Guest perrot Posted September 22, 2007 Share Posted September 22, 2007 les ami(e)s je crois qu'après ce match on peut tirer un grand coup de chapeau aux deux équipes et surtout aux tongiens. putain que le rugby est beau qd il est joué comme ça ! peu importe le vainqueur de la cpe du mde, on pourra s'endormir tranquillou et serein ce soir. ce match restera gravé dans nos mémoires. allez maintenant place aux samoans. Link to comment
Bilt Posted September 22, 2007 Share Posted September 22, 2007 (edited) Et dire que certains veulent réduire a 16 le nombre d'équipes a la Coupe du Monde, quand on voit les perfs des tongiens, georgiens etc... Edited September 22, 2007 by Bilt Link to comment
jauzy19 Posted September 22, 2007 Share Posted September 22, 2007 +1 Match fantastique, exceptionnel, de très loin le plus beau de la compétition pour le moment. Link to comment
Guest perrot Posted September 22, 2007 Share Posted September 22, 2007 (edited) +1Match fantastique, exceptionnel, de très loin le plus beau de la compétition pour le moment. ça tu l'as dit ! La finale va valoir le déplacement parce que sincérement qd les bocks décident de jouer au ballon, ils valent les blacks. incroyable : ils avaient les avants, ils ont maintenant les 3/4. Sur leur deuxième essai, ils ne vous font pas penser à une autre équipe à l'époque entraînée par des pipes! vivement le 20 octobre. Tous derrière les tongiens contre les rosbeefs. Edited September 22, 2007 by perrot Link to comment
Tilosach Posted September 23, 2007 Share Posted September 23, 2007 Ben oui, superbe extrait. Mais pour avor Eurosport il faut payer. Merci TF1, merci l'IRB. Link to comment
Zuzu31 Posted September 23, 2007 Share Posted September 23, 2007 (edited) Ben oui, superbe extrait.Mais pour avor Eurosport il faut payer. Merci TF1, merci l'IRB. Comme Canal avec le TOP14, merci la LNR... Et après, on veut "développer" ce sport ??? Pfff...faudrait déjà que les gens puissent le regarder sans avoir besoin de payer encore et encore... Edited September 23, 2007 by Zuzu31 Link to comment
Xv-31 Posted September 24, 2007 Share Posted September 24, 2007 Finau Maka, le Tonguien qui se rêvait français Après de multiples appels du pied pour jouer en bleu, le troisième ligne toulousain fait la force des Tonga, qui affrontent aujourd’hui l’Afrique du Sud. Sur un terrain de rugby, vous l’avez sûrement remarqué. Avec sa coupe afro à la Jackson Five qui lui donne l’air de loger un nid au sommet de son crâne, Finau Maka a un épais matelas de protection. Il lui sera bien utile, aujourd’hui, pour affronter à Lens les Sud-Africains, plus que jamais favoris de la Coupe du monde après leur rouste 36-0 infligée aux Anglais la semaine dernière. N’en déduisez pas que Finau est une lavette. Le troisième ligne est un colosse : 1,91 m pour 105 kg. D’ailleurs, chez les Maka, on est rugbyman-déménageur de père en fils. Le Stade toulousain l’a bien compris. En 2001, il a embauché les deux frères : le « petit », Finau, et le « grand », Isitolo, troisième ligne tout pareil de 1,88 m pour 122 kg, parti l’été dernier vers le Japon. La France, pour Finau, c’est donc une longue et belle histoire. À Toulouse, il a (entre autres) remporté deux titres de champion d’Europe, en 2003 et 2005. L’histoire se poursuit actuellement avec la Coupe du monde. S’il porte toujours un maillot rouge (sans noir), c’est cette fois pour la sélection des Tonga. Lors de ses deux premiers matchs en sélection, il n’a pas évolué au Stadium, mais à la Mosson, à Montpellier. Il en rit de bon coeur : « J’avais l’impression de jouer à domicile. » Ça s’est bien passé : victoire face aux États-Unis et aux Samoa. Les Tonguiens disputeront la deuxième place qualificative pour les quarts à l’Angleterre, vendredi prochain. Mais Finau aurait pu jouer cette Coupe du monde encore plus à domicile - sous le maillot tricolore - si Bernard Laporte l’avait voulu. Les règlements l’y autorisaient, puisqu’il détient un passeport français, vit depuis au moins trois ans dans l’Hexagone, et surtout avait jusque-là toujours refusé les avances de la sélection tonguienne. En vain. « C’est la vie, murmure-t-il de son doux phrasé. J’aurais vraiment voulu jouer pour la France, je l’ai fait savoir. Ça ne s’est pas fait, c’est dommage mais c’est comme ça. » Et de sourire : « Je crois que Bernard Laporte ne m’aime pas. » À 30 ans, Maka dispute donc sa première Coupe du monde, à la mode tonguienne. Même si ça pose parfois quel- ques soucis. Il a beau porter la jupe traditionnelle, il est moins à l’aise lorsqu’il s’agit d’entamer les entrechats belliqueux du haka national : « Je ne connais pas le sipi tau parce que je suis allé à l’école en Nouvelle-Zélande. Alors, je me planque derrière un équipier et j’essaie de suivre… » Frédéric Sugnot http://www.humanite.fr/ Link to comment
crazybib Posted September 24, 2007 Share Posted September 24, 2007 Finau Maka, le Tonguien qui se rêvait françaisAprès de multiples appels du pied pour jouer en bleu, le troisième ligne toulousain fait la force des Tonga, qui affrontent aujourd’hui l’Afrique du Sud. Sur un terrain de rugby, vous l’avez sûrement remarqué. Avec sa coupe afro à la Jackson Five qui lui donne l’air de loger un nid au sommet de son crâne, Finau Maka a un épais matelas de protection. Il lui sera bien utile, aujourd’hui, pour affronter à Lens les Sud-Africains, plus que jamais favoris de la Coupe du monde après leur rouste 36-0 infligée aux Anglais la semaine dernière. N’en déduisez pas que Finau est une lavette. Le troisième ligne est un colosse : 1,91 m pour 105 kg. D’ailleurs, chez les Maka, on est rugbyman-déménageur de père en fils. Le Stade toulousain l’a bien compris. En 2001, il a embauché les deux frères : le « petit », Finau, et le « grand », Isitolo, troisième ligne tout pareil de 1,88 m pour 122 kg, parti l’été dernier vers le Japon. La France, pour Finau, c’est donc une longue et belle histoire. À Toulouse, il a (entre autres) remporté deux titres de champion d’Europe, en 2003 et 2005. L’histoire se poursuit actuellement avec la Coupe du monde. S’il porte toujours un maillot rouge (sans noir), c’est cette fois pour la sélection des Tonga. Lors de ses deux premiers matchs en sélection, il n’a pas évolué au Stadium, mais à la Mosson, à Montpellier. Il en rit de bon coeur : « J’avais l’impression de jouer à domicile. » Ça s’est bien passé : victoire face aux États-Unis et aux Samoa. Les Tonguiens disputeront la deuxième place qualificative pour les quarts à l’Angleterre, vendredi prochain. Mais Finau aurait pu jouer cette Coupe du monde encore plus à domicile - sous le maillot tricolore - si Bernard Laporte l’avait voulu. Les règlements l’y autorisaient, puisqu’il détient un passeport français, vit depuis au moins trois ans dans l’Hexagone, et surtout avait jusque-là toujours refusé les avances de la sélection tonguienne. En vain. « C’est la vie, murmure-t-il de son doux phrasé. J’aurais vraiment voulu jouer pour la France, je l’ai fait savoir. Ça ne s’est pas fait, c’est dommage mais c’est comme ça. » Et de sourire : « Je crois que Bernard Laporte ne m’aime pas. » À 30 ans, Maka dispute donc sa première Coupe du monde, à la mode tonguienne. Même si ça pose parfois quel- ques soucis. Il a beau porter la jupe traditionnelle, il est moins à l’aise lorsqu’il s’agit d’entamer les entrechats belliqueux du haka national : « Je ne connais pas le sipi tau parce que je suis allé à l’école en Nouvelle-Zélande. Alors, je me planque derrière un équipier et j’essaie de suivre… » Frédéric Sugnot http://www.humanite.fr/ Ben normal, la bernicle n'aime pas les 8 perforants. Meme quand il en a un dans le groupe, il le fera jouer à un autre poste... Link to comment
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