Cyril Posted May 24, 2007 Share Posted May 24, 2007 Chadebech toujours aussi étrange dans ses choix se passera une fois de plus des services de Cédric Rosalen, deuxième meilleur réalisateur du championnat, de Julien Candelon et d'Olivier Bénassis à Albi. Avec le nombre de blessé, Je pense qu'Albi est tiré d'affaire cette saison. Link to comment
Guest Chrysler Rose Posted May 25, 2007 Share Posted May 25, 2007 Chadebech toujours aussi étrange dans ses choix se passera une fois de plus des services de Cédric Rosalen, deuxième meilleur réalisateur du championnat, de Julien Candelon et d'Olivier Bénassis à Albi. Avec le nombre de blessé, Je pense qu'Albi est tiré d'affaire cette saison.Disons aussi que Narbonne est en ProD2 et que Chadebech a pris le coup de babouche au cul, donc... Il semble que cela ait été la pétaudière à Narbonne cette saison et que le club a été miné de l'intérieur par certains joueurs (dont Rosalen) Link to comment
leilei Posted May 25, 2007 Share Posted May 25, 2007 (edited) Et en ce qui concerne les Cistes, les groupes Nous et notez bien les ortographes siouplé Avants:Clément Baïocco, Nicolas Decamps, Philémon Toléafoa, Anthony Vigna, Joan Caudullo, Nicolas Grelon, Mickaël Bert, Drickus Hancke, Michel Macurdy, Didier Chouchan, Sebastien Galtier, Fulgence Ouedraogo, Louis Picamoles, Jharay Russel, Jérôme Vallée Arrières:Sebastien Buada, Julien Tomas, François Trinh-Duc, Féderico Todeschini, Regis Lespinas, Rickus Lubbe, Alessandro Stoïca, Murphy Taele, Jacques Boussuge, Sebastien Kuzbik, Olivier Sarraméa, David Bortolussi Eux, les Cousins Avants : Sébastien Bozzi, Sébastien Chobet, Vincent Debaty, Michel Konieck, Marius Tincu, Rimas Alvarez-Kairelis, Nathan Hines, Olivier Olibeau, Guillaume Bortolaso, Bernard Goutta, Viliani Vaki, Ovidiu Tonita, Grégory Le Corvec. Arrières : Nicolas Durand, Sylvain Dupuy, Nicolas Laharrague, Many Edmonds, Jérôme Porical, David Marty, Jean-Philippe Grandclaude, Pascal Bomati, Christophe Manas. et le Corps arbitral Juge de Champ : le parisien et international Christophe Berdos Touches :Martin, Tajan, Morandin, Bressy. Délégués :Punzano, Senssac. Juges d’en but :Briquet Campin, Cardona Sources Didou et comme il dit Même pas peur Edited May 25, 2007 by leilei Link to comment
Roms Posted May 25, 2007 Share Posted May 25, 2007 Chadebech toujours aussi étrange dans ses choix se passera une fois de plus des services de Cédric Rosalen, deuxième meilleur réalisateur du championnat, de Julien Candelon et d'Olivier Bénassis à Albi. Avec le nombre de blessé, Je pense qu'Albi est tiré d'affaire cette saison. Ils sont en Pro D2 et ces joueurs là quittent le club alors autant préparer l'avenir, même si ça fausse le jeu... Link to comment
Guest Xv-31 Posted May 25, 2007 Share Posted May 25, 2007 Le public bayonnais Décembre 1995. L'Aviron accueille à Saint-Léon le Stade Toulousain, sacré pour la 12e fois champion de France en juin. Sur la pelouse, la moitié du XV de France. Dans les tribunes, 3 777 spectateurs. Douze ans plus tard, pour la réception de Bourgoin, ce seront au moins 14 000 spectateurs qui prennent place dans le stade. Comment Bayonne, qui n'a jamais eu le terreau populaire de Perpignan, Toulouse ou Toulon, s'est construit un public, capable encore demain de se déplacer à 3 000 vers Brive, pour le match de la survie ? Ou « comment expliquer l'inexplicable », sourit Francis Salagoïty, le président de l'Aviron Rugby Pro. « Cet engouement, on ne l'explique pas, en tout cas c'est une chose à laquelle je n'avais jamais pensé en accédant à la présidence du club. » Celui qui y songeait, en revanche, c'est Michel Parneix, débauché en juin 2002 de la Section Paloise. « L'Aviron est le club de coeur du Pays basque. Or ce club vivait sur le passé. Ce que j'avais mis en place à Pau, je voulais le retranscrire ici. » De la vallée d'Aspe, d'Ossau, d'Oloron jusqu'à Pontacq, le Hameau affichait alors plus de 11 000 spectateurs de moyenne, qui vibraient aux exploits de Brusque, Traille, Harinordoquy et de Bernie, l'ours mascotte. 110 kilomètres plus à l'Ouest, Bernie est devenue Pottoka, la meilleure recrue du club ces dix dernières saisons. Pourquoi Pottoka ? Dans sa stratégie de développement, l'Aviron a défini trois axes : l'aspect identitaire, l'assise populaire et un modèle unique, volontairement décalé. « Il fallait nous démarquer du BO », convient Salagoïty. Car à cinq kilomètres de là, le club de Serge Blanco, affublé de l'appellation Pays basque, vient de décrocher son premier titre de champion de France depuis 1939. « Pour exister, il fallait être différent, copier c'est toujours être le numéro deux », développe Parneix. Pottoka, le symbole. « L'Aviron a su créer un concept, observe Max Guazzini, c'est très dur mais essentiel dans une stratégie de communication. Depuis, en plus de la sympathie, il impose le respect. » Pottoka va rapidement devenir une star locale, préférée au Père Noël pour le goûter de fin d'année ! Les enfants, qui cherchent à le voir pour des autographes, emmènent leurs parents au stade. Le résultat ne se fait pas attendre : la saison de son accession dans l'Elite (2003-2004), Bayonne est la meilleure affluence de Pro D2. S'en suivra une chanson, un hymne plutôt, enseigné jusque dans les écoles de la ville. Le « Vino Griego » réadapté à la mode Peña Baiona devient un tube. « La ville de Bayonne retrouve l'identité qui sommeillait en elle », analyse le sociologue bayonnais Jean-Emmanuel Bernardin (1). Avec près de 2 350 licenciés, le club omnisports, fort de 14 sections, est une institution. Et pas qu'au niveau du rugby. « Henri Grenet (maire de la ville entre 1959 et 1995) et son fils Jean (qui lui a succédé et dont le mandat est en cours) ont tous deux été présidents du club. N'importe quel Bayonnais passe un jour, dans sa vie, par l'Aviron. » Cela n'a pas échappé aux têtes pensantes de la section professionnelle. En retrouvant l'élite, le club déniche un slogan : « Fiers de nos couleurs ». « Vu les résultats sportifs de l'équipe depuis trois ans, on se raccroche à la fierté d'être Bayonnais, à l'honneur de soutenir ce club », explique Francis Gastambide, le président de la Peña Baiona, le premier club de supporters en France (1 600 membres). Tout est pensé. Dans les travées, le public évolue : 55 % des spectateurs ont moins de 35 ans (2), 58 % viennent d'une zone hors BAB (dont 20 % des Landes, d'où une certaine angoisse à voir Dax accéder, à son tour, au Top 14). « On est le dernier club en France à laisser l'entrée gratuite aux moins de 17 ans. C'est notre clientèle de demain », souligne Michel Parneix. A l'Aviron tout est pensé, calculé, la stratégie de communication ne fait que se développer. Exemple ? En début de saison, quand les résultats crient famine, le club ne cesse de louer le mérite de son public, le « meilleur de France », selon le titre attribué en fin de saison dernière par la Ligue. « Quand tu as un titre, il faut savoir le mettre en avant », admet Michel Parneix. Même s'il appartient, avant tout, aux supporteurs. 1. Auteur du triptyque « Les Rois de Bayonne ». 2. Etude réalisée en 2006. 3. Contacté, il n'a pu être joint. Nicolas Bridoux http://www.sudouest.com Link to comment
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