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And The Winner Is...


matbey

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Pour croire en un changement, en un ordre nouveau, pour ce que cela insuffle d'espoir, pour le symbole, pour oublier les années de plomb de l'ère Bush, mais aussi pour tous les défis qui l'attendent, les dangers qui le guettent, les espoirs qui seront déçus...

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Invité perrot
Pour croire en un changement, en un ordre nouveau, pour ce que cela insuffle d'espoir, pour le symbole, pour oublier les années de plomb de l'ère Bush, mais aussi pour tous les défis qui l'attendent, les dangers qui le guettent, les espoirs qui seront déçus...

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hé hé ... on a eu la même idée ! Je partage ton sentiment sauf que nous avons malheureusement passé l'âge d'avoir encore des illusions.

alors il nous reste nos rêves.

"We have a dream"

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"We have a dream"

Yes we can... have a dream !

En tout cas le monde a évité une brave cata : McCain et sa remorqueuse de casseroles, merci bien !

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Invité perrot
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énorme ...

http://www.dailymotion.com/video/x5p99v_o-...anche-s03_music

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Eeeeeeeeeexxxxxxxxxxxxxcccccccceeeeeeeeeeeeellllllllllllllllllllent !!!!!!!!!!!!!! :sorcerer:

Modifié par Bracame
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Barack Obama adopte le ton présidentiel mais garde son flegme de campagne

2008-11-08 08:55:44

CHICAGO (AFP)

© AFP

Barack Obama a adopté un ton présidentiel pour sa première conférence de presse depuis son élection à la Maison Blanche, mais conservé le flegme qui lui a si bien réussi durant la campagne électorale.

En montant vendredi à la tribune de la salle de bal de l'hôtel Hilton de Chicago, le président élu a paru un peu surpris de voir se lever les journalistes, un usage réservé habituellement aux chefs d'Etat.

"Vous étiez assis à côté de lui dans l'avion pendant des mois", a observé son directeur de campagne, Robert Gibbs. "Il va falloir qu'il s'y habitue..."

Pour ajouter à la solennité du moment, le prochain chef d'Etat s'est exprimé debout derrière un pupitre portant la mention "Bureau du président élu". La tribune était pavoisée d'une dizaine de drapeaux américains.

Derrière lui, se tenait au garde-à-vous son équipe de 16 conseillers économiques, parmi laquelle figurent des grands noms des administrations précédentes : les anciens secrétaires au Trésor de Bill Clinton Lawrence Summers et Robert Rubin, ainsi que l'ancien patron de la Réserve fédérale Paul Volcker.

En une vingtaine de minutes, le nouvel élu a passé en revue les principales difficultés économiques auxquelles il sera confronté lors de sa prise de fonction le 20 janvier. Il s'est placé sous l'égide de ses prédécesseurs Abraham Lincoln et Franklin Roosevelt, arrivés au pouvoir comme lui dans des périodes troublées.

"Leur histoire nous rappelle de façon urgente que nous sommes confrontés au plus grand défi de notre temps en matière économique. Nous allons devoir agir rapidement pour résoudre" la crise, a-t-il lancé.

Les réponses étaient concises et le futur président était visiblement conscient que ses paroles avaient désormais beaucoup plus de poids que durant ses 21 mois de campagne.

Interrogé sur la lettre de félicitations que lui a adressée le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, M. Obama a recouru à la langue de bois qui sied à sa future fonction : "Je vais étudier la lettre du président Ahmadinejad et je vais y répondre de façon appropriée", a-t-il dit.

Il s'est bien gardé de répondre en détail à une question sur le contenu des rapports quotidiens que lui remet la CIA.

"Je ne suis pas le président", a-t-il cru bon de rappeler, comme pour assurer indirectement qu'il n'empiétrait pas sur les prérogatives du sortant George W. Bush d'ici à sa prise de fonctions officielle.

Durant sa campagne, Barack Obama a séduit les électeurs par son style détendu, qui l'a fait paraître rassurant en période d'incertitude économique face à un John McCain dont la réaction a semblé brouillonne.

Vendredi, le vainqueur de la présidentielle a continué dans cette voie en refusant toute précipitation dans la désignation de son équipe.

"Il n'y a aucun doute que les gens veulent savoir comment notre équipe va être composée", a-t-il remarqué. "Je veux agir de façon réfléchie et rapide mais je veux insister sur la réflexion autant que sur la rapidité. Je crois qu'il est très important de faire le bon choix pour les postes clés de l'économie et de la sécurité nationale, et de ne pas se presser, afin de ne pas faire d'erreur".

L'humour n'était pas absent de la première conférence de presse de l'Obama présidentiel. Comme on lui demandait s'il avait pris contact avec d'anciens présidents, il a confié qu'il l'avait fait avec tous ceux "qui sont encore en vie".

"Je ne fais pas des séances de spiritisme à la Nancy Reagan", a-t-il soufflé, à propos de l'épouse de l'ancien président connue pour avoir tenté d'entrer en contact avec les morts depuis la Maison Blanche.

M. Obama s'est ensuite excusé dans la soirée auprès de l'ex-Première Dame. Il a "téléphoné à Nancy Reagan pour s'excuser pour la remarque cavalière et négligente qu'il a faite durant la conférence de presse", a indiqué sa porte-parole.

© AFP.

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Barack Obama, un président attendu sur tous les fronts

2008-11-09 12:21:10

SYDNEY (AFP)

Redresser l'économie, faire la paix au Proche-Orient, sauver la planète du réchauffement, combattre la faim: le président élu américain Barack Obama est attendu comme le Messie sur tous les fronts, soulignent des experts, qui affichent toutefois un certain optimisme.Evènement

"Vu l'ampleur, aucun mortel, même en état de grâce, n'est en mesure de satisfaire le niveau des attentes qu'Obama cristallise", estime Geoffrey Garrett, directeur du Centre des études américaines de l'université de Sydney.

"Cependant, imaginons qu'il comble ne serait-ce que 50% ou 75% des attentes placées en lui, cela serait déjà extraordinaire. Et je pense qu'il en est capable", ajoute-t-il.

Entré dans l'Histoire comme le premier président noir de Etats-Unis, Barack Obama héritera d'une série de défis internationaux d'une ampleur inédite lorsqu'il entrera en fonction le 20 janvier prochain.

Les Etats-Unis, et le monde dans leur sillage, traversent ce qui est considéré comme la plus grave crise financière depuis celle de 1929, alors qu'ils sont engagés dans deux guerres incertaines en Irak et en Afghanistan.

Mais M. Obama, dont le père était Kenyan, pourra également tourner son regard vers l'Afrique, où des nombreux dirigeants l'ont invité à contribuer à stabiliser leur continent, déchiré par plusieurs conflits.

"Votre victoire (...) donne l'espoir à des personnes comme nous qui aspirent à une nouvelle aube pour la paix, l'unité et le progrès", lui a ainsi déclaré Joseph Kabila, président de la République démocratique du Congo (RDC), lui même actuellement aux prises avec une violente rébellion armée dans l'est du pays.

M. Obama devra également, comme ses prédécesseurs, se pencher sur le Moyen Orient, où le président palestinien Mahmoud Abbas a réclamé cette semaine une accélération des efforts pour tenter de régler le conflit israélo-palestinien.

Sollicité sur tous les fronts, Barack Obama a reçu un nombre impressionnant de doléances, dont certaines aux allures de bouteille à la mer.

Le directeur général de l'Organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), Jacques Diouf, l'a ainsi appelé à faire de la lutte contre la faim une de ses priorités en accueillant un sommet mondial sur ce sujet au premier semestre 2009.

Les Etats-Unis devraient, "durant le premier semestre 2009, assumer un rôle de chef de file dans l'organisation d'un Sommet mondial sur la sécurité alimentaire afin de dégager un vaste consensus sur l'élimination définitive de la faim dans le monde", a estimé M. Diouf dans un communiqué.

"Obama bénéficie d'une bienveillance sur le plan international dont il peut profiter dans les premiers six ou douze mois, au moment où il devra fournir des résultats en matière de politique étrangère", note Alan Dupont, un expert auprès du centre d'études stratégiques de l'université de Sydney.

"Obama est un homme dont la plupart des gens diraient qu'il recèle les promesses d'un dirigeant vraiment efficace, potentiellement d'un grand dirigeant", ajoute-t-il, tout en admettant qu'"on ne sait pas ce qu'il va donner".

"Les espoirs qu'il a soulevés sont si forts que la déception sera son ennemie dès le premier jour", écrivait cette semaine Laurent Joffrin, directeur de Libération (gauche), l'un des principaux quotidiens de la presse française.

Mais il s'interroge sur l'ampleur des tâches qui attendent le prochain locataire de la Maison Blanche : "L'homme sera-t-il à la hauteur de son destin?"

© AFP.

Tiens à ce propos, on entend beaucoup parlé de Barack Obama comme président élu, mais il n'a pas encore été élu président des Etats-Unis à l'heure actuelle. Seul le collège électoral qui va voter a été élu! Le 15 décembre, les collèges électoraux se réunissent dans chaque état pour voter, le 8 janvier, le compte sera fait au Séant et Obama offciellement élu 44eme président des Etats-unis.

Pour en savoir plus , c'est ici.

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