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Sexe Avant Les Matchs


Invité Nameless

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Invité Nameless

Faut-il faire l’amour avant les matchs?

Tous les sportifs ont une idée sur la question mais ce n’est pas forcément la même… La réponse est peut être plus psychologique que physiologique et le mieux est sûrement de ne pas trop se poser la question!

Toutes les équipes ne sont pas logées à la même enseigne. Les Argentins se sont vus autorisés par leur sélectionneur les relations sexuelles «avec une partenaire stable» pendant la durée du mondial. Après avoir lu cette phrase, la moitié des sportifs du dimanche opine, l’autre bondit sur sa chaise. Le sexe avant les matchs, c’est un vrai débat au sein des équipes de pros et d’amateurs. Certains se frustrent pour garder leur agressivité sur le terrain pendant que d’autres se soulagent pour être détendus et concentrés. D’où des décalages d’attitude dans les vestiaires.

Car le débat, qui dépasse le football, n’est pas tranché. Gary Kirsten, entraîneur de la sélection indienne de cricket, conseille ainsi à ses joueurs de faire l’amour avant les matchs. Selon lui, l’acte a des effets positifs sur l’énergie, la force, la compétitivité… Le champion de boxe Anthony Mundine aurait fait ceinture pendant dix semaines avant un combat…. pour le perdre! De son côté, le Brésilien Romario affirme que «les bons attaquants marquent davantage lorsqu’ils ont fait l’amour la veille d’un match». Il est rejoint par George Best sur le sujet. Mais bon, Best et Romario ne sont pas vraiment des modèles de vie saine… Le tennisman Fabrice Santoro a, quant à lui, changé d’opinion au cours de sa carrière. «A dix-huit ou vingt ans, je m’interdisais tout rapport sexuel avant un match, par peur de perdre toute mon énergie. Au fil de ma carrière, je me suis de plus en plus autorisé à faire l’amour les veilles de match. J’ai réalisé que non seulement ça ne me pénalisait pas mais que ça me donnait la pêche».

Alors, quel(s) exemple(s) suivre?

La réponse ne viendra pas des sciences. Les expériences sur le sujet ont des conclusions contradictoires et leurs protocoles sont souvent soumis à d’importantes critiques. Le principal point de débat réside dans le fait de savoir si l’éjaculation fait diminuer le taux de testostérone chez l’homme. D’après le professeur Emmanuele Jannini (université d’Aquila en Italie), ce serait plutôt l’inverse. Il affirme que des périodes de 3 mois sans activité sexuelle (pauvres cobayes) diminuent le taux d’hormone mâle dans le sang. Au contraire, le Dr Goossens, médecin du club “Germinal” Beerschot a mené une expérience — sponsorisée par le fabricant de préservatifs Durex — a l’issue de laquelle il déclare: «Sur le plan physiologique, je ne peux que plaider l’abstinence».

Etudes contradictoires

Ian Shrier, médecin du sport à l’université de Mc Gill à Montréal, fait avancer le débat. Pour lui, le sexe n’a pas d’effets physiologiques sur l’individu. Il peut en revanche aider à détendre un athlète stressé la veille d’une compétition. Jean-Marcel Ferret, l’ancien médecin de l’équipe de France de football, confirme: pour lui, faire l’amour ou pas dépend «des rituels personnels» d’avant-match. De la même manière qu’au moment de rentrer sur la pelouse, certains joueurs se signent, d’autres pas. La variation hormonale dû à l’acte étant minime, le facteur psychologique jouerait plus que le facteur physiologique. Enfin, si l’on suit le conseil de George Best: «Il ne faut peut être pas le faire une heure avant le match, mais la veille, cela ne fait aucune différence».

Le débat existe aussi chez les femmes. Un scientifique israélien, Alexander Olshanietzky, affirme que les athlètes féminines réalisent de meilleures performances après l’orgasme. «C’est vrai pour les athlètes inscrites en saut en hauteur et en course, disait-il avant les JO d’Atlanta en 1996. Plus elles ont d’orgasmes, plus elles augmentent leurs chances de médailles.» Une opinion contredite par la gymnaste Suzanne Dando. «Je n’ai jamais couché avant une compétition [...] Je suis plutôt fatiguée après avoir fait l’amour.»

Pas d’acrobaties

Une chose est sûre, il faut éviter à tout prix la fatigue physique avant une échéance importante. L’ancien Ballon d’Or et champion du monde Ronaldo confirme. «Faire l’amour quelques heures avant un match, c’est la clef du succès, à condition d’être passif et de jouir du moment présent.» C’est plus ou moins la consigne du médecin de la sélection argentine:«Le sexe fait partie de la vie sociale de tout le monde, et ce n’est pas un problème en soi. Les difficultés surgissent avec les excès, les additifs, un partenaire qui n’est pas régulier, ou la pratique à des heures qui sont réservées au repos». Ferret enfonce le crampon: «Le problème, c’est s’ils ont une partenaire ponctuelle, c’est là qu’ils font des folies et que l’acte les fatigue». Il faudra donc chercher ailleurs que dans le sexe d’un soir les raisons du coup de moins bien des Bleus face à la Tunisie (match nul 1-1). Ils venaient de passer plusieurs jours avec leurs officielles alors que celui contre le Costa Rica (victoire 2-1) s’était déroulé après une semaine en mode commando à Tignes.

Source : Yahoo FR

Comme disait Maxence sur le sens de la vie, "à part le cul, il n'y a rien d'autre !"

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