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McFarland, le ST, la France...


moza de Tlse

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Article paru le 26/01/2006

http://www.ladepeche.com

DÉCOUVERTE. LE TALONNEUR NÉO-ZÉLANDAIS DU STADE, ARRIVÉ COMME JOKER MÉDICAL, EST AUSSI UN PASSIONNÉ D'ART.

Slade McFarland, ce fan de Mona Lisa

Il s'attendait à d'autres températures en débarquant ici. « On m'avait dit qu'il faisait toujours chaud dans le sud de la France », rigole Slade McFarland, le joker médical du Stade toulousain, arrivé en novembre dernier de Nouvelle-Zélande pour suppléer William Servat, gravement touché aux cervicales. Vite fait bien fait, il a quitté Auckland sans se poser de question, étant en fin de contrat avec North Harbor. « Et puis un contrat avec le Stade toulousain, ça ne se refuse pas », confie l'international maori qui a trouvé refuge avec son épouse et ses deux enfants à Colomiers.

Arrivé dans la Ville rose avec quelques kilos en trop - « chez nous, la saison était terminée, nous avions pris un peu de bon temps pour fêter ça » -, Slade McFarland a depuis retrouvé une silhouette plus en rapport avec ce qu'on imagine d'un rugbyman professionnel.

Avec le programme de remise en forme que lui ont concocté les préparateurs physiques du club, il affiche aujourd'hui 118 kg sur la balance. Affûté pour venir prêter main-forte à la première ligne toulousaine et faire souffler Yannick Bru, lequel vient d'enchaîner les joutes européennes pour lesquelles McFarland n'était pas qualifié.

« Je suis prêt à prendre mes responsabilités, apporter ce que l'équipe attend de moi », avance ce solide joueur qui affiche 13 saisons sous le maillot de North Harbor et 5 saisons en Super 12 avec les Auckland Blues et les Crusaders. Les Crusaders justement. Slade McFarland trouve des similitudes avec le Stade toulousain : « Il y a la même culture de la victoire. C'est l'excellence qui prime dans ces clubs. »

ROME, PARIS, LE LOUVRE

A 33 ans, cette arrivée soudaine dans le championnat français après une première expérience européenne en 2000, à Swansea (Galles), est une aubaine pour ce joueur qui estime que porter le maillot « rouge et noir » est « un privilège. J'avais bien évidemment entendu parler du Stade en Nouvelle-Zélande, mais, depuis que je suis ici, je réalise vraiment ce qu'est ce club, son prestige. » McFarland a notamment été époustouflé par l'ambiance qui règne autour des rencontres : « Ici, les fans sont fantastiques ! » Son intégration est réussie d'autant qu'il connaît bien les frères Maka (Ndlr : il a été partenaire de Finau à Auckland) et que non loin de Toulouse, à Castres, il a retrouvé un certain Kees Meeuws « le parrain de mon fils. » Bien dans sa nouvelle vie, Slade McFarland veut également profiter de ce retour en Europe pour découvrir le riche patrimoine culturel et artistique de France et d'Italie notamment.

« Je viens d'un petit pays loin de tout », rappelle-t-il. « Alors qu'ici, tout est concentré. Je me suis toujours intéressé à l'histoire de l'art, à l'architecture. Alors, tout ce que j'ai pu découvrir dans les livres, j'espère le voir de mes yeux maintenant. » Et Slade McFarland de citer, entre autres, Mona Lisa : « J'en rêve ! Il me tarde d'aller au Louvre pour l'admirer. Je souhaite aussi visiter le musée Picasso, découvrir Paris, Rome pour leur architecture. » Sacré programme !

:P:smile:

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« Et puis un contrat avec le Stade toulousain, ça ne se refuse pas »,

Les Crusaders justement. Slade McFarland trouve des similitudes avec le Stade toulousain : « Il y a la même culture de la victoire. C'est l'excellence qui prime dans ces clubs. »

porter le maillot « rouge et noir » est « un privilège.

J'avais bien évidemment entendu parler du Stade en Nouvelle-Zélande, mais, depuis que je suis ici, je réalise vraiment ce qu'est ce club, son prestige. »

« Ici, les fans sont fantastiques ! »

j'aime bien ces passages là! : whist :P:smile::devil:

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Laissons lui le temps de se mettre en forme, d'ailleurs je pense qu'il est presque au point, vu ce que j'ai vu à l'entrainement l'autre jour...

Il est quand même baleize et tonique grave le garçon... moi je pense qu'une fois la machine en route.... ça va le faire..., comme pour Human

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