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Equipe de France II - l'après Guy...


gronounours

Messages recommandés

Apres les sponsors qui se barrent, des entraîneurs ciblés n'ont même pas envie de venir pour une coupe du monde 

ou alors l'escroc nous enfume et n'a jamais chercher à prendre un étranger en renfort pour son pote

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Il y a 9 heures, GuyNess a dit :

Apres les sponsors qui se barrent, des entraîneurs ciblés n'ont même pas envie de venir pour une coupe du monde 

ou alors l'escroc nous enfume et n'a jamais chercher à prendre un étranger en renfort pour son pote

Je suis d'accord avec ca , il essaie de nous enfumer aucun étranger se risquera à prendre ce champs de ruine .

La place est gardée au chaud ( depuis un moment ) pour Mignoni son 2 eme ami derriere moustache .

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grand schtroumpf 83
Le 31/03/2019 à 00:50, GuyNess a dit :

Apres les sponsors qui se barrent, des entraîneurs ciblés n'ont même pas envie de venir pour une coupe du monde 

ou alors l'escroc nous enfume et n'a jamais chercher à prendre un étranger en renfort pour son pote

Personne n'a jamais parlé d'un étranger en renfort (à part O'Gara mais comme sous sous fifre)

 C'est pour l'après coupe du monde qu'il est question d'un étranger à la tête du XV  de France.

Après, c'est un peu normal que quasi personne ne veuille venir. On leur propose un contrat de 6 gros mois avec une forte chance (une certitude?) de participer au plus gros fiasco de l'histoire du rugby français... et sans doute avec un salaire loin d'être fabuleux vu que la FFR a plus trop de pognon et une forte probabilité de devoir verser un pactole à Guytou.

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grand schtroumpf 83
Il y a 23 heures, BOURRIN a dit :

Je suis d'accord avec ca , il essaie de nous enfumer aucun étranger se risquera à prendre ce champs de ruine .

La place est gardée au chaud ( depuis un moment ) pour Mignoni son 2 eme ami derriere moustache 

Mouais, prendre le XV de France pour les 4 ans qui mènent â sa coupe du monde, y'a pire.

Le côté champ de ruine fait que c'est plus facile. Personne lui reprochera de virer quasi tout le monde pour repartir de zéro.

Par contre, je pense qu'aucun n'acceptera s'il n'a pas les mains entièrement libres fzce au panier de crabes de la fédé et de la ligue... et ça, c'est pas gagné.

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Il faut être fou pour accepter la mission de 6 mois jusqu'à la coupe du monde (et le crash quasi-assuré).

 

Par contre, il faudrait être fou pour refuser le poste après la coupe du monde (où tu es sûr de passer pour un génie qui a transfiguré l'équipe).

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Colza Nostra
8 hours ago, Gabi said:

Par contre, il faudrait être fou pour refuser le poste après la coupe du monde (où tu es sûr de passer pour un génie qui a transfiguré l'équipe).

 

Le nouveau Novés quoi.

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Purée, je n'arrive pas à imaginer O'Gara spécialiste de la défense, c'est comme si Bastareaud devenait coach des buteurs ou Dominguez entraineur des piliers.

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il y a 3 minutes, strangler a dit :

Purée, je n'arrive pas à imaginer O'Gara spécialiste de la défense, c'est comme si Bastareaud devenait coach des buteurs ou Dominguez entraineur des piliers.

Papé est bien responsable d'un centre de formation.

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Invité chomelaregle

BRUNEL GALTHIE Contact établi

Le sélectionneur des Bleus et l’ancien demi de mêlée international ont enfin discuté d’une éventuelle collaboration à la tête des Bleus.

C’est un feuilleton qui ne devrait plus durer très longtemps, mais qui est devenu bien concret. Jacques Brunel et Fabien Galthié se sont enfin parlé et pas pour revenir sur l’époque bénie où le quinze de France était brièvement monté au sommet de la hiérarchie mondiale, en 2002. Le premier était alors l’adjoint de Bernard Laporte, géniteur de la stratégie des blocs, le second capitaine et demi de mêlée de l’équipe qui réalisa un Grand Chelem spectaculaire cette même année. Cette fois, selon nos informations, les deux techniciens se sont bien entretenus, la semaine passée, pour parler de l’avenir immédiat de la sélection nationale, de ses difficultés toujours plus grandes révélées par un Tournoi 2019 sans doute parmi les plus mauvais des dix dernières années.

Au départ, le patron des Bleus semblait pourtant opposé à l’arrivée d’un sixième voire septième entraîneur au sein de l’encadrement tricolore. Il avait d’ailleurs affirmé à son staff, lors du débriefing de retour sur le Six Nations, à Toulouse, que personne ne viendrait les renforcer sur l’air du « on vit ensemble, on meurt ensemble ».

Brunel en difficulté durant le Tournoi

Il faut croire que les nuits blanches à ressasser ses quatorze mois à la tête des Bleus lui ont fait réviser son premier postulat au point qu’il contacte Galthié – il a également directement discuté avec Ronan O’Gara, en charge de la défense des Crusaders dans le Super Rugby, mais celui-ci a annoncé le week-end dernier qu’il ne rejoindrait pas le staff tricolore. À moins que son président ait fini par le convaincre. En effet, au sortir du poussif succès sur l’Italie (14-25), à Rome, Bernard Laporte avait sondé certains joueurs à propos de l’ancien manager du RCT. À la suite de quoi, il affirmait remettre entre les mains de Brunel la décision de s’attacher les services d’un nouvel adjoint. Toutefois, le simple fait que le président de la FFR ait consulté son entourage à ce sujet laissait planer peu de doute quant à sa propre conviction.

Il faut dire que le Tournoi écoulé a donné l’image d’un Brunel en difficulté, un peu plus isolé et décontenancé au fur et à mesure que l’épreuve avançait. Outre les difficultés rencontrées dans le jeu, lesquelles donnaient le sentiment que les joueurs n’adhéraient pas au projet global, il y a eu sa colère irréelle contre les fuites sur ses compositions d’équipe avant le premier match contre Galles, la difficulté à justifier certains choix, les changements de pied qui l’ont par exemple amené à titulariser Bastareaud après l’avoir écarté pour Ntamack ou à relancer la paire Bastareaud-Fofana après avoir dit qu’elle n’avait jamais été probante, le refus de dire que l’éviction de la charnière Parra-Lopez après la débâcle de Twickenham (44-8) et leurs sorties saignantes en conférence de presse était bien une sanction…

Galthié viendra-t-il sans mener un audit sérieux de la situation ?

Voilà donc le sélectionneur à l’heure de demander de l’aide à celui que l’on présente aussi comme son ami. Les deux hommes se connaissent depuis plus de trente ans et les années columérines (1995-1999) et Fabien Galthié était d’ailleurs l’un de ses premiers choix comme adjoint au moment de succéder à Guy Novès en janvier 2018. Reste à lire l’insondable : l’état d’esprit de l’ancien demi de mêlée tricolore (64 sélections). Ce dernier a toujours rêvé d’entraîner l’équipe de France, mais voilà qu’on lui offre un rôle bâtard entre adjoint, numéro 1 bis et pompier de service.

Une éventuelle arrivée ne signifierait pas un départ parmi les autres coaches. En revanche, il est peu probable que Galthié arrive sans un sérieux audit de la situation, et sans une certaine marge de manœuvre sur le jeu, les hommes et la préparation physique. Comme il le répète à longueur de chroniques dans nos colonnes, les Français accusent un retard important sur leurs adversaires dans ce dernier secteur. L’origine, selon lui, des nombreux maux tricolores sur le terrain. On l’imagine donc mal se lancer dans l’aventure sans réformer ou au minimum mettre son grain de sel dans la préparation estivale des internationaux. De quoi ajouter de l’urgence aux tractations en cours.

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Invité chomelaregle

Avec les Bleus, dix ans d’occasions manquées

ROMAIN BERGOGNE

3 min

Depuis sa retraite internationale en 2003, l’ancien demi de mêlée ne s’est jamais vraiment éloigné des Bleus. Ici en 2009, lors d’un test contre la Nouvelle-Zélande, en discussion avec le sélectionneur Marc Lièvremont.
Depuis sa retraite internationale en 2003, l’ancien demi de mêlée ne s’est jamais vraiment éloigné des Bleus. Ici en 2009, lors d’un test contre la Nouvelle-Zélande, en discussion avec le sélectionneur Marc Lièvremont.
Didier Fèvre/ LÉquipe

Souvent pressenti et cité parmi les favoris pour le poste de sélectionneur, Fabien Galthié a été plusieurs fois recalé.

Lui-même a fini par en sourire.« Je suis l’Arlésienne », dit-il, le nom que l’on ressort à chaque fois que le poste de sélectionneur de l’équipe de France – ou, en l’occurrence, de super consultant – s’apprête à devenir disponible. Depuis que l’ancien demi de mêlée a arrêté sa carrière de joueur (2003) et débuté celle d’entraîneur (2004), son nom a régulièrement circulé.

2007  la surprise Lièvremont

Après huit ans de mandat de Bernard Laporte, Fabien Galthié fait partie de ses potentiels successeurs à l’issue de la Coupe du monde 2007. Entraîneur du Stade Français, champion de France cette année-là, il rencontre Bernard Lapasset, alors président de la FFR, qui a également vu Guy Novès et Philippe Saint-André. Les tractations et les rumeurs vont bon train, mais c’est finalement Marc Lièvremont qui est intronisé fin octobre, quelques jours après la défaite face aux Argentins lors du match pour la troisième place (10-34). « Ce ne sera pas moi, je ne corresponds pas aux souhaits de la présidence », explique en amont Galthié lors d’une conférence de presse avec son club.

2011  troisième sur la liste

Rebelote quatre ans plus tard, quand il faut penser à la succession de Marc Lièvremont. Sauf que cette fois Pierre Camou, le président de la FFR, veut que la nomination soit rendue officielle avant la Coupe du monde en Nouvelle-Zélande pour ne pas déconcentrer les Bleus avec cette question pendant la compétition. Le dirigeant dresse une liste avec ses préférences : 1. Guy Novès, entraîneur de Toulouse ; 2. Philippe Saint-André (Toulon) ; 3. Fabien Galthié (Montpellier). Le premier décline, le second accepte et est officiellement nommé le 22 août. Fabien Galthié n’a aucune nouvelle.

Aurait-il accepté le poste si tel avait été le cas ? « Je ne pense pas.

Pas comme ça. Pas cette saison, assure-t-il dans nos colonnes. Je n’aurais pas dit non, pas un non brutal, mais ça m’aurait été très difficile de dire oui. Aujourd’hui, ç’aurait été un très mauvais timing pour moi, vis-à-vis de Montpellier. Il y a un nouveau propriétaire au club (Mohed Altrad) et il m’a demandé de m’engager à ses côtés pendant trois ans. Le lâcher m’aurait mis très mal à l’aise. »

2015  reçu pour rien

Quatre ans plus tard, nouvelle succession ouverte et nouveau processus lancé par la FFR : dès le 10 avril, un appel d’offres est lancé pour que les candidats se dévoilent directement auprès de leur potentiel futur employeur. Fabien Galthié, qui est cette fois libre, pose sa candidature, tout comme Raphaël Ibañez, Fabrice Landreau, Guy Novès, Clive Woodward et d’autres. Leurs dossiers sont retenus et ils passent un entretien formel à Marcoussis devant une sorte de comité des sages (Pierre Camou, président de la FFR, Serge Blanco, vice-président, Jean Dunyach, responsable du haut niveau, Jean-Claude Skrela, manager de France 7, Jo Maso, chargé de la communication, Jean-Pierre Lux et Didier Retière, le DTN). Sans trop de suspense, Guy Novès est nommé fin mai. « Pour avoir la possibilité d’entraîner l’équipe de France, il faut avoir un certain nombre de cases validées et je n’ai pas toutes les cases validées. À mon grand regret, mais ce n’est pas grave », réagit Galthié quelques semaines plus tard dans nos colonnes.

Fin 2017-début 2019 enfin la bonne ?

Une fois n’est pas coutume, c’est deux ans après la Coupe du monde et deux ans avant la suivante que le nom de Fabien Galthié réapparaît. Pas forcément pour être numéro 1. Bernard Laporte, le président de la FFR, vire à Noël 2017 Guy Novès et le remplace par Jacques Brunel. Surgit l’idée d’un staff renforcé, même ponctuellement, par des techniciens du Top 14. Galthié, alors en poste à Toulon, est contacté. Il est très proche de Brunel, qu’il a eu comme entraîneur à Colomiers (1995-1999). Mais il décline la proposition de son ancien coach pour se focaliser sur le RCT. Puis, alors que les mauvais résultats s’accumulent durant le mandat de Jacques Brunel, son nom revient après la déroute en Angleterre (8-44) – sans qu’aucun contact n’ait été établi – puis encore après le dernier match en Italie. Les choses ont changé et l’arrivée de Fabien Galthié pourrait se concrétiser.

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Il y a 15 heures, GuyNess a dit :

OGara il est quand même entraîneur de La Défense des Crusaders qui se balade en super rugby, avec possibilité d'intégrer le staff des blacks après la CM

 

Oui enfin bon, ça se baladait avant lui aussi chez les Crusaders

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Alors vraiment, ce truc de O'Gara entraîneur de la défense m'a vraiment turlupiné le turlusiphon.

Ainsi, en cherchant un peu, ROG est autant entraîneur de la défense des Crusaders que je suis professeur de mathématiques (spéciale dédicace à un Capitoul)

 

L'entraîneur de la défense est Andrew Goodman. ROG s'occupe des arrières, et quand il en parle, il égratigne d'ailleurs un peu le modèle d'entrainement à la française... Enfin, depuis Laporte. Les joueurs étaient beaucoup plus responsabilisés avant les années 2000.

 

Bref, il a surtout été en défense au Racing. 

Modifié par strangler
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des nouvelles de Kevin Gourdon

 

Je travaille pour revenir au niveau qui était le mien. C’est difficile, mais je m’accroche»

Kévin Gourdon

«J’ai eu un peu de lassitude. J’ai commencé le rugby à 4 ans. Cela fait longtemps que je suis là, j’ai énormément joué, confesse le joueur de 29 ans. A un moment, tu enchaînes, la tête dans le guidon. Je pense avoir eu un ras-le-bol du rugby et ça s’est ressenti sur le terrain.» A tel point qu’il comprend sa progressive mise à l’écart. Tout en précisant avoir entendu «des explications plus ou moins fondées» pour la justifier. Référence aux accusations de dilettantisme proférées par certains. Il confie en revanche avoir été moins motivé, moins déterminé. «Sur le terrain, j’avais l’air un peu perdu, de ne pas savoir bien jouer alors que c’est plutôt une de mes qualités. Il faut retrouver la motivation, l’envie d’être performant. Je travaille encore beaucoup pour revenir au niveau qui pouvait être le mien. C’est difficile, mais je m’accroche.»

Avec l’espoir de redevenir le Kévin Gourdon de 2016-2017 qui mettait tout le monde d’accord. Un niveau que, de son propre aveu, il tarde à retrouver. «Il y a eu du mieux contre le Stade Toulousain (il y a dix jours, ndlr), mais ce n’est pas encore ce que je voudrais. C’est frustrant car je travaille énormément, comme rarement dans ma carrière…» Au point d’avoir envie de dire stop, de prendre un congé sabbatique ? L’idée ne lui paraît pas pertinente. «Je me connais. Si je le faisais, je ne reviendrais jamais», avoue Gourdon dans les colonnes de Sud-Ouest.

Il prépare sa reconversion en suivant une formation en maçonnerie

Car le rugby ne lui manquera pas. Sitôt les crampons raccrochés, il lui dira d'ailleurs un adieu définitif. «Je ne serai pas entraîneur, vous ne me verrez plus. Ce sera merci et au revoir», assure Kévin Gourdon qui, parallèlement à sa carrière de joueur, suit une formation en maçonnerie (un CAP). Afin de préparer sa reconversion loin de ce ballon ovale qui lui cause désormais tant de tourments.

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Il y a 8 heures, strangler a dit :

Alors vraiment, ce truc de O'Gara entraîneur de la défense m'a vraiment turlupiné le turlusiphon.

Ainsi, en cherchant un peu, ROG est autant entraîneur de la défense des Crusaders que je suis professeur de mathématiques (spéciale dédicace à un Capitoul)

 

L'entraîneur de la défense est Andrew Goodman. ROG s'occupe des arrières, et quand il en parle, il égratigne d'ailleurs un peu le modèle d'entrainement à la française... Enfin, depuis Laporte. Les joueurs étaient beaucoup plus responsabilisés avant les années 2000.

 

Bref, il a surtout été en défense au Racing. 

 

Tu as les liens des infos que tu donnes, notamment où il égratigne le rugby francais?

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Il y a 7 heures, RMP a dit :

 

Tu as les liens des infos que tu donnes, notamment où il égratigne le rugby francais?

J'ai pas le temps de les donner là. ..

Mais en gros, sur ce qu'il fait, c'est sur le site officiel des crusaders en caché  (je l'ai chopé via google avec les mots clés o'gara defence coach ).

Pour la petite critique, c'est via un site irlandais de presse avec les mêmes mots clés. 

Si j'ai le temps je repasserai.

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Invité chomelaregle

Les amateurs pas convaincus

ROMAIN BERGOGNE

4 min

Le président de la Fédération, Bernard Laporte au palais des congrès de Perpignan lors de l’assemblée générale de la FFR en juin 2018.
Le président de la Fédération, Bernard Laporte au palais des congrès de Perpignan lors de l’assemblée générale de la FFR en juin 2018.
Thomas Sylvain/ LÉquipe

La FFR lance ce matin un référendum pour savoir si les clubs seraient favorables à la nomination d’un sélectionneur étranger. L’occasion pour le monde amateur d’envoyer un message à Bernard Laporte ?

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«Seriez-vous d’accord avec la nomination d’un sélectionneur étranger à la tête du quinze de France masculin ? »C’est la question posée en bas d’un mail envoyé par Bernard Laporte le 29 mars dernier aux quelque 1 800 clubs amateurs du pays. Comme expliqué un peu plus haut dans la missive, chacun a une voix et devra s’exprimer par voie électronique entre ce matin 8 heures et jeudi 20 heures, pour des résultats publiés vendredi. « Je m’engage bien évidemment à suivre le résultat de ce référendum », avait écrit le président de la FFR. Un an et quelques mois avant les élections fédérales, on l’imagine mal aller contre le sens du vent. On devrait donc en savoir beaucoup plus sur le profil du futur sélectionneur dès la fin de la semaine.

Qu’en pensent les présidents de club, ceux-là mêmes qui porteront dans la grande majorité des cas la voix de leur club ? Si l’on en croit nos coups de fil passés de Roubaix à Ajaccio, nombreux sont ceux qui flairent d’abord le coup politique, sans être dupes. « C’est peut-être une façon pour Bernard Laporte de légitimer ses choix, estime Henri-Guillaume Gueydan, le président de Bourgoin. Il a plutôt l’habitude de prendre ses décisions tout seul ou avec sa garde rapprochée mais, sur ce sujet-là, il veut la caution du monde amateur. »

“Étranger ou non, je m’en moque, tant qu’il est compétent"

Si le “oui” l’emporte, le patron de la FFR aurait carte blanche. Encore faudrait-il convaincre un Warren Gatland, un Eddie Jones ou un Clive Woodward, pour citer les noms qui circulent avec le plus d’insistance. Mais si c’est le “non” qui est devant, le président de la FFR devrait prospecter en France pour, comme il l’a annoncé fin mars, que le successeur de Brunel soit en place dès la fin de la Coupe du monde. Pas évident, vu que de très nombreux candidats potentiels seront à la tête d’un club cet été.

L’échantillon que nous avons consulté donne d’ailleurs une tendance en faveur du “non”. « On a largement ce qu’il faut comme entraîneurs en France » est l’argument qui nous est le plus souvent revenu aux oreilles. Mola, Mignoni, Azéma, Urios, les deux Laurent (Travers et Labit) et Collazo sont cités, tout comme Fabien Galthié, libre, et… Guy Novès, dont certains pointent le licenciement fin 2017 comme « une énorme erreur ».

« Une nouvelle génération arrive, entraîneurs et joueurs confondus, il faut lui faire confiance, estime Benoit Trey, président de Blagnac, en Fédérale 1, qui va évoquer le sujet en comité directeur demain soir et devrait entériner un vote négatif. On a fait rentrer dans la tête de nos joueurs qu’un étranger était plus fort que lui, on nous répète que les bonnes pratiques se font ailleurs. Je pense, au contraire, qu’on a des talents extraordinaires dans notre pays.»

À Bourgoin, Henri-Guillaume Gueydan, qui se reconnaît volontiers un « côté franchouillard », votera également “non”. « Dans un club, pourquoi pas, mais en sélection, ça ne me plaît pas car on représente la France. » « Je fais partie des présidents de clubs qui s’insurgent contre le nombre de joueurs étrangers qu’on a dans nos clubs, ajoute Olivier Bonné, président de Nîmes (Fédérale 1). Donc je ne comprendrais pas pourquoi on mettrait un étranger à la tête de l’équipe de France.»

Moins nombreux dans notre échantillon de présidents, les partisans du “oui” évoquent un électrochoc nécessaire pour faire « bouger les mentalités et sortir certains (joueurs et dirigeants) de leur confort » dans un rugby français « à la traîne ». Présidents respectifs de Rouen (F1) et Plouzané (F3), Jean-Louis Louvel (voir par ailleurs) et Gwenaël Le Meur ont franchi le pas dans leur club en confiant leur équipe fanion à des Anglais, Richard Hill (depuis 2013) et Steven Sparks (depuis 2011). Pour eux, ce sera un “oui” sans hésitation.

“Des référendums o.k., mais il y en aurait d’autres à faire sur des réformes à mener pour sauver le rugby amateur"

DAVID DARCQUIER, PRÉSIDENT DE MÉRIGNAC

Et il y a des indécis, perplexes face à cette question fermée, alors qu’ils n’ont aucun tenant ni aboutissant sur un tel sujet. « Étranger ou non, je m’en moque, tant qu’il est compétent », a-t-on entendu depuis Roubaix, Saint-Nazaire ou Drancy.

Certains s’estiment mêmes incompétents sur le dossier (« que Bernard Laporte prenne ses responsabilités »), d’autant qu’il n’est pas leur priorité du quotidien. « J’ai d’abord un club à faire vivre », nous a-t-on répété. Un bon moyen de souligner les galères du monde amateur, qui subit la baisse du nombre de licenciés et de bénévoles, «des frais de plus en plus lourds, des aides de plus en plus basses »… « Des référendums O.K., mais il y en aurait d’autres à faire sur des réformes à mener pour sauver le rugby amateur », estime David Darcquier, président de Mérignac (voir par ailleurs). Pour ces présidents, qui se disent déçus par Bernard Laporte, qui avait fait du monde amateur le thème principal de sa campagne il y a trois ans, le “non” peut venir sanctionner sa politique. L’histoire l’a montré, ce sont les risques d’un tel mode de scrutin. É

 
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Tu rajoutes « si Bernard Laporte quitte ses fonctions » en fin de question et ça inverse le résultat.

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Le "non" à un possible sélectionneur étranger l'emporte à 59% (mais seulement 51% de participants).

Bernie s'engage à respecter ce choix. Maintenant, faites vos jeux : Les Lolos, Azéma, Mignoni ou Gatland ?

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Invité chomelaregle
il y a 26 minutes, fifo a dit :

Le "non" à un possible sélectionneur étranger l'emporte à 59% (mais seulement 51% de participants).

Bernie s'engage à respecter ce choix. Maintenant, faites vos jeux : Les Lolos, Azéma, Mignoni ou Gatland ?

 

Galthié ? 

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il y a 34 minutes, fifo a dit :

Le "non" à un possible sélectionneur étranger l'emporte à 59% (mais seulement 51% de participants).

Bernie s'engage à respecter ce choix. Maintenant, faites vos jeux : Les Lolos, Azéma, Mignoni ou Gatland ?

 

Et on connait tous la valeur de sa parole ... :chuis:

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il y a 5 minutes, gronounours a dit :

 

Et on connait tous la valeur de sa parole ... :chuis:

 

On connait aussi son courage au moment de faire un choix qui pourrait avoir une influence sur sa réélection... :mellow2:

 

 

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Il y a 2 heures, chomelaregle a dit :

Galthié ? 

 

En tout cas, ça va être plus facile de le convaincre de renforcer le staff en vue de la prochaine coupe du monde puisqu'il a maintenant la latitude de négocier aussi pour l'après.....

Modifié par RIP
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1 minute ago, tropézien said:

 

En fait, Novès ne s'entend avec personne ?

 

Avec son banquier depuis lundi dernier.

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Il y a 5 heures, tropézien a dit :

 

Ca dépend, il s'entend bien avec Novès ?

 

Adishatz tropezien,

 

L'arrogance et le mépris de celui qui, à l'époque, gagnait titres sur titres aux commandes du plus bel effectif du Top14 ... résumés en 48 secondes

 

 

Je vous laisse cher ami, mon chat il a  faim

 

Pierre V

 

Modifié par Vil & Preux
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il y a 24 minutes, Vil & Preux a dit :

 

Adishatz tropezien,

 

L'arrogance et le mépris de celui qui, à l'époque, gagnait titres sur titres aux commandes du plus plus effectif du Top14 ... résumés en 48 secondes

 

 

Je vous laisse cher ami, mon chat il a  faim

 

Pierre V

 

 

Et? 

 

Tu n’as pas les coulisses de cette declaration, je pense vu ce dont on a pu voir de galthie il a pas forcément tort le noves.

 

je respecte ceux qui disent  ce qu’ils pensent en face bien plus que ceux qui masque leurs intentions malsaines derriere des sourires hypocrites donc pour le coup Noves est en phase avec mes valeurs 

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grand schtroumpf 83
il y a 30 minutes, Ju69 a dit :

 

Et? 

 

Tu n’as pas les coulisses de cette declaration, je pense vu ce dont on a pu voir de galthie il a pas forcément tort le noves.

 

je respecte ceux qui disent  ce qu’ils pensent en face bien plus que ceux qui masque leurs intentions malsaines derriere des sourires hypocrites donc pour le coup Noves est en phase avec mes valeurs 

Vous êtes quand même des sacrés faux culs les toulousains. Quand Novès est au summum de l'arrogance et du mépris (là, j'avoue que c'est collector, on me l'aurait raconté, je l'aurais pas cru) c'est une qualité respectable parce qu'il n'est pas hypocrite mais quand c'est Jauzion qui ose dire du bien de Bastareaud (infamie absolue, inadmissible sur ce forum) et bien forcément, il ment parce que c'est un brave gars et du coup, on doit le respecter pour ça...

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il y a 2 minutes, grand schtroumpf 83 a dit :

Vous êtes quand même des sacrés faux culs les toulousains. Quand Novès est au summum de l'arrogance et du mépris (là, j'avoue que c'est collector, on me l'aurait raconté, je l'aurais pas cru) c'est une qualité respectable parce qu'il n'est pas hypocrite mais quand c'est Jauzion qui ose dire du bien de Bastareaud (infamie absolue, inadmissible sur ce forum) et bien forcément, il ment parce que c'est un brave gars et du coup, on doit le respecter pour ça...

Si on part du principe que :

- tous les forumeurs sont en fait une même personne

- n'importe quel toulousain parle au nom de tous les toulousains

- il existe un (et un seul) avis officiel des Toulousains

- dire du mal est comparable à dire du bien

- Jauzion n'a tissé que des louanges à Bastareaud dans son interview

 

alors, je suis d'accord avec toi.

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grand schtroumpf 83
à l’instant, Gabi a dit :

Si on part du principe que :

- tous les forumeurs sont en fait une même personne

- n'importe quel toulousain parle au nom de tous les toulousains

- il existe un (et un seul) avis officiel des Toulousains

- dire du mal est comparable à dire du bien

- Jauzion n'a tissé que des louanges à Bastareaud dans son interview

 

alors, je suis d'accord avec toi.

bon, c'est vrai, je généralise à tous les toulousains alors que c'est juste ceux du forum.

J'aimerai quand même avoir la liste de ceux qui ici condamnent (même mollement) les propos hallucinants de Novès sur Galthié

Tant qu'on y est,  je veux bien aussi la liste de ceux qui pensent que Jauzion a le droit de dire que Bastareaud a sa place en équipe de France.

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il y a 3 minutes, grand schtroumpf 83 a dit :

J'aimerai quand même avoir la liste de ceux qui ici condamnent (même mollement) les propos hallucinants de Novès sur Galthié

On le fera que lorsque tu condamneras l'intégralité des 324.591 saloperies dites ou faites par Bernie depuis 20 ans !! :P

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il y a 6 minutes, grand schtroumpf 83 a dit :

bon, c'est vrai, je généralise à tous les toulousains alors que c'est juste ceux du forum.

J'aimerai quand même avoir la liste de ceux qui ici condamnent (même mollement) les propos hallucinants de Novès sur Galthié

Tant qu'on y est,  je veux bien aussi la liste de ceux qui pensent que Jauzion a le droit de dire que Bastareaud a sa place en équipe de France.

 

Adishatz ami du 83

 

?‍♂️ (pour les 2 listes)

 

Avec maman et le chat, nous sommes 3 (vieux) toulousains

 

Je vous laisse cher ami, mon chat il a faim

 

Pierre V

Modifié par Vil & Preux
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Il y a 3 heures, Ju69 a dit :

 

Et? 

 

Rien de bien nouveau. Ça transpire suffisamment l'arrogance pour ne pas en rajouter.

C'est en phase avec vos valeurs, pas avec les miennes.

 

Je vous laisse cher Ju69, mon chat il a faim.

 

Pierre V

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grand schtroumpf 83
à l’instant, Gabi a dit :

On le fera que lorsque tu condamneras l'intégralité des 324.591 saloperies dites ou faites par Bernie depuis 20 ans !! :P

commence à lister les saloperies, je te dirai ce que je valide ou pas. On n'a pas forcément la même notion du terme.

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Invité chomelaregle
Il y a 6 heures, grand schtroumpf 83 a dit :

commence à lister les saloperies, je te dirai ce que je valide ou pas. On n'a pas forcément la même notion du terme.

 

Non merci, 

Je pense que personne ici n'a envie de voir Gabi tartiner un pavé, avec paragraphes, sous paragraphes, etc... :P

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le zèbre aux courges

On a trouvé la vidéo qui aurait pu justifier le licenciement de Noves (peut être plus incapacité professionnelle que grave). Il admet que lui il est nul mais qu'il a toujours bien su s'entourer d'adjoints compétents. Et donc il n'a pas su le faire en EDF. 

  • Haha 1
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Il y a 6 heures, grand schtroumpf 83 a dit :

commence à lister les saloperies, je te dirai ce que je valide ou pas. On n'a pas forcément la même notion du terme.

Voilà,  c'est exactement là où je voulais en venir.

La moralité (et les éventuelles condamnations qui en découlent) est quelquechose de trop subjective et personnelle pour être généralisable. 

 

 

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