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Paris Fair Play


Parigot_Paris

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Parigot_Paris

Mes toulousaings, vous étiez occupés ailleurs pendant le SF-Bourgoin, mais vous auriez apprécié la qualité toute irlandaise du silence pendant les pénalités. Pas un sifflet. Et on applaudit les points de l'adversaire, ainsi que les sorties de joueurs. Ca m'a fait plaisir de voir ça.

Bon, dans un satde de 20000 places où il y avait 8000 spectateurs, mais Paris en août... :sorcerer:

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Le Corbeau de l'USAP
Bon, dans un satde de 20000 places où il y avait 8000 spectateurs, mais Paris en août... :sorcerer:

C'est sûr, à Paris en août, il ne doit rester qu'un ou deux millions de personnes : très insuffisant pour remplir un stade ! :smile:

Remarquez, avec un tel déchaînement de passion, vous auriez dû décentraliser sur le Suzanne Lenglen. Ca aurait fait un beau coup médiatique de plus. :chinois:

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Mes toulousaings, vous étiez occupés ailleurs pendant le SF-Bourgoin, mais vous auriez apprécié la qualité toute irlandaise du silence pendant les pénalités. Pas un sifflet. Et on applaudit les points de l'adversaire, ainsi que les sorties de joueurs. Ca m'a fait plaisir de voir ça.

Bon, dans un satde de 20000 places où il y avait 8000 spectateurs, mais Paris en août... :smile:

Bah...du respect quand l'équipe adverse a un niveau de jeu "Pro D2" et qu'elle ne marque que 12 pts quand tu en marques 43, c'est sûr qu'il y en a toujours plus que lorsque c'est serré face à un rival direct.... :chinois: Rien d'exceptionnel, on a déjà vu ça, même à Toulouse ou Perpignan....tiens, hier par exemple contre Agen... :sorcerer: Mais nous, il y avait 20000 personnes... :smile:

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Invité chomelaregle

toute façon, ça n'a rien d'exceptionnel, ça ne sifflait pas à Jean bouin,

je ne vois pas pourquoi ça sifflerait à Charlety, club de niveau ProD2 ou pas...

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Mes toulousaings, vous étiez occupés ailleurs pendant le SF-Bourgoin, mais vous auriez apprécié la qualité toute irlandaise du silence pendant les pénalités. Pas un sifflet. Et on applaudit les points de l'adversaire, ainsi que les sorties de joueurs. Ca m'a fait plaisir de voir ça.

:chinois::smile: :smile: :o Ils ont applaudi en tout et pour tout 4 fois :lol: :lol: :lol:

Avez vous crié comme j'ai entendu sur un autre stade Arbitre en...rhumé!!! non... :smile: Alors pas fair play le public parisien :o

Bon, dans un satde de 20000 places où il y avait 8000 spectateurs, mais Paris en août... :sorcerer:

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Il y avait vraiment 8000 personnes ?

Je pensais pas autant, vu l'aspect extrêmement clairsemé des tribunes...

En tout cas, ce stade est pas mal du tout (c'est la première fois que j'y allais), je ne comprend pas ces manies à vouloir construire des stades partout, messieurs Guazzini et Lorenzetti...

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Parigot_Paris
Il y avait vraiment 8000 personnes ?

Je pensais pas autant, vu l'aspect extrêmement clairsemé des tribunes...

En tout cas, ce stade est pas mal du tout (c'est la première fois que j'y allais), je ne comprend pas ces manies à vouloir construire des stades partout, messieurs Guazzini et Lorenzetti...

On est quand même loin de la pelouse. Et il n'y a pas de loges où des ploutocrates peuvent se faire des ronds de jambe facturés très cher, donc voilà, vive le nouveau Jean Bouin !

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Invité chomelaregle
Il y avait vraiment 8000 personnes ?

Je pensais pas autant, vu l'aspect extrêmement clairsemé des tribunes...

En tout cas, ce stade est pas mal du tout (c'est la première fois que j'y allais), je ne comprend pas ces manies à vouloir construire des stades partout, messieurs Guazzini et Lorenzetti...

bah en fait Guazzini, il construit sur un stade déjà existant, donc y'aura pas de stade en plus,

et Jacky construit un nouveau, mais l'ancien va devenir le QG du Handball français, donc pareil, y'aura pas de stade en plus :sorcerer:

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Invité Chrysler Rose
bah en fait Guazzini, il construit sur un stade déjà existant, donc y'aura pas de stade en plus, et Jacky construit un nouveau, mais l'ancien va devenir le QG du Handball français, donc pareil, y'aura pas de stade en plus
:smile: J'ai pas le traducteur Google sous la main...

Pour Maxou, j'ai compris (Charléty forever!). Pour Jacky, par contre... :sorcerer:

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Mes toulousaings, vous étiez occupés ailleurs pendant le SF-Bourgoin, mais vous auriez apprécié la qualité toute irlandaise du silence pendant les pénalités. Pas un sifflet. Et on applaudit les points de l'adversaire, ainsi que les sorties de joueurs. Ca m'a fait plaisir de voir ça.

Bon, dans un satde de 20000 places où il y avait 8000 spectateurs, mais Paris en août... :sorcerer:

très sincèrement le public du SF est un des + fair play de France ... je l'ai déjà remarqué et moi je dis bravo ! :smile:

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Invité chomelaregle

je savais pas ou poster ça, alors bon...

Dominici, un an après

La belle histoire entre Christophe Dominici et le Stade Français a viré à l'amertume. Débarqué de son poste d'entraîneur il y a un an, Dominici livre ses sentiments.

Il a longtemps été le fils préféré. Christophe Dominici a toujours été un homme à part au Stade Français. Joueur de talent, sa relation privilégiée avec le président Max Guazzini lui a cependant assuré une reconversion dans le staff parisien. Guazzini confiait ainsi à L'Equipe Mag, « J'ai imposé Domi alors que, en fin de carrière, il n'était plus trop présent. Si j'avais écouté les conseils qu'on me donnait, j'aurais dû prendre Stéphane Glas. J'ai opté pour Christophe par pu affect ». Finalement, cette décision ne peut surprendre que les observateurs étrangers de la vie du Stade Français, tant la main mise de Guazzini sur son club est totale et basée sur l'affectif.

«Au club, les entraîneurs participent très peu au recrutement» évidemment, puisque chacun sait qu'ils sont choisis pour leur physique... :clin

Mais après une saison catastrophique, le Stade Français est en train de faire sa mue. Et les amitiés risquent bien de ne plus être au centre des débats. Christophe Dominici a en fait l'expérience. Le 6 septembre 2009, il était débarqué avec Ewen McKenzie. Un an plus tard, ses liens avec le club qui lui a tout offert sont pour le moins distendus. « Au Stade Français, je n'ai plus aucune fonction. Je reste actionnaire à 2 %, mais on ne me convoque même pas au conseil d'administration » a-t-il confié au Parisien. Jeune entraîneur des lignes arrières, Dominici avait certes beaucoup à prouver. Mais le Stade Français lui en a-t-il donné les moyens ? Selon l'intéressé, il n'a jamais été écouté en ce qui concerne le recrutement. « Les dernières saisons, j'ai proposé des joueurs comme Andreu et Huget, on ne m'a même pas prêté l'oreille. J'avais convaincu Hernandez de rester trois ans. On a préféré préféré aller chercher un troisième-ligne supplémentaire et se séparer d'un joueur qui touche 80 % des ballons par match ».

«Je reviendrai»

La page du Stade Français semble bien tournée pour un Christophe Dominici qui n'est « plus en accord avec le mode de fonctionnement » du club. Et s'il s'est longtemps interdit d'aller voir ailleurs, la possibilité de revenir au rugby dans un autre club se fait de plus en plus présente dans son esprit. « Quand je rencontre d'autres dirigeants, je m'aperçois que de jolies choses se font ailleurs ». Et de conclure, « Un jour, je reviendrai comme entraîneur ou manager. Le rugby, c'est ma vie ». - B.L.

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je savais pas ou poster ça, alors bon...

Dominici, un an après

Chome, ton nouvel article sur le forum du stade est dans le même ton...

encore un qui dit que c'est Maxou qui fait le recrutement tout seul...

Dominici, le fils oublié

Au moment où le Stade Français retrouve en ce début de saison le sommet du Top 14 sous les ordres de Michael Cheika, les bannis du club parisien sortent de leur silence pour dénoncer les méthodes de Max Guazzini. Autrefois le fils préféré, Christophe Dominici, presque un an après son éviction, dresse dans le Parisien un tableau à la fois amer et peu flatteur d'un club de la capitale, qui tourne le dos à ses cadres.

Tout le monde n'a pas comme Fabien Galthié, exilé dans l'Hérault, la nostalgie de Paris et du Stade Français. Le club du président Guazzini, après une saison noire, revit sous les ordres de Michael Cheika, leader après deux journées de Top 14 pour autant de victoires. Il y a presque un an, c'est une équipe en crise qui, dans l'impasse, perdait son staff, coupé par l'omnipotent Monsieur Max. Ce dernier n'hésitera pas ainsi le 6 septembre 2009 à sacrifier Christophe Dominici, adjoint de l'Australien Ewen McKenzie, lui-même débarqué sans ménagement. Après une seule saison et cinq matches à la tête des lignes arrières parisiennes, "Domi", icône du Stade, onze saisons de fidélité au club et cinq Brennus à son actif, réputé le fils préféré de Guazzini, tombait de son piédestal.

Presque un an a passé et la blessure, de toute évidence, reste vive pour l'ancien ailier qui, dans un entretien accordé au Parisien livre sa vision d'un Stade Français, où l'histoire et ses serviteurs n'ont pas d'avenir à espérer au-delà de leur carrière sur le pré, aussi brillante fut-elle. Max Guazzini avait pourtant promis que Dominici conserverait une fonction au sein du club... Promesse publique, mais non tenue, qui conduit aujourd'hui l'homme aux 67 sélections en équipe de France à sortir de son silence pour donner sa vision de son ancien club. "Au Stade Français, je n'ai plus aucune fonction. Je reste actionnaire à 2 %, mais on ne me convoque même pas au conseil d'administration...", confie-t-il amer. Si Dominici a encore une place à Paris, c'est en tribunes en tant que simple spectateur...

Dominici: "Il faut qu'il y ait une traçabilité dans un club"

Le sportif, voilà un secteur qu'il n'aura pu appréhender, même du temps de sa si brève carrière sur le banc parisien, qu'en pointillés. La faute, selon lui, à l'omniscience d'un Guazzini, incapable de déléguer et de concerter son entourage dans le processus décisionnel du club. Le recrutement, au sujet duquel le président parisien jure saison après saison ses grands Dieux qu'il n'agit pas en totale autonomie en la matière. La version de Dominici diffère sensiblement. "Les dernières saisons, j'ai proposé des joueurs comme Andreu et Huget, on ne m'a même pas prêté l'oreille", accuse-t-il, navré de voir ces joueurs, devenu international pour le premier, faire le bonheur de Castres pour l'un et de Bayonne pour l'autre. Plus grave encore: "J'avais convaincu Hernandez de rester trois ans. On a préféré aller chercher un troisième-ligne supplémentaire et se séparer d'un joueur qui touche 80% des ballons par match." Et c'est sous les couleurs du grand rival, le Racing, que "El Mago" s'apprête à effectuer son grand retour dans le championnat de France...

Exilé en cet été sur ses terres varoises, le banni, qui prépare son diplôme de manager à l'Université de Limoges et assure la promotion de So Bacco, une nouvelle boisson alcoolisée destinée à un public féminin, a perdu ses illusions sur le club de son coeur. Comme tant d'autres cadres historiques du Stade, à l'image de Peter De Villiers, rentré en Afrique du Sud, Sylvain Marconnet, transfuge biarrot depuis cet été, ou encore Mathieu Blin, poussé sans ménagement à la retraite à l'intersaison, sans qu'aucune opportunité de reconversion ne soit proposée à ces figures de la dernière décennie dorée du Stade Français. Une histoire, une expérience et un savoir-faire rayés d'un coup de plume, ou presque, alors que tout est à faire dans un club de capitale, dont le manque de structures est devenu légendaire. "Le Stade Français fonctionne à l'image, pas grâce aux structures, a dénoncé encore Dominici lundi sur RMC. Il faut qu'il y ait une traçabilité dans un club. C'est pour cela que je ne peux pas accepter certaines choses. A un moment donné, on s'aperçoit qu'au Stade Toulousain, les joueurs restent au sein de leur club pour transmettre leur expérience. Mais voilà au Stade Français, il n'y a pas d'anciens joueurs dans le staff."

Aujourd'hui, Dominici a tourné la page, aussi douloureuse soit-elle, et se devine même un avenir, forcément lié au terrain et au jeu, ailleurs qu'à Paris. "Quand je rencontre d'autres dirigeants, je m'aperçois que de jolies choses se font ailleurs."

Modifié par GIMP CLAN
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Invité chomelaregle
je savais pas ou poster ça, alors bon...

Dominici, un an après

Chome, ton nouvel article sur le forum du stade est dans le même ton...

bah oui, ils l'avaient pas encore lu la-bas, j'avais même pas vu que c'était pas le même article d'ailleurs.

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je savais pas ou poster ça, alors bon...

Dominici, un an après

Chome, ton nouvel article sur le forum du stade est dans le même ton...

bah oui, ils l'avaient pas encore lu la-bas, j'avais même pas vu que c'était pas le même article d'ailleurs.

Ils ne l'avaient pas lu car ca a peut-être été supprimé une fois postée... :blink:

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Invité chomelaregle
je savais pas ou poster ça, alors bon...

Dominici, un an après

Chome, ton nouvel article sur le forum du stade est dans le même ton...

bah oui, ils l'avaient pas encore lu la-bas, j'avais même pas vu que c'était pas le même article d'ailleurs.

Ils ne l'avaient pas lu car ca a peut-être été supprimé une fois postée... :blink:

tu m'étonnes :blink:

attend je l'ai (re?)posté ce matin, on va voir ce que ça va donner :stuart:

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LE CIEL ET BLANC

A Bayonne, les enfants font un Kop de copains

A Jean-Dauger, l’Aviron Bayonnais peut toujours compter sur son fidèle public. Et, depuis la saison dernière, sur le Ttikikop. L’initiative, inspirée du « Petit Kop » de Toulouse, et mis en place par l’association « Les Gars de l’Aviron », permet aux jeunes supporters de l’Aviron d’encourager ensemble leur équipe préférée. Découverte.

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Les Gars de l’Aviron ont de la suite dans les idées. Avant même la création de leur association la saison dernière, un projet a germé dans leur esprit : et si on créait un bout de tribune réservée aux enfants ? « Lors d’un déplacement à Ernest-Wallon en 2008, nous avons entendu un groupe d’enfants chanter, décrit Gilles Bordachar, le président des « Gars de l’Aviron ». C’était le Petit Kop du Stade Toulousain. J’ai trouvé l’idée géniale, et on s’est dit : pourquoi ne pas faire pareil à Bayonne ? ».

L’Aviron Bayonnais soutient le projet, et laisse le soin aux « Gars » de le mettre en place. Et c’est ainsi qu’en 2009, le « Ttikikop » est né. Dans le virage Nord du stade Jean-Dauger, 100 places sont ainsi offertes par le club aux enfants de 6 à 11 ans, pour tous les matchs. Pour en bénéficier, il suffit pour cela d’adhérer au « Ttikikop », moyennant 10 euros pour toute la saison, et s’inscrire par courriel avant chaque match. « Vu que nous avons environ 150 inscrits, nous mettons en place un roulement, afin que chacun puisse assister au même nombre de matchs dans la saison », explique Gilles Bordachar.

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Pour encadrer cette joyeuse bande, « les Gars de l’Aviron » ont fait appel au Centre d’animation Elgarrekin, de St-Pierre-d’Irube. Le groupe est encadré par des animateurs titulaires du BAFA (1 pour 10 enfants), et animent la tribune. « Et nous prenons des animateurs pro-bayonnais ! », s’exclame Delphine, du centre Elgarrekin. On maquille, on chante, on encourage l’Aviron, mais le « Ttikikop » a aussi un objectif pédagogique. « Avec les animateurs, on explique aux enfants les règles du rugby, pour ceux qui ne les connaissent pas, ajoute Delphine. Mais surtout, on leur parle de fair-play, afin qu’ils respectent l’adversaire et les arbitres. »

La seule véritable condition pour aller au match avec le Ttikikop : que les parents soient présents au Stade Jean-Dauger pendant le match. « C’est une condition sine qua non : les parents doivent franchir les portes du stade pour nous confier leurs enfants, avance Gilles Bordachar. C’est dans le règlement intérieur. Nous ne voulons pas faire garderie pendant que les parents vont faire des courses, ou autre chose ». Et le Ttikikop ne désemplit pas : à chaque match, les 100 places sont prises. « Sauf pour les matchs en semaine, vu qu’il y a école le lendemain ».

Pour le club, la création de cette jeune tribune permet d’attirer des jeunes supporters au stade. L’Aviron joue parfaitement le jeu : en plus du quota de places, 4 ou 5 joueurs sont tenus, à la fin de chaque rencontre, de poser avec une trentaine d’enfants tirés au sort pour la photo souvenir au centre de la pelouse du stade Jean-Dauger.

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Le « Ttikikop » ne demande qu’à grandir désormais : « les Gars de l’Aviron » sont à la recherche de sponsors pour leur donner un coup de pouce financier, afin de payer les animateurs. De plus, un échange est actuellement à l’étude avec le Petit Kop Toulousain, pour de futurs déplacements. De quoi créer d’autres souvenirs pour les « ttiki » supporters de l’Aviron…

http://www.lnr.fr/top-14-orange-le-point-a...-17-11172,11172

Allez les Bleus ! Allez l'Aviron ! :blink:

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:chinois: " De plus, un échange est actuellement à l’étude avec le Petit Kop Toulousain, pour de futurs déplacements."

chouette idée !

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en parlant de 'meilleur public de france ' lequel a été élu la saison dernière ?

ben c'est pas le public du finaliste d'habitude ? :chinois:

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ça ne sifflait pas à Jean bouin,

Le Jean Bouin de Paris a toujours été plus fin que le Jean Bouin de Bayonne.

Le Jean Bouin de Paris est cuit.

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ça ne sifflait pas à Jean bouin,

Le Jean Bouin de Paris a toujours été plus fin que le Jean Bouin de Bayonne.

Le Jean Bouin de Paris est cuit.

Demandez à Sergio Parisse, le meilleur, c'est le Jean Bouin italien.

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