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Equipe de France 2023 by Galthié


blacksad

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Il y a 5 heures, Joco a dit :

Je vais te résumer : Il veut pas tricher , il est honnête, l'EDF c'est dur , on voit pas ses enfants grandir , il veut etre à 100% ou ne pas y aller .

Un robinet d'eau tiède , un mec à priori avec 0 mental , next .

Joueur moyen, tenue de mêlée bidon ,bref encore un vestige de l'EDF nullisssime de ces 6 dernières années .

Grace à des mecs comme lui ou Vahamina , on comprend pourquoi on a fait de la merde pendant autant de temps .

Merci pour rien et à jamais .

Modifié par Pacino31
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il y a 18 minutes, Pacino31 a dit :

Je vais te résumer : Il veut pas tricher , il est honnête, l'EDF c'est dur , on voit pas ses enfants grandir , il veut etre à 100% ou ne pas y aller .

Un robinet d'eu tiède , un mec à priori avec 0 mental , next .

Joueur moyen, tenue de mêlée bidon ,bref encore un vestige de l'EDF nullisssime de ces 6 dernières années .

Grace à des mecs comme lui ou Vahamina , on comprend pourquoi on a fait de la merde pendant autant de temps .

Merci pour rien et à jamais .

 

C'est cash mais tu as raison. Marre de ces flamby !

Modifié par tropézien
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Jefferson Poirot

« JE NE MENTIRA I A PERSONNE »

LE PILIER GAUCHE DES BLEUS MET UN TERME À SA CARRIÈRE INTERNATIONALE À SEULEMENT 27 ANS. IL EXPLIQUE EN EXCLUSIVITÉ À « L’ÉQUIPE » LES RAISONS DE CETTE DÉCISION SURPRENANTE.

 

BORDEAUX – Le 28 mai, au téléphone, la voix de Jefferson Poirot ne laisse pas de place au doute : « L’équipe de France, c’est terminé. » Le pilier gauche (36 sélections) souhaite annoncer cette décision singulière au plus tard mi-juin. Jeudi dernier, dans la matinée, le pilier de l’UBB nous a reçus chez lui. Une maison à une vingtaine de minutes au sud du centre-ville de Bordeaux, au bout d’une impasse, en plein cœur de l’appellation Pessac-Léognan, très prisée des amateurs de vin.

Pendant près d’une heure, le regard bien droit et avec la franchise qui le caractérise, il a dévoilé les raisons qui l’ont poussé à tirer un trait sur les Bleus, à seulement 27 ans. Poirot sait que sa décision va faire réagir. Il assume. Il espère qu’elle sera comprise. Raison pour laquelle il n’a éludé aucun sujet. L’ex-international n’a posé qu’une condition à la publication de cet entretien : qu’il puisse annoncer lui-même sa décision à Fabien Galthié, ce qu’il a fait hier. Une discussion de près d'une heure qui s'est très bien passée avec un sélectionneur à l’écoute pour le plus grand soulagement du Bordelais.

« Pourquoi décidez-vous de stopper votre carrière internationale ?

Ma décision d’arrêter l’équipe de France n’est pas prise sur un coup de tête. Elle a mûri depuis la fin de la Coupe du monde. Le Mondial au Japon a été un moment magistral dans ma vie. Le mot est fort, mais il caractérise parfaitement ce que j’ai vécu. Ça a été immense. Immense sportivement, immense humainement, immense émotionnellement. Quand la compétition s’est terminée, quelques minutes après le coup de sifflet final (défaite face au pays de Galles, 19-20, en quarts de finale), j’ai ressenti un vide. Ça s’est fait en une fraction de seconde. Les quatre années que je venais de vivre ont été très éprouvantes, j’avais fait de nombreux sacrifices et j’avais comme l’impression que j’aurais du mal à me projeter sur les quatre années suivantes. Je sentais que je n’avais plus la même motivation. Tout de suite, je pense à mettre fin à ma carrière internationale. J’en parle à ma femme, à quelques amis proches. Mais je me dis aussi que la déception et l’émotion de l’élimination priment sans doute. Que je dois me laisser le temps de la réflexion. Est-ce une réaction à chaud ? Je me donne jusqu’au Tournoi. Je suis même plutôt optimiste, en me disant que, avec la nouvelle génération qui arrive, on va repartir sur du positif et que ma motivation sera relancée naturellement. Je voulais voir, en avoir le cœur net. Au final, je sens que ma motivation n’est pas au maximum. Je me suis toujours promis de venir en équipe de France à 100 %, de ne pas mentir. Les Bleus, c’est le Graal. Je ne veux pas y aller juste pour prendre ma cape et ma prime.

À quel moment avez-vous acté votre décision ?

Entre la fin de la Coupe du monde et le début du Tournoi, c’est une option. À l’approche du Tournoi, j’étais très stressé, anxieux de repartir. Ce moment a été difficile. La décision, je la prends après le match face à l’Italie (35-22, 9 février). Je sais que je ne suis pas le même joueur que lors des quatre dernières années. Je ne peux pas l’accepter. Je l’ai dit au staff lors du débrief du match. J’ai fait une entrée en jeu qui ne me ressemble pas. On peut passer à côté d’un match. Mais là, j’ai le sentiment de ne pas avoir tout fait pour que ça se passe bien. C’est ce qui me dérange. Je me souviens que j’étais pressé que le match se termine. Ça ne m’était jamais arrivé. Ce n’est pas normal, d’autant que j’étais remplaçant. Normalement, tu veux que ça dure pour prouver. J’ai été touché car ça ne correspond pas à mes valeurs. Pendant la petite coupure, après l’Italie, je rentre à Bordeaux et j’annonce à ma femme et des amis que j’arrête à la fin du Tournoi. Je reste un compétiteur, je veux le gagner ce Tournoi !

Quelle est la réaction de vos proches ?

Même si elle y était un peu préparée, ma femme a du mal à le croire. Elle est également déçue. Mes amis sont forcément surpris, presque choqués au début. Mais ils ont compris ma décision. L’aspect familial joue beaucoup. J’ai deux enfants en bas âge (Marlon 2 ans et demi, et Joy, 15 mois) que je n’ai pas forcément beaucoup vus ces dernières années. Il y a aussi les cadences qui me pèsent. Est-ce que ce n’est pas ma carrière entière qui risque d’être balayée ? Je me sens usé.

Et vos partenaires, ont-ils essayé de vous faire changer d’avis ?

J’en ai parlé à certains pendant le Tournoi. Ils m’ont dit : “Non, tu ne peux pas ! On a besoin de toi.” J’ai été touché. Mais la décision était prise. Le pire, c’est Baptiste Serin, dont je suis le plus proche. Il ne me croit pas ! Il est persuadé que je vais revenir sur ma décision.

Quel a été l’impact du confinement sur votre décision ?

Il n’a fait que valider mon choix. Je suis sûr à 100 % de prendre la bonne décision. Le confinement n’a fait que repousser l’annonce de ma décision. Maintenant que les entraînements sont autorisés, ça me permet d’évacuer ce poids.

Avez-vous conscience que votre décision n’est pas commune, qu’elle va engendrer de nombreuses réactions, sans doute négatives…

(Il sourit.) J’en ai parfaitement conscience. Les gens qui ne me connaissent pas vont penser que je suis lâche. C’est logique. Ceux qui me connaissent mieux seront sans doute surpris, mais ils comprendront que c’est la meilleure décision pour moi.

Le raccourci facile serait de dire que vous arrêtez parce que vous avez perdu votre place de titulaire (aux dépens de Cyril Baille)…

Je peux comprendre, mais il ne faut pas réfléchir comme ça. J’ai toujours aimé les défis. À la base, je n’étais pas destiné à être pro. Chez les jeunes, je n’étais jamais titulaire. À force de travail, je suis devenu international. Ce n’est donc pas dans mon caractère de lâcher. Si je prends cette décision, c’est beaucoup plus profond que ça. Cette situation de remplaçant aurait pu me révolter. Mais non. Et imaginons que je regagne ma place. Il se passe quoi derrière si j’arrête ? Je passe pour un enfoiré !

De remplaçant face à l’Angleterre et l’Italie, vous êtes même hors groupe face au pays de Galles. Cet épisode ne vous a-t-il pas titillé ?

C’est dur, mais l’effet a été contraire. Cela m’a soulagé. La décision a été encore plus facile à valider. C’est pour cette raison que je prends la bonne décision. Ça ne me ressemble pas de réagir comme ça. Chaque fois que je me pose la question, c’est toujours la même réponse. Sois entier et assume ton choix. Je serai peut-être critiqué, mais au moins je ne mentirai à personne. Quand je suis rentré à Bordeaux, alors que les Bleus décollaient pour le pays de Galles, ma femme m’a dit : “Je ne t’ai jamais senti aussi soulagé, apaisé, depuis que tu es en équipe de France.” Ça veut dire beaucoup de choses.

Juste avant le début du Tournoi, vous déclariez vouloir “jouer un rôle en équipe de France” alors même que Charles Ollivon venait d’être nommé capitaine des Bleus. Vous sembliez prêt à repartir au combat…

(Il coupe.) Je comptais sur ces responsabilités pour me remotiver. Je voulais me persuader que c’était possible. C’était sans doute une façade. Au moins, j’ai vécu ce Tournoi et je suis au clair envers moi-même.

Si vous aviez été choisi pour être capitaine de l’équipe de France par Fabien Galthié, que se serait-il passé ?

J’aurais été dans une trappe ! (Il sourit.) Je n’aurais pas pu arrêter. Le capitanat est une lourde responsabilité. Dans l’état où j’étais, je pense que ça aurait été horrible d’assumer cette fonction. J’aurais été tiraillé entre mes pensées d’avant Tournoi et la volonté et la fierté de guider cette équipe. J’aurais été porté par la fonction. Pour l’avoir été pendant la Coupe du monde (face auxTonga), c’est génial. Mais la pression est immense. Je parlais d’usure : si, dès la première année, tu es déjà un peu cramé mentalement, je ne sais pas dans quel état tu termines quatre ans plus tard. Il faut être frais, ce qui est le cas de Charles. Ne pas être nommé capitaine m’a laissé une certaine liberté. Au final, c’est même un soulagement. C’est à la fois fort et triste de dire ça. Mais c’est la vérité.

Votre décision est-elle liée au nouveau staff dirigé par Fabien Galthié ?

Fabien, j’étais l’un de ses premiers relais à la Coupe du monde. Il s’est beaucoup appuyé sur moi car il savait que je faisais partie de la génération qui allait continuer avec lui. Après, pendant le Tournoi, il a fait des choix.

Vous lui avez demandé des explications ?

Oui, la semaine du pays de Galles, quand j’ai su que j’étais hors groupe, je suis allé le voir. Il m’a assuré que le choix était uniquement sportif et qu’il n’y avait aucun problème avec moi. J’espère qu’il a été sincère. Sportivement, je n’ai rien à dire. Mon entrée face à l’Italie n’avait pas été au niveau. Cyril Baille a fait de très bons matches. C’est la sélection. Tu es bon, tu continues. Point barre.

Il semblerait que le staff vous reproche votre tenue en mêlée…

Oui, William (Servat) voulait me faire bosser la mêlée. J’étais très ouvert, j’ai eu beaucoup d’échanges avec lui, de remises en question.

Ne payez-vous pas le fait d’avoir été proches de certains joueurs considérés comme négatifs par Galthié ?

Non, je ne pense pas. J’ai toujours été positif. Et dès le début du Tournoi, j’ai fait partie du groupe leader. Ça prouve qu’il compte sur moi.

Vous tirez un trait sur la Coupe du monde 2023 qui aura lieu en France…

Ce sera un événement énorme ! Et j’espère que les Bleus seront champions du monde. Mais ça n’est jamais entré en ligne de compte dans ma décision.

Vous tirez aussi un trait sur pas mal d’argent…

(Il coupe.) Je n’ai jamais eu envie d’y aller pour ça. L’équipe de France, c’est un tiers de ma rémunération. C’est énorme. Mais ça ne doit pas entrer dans ma réflexion.

Qu’est-ce qui va vous manquer ?

Les mecs ! Il y a une super génération. Les émotions qui sont également différentes en bleu. Avec le quinze de France, tu as la chance de jouer dans des stades monstrueux, j’ai adoré le Millennium de Cardiff.

Un regret ?

Je n’ai jamais affronté l’Australie. Mais le plus grand regret est de ne jamais avoir rien gagné en bleu. D’ailleurs, c’est quelque chose qui commence à me hanter. Je veux gagner un titre. Avant c’était une envie, aujourd’hui c’est devenu une obsession. Et ça explique aussi pourquoi je veux me concentrer à 100 % avec mon club.

Votre décision est-elle irrévocable ?

Dans ma tête, c’est ferme et définitif. Peut-être que ça va me manquer et peut-être que je reviendrai sur ma décision, comme d’autres sportifs avant moi , Joe Marler (le pilier anglais) par exemple. Son come-back pour la Coupe du monde peut être une inspiration. Mais aujourd’hui, je ne veux pas y aller pour de mauvaises raisons. »

 

MAXIME RAULIN

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LESSIVÉS PAR LE SYSTÈME

SEPT MOIS APRÈS SÉBASTIEN VAHAAMAHINA, UN AUTRE INTERNATIONAL DANS LA FORCE DE L’ÂGE TOURNE LE DOS AUX BLEUS, LASSÉ PAR LES CADENCES INFERNALES.

 

Le 21 octobre 2019, au lendemain de l’élimination de l’équipe de France en quarts de finale de la Coupe du monde au Japon (19-20 face au pays de Galles), Sébastien Vahaamahina annonce la fin de sa carrière internationale, le jour de ses 28 ans. Un choix à chaud à la suite de son expulsion la veille pour un coup de coude ? Non. Une décision mûrement réfléchie, prise avant même le début du Mondial. « J’ai décidé d’arrêter l’équipe de France car je trouve que j’étais beaucoup trop absent de chez moi », expliquait notamment le deuxième-ligne de Clermont (46 sélections).

Poirot voulait couper un an en 2018

Sept mois plus tard, la décision de Jefferson Poirot fait forcément écho à celle de son ex-coéquipier sous le maillot tricolore. Les allers-retours sont devenus de plus en plus pesants pour le pilier de l’UBB, père de deux enfants. Il avait d’ailleurs déjà imaginé faire un break, décomplexé par l’acte fort de Joe Marler en octobre 2018. Le pilier anglais avait alors annoncé sa retraite internationale, ne supportant plus de s’éloigner sans cesse de sa famille, avant de revenir en sélection pour le Mondial au Japon.

« En 2018, j’avais pensé couper une année, dévoile Poirot. Mais je me suis vite rendu compte que c’était impossible. » Son salut viendra d’une suspension de six semaines en fin de saison, le privant de la tournée d’été en Nouvelle-Zélande avec le quinze de France. « C’est la première fois que j’ai pu couper et faire une vraie présaison. C’est à ce moment que je me suis senti le mieux physiquement. » Le pilier bordelais va plus loin : « L’équipe de France, c’est bien, mais entre mes débuts à 23 ans et aujourd’hui, j’ai la sensation de ne jamais avoir progressé. C’est toujours une course contre la montre entre le club et l’équipe de France. Même si je me suis toujours donné à 100 %, finalement, j’avais l’impression d’être à 50 % en club et en bleu. »

Remplaçant pour sa première sélection en février 2016, Jefferson Poirot a ensuite enchaîné vingt-neuf titularisations. Il a même été promu capitaine du quinze de France à deux reprises. Pendant la Coupe du monde au Japon, Fabien Galthié, lors d’une discussion informelle, glissait que Poirot, comme d’autres, était un joueur «  plus, plus » et qu’il serait « encore là dans quatre ans ». Raté. « L’usure s’est faite aussi à cause des défaites en cascade, poursuit Poirot. On n’a pas beaucoup gagné. Il y a eu beaucoup de défaites à s’arracher les cheveux, des moments frustrants. Ces désillusions pèsent dans la balance. Parfois, je montais à Marcoussis avec la boule au ventre. Tu te dis : “Et si on perd encore ?” C’était devenu un cercle vicieux. Avec plus de victoires, ça aurait été différent. Il y a aussi les blessures, les cadences. Ces quatre années en bleu ont été éprouvantes. Je me sens usé mentalement. Je souhaite donc me recentrer sur ma famille et mon club afin de ne plus être loin de mes bases. » Un témoignage qui prend encore plus de sens au moment où les discussions avancent sur la mise en place d’un calendrier international harmonisé.  Une nécessité, plus que jamais. M. R.

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Autant Vaha arrête alors qu'il serait encore titulaire, autant Poirot sait qu'il allait dégringoler dans la hiérarchie. 

Rien qu'à Toulouse,  y en a 2 au-dessus de lui (Baille et Castets). Et y en a d'autres.

Modifié par Gabi
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tire-bouchon

Moi j' aime bien les joueurs qui déclarent arrêter leurs carrières en sachant qu'ils ne recevront plus de convocations.

Histoire d' enrobé l' oubli.

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N’empêche, c'est dommage pour sa progression, il va se passer du meilleur entraîneur de mêlée fermée.

 

Il semblerait que le staff vous reproche votre tenue en mêlée…

Oui, William (Servat) voulait me faire bosser la mêlée. J’étais très ouvert, j’ai eu beaucoup d’échanges avec lui, de remises en question.

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Il y a 5 heures, Gabi a dit :

Autant Vaha arrête alors qu'il serait encore titulaire, autant Poirot sait qu'il allait dégringoler dans la hiérarchie. 

Rien qu'à Toulouse,  y en a 2 au-dessus de lui (Baille et Castets). Et y en a d'autres.

 

Gros et Falgoux pour les hors ST.

Il était fini donc faut mieux dire stop et que ça soit son choix.

 

Comme ça a été dit bon joueur de terrain mais trop faible en mêlée.

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il y a 4 minutes, papapoupa a dit :

 

Gros et Falgoux pour les hors ST.

Il était fini donc faut mieux dire stop et que ça soit son choix.

 

Comme ça a été dit bon joueur de terrain mais trop faible en mêlée.

 

Et il y en a quelques autres qui pointent le bout de leur nez ou peuvent revenir dans le jeu et bousculer la hiérarchie : Kolingar, Béthune, Priso, Fresia, Paiva...

C'est un des postes les plus ouverts pour la sélection.

A mon avis c'était de toute façon mort pour Poirot et aussi Ben Arous, qui sont beaucoup trop faibles en mêlée.

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Il y a 1 heure, Papalou a dit :

 

Et il y en a quelques autres qui pointent le bout de leur nez ou peuvent revenir dans le jeu et bousculer la hiérarchie : Kolingar, Béthune, Priso, Fresia, Paiva...

C'est un des postes les plus ouverts pour la sélection.

A mon avis c'était de toute façon mort pour Poirot et aussi Ben Arous, qui sont beaucoup trop faibles en mêlée.

 

Attention tout de même à na pas enterrer ce genre de pilier trop tôt, Poirot et Ben Arous, les mêlées sont dans l’oeil du cyclone depuis quelques années à l’IRB, il suffit d’une réforme des règles pour que ce genre de joueur redeviennent banquable. 

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Poirot n'a jamais été très performant en mêlée, c'est plutôt un quatrième troisième ligne (son poste de formation...), à l'image des piliers australiens des années 2000. Par contre, à 27 ans, même si c'est quelqu'un de plutôt précoce puisqu'il a joué à Brive en élite avant ses 20 ans, il a plus de six ans de maturité sportive devant lui... Surtout dans un poste qui requiert énormément de métier.

Heureusement qu'il n'a pas été désigné capitaine.

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Il y a 2 heures, RMP a dit :

 

Attention tout de même à na pas enterrer ce genre de pilier trop tôt, Poirot et Ben Arous, les mêlées sont dans l’oeil du cyclone depuis quelques années à l’IRB, il suffit d’une réforme des règles pour que ce genre de joueur redeviennent banquable. 

 

Ce serait valable s'il n'y avait pas des joueurs plus jeunes, aussi mobiles qu'eux, et plus forts en mêlée, dans la liste évoquée ci-dessus (de Baille à Paiva), qui ont tous entre 21 et 28 ans (c'est Frésia le plus vieux, mais des mecs très prometteurs comme Gros ou Kolingar ont 21 et 22 ans...), alors que Poirot en aura 28 cette année, et Ben Arous 30.

 

Alors OK, il ne faut pas les enterrer, mais leur retour paraît quand même très peu probable.

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il y a 45 minutes, Papalou a dit :

 

Ce serait valable s'il n'y avait pas des joueurs plus jeunes, aussi mobiles qu'eux, et plus forts en mêlée, dans la liste évoquée ci-dessus (de Baille à Paiva), qui ont tous entre 21 et 28 ans (c'est Frésia le plus vieux, mais des mecs très prometteurs comme Gros ou Kolingar ont 21 et 22 ans...), alors que Poirot en aura 28 cette année, et Ben Arous 30.

 

Alors OK, il ne faut pas les enterrer, mais leur retour paraît quand même très peu probable.

En fait, c'est surtout ca.

Je ne vois pas trop dans quel secteur Poirot est vraiment au-dessus des autres.

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tire-bouchon

excellent dans la mobilité et la présence dans les rucks.

Mais c' est au détriment du travail de base d' un pilier: La poussée et le jeu statique.

Un pilier qui veut jouer comme un 3ème ligne.

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Je suis peut-être de la vieille école, mais selon moi, dans n'importe quel sport, tu ne devrais pas pouvoir refuser une sélection nationale à partir du moment où tu es licencié et bien évidemment physiquement apte.

 

 

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tire-bouchon

Donc pour toi, y a des mecs dans tous les sports qui ont le droit de saboter ta carrière si tu ne veux pas aller en EdF avec eux ??

Déja entre ceux qui ont peur de l' avion, qui ne jouent jamais le dimanche et j' en passe...

Modifié par tire-bouchon
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Il y a 6 heures, tire-bouchon a dit :

excellent dans la mobilité et la présence dans les rucks.

Mais c' est au détriment du travail de base d' un pilier: La poussée et le jeu statique.

Un pilier qui veut jouer comme un 3ème ligne.

 

Pour le coup, le péché original est Briviste. Il aurait dû rester avant aile. Il aurait fait un bon 6. (ou openside, si on parle à l'anglaise)

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Il y a 6 heures, strangler a dit :

 

Pour le coup, le péché original est Briviste. Il aurait dû rester avant aile. Il aurait fait un bon 6. (ou openside, si on parle à l'anglaise)

 

Blindside alors, openside est le 7. 

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Il y a 1 heure, RMP a dit :

 

Blindside alors, openside est le 7. 

Les numéros sont inversés en France.

 

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tire-bouchon

ils changent de côté selon la position de la mêlée par rapport à la ligne de touche ?

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Il y a 8 heures, strangler a dit :

Les numéros sont inversés en France.

 

 

Non, ils sont inversés en Afrique du Sud (idem pour 4 et 5). Et de façon générale, point de règle absolue concernant le numéro du flanker en France.

 

Un Magne, qui portait le numéro 7, était un pur openside, au sens de la définition anglo-saxonne : apporter de la continuité au jeu en attaque, coller au ballon en défense, couvrir davantage de terrain. 

 

Là où des Rives, Crauste, Betsen ou Dusautoir, qui portaient essentiellement le 6, étaient plus dans des profils de ferrailleurs, gros défenseurs et forts au grattage. Des caractéristiques attribuées au blinside flanker dans la tradition anglosax', hormis le dernier point (le contest dans les rucks) ce qui est à l'origine des éternels débats sur la question dans notre pays.

 

Mais encore une fois, point de régle absolue, la recherche de complémentarité, l'adaptation à l'adversaire ou encore le choix du style de jeu demeurant les principaux facteurs de composition d'une troisième ligne.

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il y a 55 minutes, le corse a dit :

 

Non, ils sont inversés en Afrique du Sud (idem pour 4 et 5). Et de façon générale, point de règle absolue concernant le numéro du flanker en France.

 

Un Magne, qui portait le numéro 7, était un pur openside, au sens de la définition anglo-saxonne : apporter de la continuité au jeu en attaque, coller au ballon en défense, couvrir davantage de terrain. 

 

Là où des Rives, Crauste, Betsen ou Dusautoir, qui portaient essentiellement le 6, étaient plus dans des profils de ferrailleurs, gros défenseurs et forts au grattage. Des caractéristiques attribuées au blinside flanker dans la tradition anglosax', hormis le dernier point (le contest dans les rucks) ce qui est à l'origine des éternels débats sur la question dans notre pays.

 

Mais encore une fois, point de régle absolue, la recherche de complémentarité, l'adaptation à l'adversaire ou encore le choix du style de jeu demeurant les principaux facteurs de composition d'une troisième ligne.

M'enfin, sauf depuis quelques années où on joue avec des 6-7-8 grands, mobiles et polyvalents, quasiment tous nos 6 de l'ère  pro étaient plus petits, moins puissants, moins sauteurs mais plus rapides, plus disponibles dans les phases offensives et défensives que les 7. Durant mes 10 années sur le forum planet-rugby, tous les britanniques assuraient de cette inversion que l'on retrouve aussi chez les saffas. Dans les débats du best openside, on votait Betsen ou Dusautoir mais pas Bonnaire ou Magne.

Magne était un ovni. Grâce à des Lievremont, Betsen et autres poètes du devoir en 6, il pouvait jouer un rôle hybride qui ressemble au centre moderne. D'ailleurs, il a joué le numéro 13 en 1998 avec Brive contre les Wasps...

 

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il y a une heure, le corse a dit :

 

Non, ils sont inversés en Afrique du Sud (idem pour 4 et 5). Et de façon générale, point de règle absolue concernant le numéro du flanker en France.

 

D'ailleurs Basta a compilé les deux numéros (6 et 7) en jouant avec le 13...

Modifié par capitole46
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Il y a 23 heures, capitole46 a dit :

D'ailleurs Basta a compilé les deux numéros (6 et 7) en jouant avec le 13...

 

Au vu des derniers mois, je dirais plutôt 1 et 3.

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Le 08/06/2020 à 07:41, Gabi a dit :

Rien qu'à Toulouse,  y en a 2 au-dessus de lui (Baille et Castets). Et y en a d'autres.

 

Je suis un fan inconditionnel de Baille (comme notre ancien ami Bourrin !), mais j'avoue que Castets a encore progressé et sans aucun doute, il a été meilleur que Cyril cette saison !

Il a même été impressionnant !

Il a effectivement atteint un niveau de potentiel international, que ce soit dans le jeu, mais surtout en mêlée !

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Je ne suis pas certain d'avoir bien compris leur truc. Dans tous les cas, ça va être un fameux bordel. Si Galthié mobilise les mecs pendant deux mois... 

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- 6 matchs EdF pour tournée en automne

- 3 matchs phase finale CE de l'an dernier

- 8 matchs ERCC à 24

- 29 matchs Top14

- 5 matchs EdF pour le Tournoi

- 3 matchs EdF pour tournée été

 

= 54 matchs

 

Je ne sais pas pourquoi mais je sens qu'il y aura encore quelques doublons...

 

Et je veux bien que les fédés aient besoin de tunes mais 14 matchs internationaux (hors CdM), est-ce bien raisonnable ? Ne va t-on pas dévaluer ces rencontres ? Les stades seront-ils remplis ?

Modifié par Gabi
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il y a 17 minutes, Neophyte a dit :

Quatorze matchs internationaux, ça peut facilement faire dix doublons, pour peu que... 

Je pense même qu'il y a aura des doublons sur les phases finales de CE.

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il y a 20 minutes, Gabi a dit :

Je pense même qu'il y a aura des doublons sur les phases finales de CE.

 

Ce serait même souhaitable ... et que Galthié fasse comme pour les tournées d'été en n'appelant pas les joueurs des équipes qualifiés !

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tire-bouchon
Il y a 1 heure, Gabi a dit :

Je pense même qu'il y a aura des doublons sur les phases finales de CE.

 

il y a une heure, gronounours a dit :

 

Ce serait même souhaitable ... et que Galthié fasse comme pour les tournées d'été en n'appelant pas les joueurs des équipes qualifiés !

 

Ha si, au contraire.

Juste pour rigoler ?

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grand schtroumpf 83
Il y a 9 heures, gronounours a dit :

 

Ce serait même souhaitable ... et que Galthié fasse comme pour les tournées d'été en n'appelant pas les joueurs des équipes qualifiés !

D'après l'article, c'est pad prévu.

Par contre, on peut faire des doublons top14 coupe d'Europe. Ça serait encore plus novateur.?

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le zèbre aux courges
Il y a 5 heures, grand schtroumpf 83 a dit :

D'après l'article, c'est pad prévu.

Par contre, on peut faire des doublons top14 coupe d'Europe. Ça serait encore plus novateur.?

Sur les phases de poule tous les clubs sont concernés. Donc personne ne pourrait râler. Excellent idée. Déjà 6 doublons de placer sans que ça ne pénalise personne.

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Il y a 2 heures, le zèbre aux courges a dit :

Sur les phases de poule tous les clubs sont concernés. Donc personne ne pourrait râler. Excellent idée. Déjà 6 doublons de placer sans que ça ne pénalise personne.

Ça va être l'inverse ils vont le faire sur les demi-finales et finales en se disant qu'il n'y aura que le ST qui sera concerné donc on s'en fout. ?

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grand schtroumpf 83
il y a 2 minutes, Gabi a dit :

Ça va être l'inverse ils vont le faire sur les demi-finales et finales en se disant qu'il n'y aura que le ST qui sera concerné donc on s'en fout. ?

Euhhh, je veux bien que vous soyez le plus geand club du monde, à jamais les premiers etc... mais du coup, ils font comment le racing et L'ASM pour perdre tous les deux un matchs où ils s'opposent.

Puis pour info, la coupe Mickey n'a pas été annulée et il y a trois clubs français dont deux reçoivent en quarts.

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il y a 49 minutes, grand schtroumpf 83 a dit :

Euhhh, je veux bien que vous soyez le plus geand club du monde, à jamais les premiers etc... mais du coup, ils font comment le racing et L'ASM pour perdre tous les deux un matchs où ils s'opposent.

Puis pour info, la coupe Mickey n'a pas été annulée et il y a trois clubs français dont deux reçoivent en quarts.

Ah oui, tu as raison. Alors bonne nouvelle, seule la finale sera un doublon. ?

 

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Il y a 9 heures, grand schtroumpf 83 a dit :

D'après l'article, c'est pad prévu.

Par contre, on peut faire des doublons top14 coupe d'Europe. Ça serait encore plus novateur.?

Ça a presque existé en 2004 avec la finale Wasps-Toulouse le dimanche et un match de play-off le mercredi suivant Biarritz-Toulouse.

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il y a une heure, jauzy19 a dit :

Ça a presque existé en 2004 avec la finale Wasps-Toulouse le dimanche et un match de play-off le mercredi suivant Biarritz-Toulouse.

Et le retour contre Biarritz le dimanche qui suivait.. 2 victoires en 4 jours après la désillusion de la finale 

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Le 20/06/2020 à 09:58, RMP a dit :

Le Leinster pendant les doublons sont prenables je pense. 

 

Le 20/06/2020 à 10:14, grand schtroumpf 83 a dit :

pendant les doublons Top14 champions cup?

 

Je parlais, en cas de l’éventualité évoquée plus haut, de doublon Hcup/matches internationaux. 

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grand schtroumpf 83
Il y a 2 heures, RMP a dit :

 

 

Je parlais, en cas de l’éventualité évoquée plus haut, de doublon Hcup/matches internationaux. 

cette éventualité est nulle évidemment.

 Pour des clubs français, c'est déjà très irréaliste dans le cadre de phases finales mais admettons, pour les anglais à la limite mais pour les irlandais, c'est juste impossible.

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