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Quoi De Neuf Au Sud


leilei

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Novembre - dates à confirmer

France et Ecosse

et ben, on les aime les boks en ce moment! on ne se passe plus d'eux pdt les tournées! :original::lol:

en tout cas, 1 match contre les boks, 2 contre les blacks, oula, elle va être tendue la prochaine tournée d'automne des bleus! B):smile::devil:

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Et plutôt que de mourir idiot ce soir on apprend qui est Jeff Wilson pour ceux qui ne saurait pas :(

wilson_jeff_200.jpgJeff Wilson, « the total player »

Sa fiche chez les Allblacks

Jeff Wilson a une belle gueule et il le sait. Mais, surtout, il est, ce qu’on appelle en Nouvelle-Zélande, « the total player », le joueur complet. A vingt et un ans et seulement quelques sélections à la clé (quatre avant la Coupe du monde), Jeff Wilson, en 1993, a bousculé les statistiques en devenant, en grande pompe, le premier Néo-Zélandais à représenter son pays à la fois en cricket et en rugby. La population l’appelle familièrement « Goldie », son autobiographie best-seller (il ne recule devant rien, la preuve) est titrée « The Natural » et ses partenaires de la sélection, qui ne manquent pas d’humour, l’ont surnommé « The Speed Merchant ». Ce Wilson-là ne laisse pas indifférent et, ça aussi, il le sait.

Mais l’expérience pour lui n’a rien de simple. « La Nouvelle-Zélande n’est pas un grand pays, explique-t-il. On ne peut donc pas pratiquer tous les sports. Chez nous, à l’école, c’est le rugby et le cricket qui sont les sports-rois. On joue au premier l’hiver, au second l’été. » Et le rêve de tous les gamins, bien sûr, est d’intégrer les deux équipes premières, le First Fifteen et le First Eleven. Rêve que Wilson a rendu possible grâce à son culot, d’abord. « Il fallait oser imposer ça aux entraîneurs, dit-il, et j’ai osé. Après, seule la santé compte, et le talent. ».

Rares sont en effet ceux qui continuent à cumuler au plus haut niveau, car en senior, les saisons de compétition sont plus longues (sept-huit mois) et se chevauchent inévitablement. Mais prototype du Black de l’an 2000, Jeff était taillé pour cette mission impossible. Modeste, il avoue simplement avoir eu « quelques problèmes d’organisation » ces derniers temps. « J’ai dû trancher cette année, confirme-t-il. Coupe du monde oblige, car l’an dernier j’avais privilégié le cricket et mon rugby en avait souffert. Laurie Mains (l’entraîneur des Blacks

NDLR) ne m’avait fait confiance qu’une seule fois, en test-match, contre l’Australie. Alors, depuis l’été dernier, battes et casques sont restés au vestiaire. Ce fut tout pour le rugby. ».

L’homme caméléon

Symbole d’un état d’esprit très néo-zélandais où la pratique sportive est non seulement encouragée mais appuyée, guidée, financée de bout en bout, Jeff pense même trouver dans les deux disciplines des usages complémentaires. « Vu de l’extérieur, rugby et cricket n’ont rien à voir, lance le beau gosse. D’un côté on passe une heure et demie à cavaler avec des crampons aux pieds, de l’autre on piétine huit heures, cinq fois plus de temps ! L’un est physique, l’autre cérébral. Au cricket, c’est la vitesse d’exécution qui fait la différence, quand une balle t’arrive dessus. En fait, ça m’a aidé pour le rugby, question rapidité. Et je sais mieux apprécier les ballons que d’autres. »

Pas question de s’arrêter en si bon chemin. Même sur un terrain de rugby, l’homme se fait caméléon. Sélectionné à l’aile pour affronter l’Angleterre dimanche, le joueur peut se métamorphoser à volonté en centre, en ouvreur, en buteur et même en arrière comme ce fut le cas contre l’Ecosse en quart de finale. « Je ne sais pas si c’est maladif, mais j’ai toujours peur de m’ennuyer. C’est pour ça, je crois, que je touche à tout. Et je ne suis pas le seul. » Sans égaler Wilson, cette équipe des Blacks aligne en effet quelques rares phénomènes. Eric Rush, le troisième ligne reconverti ailier, a fait partie de l’équipe nationale de boxe. Le nouveau demi d’ouverture, Andrew Mehrtens, et son remplaçant Simon Culhane, ont tous les deux représenté leur province au cricket et au tennis, restant tout juste aux portes des sélections nationales. Quant aux frères Brooke, Zizan (3e ligne) et Robin (2e ligne), ils auraient très bien pu faire carrière en basket-ball s’ils avaient persévéré.

Ces drôles de « cumulards » revendiquent leurs identités multiples quand leurs prédécesseurs se vouaient à la spécialisation à outrance, poste par poste. Un bouleversement de culture qui n’a pas laissé de côté le ballon ovale. Comme explication à cet appétit de compétition qui semble si bien contenter la nouvelle génération des Blacks, Jeff Wilson suggère même le « besoin d’être toujours en mouvement dans un pays qui ne bouge pas beaucoup ». Et il annonce, comme si de rien n’était : « En 1996, c’est la Coupe du monde de cricket en Inde et au Pakistan. Ça me démange. Je crois que dès le mois prochain, je ne vais plus beaucoup penser au rugby... »

Modifié par leilei
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Bilan 2005 / Nouvelle-zelande :les Blacks au sommet

lun 26 déc, 13h15

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zelande :les Blacks au sommet

Avec quatre victoires contre les nations britanniques lors de la tournée d'automne, la Nouvelle-Zélande a confirmé au cours de cette année que son rugby était de loin le meilleur du monde. A un peu moins de deux ans du Mondial, les All Blacks s’affichent comme les plus sérieux prétendants à la succession de l’Angleterre. Retour sur une année qui restera dans les annales.

L’image est aussi symbolique que révélatrice. Battus (10-29), les Ecossais se mettent en rang devant le tunnel qui conduit aux vestiaires et offrent une haie d’honneur aux joueurs néo-zélandais. Paterson et ses partenaires applaudissent une équipe des All Blacks qui vient de remporter son quatrième test-match en autant de rencontres au mois de novembre. L’hommage rendu à Tana Umaga et ses camarades est à la hauteur de la performance. La Nouvelle-Zélande a ainsi parachevé à Murrayfield une année à classer à son patrimoine historique, qui l'a vu dominer aussi bien ses rivaux de l'hémisphère Sud dans le Tri-Nations, que les Britanniques surclassés avec les Lions cet été et lors de la tournée d'automne. « Ça a été une année spéciale, mais difficile aussi, savourait samedi Graham Henry, l'entraîneur des All Blacks. Nous avons joué au rugby presque sans interruption depuis dix mois. Les gars fêtent ça, ils sont fiers de ce qu'ils ont réussi, c'est vraiment quelque chose de remarquable. »

La saison des Néo-Zélandais, lancée sur un mémorable 45-6 passé au XV de France en novembre 2004, avait débuté par une démonstration face aux Fidji (91-0). Une mise en bouche avant la première démonstration de force face aux Lions britanniques. Les trois succès, tous aussi indiscutables et indiscutés les uns que les autres (21-3, 48-18 et 38-19) sur les Lions, ont résonné comme un premier avertissement. Les All Blacks, emmenés par leur demi d'ouverture Daniel Carter, révélé au monde par ses 33 points du deuxième test, semblaient sortis d'une autre dimension. L'Australie et l'Afrique du Sud devaient ensuite rivaliser d'un peu plus près, mais sans empêcher la Nouvelle-Zélande d'empocher un nouveau Tri-Nations. Seuls les Springboks ont pu faire poser un genou à terre aux Blacks en août au Cap (22-16). Ce sera l’unique défaite des Blacks en 2005.

Henry : « On a posé les fondations »

La tournée dans les Iles britanniques, lors de laquelle les All Blacks ont réussi leur premier Grand Chelem depuis 1978, est venue confirmer qu'ils figuraient loin devant les autres dans la hiérarchie mondiale. Les Gallois, même emplis de la confiance d'un premier Grand Chelem dans le Tournoi des six nations en 27 ans, ont été les premières victimes (3-41). L'Irlande a été écartée d’un simple revers de main (7-45). L'Angleterre a accepté la confrontation physique et tenu tête, mais n'a pu profiter de vingt minutes de surnombre numérique pour faire la différence (19-23). Enfin, l'Ecosse a plutôt honnêtement résisté face à une équipe usée et moins enthousiaste (10-29). « Je suis forcément admiratif, avouait Bernard Laporte, le sélectionneur du XV de France après cette démonstration, mais ce n’est pas nouveau. Dire que la Nouvelle-Zélande est aujourd’hui la meilleure nation du monde est la vérité. Ils ont une très grosse génération de jeunes. Il faudra essayer de les doubler ou du moins de les rattraper avant le début de la Coupe du monde. »

Si la Nouvelle-Zélande de Graham Henry a tenu son pari, c'est certainement aussi par la détermination de son entraîneur à préparer la Coupe du monde en développant un groupe où tous les postes sont doublés. L'émulation est maximale et permet à l'encadrement All Black de préserver ses joueurs majeurs. Les 35 garçons retenus pour la tournée ont tous pris une part prépondérante dans les différents succès, Henry s’offrant même le luxe de changer les quinze titulaires d’un match à l’autre. « On a environ 40 joueurs qui ont disputé des test-matchs cette année, a expliqué Henry. Ça créé une grande compétition, ce qui rend les joueurs meilleurs. On a posé les fondations. » Il lui reste maintenant à gérer au mieux les deux années menant au Mondial 2007 en France. Vingt ans après leur unique succès dans la compétition, les Blacks n’ont jamais été si près de la remporter pour la deuxième fois.

(Avec AFP)

Arnaud BEURDELEY

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Bilan 2005 / Nouvelle-zelande :les Blacks au sommet

C'est marrant les Wallabies aussi on fait leur bilan et le titre de l'article est "Annus Horribilis" :rolleyes:

Mais comme dit Confucius "Pour rebondir la sauterelle a besoin de toucher terre" :original:

Va pas falloir les négliger les p'tits mimosas d'autant que leur -19 ont fait une belle tournée avec 1 seul échec face aux gallois Sont forts ces Gallois :devil:

Avec le changement d'entraîneur et en espérant qu'il ne choisiront pas Ewen McKenzie (avec tout mon respect chef) trop dans la lignée d'Eddie le maudit et il faut parfois comme le réclame Campese savoir faire table rase, je pense que les australiens vont bien nous surpendre en bien évidemment B) .

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Oh surprise dirol.gif. Comme c'est inattendu et surprenant.

Allez les gArs encore une fois on se lève tous pour

DAN CARTER

Elu meilleur joueur 2006, IL SUCCEDE A SCHALLA BURGERRRRRRRRRi-m_so_happy.gif, par un jury de 50 journalistes internationaux, devant RICHIE McCAW :original: et VICTOR IMPERATOR LE TSAR EN PERSONNE j'ai nommé VICTOR MATFIELD kez_09.gif.

Modifié par leilei
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McKenzie "Bye Bye Wallabies"

Ewen McKenzie sort de la course pour le titre de prochain coach des Wallabies en charge de les mener jusqu'au bout de la CDM 2007.

Mc Kenzie vient de signer un nouveau contrat le liant au club des warathas pour 3 ans supplémentaires et s'exclut lui-même de la course alors que l'ancien adjoint d'Eddie était en bonne position pour le poste.

Reste plus que 2 prétendants sérieux David Nucifora et John Connolly, ce dernier receuillant le plus d'avis favorables de la part des instances dirigenates australienne.

Alors je pense pas trop me mouiller en disant que le futur coach des mimosas sera Mister Castor john_connolly0909.JPG

Source Ici

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Et ça se confirme encore +1 Mister Castor(tain une vrai madame Irma l'huitre),

Dans la longue liste des postulants au titre de futur leader des Wallabies, il n'en reste plus qu'un : l'ancien entraîneur des Queensland Reds, de Leicester et de Bath (et de quoi encore hummmmmmmmm :rolleyes: ) Mister Castor, alias John Connolly. David Nucifora vient à son tour de jetter l'éponge et préfère se consacrer tout entier aux Blues d'Auckland.

Source http://www.rugbyheaven.smh.com.au/articles...6851200916.html

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  • 3 weeks later...

Bon pas la peine d'ouvrir un topic rien que pour annoncer que dans quelques heures le secret de Puccinelo concernant le nom du futur entraîneur des Wallabies sera divulgué. Alors Mister Castor aux manettes avec toute sa science du commandement arrive pour redonner aux malheureux petits Mimosas espoir de revoir un jour la CDm rentrer à Sydney.

Coach suprême: John Connolly

Ex Bath john_connolly0909.JPG ex Stade Français connoly.jpg, ex Queenslander

Coach disciple : soit Michael Foley soit Scott Johnson. C'est là que réside encore l'interrogation

Superviseur : Rod Macqueen (oui c'est bien lui l'ancien entraîneur des Wallabies qui les a mené à la victoire en CDM en 1999)

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Une info du VII qui concerne aussi le Super 14 : Gordon Tietjens, l'entraîneur de l'équipe kiwie du Sevens, avait le droit de sélectionner cinq joueurs des cinq franchises néo-z du Super 14 pour le tournoi 'Commonwealth Games' à Melbourne.

Les heureux élus : Chiefs winger Sosene Anesi, Crusaders loose forward Tanerau Latimer, Highlanders flanker Josh Blackie and Hurricanes utility back Tamati Ellison. Ces quatre-là ne constituent pas une surprise, ils ont déjà pas mal joué au VII.

Mais la bonne (que dis-je ? l'excellente ! :rolleyes: ) nouvelle est la sélection de Dougie Howlett qui n'a encore jamais disputé de rencontre à VII internationale.

http://xtramsn.co.nz/rugby/0,,12416-5352790,00.html

New Zealand Sevens wider squad for Commonwealth Games : Sosene Anesi (Waikato), Charles Baxter (Bay of Plenty), Josh Blackie (Otago), Edwin Cocker (Otago), Tamati Ellison (Wellington), DJ Forbes (Auckland), Doug Howlett (Auckland), Craig Hudson (North Harbour), Nigel Hunt (Wellington), Tafai Ioasa (Hawke's Bay), Cory Jane (Wellington), Tanerau Latimer (Bay of Plenty), Zar Lawrence (North Harbour), James Maher (Counties Manukau), Lachie Munro (Auckland), Alfred Pelenise (Canterbury), Lote Raikabula (Wellington), Hayden Reid (Bay of Plenty), Alando Soakai (Otago), Dwayne Sweeney (Waikato), Onosa'i Tololima-Auva'a (Auckland), Amasio Valence (Auckland).

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