Saint Thomas ST Posté(e) 18 décembre 2018 Partager Posté(e) 18 décembre 2018 (modifié) Les décès de Jean Cormier et de Jacques Verdier ont été salués par tous ici. Bien triste occasion de combler un grand vide sur ce forum, celui de la critique littéraire rugbystique. Il y a eu les Confessions de St Augustin, celles de Rousseau...Les Mémoires de Chateaubriand, les Biffures de Leyris. Mais il faudra désormais compter avec les Mémoires de Clerc. https://www.ladepeche.fr/article/2018/12/15/2925410-vincent-clerc-ravi-de-revoir-les-toulousains.html https://www.lesfouleeslitteraires.fr/vincent-clerc-chasseur-essais/ Modifié 18 décembre 2018 par Saint Thomas ST Lien vers le commentaire
tire-bouchon Posté(e) 18 décembre 2018 Partager Posté(e) 18 décembre 2018 A noter que Clerc a produit plus d' essais que Montaigne. 3 1 Lien vers le commentaire
Saint Thomas ST Posté(e) 18 décembre 2018 Auteur Partager Posté(e) 18 décembre 2018 (modifié) il y a une heure, tire-bouchon a dit : A noter que Clerc a produit plus d' essais que Montaigne. À sa décharge ce dernier jouait au rugby ascète. Modifié 18 décembre 2018 par Saint Thomas ST 1 Lien vers le commentaire
Cyril Posté(e) 27 janvier 2019 Partager Posté(e) 27 janvier 2019 Que faire des cons ? Pour ne pas en rester un soi-même de Maxime Rovere https://books.google.fr/books/about/Que_faire_des_cons.html?id=n0KCDwAAQBAJ&printsec=frontcover&source=kp_read_button&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false Votre vie est encombrée de cons et de connes ? Vous désirez surmonter cette expérience et savoir comment vous en défaire ? Surgissant n’importe où – rue, transports, travail, famille… –, faisant et disant n’importe quoi, sans même en prendre conscience. Sans coup férir, leur présence gâche tout – humeur, projets, instants. Ces ordures qui vous pourrissent la vie, vous les détestez, mais ne savez qu’en faire… Ce manuel de survie est pour vous. Il propose une nouvelle éthique pour penser et soigner ce fléau de notre temps, maladie du collectif et poison de nos vies individuelles. Lien vers le commentaire
Saint Thomas ST Posté(e) 27 janvier 2019 Auteur Partager Posté(e) 27 janvier 2019 (modifié) J'ai préféré les bouquins du jeune Rovere sur Spinoza (chez qui la connerie correspond au premier genre de connaissance). Là c'est du marketing. ? Modifié 27 janvier 2019 par Saint Thomas ST 1 Lien vers le commentaire
capitole46 Posté(e) 28 janvier 2019 Partager Posté(e) 28 janvier 2019 Il y a 15 heures, Cyril a dit : Que faire des cons ? Pour ne pas en rester un soi-même de Maxime Rovere https://books.google.fr/books/about/Que_faire_des_cons.html?id=n0KCDwAAQBAJ&printsec=frontcover&source=kp_read_button&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false Votre vie est encombrée de cons et de connes ? Vous désirez surmonter cette expérience et savoir comment vous en défaire ? Surgissant n’importe où – rue, transports, travail, famille… –, faisant et disant n’importe quoi, sans même en prendre conscience. Sans coup férir, leur présence gâche tout – humeur, projets, instants. Ces ordures qui vous pourrissent la vie, vous les détestez, mais ne savez qu’en faire… Ce manuel de survie est pour vous. Il propose une nouvelle éthique pour penser et soigner ce fléau de notre temps, maladie du collectif et poison de nos vies individuelles. Faudra aussi penser à fermer le forum, parce qu'on est tous une bande de cons ! Lien vers le commentaire
rebop75 Posté(e) 21 février 2019 Partager Posté(e) 21 février 2019 (modifié) Malin Persson Giolito Rien de plus grand Maja jeune bourge suèdoise raconte son histoire Celle d'une gamine qui se retrouve dans une salle de classe avec sa meilleure amie une balle dans le corps ainsi que son copain et c'est elle qui a tiré Un très bon suspens incertain jusqu'au bout sur la culpabilité Bref du très bon gus van sant sans gus sans van sans sant mais avec une bonne dose d'oppression luthèrienne dedans et dehors la populace qui gronde. Malin fille de... Leif GW Persson auteur de comme dans un rêve Où quand un mandarin de la police décide de rouvrir en douce, 15 ans après, The enquete non élucidée, celle du meurtre le plus connu de Suède celui du premier ministre Olof Palme en 1986. En face d'une montagne de données, assis, trois enquêteurs choisis par un chef fort astucieux et spécialiste des casses têtes et dedans une tranche de vie d'un pays, voire plusieurs Modifié 21 février 2019 par rebop75 1 Lien vers le commentaire
Papalou Posté(e) 21 février 2019 Partager Posté(e) 21 février 2019 Il y a 1 heure, rebop75 a dit : Où quand un mandarin de la police décide de rouvrir en douce, 15 ans après, The enquete non élucidée, celle du meurtre le plus connu de Suède celui du premier ministre Olof Palme en 1986. Secret de polichinelle : il a été assassiné par la Stasi. Lien vers le commentaire
Colza Nostra Posté(e) 21 février 2019 Partager Posté(e) 21 février 2019 C’était pas Poutine plutôt ? Lien vers le commentaire
tire-bouchon Posté(e) 21 février 2019 Partager Posté(e) 21 février 2019 Ou alors le copain de Cyril. Celui qui se promène à poil avec une bouteille de vodka ! Lien vers le commentaire
rebop75 Posté(e) 21 février 2019 Partager Posté(e) 21 février 2019 Il y a 4 heures, Papalou a dit : Secret de polichinelle : il a été assassiné par la Stasi. Perdu ! Lien vers le commentaire
rebop75 Posté(e) 21 février 2019 Partager Posté(e) 21 février 2019 Il y a 3 heures, tire-bouchon a dit : Ou alors le copain de Cyril. Celui qui se promène à poil avec une bouteille de vodka ! Y a de l'idée... mais non Lien vers le commentaire
Papalou Posté(e) 22 février 2019 Partager Posté(e) 22 février 2019 Il y a 9 heures, rebop75 a dit : Perdu ! Peut-être pas dans le bouquin... Mais dans la réalité, si. Lien vers le commentaire
tire-bouchon Posté(e) 22 février 2019 Partager Posté(e) 22 février 2019 Merci Papalou. Pour la peine je ne cracherai pas dans ta soupe ce soir. Lien vers le commentaire
Saint Thomas ST Posté(e) 5 mai 2019 Auteur Partager Posté(e) 5 mai 2019 (modifié) Livre de chevet du "goret". Il y a deux ans presque jour pour jour, nous découvrions Yves Pèlerin chez lui en Dordogne à Cnac-et-Saint-Julien, pour évoquer son roman « Les Marcassins »et la trace laissée par ce petit livre paru en 1965. Le roman conte l’apprentissage du rugby dans la campagne des années 1950 ou 1960, par des petits paysans, sous l’égide du Sanglier, capitaine de l’équipe locale, et international. https://www.sudouest.fr/2019/05/05/les-marcassins-operation-renaissance-6041964-4692.php Modifié 5 mai 2019 par Saint Thomas ST Lien vers le commentaire
le zèbre aux courges Posté(e) 5 mai 2019 Partager Posté(e) 5 mai 2019 Il y a 8 heures, Saint Thomas ST a dit : Livre de chevet du "goret". Il y a deux ans presque jour pour jour, nous découvrions Yves Pèlerin chez lui en Dordogne à Cnac-et-Saint-Julien, pour évoquer son roman « Les Marcassins »et la trace laissée par ce petit livre paru en 1965. Le roman conte l’apprentissage du rugby dans la campagne des années 1950 ou 1960, par des petits paysans, sous l’égide du Sanglier, capitaine de l’équipe locale, et international. https://www.sudouest.fr/2019/05/05/les-marcassins-operation-renaissance-6041964-4692.php Je pense que c'est cenac et saint julien. Petite minute touristique. Je vous recommande grandement ce coin de Dordogne, avec la roque gageac et les ballades en gabares, Domme. 1 2 Lien vers le commentaire
capitole46 Posté(e) 5 mai 2019 Partager Posté(e) 5 mai 2019 il y a 10 minutes, le zèbre aux courges a dit : Je pense que c'est cenac et saint julien. Petite minute touristique. Je vous recommande grandement ce coin de Dordogne, avec la roque gageac et les ballades en gabares, Domme. Je plussoie! Lien vers le commentaire
diogene Posté(e) 5 mai 2019 Partager Posté(e) 5 mai 2019 Moi je plussoie rien du tout. Je t'en foutrais moi des hordes de vacanciers en SUV, en trottinettes, en camping-cars, en autobus du troisième âge, à vélo et même à pied ! Hilares et grincheux, riches et pingres, bavards et suffisants, pédants et crétins, laids et gras, mais surtout encombrants ! Mais put... qu'ils sont encombrants. Mais rentrez chez vous ! Ne venez surtout pas ! D'ailleurs, le Périgord, c'est très surfait. Que des cailloux abrupts et de la vase malodorante, il pleut tout le temps, il fait froid, la bouffe est dégueu et on arnaque les touristes. Je vous dis pas ce qu'on fait à leurs enfants et je me rappelle plus très bien ce qu'on fait à leurs femmes. 1 2 Lien vers le commentaire
capitole46 Posté(e) 6 mai 2019 Partager Posté(e) 6 mai 2019 Il y a 10 heures, diogene a dit : Moi je plussoie rien du tout. Je t'en foutrais moi des hordes de vacanciers en SUV, en trottinettes, en camping-cars, en autobus du troisième âge, à vélo et même à pied ! Hilares et grincheux, riches et pingres, bavards et suffisants, pédants et crétins, laids et gras, mais surtout encombrants ! Mais put... qu'ils sont encombrants. Mais rentrez chez vous ! Ne venez surtout pas ! D'ailleurs, le Périgord, c'est très surfait. Que des cailloux abrupts et de la vase malodorante, il pleut tout le temps, il fait froid, la bouffe est dégueu et on arnaque les touristes. Je vous dis pas ce qu'on fait à leurs enfants et je me rappelle plus très bien ce qu'on fait à leurs femmes. En plus y'a un vieux con qui vie dans un tonneau ! Lien vers le commentaire
diogene Posté(e) 6 mai 2019 Partager Posté(e) 6 mai 2019 il y a 13 minutes, capitole46 a dit : En plus y'a un vieux con qui vie dans un tonneau ! Il en a existé un, qui a demeuré quelque temps sous la falaise de Domme. Il a pas vécu vieux, mais c'était un drôle de type ! François Augiéras, l'ermite de Domme. 1 Lien vers le commentaire
tire-bouchon Posté(e) 6 mai 2019 Partager Posté(e) 6 mai 2019 Il y a 11 heures, diogene a dit : D'ailleurs, le Périgord, c'est très surfait. Que des cailloux abrupts et de la vase malodorante, il pleut tout le temps, il fait froid, la bouffe est dégueu et on arnaque les touristes. Je vous dis pas ce qu'on fait à leurs enfants et je me rappelle plus très bien ce qu'on fait à leurs femmes. Vous leur filez un balais entre les mains. Lien vers le commentaire
diogene Posté(e) 6 mai 2019 Partager Posté(e) 6 mai 2019 il y a une heure, tire-bouchon a dit : Vous leur filez un balais entre les mains. Dans les quelques souvenirs que j'en ai, c'était pas un balai, et c'était pas dans les mains... 1 Lien vers le commentaire
tire-bouchon Posté(e) 6 mai 2019 Partager Posté(e) 6 mai 2019 T' as raison, on est en Dordogne. Donc une brosse à dents. Lien vers le commentaire
rebop75 Posté(e) 8 mai 2019 Partager Posté(e) 8 mai 2019 Voilà Willnot, ville forcément imaginaire, refuge d’une belle collection d’originaux, où vivent entre autres Lamar, le narrateur, chirurgien et médecin de la communauté et son compagnon Richard, prof dans le lycée local. Une vie tranquille, jusqu’à ce qu’aux abords de la ville un chasseur découvre une fosse commune, avec 3 ou 4 cadavres. Et que Bobby Lownes, revienne comme un fantôme, des années après être parti s’engager dans l’armée. Dans son sillage quelques personnages qui semblent lui en vouloir, et une agent du FBI. De quoi troubler la routine de Willnot ? Pas sûr. Le roman a beau commencer avec quelques cadavres et un ancien soldat surentrainé, ne vous attendez pas à débarquer dans un thriller survitaminé plein de testostérone. On en est aussi loin qu’on peut l’être. C’est à une chronique de la ville que nous invite James Sallis. Une chronique pleine d’humour, d’humanité, contée par un de ceux qui, de par son métier, est au contact avec toutes ses souffrances, réelles ou fantasmée. Comme souvent dans la vie, on n’aura pas le fin mot des histoires, mais on va partager la vie de Lamar et Richard, leur intelligence, les souvenirs de lectures et d’auteurs de SF, leur fatigue face aux informations et à l’état du monde, leur amour, le plaisir d’un verre sur la terrasse à la fin d’une rude journée, leurs doutes … Cela pourrait être ennuyeux, si c’était nombriliste. C’est magnifique, on sourit très souvent d’un sourire triste, et au détour d’un paragraphe, on est frappé par la justesse absolue de phrases comme celles-ci : « Nous aurions dû l’aider. Nous aurions dû intervenir, ne pas le laisser continuer à exercer, ne pas le couvrir. Quelqu’un aurait dû se lier d’amitié avec cet homme. J’aurais dû prendre de ses nouvelles. Certains conditionnels ont de quoi vous démolir. » De ces phrases qui vous font prendre conscience d’un sentiment enfoui au fond de vous mais que vous n’auriez jamais su exprimer. Et surtout pas d’une façon aussi lumineuse et limpide. Ils sont rares les auteurs qui vous font dire à la lecture : C’est ça, c’est exactement ça que je ressens. James Sallis, Willnot chronique d'actu du noir 1 Lien vers le commentaire
rebop75 Posté(e) 3 juin 2019 Partager Posté(e) 3 juin 2019 (modifié) Dans le désert SF Rosewater de la SF nigérianne (eh oui encore du non JIFF) de Tade Thompson ou l'histoire d'un dome Extra Terrestre qui tombe à côté de Lagos Chaque année le dome s'ouvre quelques heures et fait des miracles bon il réveille aussi les morts qu'on doit retuer...mais c'est un détail et surtout il fait dans la mycologie bref de petits filaments relient désormais certains humains et ça permet de voir ce qu'il y a à l'intérieur des cerveaux (brrr) Il paraîtrait que ça s'arrête quand le champignon rencontre le cerveau de Urios mais j'en suis qu'au tome un A une question d'Albert au fond de la classe je répond oui vu que c'est un roman nigérian, y a de la caille, mais ce n'est que suggéré Modifié 3 juin 2019 par rebop75 1 Lien vers le commentaire
Saint Thomas ST Posté(e) 14 février 2020 Auteur Partager Posté(e) 14 février 2020 « On peut être rugbyman et intellectuel » (A noter, dans la DDM, du jour dans la rubrique des cortexés (Chalureau likes this :). Denis Charvet, ancien joueur du Stade toulousain, vient de publier son nouveau livre « Balle de match », le 15 janvier. Il s’exprime sur le rôle d’aidant qu’il a pu avoir auprès de personnes atteintes du cancer. l’essentiel Il est connu pour avoir joué au Stade toulousain et en équipe de France. Aujourd’hui, Denis Charvet s’épanouit dans l’écriture de romans. Il a commencé à se confier sur sa vie après le ballon ovale. En ce début de mois de janvier, l’écrivain a fait son retour avec « Balle de match ». Il raconte deux moments clés de sa vie. Interview. Comment êtes-vous passé de rugbyman à écrivain ? Après une carrière professionnelle, c’est difficile de revenir à une vie « normale ». Quand on s’arrête, on s’arrête, c’est la vie qui veut ça mais on n’est pas préparé. On ne meurt pas sur scène comme un artiste mais debout, d’où le titre de mon premier livre « Mourir debout ». On doit s’arrêter en cours de route, à un âge d’épanouissement. On nous dit qu’on est vieux. On se sent immortel jusqu’à se qu’on te dise « C’est fini ! ». A ce moment précis, c’est comme si on lâche un fauve domestique dans la jungle, on ne s’adapte pas. Les gens aiment le sportif en activité, pas après. Il y a une honte cachée de ne plus l’être. J’ai donc voulu l’écrire. C’est compliqué de faire sa place en tant qu’écrivain quand on ne vient pas de ce milieu ? Je ne me prétends pas écrivain, je suis juste un homme qui aime écrire. Quand tu es un sportif, tu combats une étiquette lourde. Tu es marqué au fer rouge, et c’est propre à la France. On peut être sportif et intellectuel. Il est temps de casser ces clichés. Vous avez récemment écrit sur le cancer… La maladie, je m’en suis servi comme d’un prétexte pour mettre en lumière l’amour d’un fils pour son père et l’amitié fraternelle que j’ai pour Richard Bohringer. Tous deux ont été atteints du cancer. Mon père est mort et mon ami l’a combattu. Son combat est devenu le mien. Même si l’on est impuissant face à la maladie. On ne peut pas la comprendre tant qu’on ne l’a pas eu. Ça a été un moyen de faire votre deuil ? Totalement. C’est un exutoire, ce bouquin. On ne se remettra jamais du côté définitif. On aura toujours ce manque. C’est dans l’ordre des choses de perdre ses parents. Je pense qu’il n’y a rien de pire que de perdre ses enfants. Ça m’a aidé de l’écrire. Quel sera le thème de votre prochain roman ? Sur l’amitié. Pourquoi nous n’avons pas besoin de nous connaître pour devenir ami ? Pourquoi l’amitié marche moins entre femmes ? Je me pose de nombreuses questions. C’est un sujet vaste, je vais me baser sur mon expérience de vie. https://www.ladepeche.fr/2020/02/14/denis-charvet-on-peut-etre-rugbyman-et-intellectuel,8731549.php Lien vers le commentaire
erixx1 Posté(e) 14 février 2020 Partager Posté(e) 14 février 2020 etre gigolo et pseudo acteur, ca fait de toi un intellectuel 2 Lien vers le commentaire
Gabi Posté(e) 14 février 2020 Partager Posté(e) 14 février 2020 Il y a 3 heures, erixx1 a dit : etre gigolo et pseudo acteur, ca fait de toi un intellectuel Raconter de la merde dans des émissions de radio "café des sports" aide également. Lien vers le commentaire
montségur Posté(e) 25 février 2021 Partager Posté(e) 25 février 2021 On m'a récemment offert cette BD. Je vous la recommande chaudement. Les auteurs retracent le Bloody Sunday de 1920, et font le va-et-vient avec les matches de l'équipe d'Irlande en 2007 (France puis l'historique victoire contre l'Angleterre). https://www.editions-delcourt.fr/bd/series/serie-croke-park-dimanche-sanglant-dublin/album-croke-park-dimanche-sanglant-dublin 1 Lien vers le commentaire
Neophyte Posté(e) 7 septembre 2021 Partager Posté(e) 7 septembre 2021 Pas un seul post depuis février dans le fil consacré aux livres. Bravo 👏 Lien vers le commentaire
tire-bouchon Posté(e) 7 septembre 2021 Partager Posté(e) 7 septembre 2021 Ben, on a beau conseillé des livres, personne ne lit. En ce moment. Pour parfaire mon Italien. "Barnabo des montagnes" de Dino Buzzati. (version bilingue). 1 Lien vers le commentaire
Manpat Posté(e) 7 septembre 2021 Partager Posté(e) 7 septembre 2021 En ce moment je lis toute la collection des enquêtes de "Bernie Gunther" de Philip Kerr. Si vous êtes passionnés d'histoire de l'entre 2 guerres à la guerre Froide et de polar sur fond réaliste avec personnages connus, je conseille. C'est très très bien documenté et passionnant. 1 Lien vers le commentaire
Vigomar Posté(e) 7 septembre 2021 Partager Posté(e) 7 septembre 2021 Moi je viens d'attaquer Animal, de Sandrine Collette. Lien vers le commentaire
DarkSideOfTheMaul Posté(e) 7 septembre 2021 Partager Posté(e) 7 septembre 2021 Je relis les Annales du Disque Monde, en VO cette fois 😋 Et entre deux, quelques chapitres de Sapiens de Yuval Noah Harari, également dans la langue de Shakespeare. 1 Lien vers le commentaire
Manpat Posté(e) 7 septembre 2021 Partager Posté(e) 7 septembre 2021 il y a 2 minutes, DarkSideOfTheMaul a dit : Je relis les Annales du Disque Monde, en VO cette fois 😋 Et entre deux, quelques chapitres de Sapiens de Yuval Noah Harari, également dans la langue de Shakespeare. Sapiens Intéressant, divertissant et neuf mais à ne pas prendre tout au 1er degré en ce qui me concerne. Lien vers le commentaire
DarkSideOfTheMaul Posté(e) 7 septembre 2021 Partager Posté(e) 7 septembre 2021 il y a 7 minutes, manpat31 a dit : Sapiens Intéressant, divertissant et neuf mais à ne pas prendre tout au 1er degré en ce qui me concerne. Bien sûr, même si j'apprends quand même pas mal de choses. Au moins, le Disque-Monde, je sais que tout n'est pas à prendre au pied de la lettre 1 Lien vers le commentaire
Neophyte Posté(e) 8 septembre 2021 Partager Posté(e) 8 septembre 2021 Sur ma table chevet, l'intégrale des nouvelles de Joseph Conrad. Quelle plume, cet homme ! Des récits de mer et de jungle, des hommes au cœur noir. Un régal. 1 Lien vers le commentaire
diogene Posté(e) 8 septembre 2021 Partager Posté(e) 8 septembre 2021 Il y a 2 heures, Neophyte a dit : Sur ma table chevet, l'intégrale des nouvelles de Joseph Conrad. Quelle plume, cet homme ! Des récits de mer et de jungle, des hommes au cœur noir. Un régal. Je partage ton enthousiasme. Je trouve qu'il est encore meilleur dans ses nouvelles que dans ses romans plus longs (Nostromo, Lord Jim, etc.) J'aime particulièrement "Au cœur des ténèbres" (qui a inspiré Apocalypse Now) et "the Duel", adapté (2 fois !) par Ridley Scott. 1 Lien vers le commentaire
Neophyte Posté(e) 8 septembre 2021 Partager Posté(e) 8 septembre 2021 42 minutes ago, diogene said: Je partage ton enthousiasme. Je trouve qu'il est encore meilleur dans ses nouvelles que dans ses romans plus longs (Nostromo, Lord Jim, etc.) J'aime particulièrement "Au cœur des ténèbres" (qui a inspiré Apocalypse Now) et "the Duel", adapté (2 fois !) par Ridley Scott. Au cœur des ténèbres est un texte à l'atmosphère hors du commun. Dans la même veine, je te conseille Ténèbre, de Paul Kawczak, paru aux éditions La Peuplade. Lien vers le commentaire
Vigomar Posté(e) 19 octobre 2021 Partager Posté(e) 19 octobre 2021 Je viens de finir Dune. J'ai bien accroché, bouquin très dense, très riche. Un peu paumé par moment, car il ne s'encombre pas de tout expliquer, donc par moments les intentions des différents personnages ne sont pas très claires, mais c'est pas déplaisant. L'univers créé est dingue, je continuerai avec les autres bouquins. La Fantasy a le seigneur des anneaux, la SF Dune. 1 1 Lien vers le commentaire
diogene Posté(e) 19 octobre 2021 Partager Posté(e) 19 octobre 2021 Il y a 4 heures, Vigomar a dit : La Fantasy a le seigneur des anneaux, la SF Dune. Pour la SF, j'ajouterais la saga Fondation de Asimov (qui fait aussi l'objet d'une adaptation en série, en cours de diffusion sur AppleTV). 2 Lien vers le commentaire
tire-bouchon Posté(e) 20 octobre 2021 Partager Posté(e) 20 octobre 2021 Asimov et les trois lois de la robotique ! Passionnant Lien vers le commentaire
diogene Posté(e) 20 octobre 2021 Partager Posté(e) 20 octobre 2021 Il y a 1 heure, tire-bouchon a dit : Asimov et les trois lois de la robotique ! Passionnant Ces lois sont plutôt liées au cycle des robots. Il y a bien un livre où les deux sagas se croisent (Les robots et l'Empire), où est d'ailleurs élaborée la quatrième loi (dite loi zéro). Lien vers le commentaire
Vigomar Posté(e) 21 novembre 2021 Partager Posté(e) 21 novembre 2021 Je suis en train de lire les Furtifs, quelqu’un connaît ? Lien vers le commentaire
diogene Posté(e) 21 novembre 2021 Partager Posté(e) 21 novembre 2021 il y a 22 minutes, Vigomar a dit : Je suis en train de lire les Furtifs, quelqu’un connaît ? Pas du tout, mais je serais très intéressé par ton avis quand tu l'auras fini (et celui d'autres qui l'auraient lu). Lien vers le commentaire
Vigomar Posté(e) 21 novembre 2021 Partager Posté(e) 21 novembre 2021 il y a 22 minutes, diogene a dit : Pas du tout, mais je serais très intéressé par ton avis quand tu l'auras fini (et celui d'autres qui l'auraient lu). Comme pour Dune, bouquin très dense, donc je mets un peu de temps à le lire, surtout quand c'est le soir et que je pique du nez au bout de deux pages, j'en suis à un tiers (il fait 900 pages), mais c'est vraiment très sympa, ça se passe en 2040, dans une société bouffée par la consommation, c'est très bien écrit, avec le point de vue de différents personnages, et chaque personnage est caractérisé par des petits signes autour de la police (du texte), ce qui permet de savoir qui on suit, c'est très original. Les dialogues et les pensées sont très réalistes, tout comme l'univers qui est à la fois futuriste, mais dans lequel on arrive à se projeter facilement. Franchement un très bon roman. Lien vers le commentaire
diogene Posté(e) 21 novembre 2021 Partager Posté(e) 21 novembre 2021 Merci ! Ça donne envie de le lire. Lien vers le commentaire
Nagisa Kaworu Posté(e) 22 novembre 2021 Partager Posté(e) 22 novembre 2021 Lu et adoré. Surtout pour la poésie. J'aime beaucoup l'écriture de Damasio. La Horde du Contrevent, déjà... Lien vers le commentaire
tire-bouchon Posté(e) 22 novembre 2021 Partager Posté(e) 22 novembre 2021 Winter is coming, on revoit le pingouin. Lien vers le commentaire
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant