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LE rugby : sport trop dangereux ?


sauce

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Pour rester optimiste, je pense que les temps ont changé quand même.

A cette époque Cudmore, tous les clubs étaient assez scandaleux et les entraîneurs n'avaient pas de scrupule (Noves le premier dailleurs). Les joueurs non plus (la plupart voulait rester sur le terrain).

C'était même bien vu de voir un mec groggy continuer. On était en mode "waouh quel guerrier !"

 

Je pense que les clubs, staffs et joueurs sont maintenant beaucoup vigilants.

Modifié par Gabi
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J’aime bien mon Jamie , mais le coup de «  l’asm donne des sous à mon association et je porterai pas plainte « 

on sait tous ce que cache la plupart des associations à but non lucratif lol 

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il y a 29 minutes, tire-bouchon a dit :

non, on ne sait pas !

 

Toi tu le sais bien , mais t'es trop langue de bois pour en parler .

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Il y a 12 heures, Papalou a dit :

Heureusement qu'il a la langue de bois, parce que sinon avec tout ce qu'il racle, elle serait sérieusement irritée.

Chacun ses inconvénients.

Ta langue de **** est bien vérolée.

Modifié par tire-bouchon
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Je donnerai pas de noms , je veux pas que Cyril aille en prison .

Pas toute bien sûr mais beaucoup sont juste la pour que le gars ( ou les gars ) qui les monte paie moins ( ou pas du tout ) d'impôts et se faire de beau petits voyage avec les frais de gestion .

demande toi pourquoi les stars ( foot , acteur ou présentateur télé ) en ont tous une ? 

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c'est un peu ringard tout ça !

Une petite cagnotte "lechees" et le tour est joué.

On en parle plus.

D' ailleurs la belle-soeur du boxeur fou, elle en fait quoi de la cagnotte ?

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Hier soir entre 19h20 et 20h sur France Inter, Le Téléphone Sonne était consacré aux dangers du rugby moderne, avec Olivier Magne parmi les invités.

A réécouter en podcast ou sur le site de la station.

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  • 2 months later...
Saint Thomas ST

Le ST en pointe contre le hachis cervical.

 

Par Jérémy FADAT

jeremy.fadat@midi-olympique.fr

Le Stade toulousain s’est engagé sur la formation et la prévention des accidents du rachis cervical, fléau du rugby depuis quelques années. Sensibilisé sur cette question, après avoir été opéré des cervicales en 2005, l’entraîneur des avants William Servat, marqué par les récents drames qui ont touché ce sport et un enchaînement de blessures en interne, est passé à l’action. « On a commencé par imposer des précautions au sein du club mais il fallait aller plus loin », souligne l’ancien talonneur. Avec l’appui de ses dirigeants et d’Ugo Mola, il a décidé de mener un projet novateur de sécurité au niveau des cervicales par l’intermédiaire de son Académie des première ligne du Stade toulousain, laquelle porte ses fruits avec l’émergence de nombreux jeunes. Il a ainsi sollicité Thierry Savio, préparateur physique qui avait permis à Servat de revenir au haut niveau après son opération, pour mettre en place un suivi étendu à l’ensemble des joueurs du club (d’abord ceux des catégories jeunes puis ceux professionnels). 

Un partenariat avec la fondation Ferrasse

Grâce à une machine conçue par Thierry Savio (sur laquelle Servat avait fait sa rééducation) qui envoie une force adaptée dans les cervicales et enregistre la vitesse de réaction de chaque joueur, le club est capable d’avoir un profil personnalisé. « Suivant les données, on peut aider à réagir plus vite et lutter efficacement contre la commotion en bossant sur la zone réflexe », détaille Servat. Le but est de créer un protocole précis et de façonner le préparateur physique estampillé Stade toulousain pour assurer des exercices qui prennent en compte la protection du joueur. Avant bien sûr de favoriser un axe de performance. Pour cela, le comité de pilotage du projet (Servat, Savio et le manager du haut niveau Jérôme Cazalbou) veut assurer un travail collaboratif, intégrant tous les éducateurs et entraîneurs du club. Un partenariat avec la Fondation Ferrasse va même voir le jour. 

 

Modifié par Saint Thomas ST
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  • 3 weeks later...
Il y a 5 heures, Maxou02 a dit :

C est tellement triste ? 

 

A l échauffement cela semble pointer un problème pathologique inconnu plus que le rugby. Un peu gênant tous ces articles qui partagent des informations sans conclusions laissant se propager un peu plus le lien rugby = danger mortel.

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Il y a 14 heures, Ju69 a dit :

C est tellement triste ? 

 

A l échauffement cela semble pointer un problème pathologique inconnu plus que le rugby. Un peu gênant tous ces articles qui partagent des informations sans conclusions laissant se propager un peu plus le lien rugby = danger mortel.

 

Complètement d’accord, cause certainement pas liée au rugby, mais l’article préfère l’ignorer. 

J’ai l’impression qu’actuellement dés qu’il y a un accident sur un terrain de rugby les journaux en font un article. 

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  • 1 month later...
Saint Thomas ST

L'irrésistible Ascension des préparateurs physiques individuels. Au ST sont notamment concernés Aldegheri, Médard et Pointud. Non sans risques quand on en fait trop... 

 

https://www.ladepeche.fr/2019/06/02/centres-pour-sportifs-de-haut-niveau-vrai-casse-tete-pour-les-clubs-pros,8234113.php

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Il y a 1 heure, Saint Thomas ST a dit :

L'irrésistible Ascension des préparateurs physiques individuels. Au ST sont notamment concernés Aldegheri, Médard et Pointud. Non sans risques quand on en fait trop... 

 

https://www.ladepeche.fr/2019/06/02/centres-pour-sportifs-de-haut-niveau-vrai-casse-tete-pour-les-clubs-pros,8234113.php

que pour les abonnés ou après une vidéo ... qui ne s'affiche pas :(

 

L'article de la Dépêche papier, c'est peut-être le même ?

 

Centres pour sportifs de haut niveau : vrai casse-tête pour les clubs pros
 

Les joueurs du Stade Toulousain et du TFC s’entourent souvent de préparateurs personnels sans en avertir leu rs clubs. Le risque de blessure s’accentue.
Ces dernières saisons, plusieurs joueurs professionnels se sont entourés de spécialistes extérieurs à leurs clubs. Ils font deux fois plus de travail, au risque de se blesser. Ces nombreux centres d’optimisation de performances installés un peu partout en France et dans la Ville rose proposent aux sportifs de les accompagner sur le plan de la performance physique, des soins ou encore de l’alimentation. Leurs tarifs mensuels élevés s’adressent en priorité à ceux qui visent ou fréquentent le haut niveau. Au Stade Toulousain, plusieurs joueurs dont Maxime Médard, Lucas Pointud ; ou plus récemment Dorian Aldéghéri ont effectué des heures supplémentaires après leurs séances d’entraînements hebdomadaires avec les Rouge et Noir. Idem au TFC, Yannick Cahuzac, Corentin Jean ou encore Andy Delort, avant son prêt à Montpellier, ont opté pour cette solution.

 

Mais que vont-ils chercher ?

Pour Mathieu (1), un agent licencié à la Fédération Française de Football (FFF), les sportifs cherchent avant tout à progresser individuellement. « On leur promet monts et merveilles. Ils se laissent embobiner par ces gérants de structures. Mais personne ne fera saigner un caillou », ironise Pascal Dupraz, qui, lors de son passage à la tête du TFC (2016-2018), a lui aussi été confronté à ce problème. « Tout se faisait dans mon dos par l’intermédiaire des agents, je n’avais pas le total contrôle sur le travail quotidien fourni par mes troupes. Cela me rendait fou », se souvient-il. Dirigeant d’Adhoc Performance, un de ces établissements basés à Toulouse, Romain Peybernes y voit lui une occasion de s’exprimer dans un nouveau cadre, parfois « plus propice pour s’épanouir ».

 

Risque de blessure

Quand ils se rapprochent de ces « spécialistes », les footballeurs et rugbymen le font de préférence en catimini. Pourtant, ils sont souvent dans leur droit, puisqu’il est rare qu’un contrat de travail leur interdise de s’entraîner lors de leur temps libre. « Mais ils s’exposent à un surmenage physique, voire psychologique parfois néfaste à leur rendement et dangereux pour le collectif », analyse un ancien joueur du Stade Toulousain sous couvert d’anonymat. Avant de se rompre les ligaments croisés du genou, Corentin Jean s’est rendu plusieurs après-midi dans un centre d’optimisation, après ses séances quotidiennes au Stadium. Preuve qu’une forme d’omerta règne autour du sujet, l’attaquant du Tef n’a pas souhaité s’exprimer, tout comme son club et le Stade Toulousain. Quant à Maxime Médard, qui s’est blessé après une collaboration avec un de ces préparateurs indépendants, il donne une réponse lapidaire : « Pour être honnête, je ne vais pas forcément dire de bonnes choses sur ces centres de performance ».

 

Plusieurs solutions
Selon Simon Barrué-Belou, ancien préparateur physique du Stade Toulousain, la situation n’a pourtant rien de rédhibitoire, « plusieurs organisations sont possibles, à condition que tout le monde soit transparent et travaille avec des objectifs communs », poursuit-il. « Je pense que les footeux ne passent pas assez de temps au club. Ils bossent de 9 h à 13 h et c’est tout. Avec leur salaire, il serait normal de rester l’après-midi pour travailler de manière individuelle », propose Mathieu, l’agent FFF. Quant à Pascal Dupraz, il suggère d’investir dans des infrastructures top niveau pour freiner cette tendance. Autant de pistes à explorer pour les présidents de clubs confrontés à ce casse-tête.

 

Rémi Buhagiar

(1) prénom modifié pour préserver l’anonymat

 

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