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USAP-BO


JeanGibbon

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Le Corbeau de l'USAP
C'est aussi le constat que l'Usap n'a pas encore le banc requis pour jouer à la fois la H-cup et le championnat.

Si si, ça peut donner soit Pez en 10 et Manny en 15, soit Manny en 10 et Cermeno en 15. Mais vue la saison de Nico Laharrague, c'est à coup sûr une grosse perte.

Le problème majeur vient aussi des blessures de longue date de Julien Laharrague et de Diego Giannantonio, soit l'arrière titulaire et son remplaçant. Ca commence juste à faire beaucoup !

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Si si, ça peut donner soit Pez en 10 et Manny en 15, soit Manny en 10 et Cermeno en 15. Mais vue la saison de Nico Laharrague, c'est à coup sûr une grosse perte.

Le problème majeur vient aussi des blessures de longue date de Julien Laharrague et de Diego Giannantonio, soit l'arrière titulaire et son remplaçant. Ca commence juste à faire beaucoup !

Bien-sûr cela fait trop. Mais avec beaucoup de blessures, le SF ou le BO ont quand su tirer leur épingle du jeu. On verra pour l'Usap, mais je peux me tromper. Je l'envisage d'ailleurs :party:

Modifié par menelas
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Le Corbeau de l'USAP

Article paru dans le Midi-Libre du 30/01/2006

Surréaliste, un échauffement entre quatre tracto-pelles. C'est le cliché que les fidèles d'Aimé Giral conserveront de cette fête gâchée. Trahie par une météo exécrable, une neige lourde et collante qui tombait encore drue, à deux heures du sommet de cette 15ème journée. Trahie par les exigences de la télé, qui avait beaucoup investi pour offrir à ses abonnés un "prime time" de rugby et qui ne voulait pas tout perdre après le raté, la veille, à Toulon. Trahie enfin par les pressions excercées sur l'arbitre, M. JUTGE. Joint dans l'aprés-midi par téléphone alors qu'il était bloqué entre Cahors et Perpignan, il avait déjà jugé qu'il fallait jouer même sous la neige, sans avoir pris connaissance de l'état de la pelouse et des giboulées qui allaient recouvrir le tapis d'Aimé Giral... La polémique n'a cessé d'enfler durant toute la soirée. La mairie a fait dos rond. Les treizistes, qui doivent jouer leur match de gala à Aimé Giral le 11 février contre Wigan, sont furieux. La facture sera lourde car la pelouse ressemble aujourd'hui à une cour de ferme. QUI VA PAYER ?

Si c'est une information exacte, ça soulève quelques interrogations sur les compétences de Joël Jutge.

C'est le moins qu'on puisse dire : premier club français admis en Super-League, premier match à domicile, diffusé par Sky dans tout le Commonwealth autrement dit à une population d'un demi-milliard de personnes... Et il n'y a plus de pelouse ! Je comprends que les treizistes des Dragons soient en pleine crise.

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En gros, l'USAP a tout perdu ce week, end, car si il faut que la pelouse du stade soit entierement refaite par du 'gazon venu d 'ailleurs' style SDF, la facture risque d'être lourde :sleeping:

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En gros, l'USAP a tout perdu ce week, end, car si il faut que la pelouse du stade soit entierement refaite par du 'gazon venu d 'ailleurs' style SDF, la facture risque d'être lourde :sleeping:

c'était prévu de la refaire de toutes façons... le terrain d'entrainement d'abord (en synthétique pour servir de test) et ensuite le terrain officiel (pas forcément en synthétique)

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Midi libre

Pourquoi n'a-t-on pas fermé le stade samedi ?

La polémique enfle, autour de la Basse, à propos de la rencontre de rugby qui a opposé, samedi soir, au stade Aimé-Giral de Perpignan, l'équipe locale de l'Usap à celle du Biarritz Olympique (BO), dans le cadre du championnat de France, le "Top 14".

Fallait-il laisser jouer le match ?

Y a-t-il eu des intérêts financiers privés cachés pour faire plier les pouvoirs publics, la municipalité de Perpignan en l'occurence ? Quels ont été les véritables enjeux qui ont motivé pareille décision, et ce alors même que tous les autres stades de la ville étaient fermés par décision de la mairie ?...

Ce sont là les principales questions soulevées par l'opinion publique, 3 jours encore après la tenue, pour le moins spectaculaire, de la rencontre Usap-BO (1).

L'enjeu, dans les coulisses non exposées par les médias, devait être de taille... puisque l'on a même rouvert, spécialement, l'autoroute A 9, à hauteur de Narbonne (Aude), afin de permettre ce jour-là à l'arbitre du match, Joël Jutge, de se rendre sans embûche sur la pelouse d'Aimé-Giral.

On croit savoir qu'il était même seul au monde à emprunter cet itinéraire, fermé à toute circulation pour raison de sécurité routière.

A ce jour, on sait désormais avec certitude que ce samedi-là, le 28 janvier 2006, pas moins de 50 balayeurs du service Propreté de la Ville de Perpignan s'affairaient sur la pelouse et les abords du stade Aimé-Giral, plus précisément de 13 heures à 15 h 30.

Il s'agissait pour cette armée d'employés municipaux, réquisitionnés dans le cadre d'heures supplémentaires, d'essayer de rendre l'endroit "sportivement praticable", et ce après les abondantes chutes de neige qui ont touché le Roussillon.

A 15 h 30, nombre de ces techniciens de surface ont dû changer de sites d'intervention, appelés en urgence à se rendre sur d'autres lieux en ville, les intempéries continuant de créer de sérieux troubles urbains.

Ne restaient plus alors sur le stade d'Aimé-Giral qu'une dizaine d'agents municipaux, épaulés par une quinzaine de supporters de l'Usap, qui ont aidé très efficacement à la manœuvre, ainsi que 6 employés du service des Sports de la Ville de Perpignan, dont le directeur dudit service...

A l'évidence, les ordres étant venus d'en haut - et alors même que parallèlement la municipalité prenait la décision d'interdire au public l'accès de tous les autres stades et espaces sportifs de la ville - tout a été mis en œuvre pour qu'à Aimé-Giral cela se passe différemment, autrement... Pourtant l'enneigement, la météo, le "bourbier" issu de ces intempéries, etc, étaient les mêmes à Aimé-Giral qu'à Gilbert-Brutus.

Sauf que Gilbert-Brutus n'avait pas rendez-vous avec... Canal + !

Le syndicat UNSA-Territoriaux des personnels de la Ville de Perpignan, qui confirme la présence, ce samedi-là, d'employés municipaux - sans toutefois en préciser le nombre - sur la pelouse du stade Aimé-Giral, pose la question suivante : « Qui va payer la facture de la rénovation de la pelouse d'Aimé-Giral ? ».

Car selon les dirigeants dudit syndicat, « la pelouse est morte ! Elle ne pourra, en l'état actuel, accueillir la rencontre internationale de rugby à XIII des Catalans Dragons, prévue pour le samedi 11 février prochain ».

Mais, contrairement à d'autres, l'UNSA-Territoriaux refuse catégoriquement de faire de Jean-Marc Pujol, UMP, le 2e adjoint de la Ville, en charge des délégations à l'Urbanisme et aux Finances, le seul bouc-émissaire de ce qu'il considère être également une erreur d'appréhension : « C'est trop facile d'attaquer Jean-Marc Pujol parce que ce jour-là il représentait la Ville au match, accompagné de Manu Garcia, le "maire du Vernet". Nous, à l'UNSA-Territoriaux, nous interpellons aujourd'hui l'adjoint délégué aux Sports, M. Gérard Naudo. Où était-il passé ?... Quand on sait que "Monsieur Oui-Oui" préparait par arrêté municipal lafermeture des autres sites sportifs de Perpignan, pourquoi a-t-on écarté le stade Aimé-Giral de la liste, si la situation était si grave que cela à Gilbert-Brutus et ailleurs ?... ».

Et ce dirigeant de l'UNSA-Territoriaux de la Ville de Perpignan de conclure : « Il est vrai que depuis plusieurs mois, on peut légitimement se demander si le président de l'Usap, M. Marcel Dagrenat, n'est pas le vrai 1er adjoint de la Ville de Perpignan, adjoint délégué aux Sports bien sûr ! ».

Luc MALEPEYRE(1) Qui s'est soldée par la victoire du BO sur l'Usap, 17 à

:smile:

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