Raph Posted March 31, 2022 Share Posted March 31, 2022 (edited) Ce film mérite probablement son propre sujet ici https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=300374.html SYNOPSIS L’aventure humaine de l’équipe de rugby du Stade Toulousain, la plus titrée de France, face au challenge le plus ambitieux de son histoire. Malgré des adversaires tenaces, malgré les blessures, ces combattants déterminés se jettent à corps perdus dans l’arène pour décrocher leur 5ème étoile de champion d’Europe et devenir ainsi le club européen le plus titré de l’Histoire. article issu d’ « Aujourd’hui en France » du jour Edit : Pas mal de séances en avant première organisée le vendredi 8 avril autour de Toulouse, notament 3 salles du Kinepolis de Fenouillet, une bonne mis en bouche avant le quart Européen au Stadium le lendemain Edited March 31, 2022 by Raph 4 Link to comment
Manpat Posted March 31, 2022 Share Posted March 31, 2022 il y a 49 minutes, Raph a dit : Ce film mérite probablement son propre sujet ici https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=300374.html SYNOPSIS L’aventure humaine de l’équipe de rugby du Stade Toulousain, la plus titrée de France, face au challenge le plus ambitieux de son histoire. Malgré des adversaires tenaces, malgré les blessures, ces combattants déterminés se jettent à corps perdus dans l’arène pour décrocher leur 5ème étoile de champion d’Europe et devenir ainsi le club européen le plus titré de l’Histoire. article issu d’ « Aujourd’hui en France » du jour @Bourrin likes this...😉 2 Link to comment
Raph Posted March 31, 2022 Author Share Posted March 31, 2022 (edited) https://rmcsport.bfmtv.com/rugby/top-14-tout-savoir-sur-le-stade-le-film-evenement-sur-le-stade-toulousain_AV-202203310292.html TOP 14: TOUT SAVOIR SUR "LE STADE", LE FILM ÉVÈNEMENT SUR LE STADE TOULOUSAIN Wilfried Templier Le 31/03/2022 à 11:43 Le 13 avril prochain sortira dans les salles un film retraçant l’épopée du Stade Toulousain la saison dernière, marquée par un doublé et un cinquième titre européen, du jamais-vu en rugby. Comment est né ce projet? À quoi ressemble-t-il? A qui il s’adresse? Et qu’en pensent les principaux acteurs? Après avoir assisté à l’avant-première en compagnie des joueurs et du staff cette semaine à Toulouse, on vous dévoile les coulisses de ce film inédit et son contenu. Les sourires étaient un poil crispés cette semaine au cinéma Gaumont de la place Wilson de Toulouse. Il faut dire que ce n’est pas tous les jours que le monde du rugby investit les salles de cinéma. Alors oui, il y a bien "Invictus" et le sacre mondial des Springboks de 1995 qui vous vient en mémoire. Mais là, pas de Matt Damon ou de Morgan Freeman sur le grand écran. Les acteurs n’en sont pas. Ou ne savaient peut-être pas qu’ils allaient le devenir à ce point. "Pff… ce n’est pas facile pour nous de se revoir derrière, il y a plein de choses qu’on aurait peut-être aimé voir différemment", souffle le manager Ugo Mola, personnage central et omniprésent de "Le Stade". 1h47 de pellicule, sans interview, que de l’ambiance pure, en noir et blanc, pour résumer sept mois de compétition version 2020-2021, vécue caméra au poing et en totale immersion au Stade Toulousain par le co-réalisateur Matthieu Vollaire. Retour en arrière. A la sortie du confinement, au moment où les plateformes tournent à plein régime et les feuilletons comme "The last dance" sur Michael Jordan ou la Formule 1 narrée comme jamais grâce à "Drive to survive" rentrent massivement dans les foyers, adoubée par la direction, la cellule marketing et communication du Stade Toulousain sent ce souffle nouveau et a envie d’ouvrir grandes les portes de son équipe afin de mettre en avant sa "marque". Seulement, à la base, quand la société de production Black Dynamite entame son travail, il n’est nullement question de film. Semaines après semaines, le but est déjà de s’immiscer dans un vestiaire de rugby, sanctuaire souvent hermétique, et de gagner la confiance des joueurs. "La grande difficulté, c’est de te faire accepter, avoue Matthieu Vollaire. On y va étape par étape. Tu sais que tu ne peux pas aller tout de suite dans certains endroits. Il faut attendre deux, trois semaines de tournage. Donc tous les jours, tu pénètres une nouvelle salle si j’ose dire. Tu avances, tu avances… mais ils ont été fabuleux car ils m’ont fait confiance. Et moi, j’ai été discret et j’ai essayé de comprendre dans les regards quand il ne fallait pas y aller. Et le contraire aussi." Au fur et à mesure, le staff, les joueurs, l’ont quasiment oublié. Ce qui donne à l’écran des tranches de vies d’une équipe en route vers un destin en or insoupçonné. "On va les raser!" Ce qui surprend au premier abord, et souvent dans une ambiance de huis-clos du fait des stades vides pendant la pandémie, c’est cet enchaînement presque à l’excès des situations du quotidien de ces athlètes: vestiaires, entraînement, vestiaires, bus, hôtel, vestiaires, matchs, vestiaires, bus. Des visages, des corps qui se serrent comme pour conjurer l’adversité à venir. Et des paroles. C’est là, où les non-initiés y verront simplement de bons orateurs, qui aiment tout de même les jurons (on aurait dû compter le nombre de "p… "), se préparer au combat, les habitués de la balle ovale seront surpris de constater que ce que d’ordinaire staff et joueurs exècrent de dévoiler, pour ne pas laisser une miette de levier de motivation à l’adversaire, est ici la norme. Le marqueur du film. Morceaux choisis : "Dans le vestiaire de Brive, vous savez ce qu’il y a à chaque place? Il y a un petit papier. Et sur chaque petit papier y est inscrit: Pourquoi pas. "Pourquoi pas? Pourquoi pas mon c… oui!", lâche Ugo Mola avant de jouer les Corréziens. Mola qui renchérit avant la demi-finale de Coupe d’Europe face à l’Union Bordeaux-Bègles: "La différence entre eux et nous, c’est qu’eux ils jouent le Stade Toulousain. Nous on joue une demi-finale de Coupe d’Europe!" Ou le talonneur Julien Marchand, vindicatif en parlant des Rochelais avant la finale de Top 14. "Mais vous les avez vus à rentrer en marchant, à jouer les gladiateurs? Pour qui ils se prennent? Ils croient qu’ils vont à la guerre, mais personne ne va mourir aujourd’hui. On va les raser! On va les raser!" "C’est sûr qu’on va se faire chambrer, avoue l’intéressé à la sortie de la projection, un léger sourire en coin et l’air presque gêné. C’est évident! Après, on montre celui-ci (de vestiaire), mais c’est pareil dans tous les clubs." Pas faux. Et Toulouse a plutôt bien assumé cette ouverture sur son intimité en allant au bout des deux compétitions. Ce qui, au fur et à mesure, a changé la donne concernant la finalité du projet. "Ce qu’il s’est passé, explique le co-réalisateur Eric Hannezo, c’est quand on a vu la matière qu’on avait, et parce que c’est le Stade Toulousain, et parce qu’on a vu son parcours, on s’est dit: ce n’est pas possible, il faut qu’on réfléchisse autrement." Ça tombe bien, le groupe Pathé vient frapper à la porte et s’intéresse au projet. Pour lui donner une autre dimension. Hannezo poursuit: "Et là où on était parti sur un documentaire au sens classique du terme, on s’est dit deux choses: d’une, on est convaincu qu’il faut que le sport investisse les salles de cinéma. Au moment où le cinéma cherche des relais de croissance, même si ça fait bizarre de dire ça… car le sport se vit de manière collective, on peut y aller en groupe, etc. Et jusqu’à présent, ça a été peu fait en salle. Or, le deuxième point, c’est que le rugby, le Stade Toulousain, ce parcours-là, ce groupe-là, cette âme-là, à un moment, ça s’est imposé à nous." Il y en a pour tous les goûts dans cette chronologie. Mola et Lacroix qui, dans le bus, conversent au téléphone avec Thomas Pesquet, alors dans la station spatiale internationale. Ou la fête totale chez le 2e ligne Joe Tekori après une victoire, bouteilles de bière et cigarettes au bec. Le club fait bouger les lignes Mais aussi des moments de doutes du sportif de haut niveau, avec la grave blessure de l’ailier Yoann Huget, qui signifiera sa fin de carrière, ou les tourments d’un Thomas Ramos, qui, blessé, ronge son frein avant les phases finales. "On se rend compte de notre quotidien, avoue le demi de mêlée international Antoine Dupont. De la réalité d’une saison, qu’il n’y a rien de linéaire. Il y a des hauts, des bas, des blessures, des suspensions, des défaites… c’est ce qui nous forge aussi. C’est vrai qu’avec le son du cinéma, les chocs résonnent aussi (sourire)! ça pourra peut-être choquer quelques non-initiés, mais il ne faut pas s’en faire." C’est ce public que ce film vise. Pour Hannezo, "dans le contexte actuel, c’est un film qui fait du bien. En tous cas nous, à fabriquer, ce qui nous a fait du bien, c’est de voir l’aventure d’un groupe humain. Un groupe avec une âme très forte. Une expérience de gens qui se réunissent, avec des valeurs, et de voir les ressorts, les ressources qu’ils arrivent à déployer en permanence pour aller au bout de leurs objectifs. C’est ça qui est intéressant. Et ça, ça s’adresse à tout le monde, c’est universel." La curiosité récompensera peut-être le côté précurseur du projet. En tous cas, encore une fois, le Stade Toulousain cultive son avant-gardisme et fait bouger les lignes. SUR LE MÊME SUJET Toulouse : Ange Capuozzo, la pépite grenobloise, a dit oui Top 14: Toulouse met fin à sa série noire grâce au choc contre l'UBB "C’est vrai que c’est dur d’imaginer un film sur le rugby, sur nous, qui va sortir dans tous les cinémas de France s’interroge Dupont. On se demande ce qu’on fait là, on sort de nos sentiers battus mais c’est bien parce que ça fait évoluer notre sport. C’est des nouveaux moyens de communication d’aujourd’hui et c’est ce que les gens ont envie de voir. Donc c’est sympa aussi." Quitte, dans ce que les détracteurs appellent de la fausse modestie, à ce que le club paraisse parfois trop sûr de lui et à aiguiser la motivation des autres. Mola conclut: "Est-ce que c’est bien ou pas bien? Ce qui est sûr, j’ose espérer que les gens qui nous aiment, nous aiment un peu plus. Et que ceux qui nous détestent, ils risquent de nous détester un peu plus. Mais ça, c’est la vie de tout club. De toute concurrence ou émulation qu’il peut y avoir dans notre championnat. On n’a pas à être mal à l’aise avec ça. Et dans tous les cas on aura été les premiers. Ce club a cette vertu-là. Comme souvent essayer d’enfoncer des endroits ou des lieux où on n’a pas l’habitude d’aller." Wilfried Templier Edited March 31, 2022 by Raph 6 Link to comment
GuLi Posted March 31, 2022 Share Posted March 31, 2022 Un premier HS pour ce fil tout neuf : Je conseille chaudement The ground we won, une sorte de film-documentaire Néo-Zed. En noir&blanc aussi, beaucoup moins de stars, beaucoup plus de boue et de bouses, c'est sur une équipe amateur d'un coin très paumé en Nouvelle-Zélande, composée des fermiers locaux. J'imagine que c'est pas ultra-palpitant pour tout le monde, mais ça pète d'humanité. 1 3 Link to comment
tire-bouchon Posted March 31, 2022 Share Posted March 31, 2022 à l’instant, GuLi a dit : Un premier HS pour ce fil tout neuf : Je conseille chaudement The ground we won, une sorte de film-documentaire Néo-Zed. En noir&blanc aussi, beaucoup moins de stars, beaucoup plus de boue et de bouses, c'est sur une équipe amateur d'un coin très paumé en Nouvelle-Zélande, composée des fermiers locaux. J'imagine que c'est pas ultra-palpitant pour tout le monde, mais ça pète d'humanité. j' espère que Papé te lit entre deux épandages de glyphosate ! Link to comment
GuLi Posted March 31, 2022 Share Posted March 31, 2022 Allez un deuxième HS, tiens, pour la route - un film très court cette fois en couleurs, avec des rugbymen (Stade Montois) et d'autres vrais bouseux que j'aime bien, The Inspector Cluzo. (Je préfère celle-ci en fait, mais y a pas de rugby sauf dans leurs têtes). 1 Link to comment
Les Minimes Posted March 31, 2022 Share Posted March 31, 2022 Il y a 10 heures, manpat31 a dit : @Bourrin likes this...😉 En voyant ce post j'ai cru que, comme moi en lisant vite fait, tu avais lu cette url : https://www.allocine.fr/film/michelin_gen_cfilm=300374.html au lieu de : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=300374.html 3 Link to comment
Bélibaste Posted April 6, 2022 Share Posted April 6, 2022 Pour la bonne humeur : https://actu.fr/sports/rugby/pro/points-forts-points-faibles-ovale-masque-assure-la-critique-cinema-du-film-le-stade_49972112.html 3 Link to comment
Raph Posted April 7, 2022 Author Share Posted April 7, 2022 spéciale V&P Une scène coupée nous permet de suivre Thomas Ramos lors de sa tentative d’évasion de Marcoussis 6 Link to comment
Raph Posted April 9, 2022 Author Share Posted April 9, 2022 (edited) Nous sommes allés voir en avant première le film avec des copains, hier soir à Fenouillet. Le film passe hyper vite, et en effet Mola en est un élément central, et c’est un vrai meneur d’hommes. J’ai trouvé que le film était très immersif, on se laisse très facilement emporter dans cette aventure, ou finalement les individualités sont peu mises en avant. Beaucoup d’images de causerie, d’entraînement et de match. Il y a peu de paroles intimes, seul Ramos parle au prépa mental après sa blessure, mais ce sont ces sentiments propres à chacun qui manquent un peu il me semble. Le président parle peu, mais fait mouche à chaque fois. Par rapport aux grosses prod sur le sport qui existent déjà (the last dance, drive to survive…) on ne retrouve pas les petites histoires parallèles romancées plus adaptées au format série. Un très bon moment, certainement plus apprécié des supporters du Stade, mais les fans de sport y trouveront cet aspect aventure vers la performance, avec beaucoup de souffrances pour arriver à la victoire. edit : Breaking News, on voit Joe parler français, je répète, on voit Joe parler français, … bon ok, une fois, c’est sous titré car peu compréhensible et il rebascule en anglais pour finir la phrase … Edited April 9, 2022 by Raph 4 1 Link to comment
Coccinelle Posted April 9, 2022 Share Posted April 9, 2022 J'étais à Labège hier soir. La salle a applaudit à la fin. J'ai adoré. Sans rire : étonnée d'apercevoir autant Fouyssac au début, mais c'était les doublons, et il s'est blessé après. Revoir Castet, Madaule.... Les blessures de Ramos, de Huget, de Romain....ça tord le ventre sur grand écran. Ramos : "je me concentre sur ma concentration" . On a vraiment envie d'y gouter de nouveau à ces p*.... de finales (comme dirait Mola). 3 2 Link to comment
diogene Posted April 14, 2022 Share Posted April 14, 2022 Au CGR Montaigne de Périgueux. Là, plus d'excuse possible. 1 Link to comment
tire-bouchon Posted April 14, 2022 Share Posted April 14, 2022 Et aussi en Cinéscènie au "Puy du Fou". Link to comment
Manpat Posted April 14, 2022 Share Posted April 14, 2022 il y a 51 minutes, diogene a dit : Au CGR Montaigne de Périgueux. Là, plus d'excuse possible. Moi je cherche encore où je pourrais le voir, ça va finir en DVD pour moi je pense. Link to comment
stadeli Posted April 14, 2022 Share Posted April 14, 2022 CINEMA le Lumière à L'UNION : Mercredi 20 à 16h Vendredi 22 à 21h Samedi 23 à 10h30 Prix 6€ sur le site web (moins cher avec la carte d'abonnement) http://www.cinelumiere-lunion.fr Réservation conseillée, j'y vais vendredi à 21h. Salle très correcte, bien équipée niveau confort et son. Link to comment
stadeli Posted April 23, 2022 Share Posted April 23, 2022 Vu le film hier soir. Pour un supporter toulousain, c'est le Champagne après la saison 20/21. Surprise après le film, on a eu droit à un débat avec un ancien 2e ligne de la période 85-93 Bruno Coumes. Parmi les sujets abordés, les différences de gestion du groupe entre Novès et Mola. Je le cite "Mola c'est le fils spirituel de Novès", à la différence que Novès se servait plus de l'histoire personnelle du joueur pour le motiver. Au sujet de la violence dans le jeu (les chocs sont bien amplifiés dans le film), la différence avec le rugby d'avant, c'est "Il fallait avoir des radars partout" parce qu'il n'y avait pas la vidéo et les coups "bas", mandales, fourchettes faisaient parti du "jeu". Alors que maintenant les chocs sont prévus et anticipés sur les placages, déblayages et autres. Il a parlé aussi de la reconversion professionnelle qui à part les top joueurs n'est pas assez préparée. Bref, si vous êtes il faut le voir. 1 1 Link to comment
Zuzu31 Posted April 26, 2022 Share Posted April 26, 2022 J'y vais ce soir. En tant que supporter du ST, on ne peut effectivement pas passer à côté. C'est unique. 35000 entrées du 13 au 19 Avril apparemment, classé 10è. C'est pas si mal. https://lopinion.com/articles/culture/13070_le-film-du-stade-toulousain-enregistre-35000-entrees-en-une-semaine 1 Link to comment
RMP Posted April 26, 2022 Share Posted April 26, 2022 J’ai été le voir à Bordeaux il y a 8 jours avec 2 potes, nous étions 3 dans la salle. Comme tout le monde j’ai trouvé les discours de Mola très intéressants, par contre c’est un peu long à force. J’aurai préféré qu’il y ait plus de séquence d’entrainement et de match. Par contre ce n’est pas facile à comprendre pour les non-initiés, c’est à l’image du calendrier rugbystique, c’est le fouilli. Mais bon c’était l’occasion de voir un documentaire de rugby au cinéma, ça n’arrivera peut-être pas de si tôt. 1 2 Link to comment
capitole46 Posted April 26, 2022 Share Posted April 26, 2022 il y a 6 minutes, RMP a dit : Mais bon c’était l’occasion de voir un documentaire de rugby au cinéma, ça n’arrivera peut-être pas de si tôt. L'entrée de Laporte à la Santé, ce n'est pas considéré comme un docu rugbystique ? Link to comment
Zuzu31 Posted April 27, 2022 Share Posted April 27, 2022 Il y a 14 heures, RMP a dit : J’ai été le voir à Bordeaux il y a 8 jours avec 2 potes, nous étions 3 dans la salle. Comme tout le monde j’ai trouvé les discours de Mola très intéressants, par contre c’est un peu long à force. J’aurai préféré qu’il y ait plus de séquence d’entrainement et de match. Par contre ce n’est pas facile à comprendre pour les non-initiés, c’est à l’image du calendrier rugbystique, c’est le fouilli. Mais bon c’était l’occasion de voir un documentaire de rugby au cinéma, ça n’arrivera peut-être pas de si tôt. Je suis allé à Fenouillet hier soir, nous étions une vingtaine dans la salle. Pas mal, on est 2 semaines après la sortie. Mon ressenti est un peu le même sur le film, même si une vie de rugbyman pro, c'est pas mal de moments répétitifs finalement. Ca permet quand même de relativiser aussi les moments moins bons, notamment parce que ça se joue à rien et que les mecs ne sont pas des machines. Et puis quand tu perds Huget, Kolbe, Kaino, c'est pas rien ! Et cette année Joe Tekori et peut-être Max Médard. Faut le temps pour digérer le départ de ce genre de joueurs ultra importants dans le groupe. 1 Link to comment
Fitzgerald Posted April 28, 2022 Share Posted April 28, 2022 Ca y est, je l'ai vu aussi avec ma chère et tendre et mon papa, dans une petit cinéma de campagne, avec une vingtaine de personne dans la salle. C'est vraiment un superbe documentaire pour les amoureux du Stade. Les premières réactions que l'on a eu à la sortie ont été : c'est quand même un "tribute" à Ugo Mola tant il est très souvent à l'écran, pendant les mises en place tactiques, pendant les entrainements, au bord du terrain pendant le match, etc l'âpreté des entrainements ressort assez bien aussi. On se rend compte à quel point les corps peuvent être meurtris. Parce que si, pour la plupart d'entre nous, nous ne voyons que les matches, ils font suite à des semaines d'entrainement d'une violence assez folle parfois. En ressort d'ailleurs des moments de tensions auxquels je ne m'attendais pas forcément. C'est aussi ça qui est intéressant, le docu fait aussi ressortir les tensions qu'il peut y avoir dans un groupe et les "conneries" qu'ils peuvent faire Le rythme est effectivement très répétitif et peut lasser à la longue, mais c'est aussi pour mettre en lumière le fait que toutes les semaines se ressemblent, que la vie d'un sportif de haut niveau est hyper répétitive voir parfois monotone et qu'il faut arriver à trouver des ressorts psychologiques pour ne jamais se relâcher Justement, je comprends aussi l'interrogation qui a été celle de Mola après le doublé. Comment arriver à se renouveler, à se remettre en question, à trouver de nouveaux axes de travail et d'insuffler de la motivation à un groupe qui a déjà tout gagné Bref, vraiment un joli documentaire à voir, un beau travail bien mis en valeur par le choix du noir et blanc. 1 2 3 Link to comment
Ayrton Posted December 22, 2022 Share Posted December 22, 2022 Après le film, c'est une série qui vient de sortir sur Paramount+ 4 épisodes pour la saison 1 (et je crois avoir lu je ne sais plus où qu'il y aurait 3 saisons) Link to comment
gael Posted December 24, 2024 Share Posted December 24, 2024 je ne savais pas trop où poster, je retrouvé ce topic dans le grenier de Raph. je cherche les séries et le film sur le stade, vous savez s'il existe un coffret ou des DVD? ou un lien vers un site de radins auvergnats où télécharger ces f****** bons moments? impossible à trouver sur le net.... Link to comment
Ardbeg Posted December 24, 2024 Share Posted December 24, 2024 (edited) Il y a 5 heures, gael a dit : je ne savais pas trop où poster, je retrouvé ce topic dans le grenier de Raph. je cherche les séries et le film sur le stade, vous savez s'il existe un coffret ou des DVD? ou un lien vers un site de radins auvergnats où télécharger ces f****** bons moments? impossible à trouver sur le net.... Je dois avoir au moins les séries (pour les films, je ne me souviens plus). Là je suis en vacances, mais la semaine prochaine, je te ferai signe. Edited December 24, 2024 by Ardbeg Link to comment
gael Posted December 24, 2024 Share Posted December 24, 2024 Merci beaucoup les amis! Joyeux Noël 🎉🍾 Link to comment
gael Posted January 2 Share Posted January 2 incroyables les 2 saisons sur le stade Merci Raph!!! Même si je ne suis pas dupe, le montage joue pour beaucoup (ils sélectionnent les extraits qu'ils veulent montrer), certains passages sont quand même très forts émotionnellement et d'autres instructifs. Les discours de Mola j'adore, par exemple juste avant la séance des tirs au but au Munster il est au milieu des joueurs, mort de rire, il leur dit qu'ils ont énormément de chance, qu'il faut profiter, il dédramatise complètement la situation. La discussion qu'il a avec Guitoune après la série de 6 défaites début 2023 ou avec le staff quand il parle de la notoriété des joueurs toulousains après leur grand chelem. On sent qu'il est lucide, il a conscience d'avoir de l'or entre les mains. J'aime beaucoup également le calme, le flegme de Bouilhou. On sent dans ces 2 saisons que le stade c'est le Real Madrid, aucun joueur n'est au dessus de l'institution (même Kolbe), d'ailleurs dans leurs discours de fin de carrière Médard, Huget et Tekori insistent tous là dessus, le privilège et la responsabilité de jouer dans ce club et endosser ce maillot. Bref un régal pour les supporters toulousains, pour les autres ça doit faire un peu propagande... 2 Link to comment
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