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[Champions'Cup - 1/2 finale] Leinster - Stade toulousain (Dimanche 21 avril à 16h15 Aviva Stadium / France 2)


Raphaelle

Messages recommandés

Invité Pardine

Holmes* toujours incertain...

 

https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Toulouse-holmes-toujours-incertain/1010499

 

* Pour ceux qui étaient dans l'espace je rappelle qu'il a subit une commotion suite a une agression dimanche dernier VS l'ASM...bien sur comme nous sommes sport nous avons ni chouiné ni dénoncé le coupable du mauvais geste !

Modifié par Pardine
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Il y a 4 heures, Colza Nostra a dit :

Perso je suis clermontois et ne je vois pas de faute volontaire de Tekori.

 

Il se penche et arme son épaule sans même voir la tentative de retour intérieur de Behe ( il a la tête penchée en attendant le choc ).

 

Bref c’est bien payé pour nous et ça fait beaucoup de bruit pour rien sachant que notre talon n’a pas fini à Ste Marie.

 

Par contre Arnold mérite un beau jaune et/ou une belle soupe de phalanges.

 

On est tous d’accords : Poite enkulé !

 

entierement d’accord avec toi

 

pour moi Arnold méritait un jaune

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Il y a 3 heures, LeinsterMan a dit :

Fan de Leinster ici. Je ne peux pas attendre dimanche. Nous sommes très nerveux à propos du jeu. 
Bonne chance à vous et si vous et les Saracens gagnez ce week-end, nous encouragerons Toulouse à Newcastle!

(forgive my french by the way)

 

 

Hi LeinsterMan

Happy to have you here in our forum

 

Excited as well by this game !

 

But even if we have a very attractive way of playing this year ...we know that Leinster is a big mountain to climb !

 

I hope an historic event Sunday that will contribute to the legend of both teams !

 

Cheers ?

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Il y a 6 heures, LeinsterMan a dit :

Au nom d'Artur Guinness, vous êtes les bienvenus!

C'est toujours Temple Bar les rendez vous d'après match ? 

ou bien dans des pubs plus typiques dans des quartiers moins touristiques ?

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Il y a 10 heures, olivier11 a dit :

Interview de Servat dans l'équipe

 

Pour L'Équipe, l'actuel entraîneur des avants toulousains (41 ans) explique sa méthode de travail, mêlée d'expérience et d'empathie, revient sur les difficultés qu'il a rencontrées au début de sa nouvelle carrière de coach et livre quelques clés sur les raisons sportives qui ont propulsé les jeunes pousses du club garonnais en haut de l'affiche cette saison, alors que le Stade Toulousain disputera une place pour une finale de Coupe d'Europe dimanche sur la pelouse du tenant du titre, Leinster (16h15).

« Le Stade Toulousain avait réalisé une belle saison l'an dernier, mais il est carrément transfiguré aujourd'hui. Quel a été le facteur déclencheur selon vous ?
On avait une idée forte du rugby que l'on voulait jouer mais tout n'était pas complètement en place pour y parvenir. On finit troisième (de la saison régulière) alors qu'on aurait pu faire second (défaite à domicile contre Lyon, 20-27, le 11 mars). Derrière, on perd en barrages, à domicile, contre Castres (11-23) avec un contexte compliqué. Le départ de joueurs ayant porté notre maillot de nombreuses années (Maestri), un autre encore en contrat chez nous (Fickou) et l'arrêt de carrière de Florian (Fritz). On se fait sortir sur ce match, mais la saison est très bonne. Et celle en cours est carrément exceptionnelle (admiratif). Un mec comme Alex Marco a bouleversé le club. C'est notre préparateur physique. Il peut paraître fou, mais c'est le meilleur (rires) ! Notre rugby est validé par la compétence physique qu'il a offerte à nos joueurs.

Le début de saison ne laissait pas présager du scénario que vous déroulez en Championnat, en Coupe d'Europe...
En début de saison, quand on part (fin juillet) en Andorre pour le stage et qu'il n'y a que des jeunes : Lucas Tauzin (20 ans), Arthur Bonneval (23 ans), Guillaume Marchand (20 ans)... En comparaison avec les saisons passées, tu as l'impression d'être avec les Espoirs. Personne n'en parle, mais quand même...

Il y a surtout la défaite à Montpellier qui laissait craindre le pire et notamment le manque de profondeur de votre banc...
Justement, ce match est caractéristique de notre saison. On a mis les jeunes ce jour-là, et on est passés à côté (défaite 66-15, le 23 septembre). Mais il ne faut pas oublier que Piula Faasalele, capitaine des Samoa et régulièrement chez nous, prend un carton rouge à la 17e minute. Alors, derrière, on a sombré. C'est vrai. Sauf que ce jour-là, on a mis Lucas Tauzin, Guillaume Marchand, Selevasio Tolofua (21 ans)... Il y avait 80 % de l'équipe qui allait battre le Leinster, à Ernest-Wallon (28-27, le 21 octobre, en phase de groupes de Coupe d'Europe). Pour donner de la confiance aux jeunes, il faut leur en accorder et donc leur donner la chance de disputer des matches qui comptent. Certes, à Montpellier, on s'est trompés, mais on pensait sincèrement qu'on allait exister. Ce n'était pas ce que les gens ont pu qualifier d'impasse. D'ailleurs, je n'avais pas apprécié que l'on puisse dire qu'on avait envoyé des gamins à l'abattoir.

Tauzin, Marchand, Ntamack, Mauvaka... Ce sont des supra pro « éprouvette ». Est-ce qu'ils sont naturellement comme cela ou est-ce que vous les avez élevés pour endurer cette pression ?
Ce qui est agréable chez eux, c'est leur capacité à se transcender, notamment sur les moments importants. Il y a des mecs que la pression inhibe et d'autres qu'elle rend meilleurs. Ç'a été le cas sur certains matches récemment. J'espère que cela continuera. Après, Romain (Ntamack) a toujours été élevé dans ce cadre-là. Il a été considéré à dix-sept ans comme un futur international. Il n'avait pas fait un match en équipe première ici qu'il était déjà sur la liste supplémentaire du quinze de France. C'était peut-être un coup marketing, mais j'avais trouvé ça un peu trop rapide. Prenez Christopher Tolofua (talonneur au Stade entre 2011 et 2017). On lui a mis trop de pression, trop tôt pour un gamin de dix-huit ans. Mais vous verrez que lorsqu'il va revenir à Toulon cet été, vu son évolution, il ne sera pas très loin du top niveau.

Qu'est-ce qui fait que vos jeunes sont prêts si tôt ?
C'est difficile à dire. Nous sommes tous très présents autour d'eux au club. C'est un plaisir d'être à leur contact et d'essayer de leur enseigner des choses. Je n'ai pas l'impression de travailler. Et si je prends le cas des premières lignes, la mêlée est quelque chose que j'affectionne particulièrement. Honnêtement, hormis Didier Sanchez (ancien talonneur) qui m'a donné de vrais conseils sur la mêlée, je n'en ai jamais réellement reçu. Je me suis fait mon expérience, avec mes coéquipiers, même si tout n'a pas été facile tous les jours. Donc, j'essaie aujourd'hui de leur transmettre tout ce qui m'a enrichi au fil de ma carrière. J'ai mis plus de douze ans à appréhender la mêlée, notamment parce que j'ai démarré tard au talon. Si je peux leur faire gagner quelques années en leur livrant un condensé de ce que j'ai compris, moi, en très peu de temps, ce serait déjà une réussite.

Les jeunes joueurs de rugby ont-ils beaucoup changé ?
Il y a une maturité plus importante plus tôt. Et puis, les mecs sont prédestinés à être pros. On est un club qui donne la possibilité de faire des études en parallèle. On a beaucoup de mecs en équipe première (Antoine Dupont, Thomas Ramos) qui ont un double projet afin d'obtenir un diplôme. Et honnêtement, on ne veut pas laisser tomber cela parce qu'on pense que pour avoir des bons joueurs, il faut des mecs qui comprennent. Je ne fais pas un lien entre l'intelligence et le niveau d'études, mais cela offre d'autres dispositions mentales et une force de travail. Trevor Brennan (ancien deuxième-ligne irlandais entre 2002 et 2007) venait des quartiers populaires de Dublin et c'est un mec brillant. Thierry Dusautoir ou Yannick Jauzion étaient ingénieurs...

« Pour être bon, il faut être heureux. C'est essentiel d'aller boire un verre ensemble. Même s'il ne faut pas y aller tous les soirs (rires) ! »

 

Le club a compris qu'il fallait former des hommes autant que des athlètes ?
Mais il n'a jamais lâché ça. On prend soin des familles, on fait attention à ce que le cadre de vie soit agréable. Et là, on dépasse le cadre des jeunes. Parce que pour être bon, il faut être heureux. C'est essentiel d'aller boire un verre ensemble. Même s'il ne faut pas y aller tous les soirs (rires) ! C'est bateau ce que je dis, mais tellement vrai. C'est important de créer ces moments de vie. Qu'ils partagent des choses. Aujourd'hui, nos mecs prolongent le plaisir du terrain en dehors et inversement.

Et vous, en tant qu'entraîneur, vous êtes attentif à cela ?
Selon moi, c'est capital. J'ai connu des groupes avec des mecs qui ne s'appréciaient pas forcément mais qui arrivaient à faire abstraction sur le terrain et à jouer ensemble. Bon, moi je n'y arrive pas trop (rires)... Si je vois deux mecs en conflit, j'essaie d'organiser une rencontre pour régler le truc et simplement échanger. Parce que le jour où ça marche un peu moins bien, quand vous avez de bonnes relations, cela vous permet de vous resserrer pour repartir.

Au départ, vous étiez entraîneur de la mêlée, mais vos prérogatives ont largement évolué...
J'étais entraîneur de la mêlée, des rucks et des attitudes au contact. Au départ, chacun a occupé la place qui était prédéfinie dans cette nouvelle organisation, avec un fonctionnement de staff à six entre les espoirs et les pros. Petit à petit, Régis (Sonnes, coentraîneur avec Ugo Mola), très pris par la touche et les ballons portés, a arrêté la défense (après la défaite contre Castres). J'ai repris ce secteur avec Laurent Thuery, qui faisait partie du trio du staff des espoirs qui interviennent quotidiennement avec la première. C'est un entraîneur structuré, très bon pour synthétiser les données. Et depuis ce jour-là, on fait la défense ensemble. Franchement, ça se passe très bien, sachant qu'aujourd'hui, je m'occupe aussi du jeu des avants.

Depuis le début de la renaissance toulousaine, on loue à juste titre les performances offensives des trois-quarts, mais ce qui a marqué à La Rochelle, par exemple, et encore plus à quatorze contre quinze en quarts de finale de Coupe d'Europe contre le Racing (21-22, le 31 mars), c'est la qualité de la défense et du jeu d'avants.
À tous les titres du Stade Toulousain, on a parlé du "jeu de mains, jeu de Toulousains", mais souvenez-vous de Claude Portolan (pilier des années 1980) qui emportait tout sur son passage. C'est notre héritage. On a eu ce débat mille fois avec Clément Poitrenaud (rires). On a un jeu de mouvement fantastique, il fait partie de notre ADN, on s'y retrouve tous parce que l'on a porté ce maillot. Mais, sans conquête, vous ne pouvez pas exister. Le Stade Toulousain a toujours performé avec de grands piliers droits. Avant de jouer, il faut avoir des ballons. C'est o-bli-gé (il insiste). Ajoutez une bonne défense et vous pouvez commencer à penser gagner des matches. De notre côté, on essaie d'y adjoindre ce supplément d'âme, cette volonté de se faire des passes.

Mais cela ne frustre jamais les avants du Stade que l'on parle si peu d'eux ?
Je crois qu'on se fout. Le principal, c'est que l'équipe tourne. Le collectif supplante l'individu, même s'il ne faut pas se mentir, nous avons des joueurs au milieu avec des qualités extraordinaires.

Après plusieurs saisons difficiles, comment vivez-vous ce qui se passe aujourd'hui, votre évolution personnelle ?
Mon début de carrière d'entraîneur n'a pas été évident, même si je me suis rendu compte, aussi, qu'au départ, je n'étais pas au niveau. J'ai mis du temps à m'y mettre parce que ce n'est pas facile quand vous démarrez. Je n'étais pas forcément prêt à être entraîneur. Maintenant, ça va vraiment mieux et depuis un petit moment.

Pourquoi ?
Le plus dur a été d'entraîner les mecs avec lesquels j'avais joué. J'ai organisé les soirées pendant dix ans. J'étais un épicurien. Et du jour au lendemain, j'ai dû couper les relations. Je l'ai fait de manière trop brutale. Je n'ai pas été adroit. J'ai voulu suivre des exemples qui ne ressemblaient pas à ma personnalité. Aujourd'hui, je me rends compte que je coache comme je suis. Et si j'ai envie d'aller prendre un verre avec les gars, eh bien, je ne me retiens plus.

Avez-vous appréhendé de nouvelles formes de sacrifices qui ne sont évidemment pas les mêmes que ceux des joueurs ?
Oui, notamment dans notre vie de famille. Le soir, vous regardez un peu la télé avec votre femme, mais vous êtes en fait sur l'ordinateur pendant trois heures à regarder des vidéos. Et c'est toute la semaine. Toute cette partie du job, je ne l'avais pas anticipée. Même si très vite, je m'y suis mis. J'arrivais très tôt le matin pour couper avec ce truc de joueur. Et puis, le fait de ne plus avoir le resto, même si c'est ma femme qui le gérait pour l'essentiel, et de me consacrer à cent pour cent dans le rugby, ça a changé pas mal de choses pour moi.

Est-ce que vous vous êtes posé la question de savoir si ce métier vous plaisait ?
Le problème d'avoir joué avec les mecs, c'est qu'ils ont pu croire, certaines fois, que j'avais pris des décisions qui n'avaient pas de lien avec le sportif. J'ai pu me planter. Mais ma volonté n'a jamais été d'aller contre une personne. Or ce n'est pas facile à intégrer des deux côtés. Surtout quand on a eu des relations "personnelles" avant.

Vous allez disputer une demi-finale de Coupe d'Europe dimanche chez le champion en titre, Leinster, sans aucune pression.
C'est une équipe qui perd très rarement et aller gagner chez eux serait un immense exploit. Ils nous ont battus là-bas alors qu'il leur manquait du monde (29-13, le 12 janvier, en phase de groupes). Et là, ils nous reçoivent dans leur grand stade, ça va encore être d'une intensité supplémentaire. J'espère que l'on saura répondre présent.

N'est-ce pas le type de rugby le plus à même de vous mettre en difficulté, avec leur faculté à cacher le ballon pendant trente et un temps de jeu sans jamais s'exposer ?
C'est sûr. Et puis, c'est l'équipe d'Irlande. Ou presque. »

Comme Servat nous parle de  "Porto"? ..une interview de février que j'avais pas vu, https://www.ladepeche.fr/2019/02/07/claude-portolan-pilier-du-stade-toulousain-jaurais-aime-jouer-aujourdhui,8000193.php

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Il y a 13 heures, tropézien a dit :

 

Si Cudmore avait fait ça à Servat, tu aurais hurlé à l’attentat comme tout le monde ici. 

Servat? la buche? l'homme qui arrête Tuilagi avec son nez??stoppé à 1 métre de la ligne?! il serait jamais allé pleurer sur les réseaux sociaux en tout cas lui si il c'était fait mettre minable de cet façon, sans dec l'autre il voit Tekori arriver, lui fonce dessus en baissant la tete et apres il crie à l'injustice...blessure à l'égo oui...

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Invité chomelaregle

Ne vous eparpillez pas !

le topic pour se mettre sur la tronche, suite à l'agression sans précédent de Tekori, suivi de sa remise en liberté...

Et des menaces de Beheregaray et Penaud, comme quoi "on allait voir ce qu'on allait voir" ,

c'est ici ! 

http://www.forumst.net/topic/18052-top-14-j22-stade-toulousain-clermont-dimanche-14-avril-à-16h50-au-stadium/?page=46

Modifié par chomelaregle
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Le Midol donne une compo proche de celles qu'on s'essaie à faire ici. 

Dans l'Equipe, Mola annonce une surprise, avec un plan pour contrer le Leinster : il n'y a plus qu'à attendre la vraie compo cet après-midi (ou à 13h ?) pour voir si c'est une vraie surprise ou simplement une charnière Bezy-Dupont

 

Toulouse a un plan
DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL LAURENT CAMPISTRON

Le Stade a déjà affronté deux fois le Leinster, cette saison, en phase de poules. Assez pour bâtir une stratégie susceptible de contrarier le géant irlandais en demi-finales.
TOULOUSE — Le Leinster est probablement l’équipe la plus étudiée par le Stade Toulousain cette saison. Parce qu’il figurait dans sa poule de la première phase de la Coupe d’Europe et qu’il l’a donc déjà rencontré à deux reprises. Le bilan ? Une courte victoire à Ernest-Wallon (28-27), en octobre, et une plus large défaite à Dublin (29-13), en janvier. Une double confrontation marquée par le jeu insouciant et audacieux des Rouge et Noir à l’aller et par le rugby clinique des Irlandais au retour.

 

Ugo Mola, le coentraîneur toulousain, a tiré plus d’enseignements du second match, peut-être parce qu’on apprend davantage dans la défaite. Il se souvient surtout des occasions manquées en début de match, notamment celle que son équipe s’était procurée après une longue séquence défensive de près de cinq minutes. « On avait fini par récupérer le ballon et par “breaker”, rappelle-t-il. Mais on avait manqué de lucidité au moment de marquer. Or, pour gagner au Leinster, il te faut réussir un carton plein sur tes temps forts, défendre de manière intraitable et être discipliné. C’est la réalité du très haut niveau. »

 

Le demi de mêlée ou ouvreur Antoine Dupont se remémore surtout la mécanique parfaitement rodée des Irlandais : « Ils nous avaient pris sur la stratégie. Ils n’avaient rien fait d’exceptionnel, mais tout ce qu’ils avaient entrepris était propre, parfaitement exécuté. Leur jeu, on le connaît. Ils peuvent nous sortir un ou deux lancements nouveaux très précis, mais globalement, c’est beaucoup de défi physique et de jeu à une passe, avec beaucoup d’intensité. »

 

Mola a aussi analysé la défaite à domicile du Leinster face à Glasgow (24-39), le week-end dernier, en Pro 14. « Les Irlandais jouaient avec leurs remplaçants, explique-t-il. Malgré ça, Glasgow a dû plaquer 360 fois dans le match, ce qui est deux ou trois fois plus que dans un match lambda de Top 14. Jonny Gray (le deuxième-ligne écossais, frère de Richie) a réalisé près de 50 plaquages ! Je ne sais pas si vous vous rendez bien compte… Ça veut dire que nos quinze joueurs qui débuteront dimanche, plus les huit qui seront sur le côté, auront en moyenne entre 20 et 30 plaquages à effectuer. Et qu’ils devront être hyper précis pour ne pas se mettre à la faute. »

 

Mercredi, les Toulousains ont justement travaillé toute la journée avec l’ancien arbitre international Christophe Berdos pour s’adapter à la façon de diriger du sifflet anglais Wayne Barnes, qui officiera sur la pelouse de l’Aviva Stadium. Ils ont aussi mis en place un plan secret pour sortir les Irlandais de leur confort. « J’espère qu’on arrivera à mettre du désordre sur le terrain, confie Mola. Que notre audace et notre enthousiasme offensif nous permettront de provoquer des situations avantageuses, parce que si ça doit se jouer sur l’ordre établi, le Leinster ira en finale, parce qu’il est beaucoup plus en avance que nous dans ce secteur-là. »

 

Le technicien toulousain et son staff promettent aussi « des surprises ». Comme face au Racing 92, en quarts de finale, quand ils avaient préféré sortir un flanker (François Cros) plutôt qu’un trois-quarts pour faire entrer Sébastien Bézy, après l’expulsion de Zack Holmes (23e), et ainsi conserver la stratégie basée sur la vitesse travaillée à l’entraînement la semaine précédente. « On va aussi faire un choix très marqué, assure Mola. Il réussira ou pas mais, en tout cas, ça sera un vrai choix dans la composition d’équipe et sur la tactique adoptée. » Toulouse va-t-il densifier sa troisième-ligne en y intégrant l’immense Joe Tekori ? Cherchera-t-il plutôt à la dynamiser en repositionnant Jerome Kaino en flanker et en titularisant Selevasio Tolofua en 8 ? Ou musclera-t-il son milieu de terrain en associant le Néo-Zélandais Pita Ahki à Sofiane Guitoune ? Réponse aujourd’hui, en milieu de journée. 

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1 hour ago, chomelaregle said:

Ne vous eparpillez pas !

le topic pour se mettre sur la tronche, suite à l'agression sans précédent de Tekori, suivi de sa remise en liberté...

Et des menaces de Beheregaray et Penaud, comme quoi "on allait voir ce qu'on allait voir" ,

c'est ici ! 

http://www.forumst.net/topic/18052-top-14-j22-stade-toulousain-clermont-dimanche-14-avril-à-16h50-au-stadium/?page=46

 

Ça c’est pour les tiédasses de mes deux !

 

Pour les vrais c’est ici

 

 

PS : Tropez’ tu peux venir si tu veux discuter holocauste. :original:

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Bezy, bien plus qu'une doublure.

  • Face au Leinster, Bezy ne devrait pas être derrière Dupont mais à ses côtés./ Photo DDM, Xavier de Fenoyl
Face au Leinster, Bezy ne devrait pas être derrière Dupont mais à ses côtés./ Photo DDM, Xavier de Fenoyl
Publié le 19/04/2019 à 07:38
   
l'essentiel

Le demi de mêlée (27 ans), qui n'a plus été international depuis 2016 (7 sél.), n'a jamais semblé aussi fort. S'il devrait être titulaire dimanche, il vit toutefois dans l'ombre d'Antoine Dupont.

Les statistiques sont parfois trompeuses. Quand on compare celles de Sébastien Bezy et d'Antoine Dupont, les deux demis de mêlée du Stade Toulousain, on s'aperçoit que le premier est largement en tête au nombre de feuilles de match sur les deux dernières saisons : 46 (20+26) contre 27 (13+14). Des chiffres qui s'expliquent par la grave blessure au genou de Dupont lors du Tournoi-2018 – huit mois d'indisponibilité – mais surtout par ses convocations avec les Bleus. Car depuis deux ans, Bezy tient la baraque pendant les absences de son coéquipier – 32 titularisations ; Jean-Marc Doussain était également dans la rotation l'an passé –, avant d'endosser le costume de doublure à son retour. En présence de Dupont, hors association à la charnière (2), il n'a en effet été titularisé qu'à cinq reprises.

La confiance retrouvée

Un statut dont il a parfaitement conscience : «Je suis plus N.2 que N.1, c'est le choix des entraîneurs, il faut le respecter. D'un côté, je les comprends, Antoine fait de très bons matchs. Il a plus de qualités que moi pour traverser le terrain. Quand je joue, j'essaie de montrer les miennes, peut-être en faisant un peu plus jouer. J'ai fait quand même pas mal de matchs cette année et j'en suis content, même si c'était parce qu'il n'y avait pas Antoine. Même remplaçant, j'ai eu la chance de rentrer tôt la plupart des fois, ce qui montre que les entraîneurs me font confiance.»

 

 

La confiance, justement, Bezy semble l'avoir retrouvée, s'étant affranchi de la concurrence et apparaissant libéré à chacune de ses prestations. Au point de n'avoir jamais semblé aussi fort. Une bascule qui coïncide avec la naissance de sa fille, Maëlle, il y a 18 mois. «Avant, quand je faisais un mauvais match, je ne pensais qu'à ça quand je rentrais à la maison. Maintenant, je l'occulte totalement. Il y a des choses plus importantes. Je me suis aussi mis dans la tête que je n'avais rien à perdre. Ce n'est que du rugby, si l'on fait des mauvais matchs, c'est comme ça, c'est la vie. Mais j'ai la chance d'être dans un groupe qui tourne bien. Devant, ça avance et c'est beaucoup plus facile pour un demi de mêlée.»

Examen de passage

Après avoir connu le doute, le joueur originaire de Bagneux, en région parisienne, a donc profité de la dynamique «rouge et noire» pour effectuer un retour remarqué au premier plan. De quoi pousser de plus en plus son staff à l'associer avec Dupont à la charnière, comme ce sera certainement le cas dimanche à Dublin.

Un sérieux examen de passage pour celui qui a passé un cap dans la gestion. «Au niveau des sorties de camp, du rythme qu'il faut mettre au match, j'ai quand même plus de vécu et je le ressens, juge-t-il. Je tente peut-être moins individuellement mais au niveau du collectif, je me sens beaucoup plus à l'aise. Je prends plus d'initiatives qu'avant sur le jeu au pied. J'avais moins confiance en mon pied, je préférais quand le 10 tapait. Sur chaque coup d'envoi, j'avais des craintes parce que je savais que j'allais devoir dégager alors que maintenant, c'est plus naturel. Je prends plus de plaisir et je sais que c'est important pour une équipe d'avoir de bonnes sorties de camp.»

Mais ce petit modèle (1,74 m ; 77 kg) est avant tout un véritable accélérateur du jeu stadiste avec sa faculté à coller au ballon et sa qualité de passe. Ce qui ne l'empêche pas d'être un excellent défenseur, auteur notamment d'un sauvetage décisif sur Virimi Vakatawa il y a trois semaines lors du quart de finale au Racing, où il a terminé deuxième meilleur plaqueur (19) derrière Richie Gray (22).

Outsider pour le Mondial

Des prestations qui pourraient l'inciter à aller chercher le statut de N.1 ailleurs, ayant logiquement tapé dans l'œil des autres écuries du Top 14 (comme La Rochelle, qui a déjà avancé ses pions pour l'été 2020, NDLR). «J'aurais peut-être envie de partir un jour mais c'est encore loin. Pour l'instant, je suis à Toulouse pour au moins un an», se contente de répondre celui qui a également fait son retour à Marcoussis cette saison. Pour les tests d'automne et la fin du Tournoi, sans néanmoins avoir l'opportunité de connaître une huitième cape. Et d'apprécier : «Même si je n'ai pas eu la chance de jouer une minute ou deux, cela fait forcément plaisir parce que cela montre que le staff du XV de France a un regard sur moi, qu'il me suit, même si c'est vrai que mon retour est dû à des blessures.»

Blessés ou pas, les faits sont là. Et avec le Mondial au Japon qui approche, Bezy, bien qu'outsider avec Maxime Machenaud et Baptiste Couilloud – derrière Morgan Parra, Baptiste Serin et Dupont –, conserve une chance d'être de l'aventure. «Le fait d'y être donne forcément envie d'y retourner, de jouer. Mais sincèrement, je n'en fais pas une obsession. Si cela arrive, tant mieux, sinon je ferai la préparation au Stade Toulousain et je serai très bien ici.» À le voir épanoui comme actuellement, on n'en doute pas.


Discipline

Tekori sera bien là

Les montagnes russes. Alors qu'ils se pensaient tranquilles sur le cas Jo Tekori après son carton jaune reçu face à Clermont dimanche, les entraîneurs toulousains ont finalement vécu 24 heures dans le doute. La faute au règlement de World Rugby qui prévoit que «les joueurs exclus ou cités par un commissaire à la discipline doivent être suspendus provisoirement dans l'attente de l'examen de leur dossier». Initialement convoqué mercredi prochain, l'international samoan (35 ans ; 37 sél.) a donc demandé mercredi que son audition soit avancée à hier, sans quoi il n'aurait pas eu la moindre chance de disputer la demi-finale dimanche.

Et alors qu'il encourait une sanction pouvant aller jusqu'à 10 semaines de suspension pour son plaquage sur Yohan Beheregaray, le deuxième ou troisième ligne a finalement été blanchi par la commission de discipline. Celle-ci a en effet considéré qu'il avait «fait les meilleurs efforts pour effectuer un plaquage régulier en se baissant et en utilisant ses bras», précisant que le talonneur auvergnat «se trouvant en position de marquer un essai, s'est affaissé au même moment».

Holmes vers un forfait

De quoi permettre au staff «rouge et noir» de défier le Leinster avec son plan initial, puisque Tekori devrait évoluer en deuxième ligne, poussant François Cros sur le banc. En revanche, il faudra attendre la mi-journée pour savoir si Zack Holmes pourra ou non tenir sa place à l'Aviva Stadium. Commotionné face à l'ASM, il passera un dernier test ce matin à l'entraînement mais les dernières nouvelles n'incitaient guère à l'optimisme.

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il y a 4 minutes, Vonia a dit :

puisque Tekori devrait évoluer en deuxième ligne, poussant François Cros sur le banc

 

:blink::wacko::shaun:

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en tous cas, si c'est Tekori en 3è ligne la surprise, ce n'en serait pas une puisque tout le monde en parle depuis le début de la semaine. 

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Bezy j'aimerais assez qu'il reste en 2020 mais s'il doit partir La Rochelle ça lui irait pas mal je trouve même s'ils ont déjà Kerr Barlow et Balès...

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il y a 3 minutes, olivier11 a dit :

article l'équipe

 

Le Leinster est probablement l'équipe la plus étudiée par le Stade Toulousain cette saison. Parce qu'il figurait dans sa poule de la première phase de la Coupe d'Europe et qu'il l'a donc déjà rencontré à deux reprises. Le bilan ? Une courte victoire à Ernest-Wallon (28-27), en octobre, et une plus large défaite à Dublin (29-13), en janvier. Une double confrontation marquée par le jeu insouciant et audacieux des Rouge et Noir à l'aller et par le rugby clinique des Irlandais au retour.

Ugo Mola, le coentraîneur toulousain, a tiré plus d'enseignements du second match, peut-être parce qu'on apprend davantage dans la défaite. Il se souvient surtout des occasions manquées en début de match, notamment celle que son équipe s'était procurée après une longue séquence défensive de près de cinq minutes. «On avait fini par récupérer le ballon et par "breaker", rappelle-t-il. Mais on avait manqué de lucidité au moment de marquer. Or, pour gagner au Leinster, il te faut réussir un carton plein sur tes temps forts, défendre de manière intraitable et être discipliné. C'est la réalité du très haut niveau.»

Un entraînement avec un ancien arbitre international

Le demi de mêlée ou ouvreur Antoine Dupont se remémore surtout la mécanique parfaitement rodée des Irlandais : «Ils nous avaient pris sur la stratégie. Ils n'avaient rien fait d'exceptionnel, mais tout ce qu'ils avaient entrepris était propre, parfaitement exécuté. Leur jeu, on le connaît. Ils peuvent nous sortir un ou deux lancements nouveaux très précis, mais globalement, c'est beaucoup de défi physique et de jeu à une passe, avec beaucoup d'intensité.»

Mola a aussi analysé la défaite à domicile du Leinster face à Glasgow (24-39), le week-end dernier, en Pro 14. «Les Irlandais jouaient avec leurs remplaçants, explique-t-il. Malgré ça, Glasgow a dû plaquer 360 fois dans le match, ce qui est deux ou trois fois plus que dans un match lambda de Top 14. Jonny Gray (le deuxième-ligne écossais, frère de Richie) a réalisé près de 50 plaquages ! Je ne sais pas si vous vous rendez bien compte... Ça veut dire que nos quinze joueurs qui débuteront dimanche, plus les huit qui seront sur le côté, auront en moyenne entre 20 et 30 plaquages à effectuer. Et qu'ils devront être hyper précis pour ne pas se mettre à la faute.»

«On va aussi faire un choix très marqué. Il réussira ou pas mais ça sera un vrai choix dans la composition» - Ugo Mola, coentraîneur du Stade Toulousain

 

Mercredi, les Toulousains ont justement travaillé toute la journée avec l'ancien arbitre international Christophe Berdos pour s'adapter à la façon de diriger du sifflet anglais Wayne Barnes, qui officiera sur la pelouse de l'Aviva Stadium. Ils ont aussi mis en place un plan secret pour sortir les Irlandais de leur confort. «J'espère qu'on arrivera à mettre du désordre sur le terrain, confie Mola. Que notre audace et notre enthousiasme offensif nous permettront de provoquer des situations avantageuses, parce que si ça doit se jouer sur l'ordre établi, le Leinster ira en finale, parce qu'il est beaucoup plus en avance que nous dans ce secteur-là.»

Le technicien toulousain et son staff promettent aussi «des surprises». Comme face au Racing 92, en quarts de finale, quand ils avaient préféré sortir un flanker (François Cros) plutôt qu'un trois-quarts pour faire entrer Sébastien Bézy, après l'expulsion de Zack Holmes (23e), et ainsi conserver la stratégie basée sur la vitesse travaillée à l'entraînement la semaine précédente. «On va aussi faire un choix très marqué, assure Mola. Il réussira ou pas mais, en tout cas, ça sera un vrai choix dans la composition d'équipe et sur la tactique adoptée.» Toulouse va-t-il densifier sa troisième-ligne en y intégrant l'immense Joe Tekori ? Cherchera-t-il plutôt à la dynamiser en repositionnant Jerome Kaino en flanker et en titularisant Selevasio Tolofua en 8 ? Ou musclera-t-il son milieu de terrain en associant le Néo-Zélandais Pita Ahki à Sofiane Guitoune ? Réponse ce vendredi, en milieu de journée.

copieur ! déjà posté plus haut :smile:

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à l’instant, olivier11 a dit :

j'avais pas vu! Supprimé:P

C'était tellement intéressant que c'est presque dommage de ne pas le lire 2 fois :laugh:

 

Bon, on attend une vraie surprise maintenant, le temps est bien long aujourd'hui :smile:

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il y a 10 minutes, Raphaelle a dit :

C'était tellement intéressant que c'est presque dommage de ne pas le lire 2 fois :laugh:

 

Bon, on attend une vraie surprise maintenant, le temps est bien long aujourd'hui :smile:

C'est jusqu'à dimanche que ça va être long...

 

J'espère vraiment qu'on va rivaliser un minimum et ne pas être trop sur la retenue à cause de l'enjeu.

Les rouquins vont démarrer pied au plancher, sans fébrilité, alors faudra être capable de faire de même et installer du doute dès le début.

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il y a 59 minutes, Raphaelle a dit :

en tous cas, si c'est Tekori en 3è ligne la surprise, ce n'en serait pas une puisque tout le monde en parle depuis le début de la semaine. 

 

Je peux me tromper mais je ne verrais pas l'intérêt de ce repositionnement. Il va s'y épuiser en courses et se passer de Cros ou Elstadt franchement...

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entièrement d' accord.

Tékori sur le banc pour les 20 dernières minutes au même titre que Tolofua pour faire chier la défense irlandaise.

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Perso j'ai plus confiance en Tekori qu'en Arnold sur ce match.

Joe on sait qu'il tient la route et la pression des matchs à enjeu. Je mettrai Arnold sur le banc pour la seconde mi temps, il a montré de la fébrilité et une tendance à faire des fautes qui ne pardonnerait pas sur ce match. A l'inverse Joe est un sacré gratteur au sol et je pense que se sera un secteur clé dimanche. Si on n'arrive pas à leur arracher quelques ballons ils peuvent jouer 24h sans le tomber...

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il y a 29 minutes, blacksad a dit :

Perso j'ai plus confiance en Tekori qu'en Arnold sur ce match.

Joe on sait qu'il tient la route et la pression des matchs à enjeu. Je mettrai Arnold sur le banc pour la seconde mi temps, il a montré de la fébrilité et une tendance à faire des fautes qui ne pardonnerait pas sur ce match. A l'inverse Joe est un sacré gratteur au sol et je pense que se sera un secteur clé dimanche. Si on n'arrive pas à leur arracher quelques ballons ils peuvent jouer 24h sans le tomber...

 

Les salauds ... :fear:

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mais à quelle heure ils vont nous la donner cette compo !!!!

 

???

 

#Stressed !

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Voilà le XV pour dimanche ?  

 

 

Remplaçants : Baille, Marchand, Van Dyk, Tolofua, Piula, Cros, Ntamack, Médard.

Content de ma titularisation de Ahki ??

 

  • Merci 1
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J aurai plus mi un medard a la place de bubule surtout que max est rentré pour les dernières minutes vs Clermont apres comme certains l'évoquait peut-être le manque de mobilité à la 3ieme ligne ?‍♂️

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Au vu de la composition, j’imagine que Tekori sera dans la cage durant les mêlées.

Arnorld ou Gray passera flanker. 

Huget titulaire pour son expérience, j’espère qu’il aura à cœur de se racheter après sa prestation défensive fébrile contre Clermont. 

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il y a 15 minutes, CaPuChO65 a dit :

Voilà le XV pour dimanche ? 

 

 

Remplaçants : Baille, Marchand, Van Dyk, Tolofua, Piula, Cros, Ntamack, Médard.

Content de ma titularisation de Ahki ??

 

et bien aucune surprise : Tekori en 3è ligne, c'était dans la presse depuis dimanche. Huget, même si on aurait préféré Médard, rien de surprenant. 

La surprise aurait été Tolo d'entrée avec Cros et Kaino, et tauzin à la place d'Huget. 

Là rien, un risque avec Tekori en 3è ligne. 

Maintenant, attendons dimanche. 

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il y a 4 minutes, Neophyte a dit :

Un pack toulousain avec autant de sudistes, c'était déjà arrivé ? 

Ben dit donc, depuis quand on critique la formation Toulousaine ?

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Invité chomelaregle
il y a une heure, blacksad a dit :

Perso j'ai plus confiance en Tekori qu'en Arnold sur ce match.

 

Bah voyons... on avait dit que le sujet était clos, et vazy que j'te relance l'affaire Tekori en lousedé!

 

:yes:

Modifié par chomelaregle
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il y a 6 minutes, Neophyte a dit :

Un pack toulousain avec autant de sudistes, c'était déjà arrivé ? 

Bien vu : 5 sur 8, ça fait beaucoup (plus 2 sur le banc), plus un autre étranger, et 2 encore derrière, cela fait 8 étrangers sur 15 et et 10 (9 sudistes)sur 23 :(

Mais on ne compte pas les Jiffs en CCup, heureusement.

 

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il y a 8 minutes, Neophyte a dit :

Un pack toulousain avec autant de sudistes, c'était déjà arrivé ? 

 

non je pense que c’est la première fois que l’on en a 5 sur 8

 

sinon perso pas très confiant de mettre Tekori d’entrée .. j’aurais préféré Cros

Apres c’est un choix du staff ... car Arnold - Gray ça court beaucoup et tekori ça stoppe bien ce qui lui arrive en face

 

Effectivement sur une mêlée offensive Tekori peut rentrer en seconde ligne et Arnold monter en 3eme .. c’est peut être ça la stratégie 

 

Donc pas de surprise dans cette compo ... hormis Huget ??!! 

Medard est beaucoup plus convaincant depuis plusieurs matchs 

 

On verra bien ... qu’on gagne ou perde, on aura rien à reprocher au staff/joueurs ... 

 

.. sauf peut être la boulette de bubulle ...

 

 

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Invité chomelaregle
à l’instant, etienne a dit :

Vous êtes quand même super sévères avec Huget 

 

Bah à partir du moment ou il y a meilleur, c'est assez incompréhensible, c'est un match éliminatoire quand même.

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le Leinster au complet, c'est sérieux :

 

Kearney - Larmour, Ringrose, Henshaw, Lowe - (o) Sexton (cap.), (m) McGrath - O'Brien, Conan, Ruddock - Ja. Ryan, Toner - Furlong, Cronin, Healy.Remplaçants : Tracy, Byrne, Bent, Fardy, Deegan, O'Sullivan, Byrne, O'Loughlin.

  • Triste 1
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Bon ben j'aurais préféré Médard à Huget

Castets préféré pour son activité défensive je pense

 

Sinon la surprise tactique n'en est pas vraiment une: le staff a décidé d'alourdir le pack parce que c'est vrai que la dernière fois on a énormément subi physiquement. J'ai quand même peur que ça manque de mobilité, Cros couvre énormément de terrain quand même.

 

Le banc en fin de match peut être intéressant si c'est serré

 

8 étrangers dans le 15 de départ sinon, nos petits français manquent peut être encore un peu d'épaisseur (Verhaeghe, Cros, Tolo, NTK, Tauzin)

Modifié par olivier11
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il y a 23 minutes, Neophyte a dit :

Un pack toulousain avec autant de sudistes, c'était déjà arrivé ? 

 

il y a 14 minutes, Raphaelle a dit :

Bien vu : 5 sur 8, ça fait beaucoup (plus 2 sur le banc), plus un autre étranger, et 2 encore derrière, cela fait 8 étrangers sur 15 et et 10 (9 sudistes)sur 23 :(

Mais on ne compte pas les Jiffs en CCup, heureusement.

 

8 étrangers au coup d'envoi, c'est nul et décevant pour moi. 

  • Upvote 4
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il y a 2 minutes, olivier11 a dit :

Bon ben j'aurais préféré Médard à Huget

Castets préféré pour son activité défensive je pense

 

Sinon la surprise tactique n'en est pas vraiment une: le staff a décidé d'alourdir le pack parce que c'est vrai que la dernière fois on a énormément subi physiquement. J'ai quand même peur que ça manque de mobilité, Cros couvre énormément de terrain quand même.

 

Le banc en fin de match peut être intéressant si c'est serré

 

8 étrangers dans le 15 de départ sinon, nos petis français manquent peut être encore un peu d'épaisseur (Verhaeghe, Cros, Tolo, NTK, Tauzin)

cela dit, les Richie's sont très mobiles, comme des 3è lignes parait-il, malgré leurs plus de 2m et 120 kg.

On verra bien. 

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il y a 1 minute, estabousi a dit :

 

8 étrangers au coup d'envoi, c'est nul et décevant pour moi. 

J'aurais préféré moins aussi mais bon le staff fait jouer l'équipe qu'il estime la meilleure, Français ou pas...

 

Je trouve ça dur pour Cros et NTK surtout

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il y a 27 minutes, Neophyte a dit :

Un pack toulousain avec autant de sudistes, c'était déjà arrivé ? 

 

C'est franchement dommage pour le rugby français de n'avoir que des étrangers du 3 au 8. Dommage qu'Ntamack,Cros,Tolofua et Verhaeghe ne participent pas à ce genre de match.

Je trouve que le staff "se renie un peu" pour le coup, surtout concernant la 3ème ligne.

On voit quand même l'effet bénéfique de la règle des JIFF pour notre championnat domestique.

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il y a 23 minutes, Raphaelle a dit :

Bien vu : 5 sur 8, ça fait beaucoup (plus 2 sur le banc), plus un autre étranger, et 2 encore derrière, cela fait 8 étrangers sur 15 et et 10 (9 sudistes)sur 23 :(

Mais on ne compte pas les Jiffs en CCup, heureusement Malheureusement.

 

 

 

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il y a 3 minutes, Pouik a dit :

 

C'est franchement dommage pour le rugby français de n'avoir que des étrangers du 3 au 8. Dommage qu'Ntamack,Cros,Tolofua et Verhaeghe ne participent pas à ce genre de match.

Je trouve que le staff "se renie un peu" pour le coup, surtout concernant la 3ème ligne.

On voit quand même l'effet bénéfique de la règle des JIFF pour notre championnat domestique.

Verhaeghe est trop juste mais franchement j'aurais bien aimé une troisième ligne Cros Tolofua Kaino et je ne suis pas convaincu qu'on aurait été moins performants

 

Là j'ai l'impression qu'on donne la prime à l'impact physique, avec Ahki aussi d'ailleurs

Modifié par olivier11
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