Michalak sifflé

[strangler]

D'accord mais je peux dire que "technique" "placement" et "jeu au pied"... Clerc, c'était pas ça

Surtout Placement...

[Le Corbeau de l'USAP]

Je n'étais pas non plus un super fan de Rougerie non plus, mais force est de reconnaître qu'au vu des matches de novembre et de février il n'y a rien à lui reprocher. Au contraire, il a toujours été parmi les meilleurs de l'équipe.

Il reste des interrogations sur son jeu au pied, mais d'une part il le travaille et, d'autre part, on ne peut décemment pas exiger beaucoup d'un ailier quand on voit ce dont on se contente dans ce domaine à l'ouverture... : whist

[Seb31]

au fait vous etes au courant que michalak à été sifflé???

[Invité Guest]

et son ratio passe/technique/placement/jeu au pied? mdr

rien a f***** de son au pied du moment qi'il franchi la ligne d'avantage quasi systematiquement !!!!!!!

[daqcxv]

Ok , je suis un hypocrite , j'assume , aucun blème .

Je ne me rappelle pas d'avoir siffler un joueur au vu de son match . Sur un mauvais geste oui et avec zèle s'il le faut . Même un buteur je ne siffle pas , pour des matchs de séries j'hurle juste au momment qu'il frappe le ballon mais je siffle pas

petit souvenir du fond d'un tirroir :

je me rappelle lors d'un match du tournoi à la fin des années 80 au parc , Marc Andrieu rentre au centre à la place de je ne sais plus qui , et le public se met à siffler . Mais qui sifflaient ils ces braves gens ? Marc Andrieu au physique perce muraille ou la décision de Jacques Fouroux de le faire rentrer au lieu de Fréderic Vélo 3/4 de Grenoble et plein de talent mais plus fluide que physique . Ces sifflets je les ai trouvés honteux . Ceci dit j'assume mon hypocrisie .

[Invité Xv-31]

Michalak : « Je n'ai pas d'appréhension »

Frédéric Michalak, l'ouvreur du Stade toulousain et du XV de France, a oublié les sifflets qui avaient accompagné sa sortie du terrain, le 11 février face à l'Irlande, et envisage sans appréhension ses retrouvailles avec le Stade de France, contre l'Italie, samedi lors du troisième match du Tournoi.

« Moi, je suis passé à autre chose. D'ailleurs, j'avais déjà oublié à la fin du match, explique Frédéric Michalak. C'est la vie ! L'autre jour (samedi), j'ai regardé PSG - Le Mans en football et j'ai vu que Rothen avait lui aussi été sifflé. Alors, certes ce n'est pas dans les habitudes du rugby d'agir comme cela, les Anglais ne le font pas, mais je n'oublie pas que les week-ends, avec le Stade Toulousain, on se fait traiter d'enc… dans tous les stades de France ».

Visiblement, les lazzis du Stade de France ne l'ont pas ébranlé. « Cela m'embête plus pour les gens qui me connaissent ou pour mes proches, qui sont tristes pour moi parce qu'ils pensent que cela m'affecte, souligne-t-il. Je pense que je suis assez fort pour surmonter cela. D'ailleurs, il y a des choses pires que celle-là. »

« UN PÈRE QUI SIFFLE AVEC SON GAMIN À CÔTÉ… »

« En fait, poursuit-il, ce qui me gêne, c'est que dans un stade, un père siffle avec son gamin à côté de lui. Cela veut dire que plus tard, le gamin sifflera à son tour ».

Les quolibets descendus des gradins du Stade de France n'ont pas empêché le Toulousain de se livrer à une analyse pointue de sa prestation face aux Irlandais. « Je suis le premier à ne pas être satisfait de mon match, avance-t-il. Il y a eu cinquante très bonnes minutes, et ensuite nous n'avons pas sorti la tête de l'eau. Moi le premier. On n'a pas été bons du tout dans le jeu au pied dans la dernière demi-heure ».

En cause ? « Il y a eu un manque de fraîcheur de toute l'équipe, répond Michalak. On n'a pas réussi à tenir le ballon. Et le jeu au pied aussi est tributaire de la fraîcheur physique ».

Désormais, l'épisode irlandais, entre sifflets et souffle court, est balayé, alors que sonne l'heure de retrouver le Stade de France, samedi face à l'Italie.

« Je n'ai pas d'appréhension par rapport à cela, glisse Michalak. Je n'y pense même pas. De toute façon, on mouillera le maillot. Et si cela se passe bien, les gens applaudiront. Et s'ils veulent siffler à chaque fois, ils siffleront. Mais nous, on préfère voir le public avec le sourire à la fin du match. » A bon siffleur…

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