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Le Dopage sujet Tabou


Cyril

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Selon le Canard enchaîné d'aujourd'hui, la direction du groupe Amaury aurait demandé aux journalistes de l’Equipe de ne plus révéler d’affaires de dopage dans le cyclisme. Une nouvelle consigne qui "remet en cause l’indépendance de la rédaction" dixit la Société des journalistes (SDJ) du quotidien sportif...

Les journalistes sont désormais tenus de se contenter du strict minimum : répercuter les annonces officielles des fédérations ou des agences antidopage. Le Canard enchaîné reproduit une partie du communiqué publié le 21 janvier par la Société des journalistes du journal pour qui cela "remet en cause l’indépendance de la rédaction".

Dans ce texte, les membres de la rédaction s’inquiètent du "souhait de Marie-Odile Amaury (la présidente du groupe Amaury, propriétaire du journal mais aussi d’ASO, organisateur du Tour de France ou du Dakar) qu’on ne s’attarde plus sur le sujet du dopage" dans les colonnes du journal.

Pour preuve, les journalistes de la SDJ reviennent notamment sur le récent traitement du retour de Lance Armstrong à la compétition. Le Canard enchaîné évoque ainsi le fait que Damien Ressiot, auteur en 2005 des articles prouvant qu'Armstrong était dopé à l’EPO lors de sa première victoire sur le Tour en 1999, a été écarté de ces pages. "Il a été expressément demandé à Damien Ressiot de ne plus générer de révélations sur le dopage", explique ainsi le communiqué de la SDJ.

Du côté de la direction, on s'étonne de ces accusations. Lors du retour du Texan à la compétition, le quotidien sportif avait réalisé une grande interview du cycliste où il était interrogé à plusieurs reprises sur ses méthodes de suivi.

Vive le Vélo, Vive le tour :rolleyes:

A propos de dopage, certains médecins voient du dopage dans l'utilisation du -------- car le médicament améliore le transport d'oxygène dans le sang...

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Contrairement à ce qu’il avait laissé entendre l’an dernier, le Comité des Six nations n’a finalement pas jugé utile d’introduire des contrôles sanguins sur le Tournoi 2009. Le dispositif de lutte antidopage est donc reconduit à l’identique, immuable depuis dix ans...

"Nous y avons pensé mais nous n’avons pas jugé utile d’introduire des contrôles sanguins. D’abord parce que ce n’est pas une obligation, et puis parce que ceux qui ont été pratiqués durant la Coupe du monde ont tous été négatifs", justifie John Davis, responsable de la politique antidopage du Comité.

En conséquence de quoi, le protocole de lutte antidopage est donc reconduit à l’identique. Un protocole minimaliste, qui satisfait les plus hautes instances du rugby puisqu’il permet aux organisateurs de se vanter d’un bilan antidopage quasi immaculé sur l’épreuve. Comme de coutume donc, deux joueurs par équipe seront tirés au sort à l’issue de chacune des 15 rencontres du tournoi pour subir un contrôle urinaire classique.

Contrôle minimaliste, lui aussi, puisqu’il ne recherche pas l’EPO (pourtant décelable dans l’urine) qui a tant sali le cyclisme. Si l’on retire également les produits détectables dans le sang (hormone de croissance, hémoglobines de synthèse, transfusions), la traque se limite aux produits classiques comme les stéroïdes, les stimulants ou les drogues dites récréatives.

Par ailleurs, le Comité délègue la réalisation des contrôles aux différentes agences nationales, comme l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) en France. Lesquelles ne sont pas mandatées pour effectuer des tests inopinés sur les équipes visiteuses. Du coup, l’AFLD, traditionnellement assez zélée sur ce type de contrôle, devra se contenter de tester les seuls joueurs du XV de France.

Enfin, les périodes d’entre deux matches étant à priori considérées comme "en compétition", la compétence des agences se limite aux quelques jours de stages qui précèdent le départ des équipes. Durant cette période, l’IRB peut également faire pratiquer des contrôle inopinés comme elle le fait tout au long de l’année. Ce n’est que là que des prélèvements sanguins pourraient avoir lieu.

On se rapprochera ainsi plus facilement du foot US :sorcerer:

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dans le style foutage de gueule.

il est suspendu parce qu'il a donné une mauvaise image, pas parce qu'il a pris un produit interdit

suis pas un pro, mais s'il utilise une pipe a eau, c'est qu'il n'en est pas à son coup d'essai...

Natation - USA - Phelps suspendu trois mois

Le verdict est tombé. La fédération de natation des Etats-Unis a suspendu pour trois mois Michael Phelps, octuple médaillé d'or des Jeux Olympiques de Pékin. La star américaine est sanctionnée après la parution d'une photo datant de novembre dernier, le montrant en train de se servir d'une pipe à eau en verre utilisée pour fumer du cannabis.

Dans un communiqué, la fédération a estimé qu'il ne s'agissait pas de sanctionner « une conduite de dopage », mais d'envoyer « un message fort » à la star américaine, considéré comme un modèle pour la jeunesse. « Ce n'est pas une situation où il y a eu violation des régles anti-dopage, mais nous avons décidé d'adresser un message fort à Michael car il a déçu de nombreuses personnes, en particulier les centaines de milliers d'enfants membres d'USA Swimming qui le respectent et le considèrent comme un modèle », selon le communiqué.

Phelps a déjà fait son mea culpa cette semaine dans la presse. Au quotidien Baltimore Sun, il a déclaré qu'il n'était « pas fier » de son comportement, qu'il qualifie de « stupide » L'Américain a par ailleurs indiqué qu'il n'était pas un utilisateur régulier de cette substance. Il y a quatre ans, quelques mois après avoir remporté six médailles d'or et deux de bronze aux JO d'Athènes, le nageur, alors âgé de 19 ans, s'était déjà distingué pour conduite en état d'ivresse. Il avait dû alors présenter ses excuses.

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Contrairement à ce qu’il avait laissé entendre l’an dernier, le Comité des Six nations n’a finalement pas jugé utile d’introduire des contrôles sanguins sur le Tournoi 2009. Le dispositif de lutte antidopage est donc reconduit à l’identique, immuable depuis dix ans...
"Nous y avons pensé mais nous n’avons pas jugé utile d’introduire des contrôles sanguins. D’abord parce que ce n’est pas une obligation, et puis parce que ceux qui ont été pratiqués durant la Coupe du monde ont tous été négatifs", justifie John Davis, responsable de la politique antidopage du Comité.

En conséquence de quoi, le protocole de lutte antidopage est donc reconduit à l’identique. Un protocole minimaliste, qui satisfait les plus hautes instances du rugby puisqu’il permet aux organisateurs de se vanter d’un bilan antidopage quasi immaculé sur l’épreuve. Comme de coutume donc, deux joueurs par équipe seront tirés au sort à l’issue de chacune des 15 rencontres du tournoi pour subir un contrôle urinaire classique.

Contrôle minimaliste, lui aussi, puisqu’il ne recherche pas l’EPO (pourtant décelable dans l’urine) qui a tant sali le cyclisme. Si l’on retire également les produits détectables dans le sang (hormone de croissance, hémoglobines de synthèse, transfusions), la traque se limite aux produits classiques comme les stéroïdes, les stimulants ou les drogues dites récréatives.

Par ailleurs, le Comité délègue la réalisation des contrôles aux différentes agences nationales, comme l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) en France. Lesquelles ne sont pas mandatées pour effectuer des tests inopinés sur les équipes visiteuses. Du coup, l’AFLD, traditionnellement assez zélée sur ce type de contrôle, devra se contenter de tester les seuls joueurs du XV de France.

Enfin, les périodes d’entre deux matches étant à priori considérées comme "en compétition", la compétence des agences se limite aux quelques jours de stages qui précèdent le départ des équipes. Durant cette période, l’IRB peut également faire pratiquer des contrôle inopinés comme elle le fait tout au long de l’année. Ce n’est que là que des prélèvements sanguins pourraient avoir lieu.

On se rapprochera ainsi plus facilement du foot US :sorcerer:

Ouep, c'est facile de se moquer du vélo mais dans le rugby, on fait tout pour ne pas en attraper.

Contrôle urinaire classique vieux de 20 ans sur 4 mecs sur 44 et juste sur les steroides ou le cannabis... Pfff, les rugbymens dopés doivent bien rigoler. :smile:

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