tôt (Fritz, David, Fickou, Maestri, etc.), n’avait pas la profondeur suffisante pour rayonner sur la durée en Top 14 et en Coupe d’Europe. Erreur. Toulouse n’a perdu que deux matches depuis ce voyage en enfer dans l’Hérault d’il y a six mois. L’un à domicile face à Castres (22-26, 6e j.), l’autre à l’extérieur au Leinster (29-13). Il n’a pourtant pas cessé sa politique de turnover. Il a ainsi remporté des matches à Pau (13-15, 10e j.), au Racing (29-34, 16e j.), au Stade Français (9-28, 18e j.), à La Rochelle (19-23, 20e j.), ou obtenu un nul à Clermont (20-20, 12e j.) avec des formations presque aussi chamboulées qu’à Montpellier, ce qui lui permet de surfer aujourd’hui sur une série record de quatorze matches sans défaite en Top 14.

 

Alors, comment cette équipe, dont le banc paraissait si léger en début de Championnat, a-t-elle bien pu subir les multiples aléas de sa saison (blessures de Baille, Dupont, Gray, Fouyssac, Mermoz, Verhaeghe, J. Marchand, Ghiraldini, Aldegheri ; suspensions de Kaino, Pointud…) sans décrocher ? Comment a-t-elle pu traverser les périodes de vrais et faux doublons qui l’amputèrent d’une demi-douzaine d’internationaux pendant plusieurs semaines avec une facilité aussi déconcertante ? « Notre effectif s’est épanoui et a pris confiance pendant l’automne », estime le coentraîneur Régis Sonnes. Un match a clairement fait office de déclic : la victoire en Coupe d’Europe à Ernest-Wallon face au Leinster (28-27), le champion en titre, à la mi-octobre, avec une équipe pourtant affaiblie sur le papier. « On a réussi à malmener le Leinster comme il l’avait rarement été ces dernières années, confirme le demi de mêlée Antoine Dupont. Ça nous a donné une confiance incroyable parce qu’on a vu qu’on était capables de rivaliser avec les meilleurs. »

 

Des « papas » stimulants
Le Stade ne s’est pas trompé non plus dans son recrutement, même précipité, comme lorsqu’il enrôla en début d’année le deuxième-ligne australien Richie Arnold (voir par ailleurs), instantanément devenu une valeur sûre du pack. Surtout, il a réussi à créer au quotidien, à l’entraînement, une atmosphère émulatrice qui permet aux plus jeunes de progresser en grillant les étapes et aux joueurs plus confirmés de garder ou de retrouver leur esprit de compétiteur. La dynamique impulsée par les succès à répétition et le jeu audacieux et entraînant proposé par le staff ont fait le reste. « Aujourd’hui, il n’y a plus les jeunes d’un côté et les anciens de l’autre, mais un mélange harmonieux de joueurs de différentes générations qui partagent une même idée du rugby, nous expliquait récemment Michel Marfaing, le directeur du centre de formation toulousain. Comme ils se frottent à tous les ateliers à l’entraînement, les gamins ne sont plus surpris par une combinaison ou une annonce lorsqu’ils montent en pro. Ça fait gagner du temps. »

 

À dix-neuf piges, l’ailier champion du monde des moins de 20 ans Matthis Lebel fait justement partie de ces espoirs en plein boom. Il témoigne : « Les plus anciens savent qu’une belle génération arrive et qu’ils ne peuvent donc pas se reposer sur leurs acquis. Et nous, les jeunes, on aspire à les dépasser et à prendre leur place un jour. Lors des séances, on fait beaucoup de jeu. Alors, si on a l’occasion de gagner un duel face à un concurrent, on ne s’en prive pas (sourire) ! » « Sur les phases d’oppositions ou nos ateliers collectifs, on voit qu’il y a du répondant, autant en attaque qu’en défense, complète Sonnes. Ça nous permet de pouvoir ressortir deux ou trois équipes compétitives. »

William Servat, l’entraîneur adjoint, n’omet pas de pointer du doigt la part des tauliers du vestiaire dans cette période euphorique des Rouge et Noir. C’est aussi grâce aux comportements exemplaires et contagieux d’un Tekori, d’un Kaino, d’un Faumuina ou d’un Faasalele que des joueurs un temps en souffrance ou blessés (Castets, Guitoune, Galan, Akhi…) ont retrouvé leur meilleur niveau, ou que les jeunes se sont professionnalisés à une vitesse supersonique. « Quand tu t’appelles Selevasio Tolofua et que tu entends un Jérome Kaino te dire que tu as les qualités pour jouer avec les All Blacks, ça te donne une confiance énorme, dit-il. C’est la même chose quand tu t’appelles Paulo Tafili (jeune pilier Espoirs) et que tu vois Charlie Faumuina rester après l’entraînement pour faire du gainage avec toi. Et c’est avec cette confiance donnée par les ‘‘papas’’ du vestiaire que tu arrives ensuite à battre le Leinster… » É


L’embarras du choix

La richesse de l’effectif place le staff toulousain devant un vrai casse-tête pour choisir les quinze joueurs qui débuteront dimanche le quart de finale européen face au Racing.
TOULOUSE – C’est un problème de riche auquel sont souvent confrontés les entraîneurs des meilleures équipes : choisir les quinze joueurs, et même les vingt-trois, en comptant les remplaçants, qui disputeront les matches qui comptent, ceux de phases finales. Le staff toulousain, qui vient de voir revenir tous ses éléments réquisitionnés pour le Six Nations, se trouve aujourd’hui devant ce luxueux embarras. Que faire ? Réintégrer tous les internationaux à la place de joueurs qui ont parfaitement tenu la baraque en leur absence, à l’instar d’un Ahki ou d’un Tauzin ? Ou au contraire leur préférer leurs remplaçants supposés pour rester sur la dynamique dévastatrice du moment ? Cruel dilemme. Qui ne semble pourtant pas trop miner le coen-traîneur Ugo Mola : « Ce quart face au Racing présente des caractéristiques différentes dont il faudra tenir compte, au-delà de l’état de forme des uns et des autres. Un, c’est un match de phase finale ; deux, il se jouera sur un terrain différent (synthétique) ; et trois, face à un adver- saire au profil également particulier. Comme on a la chance de vivre six à huit heures par jour avec nos joueurs, j’ose espérer qu’on fera les bons choix. »

 

Ntamack et Ahki en balance au centre
De grosses incertitudes pèsent néanmoins sur certains postes, notamment au centre. Qui associer à l’indéboulonnable Sofiane Guitoune entre le jeune Romain Ntamack, dont la vitesse de jeu paraît parfaitement compatible avec la surface de l’Arena, et le puissant Pita Ahki, physiquement plus armé pour rivaliser au milieu du terrain avec le duo Chavancy-Vakatawa ? Quel pilier gauche choisir entre Castets, Baille ou Pointud ? Et quel cador éliminer du triangle de derrière entre Kolbe, Médard, Huget et Ramos ? « La chance que l’on a, c’est qu’il y aura au moins un autre match de phase finale d’ici à la fin (en Top 14, où Toulouse a 24 points d’avance sur le septième à six journées de la fin de la saison régulière) », observe Mola. Ce qui veut dire que les recalés de dimanche auront une autre chance de vivre un match couperet. Ce sera peut-être le cas du deuxième-ligne Jo Tekori, très incertain pour ce quart de finale en raison du décès de sa mère. « Il rentrera au club en fin de semaine et on verra s’il est en mesure de jouer, confie Mola. Mais, vraisemblablement, il ne sera pas sur la feuille de match. » Un doute subsiste aussi autour de Peato Mauvaka, l’un des deux talonneurs valide avec Guillaume Marchand. Hier, le Néo-Calédonien ne s’est pas entraîné à cause d’une gêne au mollet gauche. L. C.

 

Rien  de nouveau, SAUF la gêne au mollet de Mauvaka : j'espère vraiment que Baille (ou un autre) s'entraîne au talon. 

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Une « gêne» au mollet ne t’empeche pas de jouer un quart . Mauvaka devrait être dispo , par contre il a tendance à avoir des pépins musculaires assez souvent . 

Modifié par Hugogo
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La blessure de Mauvaka est aussi sur la Dépêche.

Tekori vers un forfait :  on se dirigerait vers Gray-Arnold

Modifié par Raphaelle
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