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Solidarité rugbystique


monferrandaise_31

Messages recommandés

monferrandaise_31

Merci à ceux qui viennent signer !!!!

AU fait profitez en pour faire un tour sur notre forum et laisser un petit message pour Adrien Chalmin, victime d'un accident pendant un match !!!

:rolleyes:

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http://www.cybervulcans.net/spip/ALCRPF.html

"La Ligue Nationale de Rugby ne veut pas de supporters sur le terrain avant les matchs. Nous réclamons haut et fort le maintien de cette tradition qui reflète bien la convivialité et le folklore typique du rugby.

Même si pour cause de sécurité, ce que tout le monde comprend bien, cette action doit être encadrée par le club aucun problème, nous sommes prêts.

Pourquoi ne pas désigner 2 supporters de chaque équipe pour pénétrer sur la pelouse."

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j'avais vu le sujet mais comme je ne l'ai pas lu, je ne savais pas de quoi il parlait! t'as raison, ça va plus du tout moi! :smile:

tout ça pour dire que c'est encore une belle connerie de la LNR !!!! :rolleyes:

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ca interesse pas la ligue que des gars viennent sur la pelouse ca fait trop amical et trop bébé!

tout comme les mots que montrent les joueurs lors de la presentation de l'équipe sur canal+ ca fait trop gamin et pas assez distingué :rolleyes:

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monferrandaise_31
tout comme les mots que montrent les joueurs lors de la presentation de l'équipe sur canal+ ca fait trop gamin et pas assez distingué :rolleyes:

surtout quand il y a des fautes :smile:

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fin du Pilou Pilou

Pas de Bronca

Une charte : pas crier, siffler, boire, drapeau et trompette interdits.

Pas de renard...

Sympa l'ambiance rugby. Rien ne vaut le monde merveilleux de la LNR, des karaokés et des danseuses.

Je ne comprends pas pourquoi on a mis si longtemps avant d'interdire toutes ses manifestations ridicules de supporters dans le rugby. La honte. Les anglais, eux savent depuis toujours se tenir.

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T'oublies: cravate et drapeau AFAT obligatoire... :smile:

Qu'il veuille prévenir la violence est une chose. Mais viser le renard, c'est se tromper de cible. Le meilleur moyen d'amener la violence étant de chasser la convivalité. et le renard n'est pas autre chose qu'un signe de la convivalité qui existe encore au rugby.

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En Europe, le renard est vecteur de la rage, maladie virale mortelle pour l'homme. Un problème préoccupant de santé publique, même si, comme la plupart des autres pays européens, la Belgique peut s'enorgueillir de ne plus déplorer de cas de mortalité humaine.Toutefois, il convient de signaler qu'en 1989, dans notre pays, pas moins de 1.300 personnes ont subi un traitement "curatif" (vaccinations successives) suite à un contact avec un animal enragé ou suspecté de l'être. Cette maladie constitue également une menace permanente en matière de santé animale: animaux de production et de compagnie en sont victimes. Enfin, il faut également considérer l'effet de détérioration provoqué par la rage sur la faune sauvage, même si celui-ci est difficilement mesurable.

L'épidémie de rage vulpine a touché l'est de la Belgique en 1966, pour ensuite se propager vers l'ouest et le sud du pays et atteindre le sillon fluvial Sambre-et-Meuse, qui semblait opposer une barrière naturelle à l'extension de la maladie. Comme dans d'autres pays européens, la rage a interrompu sa progression géographique et s'est stabilisée.

La lutte contre la rage

Différentes méthodes de lutte préventive contre la rage sylvatique ont été proposées. Pour protéger l'homme, la lutte contre la maladie chez les animaux domestiques peut être menée sur deux fronts : protéger directement les animaux domestiques par la vaccination et tenter d'éliminer la rage dans l'espèce animale vectrice.

Pour combattre la rage chez l'espèce sauvage vectrice, on a le choix entre deux attitudes, qui peuvent dans certains cas s'avérer complémentaires : soit celle de la prévention sanitaire, qui consiste à réduire artificiellement la densité des populations, soit celle de la prévention médicale, qui vise à réduire le nombre d'animaux réceptifs à la maladie par la vaccination.

La limitation des populations de renards

L'objectif de cette méthode consiste à diminuer la possibilité de transmission de la maladie en éliminant artificiellement une fraction suffisante de la population vulpine. En Europe, l'expérience de plusieurs années de réduction des populations de renards et l'acquisition récente de certaines connaissances sur la biologie de cette espèce ont montré que, pour briser la chaîne de transmission de la rage, la fraction de la population à éliminer est très élevée. Pour être efficace, cette destruction des renards devait être également répartie dans l'espace et suffisamment soutenue dans le temps. Ce qui est rapidement apparu difficile sur les plans pratique, éthique et économique. A elle seule, cette méthode n'a que très rarement permis de freiner l'extension de la maladie. Les causes d'échecs sont multiples, mais il a notamment été observé que la diminution de la densité de population sur un territoire donné ne fait pas varier la fréquence des contacts (nécessaires) entre renards. En effet, un taux élevé de mortalité dans une population vulpine a pour effet de déstabiliser l'organisation spatiale de la société vulpine et d'accroître le taux de contacts sociaux, et donc infectieux.

Certaines techniques de réduction de population, comme le gazage des terriers, se sont également heurtées à des difficultés d'ordre éthique et écologique.

La vaccination antirabique du renard

Une autre stratégie consiste à diminuer l'efficacité de la transmission de la rage en vaccinant une certaine fraction de la population vulpine. Cette fraction de renards à vacciner dépend directement de la densité de population; pour une densité moyenne de 2 renards /km2, par exemple, la fraction à vacciner pour éliminer la maladie atteint 80 %.

Cette méthode, utilisée par la majorité des pays infectés d'Europe, a déjà permis d'éliminer la maladie sur une grande partie de leur territoire.

Vers l'élimination de la rage en Belgique ?

Depuis 1989, deux campagnes annuelles de vaccination antirabique du renard ont été effectuées: l'une au printemps, l'autre à l'automne. Lors de chaque opération, les appâts-vaccins ont été distribués par voie aérienne (avion ou hélicoptère), à raison d'une moyenne de 15 à 20 appâts par km2.

De 1989 à 1992, l'ensemble du territoire initialement contaminé fut traité (sud du sillon Sambre-et-Meuse, soit environ 10.000 km2) à sept reprises. Ces 7 campagnes de vaccination ont permis l'élimination de la maladie dans 80 % de ce territoire. En 1992, un important foyer transfrontalier persistait en effet dans le sud des provinces de Luxembourg et de Namur. Cette situation a permis d'interrompre la vaccination dans certaines régions (ex: province de Liège). Toutefois, à l'automne 1992 et en 1993, trois campagnes qualifiées de "défensives", et menées sur des territoires plus restreints, ont été nécessaires pour éliminer ce dernier foyer et pour former un bouclier de protection contre toute réinvasion de la maladie en provenance d'un pays voisin encore infecté.

En 1993, la situation épidémiologique de la rage en Belgique laissait suggérer que l'ensemble du territoire initialement infecté avait été rendu indemne grâce aux campagnes de vaccination. En janvier 1994, la détection d'un renard enragé dans la région de Florenville révélait l'existence d'un foyer à proximité de la frontière française. Malgré la réalisation en 1994 de nouvelles campagnes de vaccination dans cette région, ce foyer a pu se propager vers le nord et réinfecter un territoire d'environ 3.000 km2 situé au sud des provinces de Luxembourg et de Namur. Les résultats des contrôles de prise d'appâts vaccinaux ont montré qu'une fraction insuffisante de la population vulpine a pu être immunisée à la suite des campagnes de 1994. Plusieurs facteurs, notamment l'accroissement de la densité de population des renards et d'autres espèces animales consommatrices d'appâts (sanglier, fouine .... ), ont permis d'expliquer le manque d'efficacité de ces dernières opérations.

En 1996, la stratégie de vaccination antirabique des renards a donc été modifiée et adaptée à la situation épidémiologique nouvelle. Une opération de vaccination des renardeaux au terrier est notamment venue compléter les deux campagnes habituelles de distribution d'appâts vaccinaux par voie aérienne.

Cette même année, la rage a été diagnostiquée chez 44 animaux, sauvages ou domestiques. En comparaison avec la situation épidémiologique observée en 1995, ces cas démontrent une importante diminution de l'incidence de la rage. Grâce à l'adaptation de la stratégie de vaccination et à la bonne coopération transfrontalière, le foyer de réinfection apparu en 1994 dans le sud du pays est en voie d'être maîtrisé (6 cas de rage animale durant le premier semestre 1997).

Les campagnes de vaccination du renard ont également porté leurs fruits dans les pays voisins. En France, par exemple, aucun cas n'a été rapporté depuis 6 mois.

L'élimination de la rage par la vaccination des renards est-elle seule responsable de leur prolifération actuelle ?

L'augmentation des effectifs de renards est actuellement constatée dans la majorité des pays européens et semble indépendante de l'élimination de la rage dans les régions qui étaient infectées. En effet, cette explosion démographique apparaît de façon similaire dans des régions ou pays qui ont toujours été indemnes de la maladie (ex: Flandre, Hollande, Grande- Bretagne, ... ). De plus, en Belgique par exemple, les renards étaient moins répandus avant l'apparition de l'épidémie de rage (début des années '60) que lorsque cette dernière atteignait son pic maximal d'incidence (années '80). Des recherches menées en France ont également permis d'émettre l'hypothèse que la mortalité due à la rage n'est pas additive aux autres causes de mortalité et ne régule pas les effectifs de renards.

La disparition de la rage n'apparaît pas comme un facteur prépondérant qui expliquerait l'évolution démographique à long terme du renard. Cette évolution est très probablement liée directement ou indirectement aux activités humaines : modifications du paysage et des pratiques rurales.

: whist

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black-dwarf Ecrit le jeudi 12 janvier 2006, 22:27

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En Europe, le renard est vecteur de la rage, maladie virale mortelle pour l'homme. Un problème préoccupant de santé publique, même si, comme la plupart des autres pays européens, la Belgique peut s'enorgueillir de ne plus déplorer de cas de mortalité humaine.Toutefois, il convient de signaler qu'en 1989, dans notre pays, pas moins de 1.300 personnes ont subi un traitement "curatif" (vaccinations successives) suite à un contact avec un animal enragé ou suspecté de l'être. Cette maladie constitue également une menace permanente en matière de santé animale: animaux de production et de compagnie en sont victimes. Enfin, il faut également considérer l'effet de détérioration provoqué par la rage sur la faune sauvage, même si celui-ci est difficilement mesurable.

L'épidémie de rage vulpine a touché l'est de la Belgique en 1966, pour ensuite se propager vers l'ouest et le sud du pays et atteindre le sillon fluvial Sambre-et-Meuse, qui semblait opposer une barrière naturelle à l'extension de la maladie. Comme dans d'autres pays européens, la rage a interrompu sa progression géographique et s'est stabilisée.

La lutte contre la rage

Différentes méthodes de lutte préventive contre la rage sylvatique ont été proposées. Pour protéger l'homme, la lutte contre la maladie chez les animaux domestiques peut être menée sur deux fronts : protéger directement les animaux domestiques par la vaccination et tenter d'éliminer la rage dans l'espèce animale vectrice.

Pour combattre la rage chez l'espèce sauvage vectrice, on a le choix entre deux attitudes, qui peuvent dans certains cas s'avérer complémentaires : soit celle de la prévention sanitaire, qui consiste à réduire artificiellement la densité des populations, soit celle de la prévention médicale, qui vise à réduire le nombre d'animaux réceptifs à la maladie par la vaccination.

La limitation des populations de renards

L'objectif de cette méthode consiste à diminuer la possibilité de transmission de la maladie en éliminant artificiellement une fraction suffisante de la population vulpine. En Europe, l'expérience de plusieurs années de réduction des populations de renards et l'acquisition récente de certaines connaissances sur la biologie de cette espèce ont montré que, pour briser la chaîne de transmission de la rage, la fraction de la population à éliminer est très élevée. Pour être efficace, cette destruction des renards devait être également répartie dans l'espace et suffisamment soutenue dans le temps. Ce qui est rapidement apparu difficile sur les plans pratique, éthique et économique. A elle seule, cette méthode n'a que très rarement permis de freiner l'extension de la maladie. Les causes d'échecs sont multiples, mais il a notamment été observé que la diminution de la densité de population sur un territoire donné ne fait pas varier la fréquence des contacts (nécessaires) entre renards. En effet, un taux élevé de mortalité dans une population vulpine a pour effet de déstabiliser l'organisation spatiale de la société vulpine et d'accroître le taux de contacts sociaux, et donc infectieux.

Certaines techniques de réduction de population, comme le gazage des terriers, se sont également heurtées à des difficultés d'ordre éthique et écologique.

La vaccination antirabique du renard

Une autre stratégie consiste à diminuer l'efficacité de la transmission de la rage en vaccinant une certaine fraction de la population vulpine. Cette fraction de renards à vacciner dépend directement de la densité de population; pour une densité moyenne de 2 renards /km2, par exemple, la fraction à vacciner pour éliminer la maladie atteint 80 %.

Cette méthode, utilisée par la majorité des pays infectés d'Europe, a déjà permis d'éliminer la maladie sur une grande partie de leur territoire.

Vers l'élimination de la rage en Belgique ?

Depuis 1989, deux campagnes annuelles de vaccination antirabique du renard ont été effectuées: l'une au printemps, l'autre à l'automne. Lors de chaque opération, les appâts-vaccins ont été distribués par voie aérienne (avion ou hélicoptère), à raison d'une moyenne de 15 à 20 appâts par km2.

De 1989 à 1992, l'ensemble du territoire initialement contaminé fut traité (sud du sillon Sambre-et-Meuse, soit environ 10.000 km2) à sept reprises. Ces 7 campagnes de vaccination ont permis l'élimination de la maladie dans 80 % de ce territoire. En 1992, un important foyer transfrontalier persistait en effet dans le sud des provinces de Luxembourg et de Namur. Cette situation a permis d'interrompre la vaccination dans certaines régions (ex: province de Liège). Toutefois, à l'automne 1992 et en 1993, trois campagnes qualifiées de "défensives", et menées sur des territoires plus restreints, ont été nécessaires pour éliminer ce dernier foyer et pour former un bouclier de protection contre toute réinvasion de la maladie en provenance d'un pays voisin encore infecté.

En 1993, la situation épidémiologique de la rage en Belgique laissait suggérer que l'ensemble du territoire initialement infecté avait été rendu indemne grâce aux campagnes de vaccination. En janvier 1994, la détection d'un renard enragé dans la région de Florenville révélait l'existence d'un foyer à proximité de la frontière française. Malgré la réalisation en 1994 de nouvelles campagnes de vaccination dans cette région, ce foyer a pu se propager vers le nord et réinfecter un territoire d'environ 3.000 km2 situé au sud des provinces de Luxembourg et de Namur. Les résultats des contrôles de prise d'appâts vaccinaux ont montré qu'une fraction insuffisante de la population vulpine a pu être immunisée à la suite des campagnes de 1994. Plusieurs facteurs, notamment l'accroissement de la densité de population des renards et d'autres espèces animales consommatrices d'appâts (sanglier, fouine .... ), ont permis d'expliquer le manque d'efficacité de ces dernières opérations.

En 1996, la stratégie de vaccination antirabique des renards a donc été modifiée et adaptée à la situation épidémiologique nouvelle. Une opération de vaccination des renardeaux au terrier est notamment venue compléter les deux campagnes habituelles de distribution d'appâts vaccinaux par voie aérienne.

Cette même année, la rage a été diagnostiquée chez 44 animaux, sauvages ou domestiques. En comparaison avec la situation épidémiologique observée en 1995, ces cas démontrent une importante diminution de l'incidence de la rage. Grâce à l'adaptation de la stratégie de vaccination et à la bonne coopération transfrontalière, le foyer de réinfection apparu en 1994 dans le sud du pays est en voie d'être maîtrisé (6 cas de rage animale durant le premier semestre 1997).

Les campagnes de vaccination du renard ont également porté leurs fruits dans les pays voisins. En France, par exemple, aucun cas n'a été rapporté depuis 6 mois.

L'élimination de la rage par la vaccination des renards est-elle seule responsable de leur prolifération actuelle ?

L'augmentation des effectifs de renards est actuellement constatée dans la majorité des pays européens et semble indépendante de l'élimination de la rage dans les régions qui étaient infectées. En effet, cette explosion démographique apparaît de façon similaire dans des régions ou pays qui ont toujours été indemnes de la maladie (ex: Flandre, Hollande, Grande- Bretagne, ... ). De plus, en Belgique par exemple, les renards étaient moins répandus avant l'apparition de l'épidémie de rage (début des années '60) que lorsque cette dernière atteignait son pic maximal d'incidence (années '80). Des recherches menées en France ont également permis d'émettre l'hypothèse que la mortalité due à la rage n'est pas additive aux autres causes de mortalité et ne régule pas les effectifs de renards.

La disparition de la rage n'apparaît pas comme un facteur prépondérant qui expliquerait l'évolution démographique à long terme du renard. Cette évolution est très probablement liée directement ou indirectement aux activités humaines : modifications du paysage et des pratiques rurales.

:P:smile:

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La LNR veut la peau du renard et trouve que cela n'est pas "rugby"...

le ST a reçu lui aussi des menaces suite au striker lors de la venue de Bourgoin.

Merci la Ligue (Mr Prat). Il faut s'attendre un jour ou l'autre à voir les CRS dans les stades comme au foot. C'est inévitables avec des cons pareils.

L'ambiance rugby, ils s'en tamponnent. Vive les Toulouse Toulouse (ou autres ville) on t'encule derrière des grillages.

http://www.cybervulcans.net/forum/index.ph...ic=15375&st=105

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monferrandaise_31

l'affaire avance .....

Notre Webmestre Vulcain a envoyé récemment une lettre à la FFR consultable sur le site des cybervulcans : http://www.cybervulcans.net/spip/Lettre-a-la-FFR.html

où vous pouvez laisser vos commentaires .

ceux-ci lui ont répondu (je cite notre chef :-)) :

je viens d'avoir un coup de fil de la FFR au sujet du renard, je vous fait un rapide résumé avant d'avoir leur lettre.

Il n'y a aucun probleme pour que le renard entre sur la pelouse avant le match , par contre ce qu'ils n'ont pas apprécier c'est le fait que le renard soit en string et le fait qu'il est de l'alcool pour cracher du feu lors du match contre le SF.

Franchement le gars au tel etait vraiment sympa et dans l'esprit rugby a mon avis, pour lui il n'y a pas de probleme pour les animations d'avant match, aucun probleme pour faire le tour du stade avec un drapeau, velo etc etc mais pas de petards, fumigenes.

Je trouve leurs reactions tres sport, je vous tiendrais au courant quand j'aurais la lettre

Il faut maitenant attendre les réponses de la ligue mais apparement l'ASM n'aurait jamais été contactée par la FFR.

MERCI A TOUS LES SUPPORTERS QUI ONT SIGNE !!!

VIVE LE RUGBY !!!

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