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Aerospace Campus...


Mahatma

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allez un petit topic juste pour célébrer (pour ma part) la rennaissance de l'audace et de l'ambition architecturale toulousaine; parce que l'architecture est un art majeur.

Voici AEROSPACE CAMPUS à montaudran sur les anciennes pistes de l'aeropostale de mermoz (l'aviateur, pas le joueur :whist: :) et de saint-exupéry...

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Avec une video à la sauce george lucas en cliquant ici...avec le son !

pour être complet et plus d'infos: la depeche et

le site officiel de la mairie avec un petit docu en bas.

bref très heureux de ce projet pour l'avenir de toulouse qui allie le (très) beau et l'utile...

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  • 2 weeks later...

Et pour bien montrer que Toulouse bouge et n'existe pas qu'avec le rugby et l'aérospatial:

Le Muséum de Toulouse réinvente l'histoire naturelle après 10 ans de travaux

AFP

Par Par Alexandra LESIEUR AFP - Jeudi 24 janvier, 12h47

TOULOUSE (AFP) - Poulpe géant, zèbre, météorites ou manteau de chaman font leur retour samedi au Muséum d'histoire naturelle de Toulouse, le deuxième de France, dépoussiéré après dix ans de travaux et modernisé avec une nouvelle approche interactive et pédagogique de l'environnement.

Inauguré vendredi pour une ouverture au public le lendemain, cet ancien monastère, fermé en mars 1997 pour des raisons de sécurité, a été totalement rénové par l'architecte Jean-Paul Viguier afin d'abriter quelque 2,5 millions de pièces, dont 8.000 présentées au public.

"On a mis des collections au service d'un propos en croisant les regards, la science humaine et la science de la vie et de la Terre. Aujourd'hui, les problèmes se retrouvent autour des relations entre environnement, être humains et nature et il est normal que les disciplines croisent leurs points de vue", souligne le conservateur et directeur du Muséum, Jean-François Lapeyre.

Exit les grandes collections cloisonnées dans ce musée du XIXe siècle. Géologie, botanique ou ethnographie sont allègrement mélangées par thèmes via cinq expositions permanentes comme celle sur "les grandes fonctions du vivant".

Dans cette pièce, une pirogue amazonienne issue des riches collections ethnographiques se retrouve à quelques mètres d'un buisson épineux et d'une carapace de tortue pour illustrer les besoins de l'être humain de "se déplacer" et "se protéger".

Ces objets, tout comme les poissons, coquillages et animaux naturalisés, sont présentés simplement "pour que l'émotion soit intacte", fait valoir M. Lapeyre. Ils s'appuient sur de petits panneaux à l'écriture accessible, des vidéos, des bornes interactives et pour ceux qui le souhaitent, des explications directement fournies par des animateurs, les nouveaux gardiens du musée.

Autre signe de modernité, les squelettes ont retrouvé une posture naturelle et forment "presque une fresque vivante", selon le conservateur, pointant derrière une immense façade en verre un homme sur un cheval au galop.

Le voyage des fondements de la Terre à son futur prend fin devant "le tableau de bord" où défile en temps réel l'état de santé de la planète: les chiffres de la déforestation, la désertification, etc.

Pour pousser cette réflexion sur l'environnement, le Muséum s'est doté d'une plate-forme de débat entre scientifiques et visiteurs et, initiative unique en France, d'un espace naturel de 16 ha dans le nord de la ville.

Au parc de la Maourine, enfants et adultes pourront découvrir un étang, une roselière (étang de roseaux), des potagers du monde et le premier bâtiment toulousain haute qualité environnementale (HQE).

"Un écrin dans la ville, qui sera un peu l'application de ce que l'on a vu au Muséum du centre-ville", décrit le maire Jean-Luc Moudenc, dont la municipalité a financé 70% des 35 millions d'euros.

Tourné vers le XXIe siècle, ce "nouveau" Muséum n'en garde pas moins les traces de sa fondation: les briques roses se sont mariées à une large verrière en arc-de-cercle.

Premier musée français à s'être doté d'une galerie de la préhistoire, le Muséum reste très attaché à cette tradition. La première exposition temporaire lui sera consacrée "pour marquer le signal de notre renouveau", se réjouit le conservateur, non loin des vedettes de cette institution, la girafe et l'éléphant d'Asie.

Donné par le cirque Pinder en 1910, ce dernier accueillera les visiteurs dans l'ancien cloître, trompe relevée et défense pointées vers l'entrée principale.

Le site du muséum

Modifié par matbey
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