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Le topic des "je sais tout, je suis été à l'école"


Manpat

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à l’instant, tire-bouchon a dit :

Pas mal d' enseignants ont fait leurs carrières sur mon dos !

 

T'inquiète. J'ai bien chargé moi aussi, surtout à l'école élémentaire.

C'est par pur esprit de vengeance que j'ai choisi ce métier.

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1 hour ago, tire-bouchon said:

Pas mal d' enseignants ont fait leurs carrières sur mon dos !

 

 

Si les douleurs persistent saches que des solutions existent, n'hésite pas à me contacter en MP.

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Il y a 3 heures, diogene a dit :

 

800px-General_Winter.jpg

 

 

 

Ça tombe bien. L'Éducation Nationale, j'y ai passé de 5 ans (1960) à 58 ans (2012). Et je me rappelle très bien de la ligne de morale quotidienne écrite au tableau et qu'il fallait recopier. Un vrai catéchisme (quelques exemples ici : http://www.le-temps-des-instituteurs.fr/ens-morale.html)

 

Instruction ou éducation ?

 

J'ai passé ensuite toute ma carrière à faire certainement beaucoup plus d'éducation que d'instruction. Faut dire que mes élèves n'avaient ni l'un ni l'autre à la maison.

 

Donc tu valides le fait que les professeurs pallient les carences parentales en terme d'éducation.

 

Chose qui ne devrait absolument pas être le cas, et visiblement selon les retours des professeurs, c'est de plus en plus le cas.

 

Le travail des professeurs c'est d'instruire, d'apprendre aux élèves, c'est de les éveiller aux gouts d'apprendre, de développer leur curiosité.

ça fait un peu profession de foi ce que j'écris :biggrin:

Mais le respect d'autrui, la politesse etc ... c'est le boulot des parents.

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il y a une heure, Colza Nostra a dit :

 

Si les douleurs persistent saches que des solutions existent, n'hésite pas à me contacter en MP.

Tu as mal au dos ???

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Il y a 10 heures, Tlsefred31 a dit :

 

Donc tu valides le fait que les professeurs pallient les carences parentales en terme d'éducation.

 

Chose qui ne devrait absolument pas être le cas, et visiblement selon les retours des professeurs, c'est de plus en plus le cas.

 

Le travail des professeurs c'est d'instruire, d'apprendre aux élèves, c'est de les éveiller aux gouts d'apprendre, de développer leur curiosité.

ça fait un peu profession de foi ce que j'écris :biggrin:

Mais le respect d'autrui, la politesse etc ... c'est le boulot des parents.

 

La création de l'école publique, laïque et obligatoire répondait à plusieurs impératifs :

- Lutter contre l'influence de l'Église en lui ôtant son emprise sur la jeunesse, ce qui sera parachevé par la loi sur les congrégations de 1905. Pour cela, il fallait lui couper l'herbe sous les pieds en embrigadant les enfants dans une structure globale, omniprésente et cohérente, et en leur  inculquant une morale "républicaine", parfaitement calquée sur sa rivale religieuse, et encore plus rigoureuse si possible.

- Le "défaitisme" ayant été diagnostiqué comme le grand responsable de la déroute de 70, il fallait bourrer le crâne des jeunes avec un sentiment patriotique exacerbé et un esprit de revanche, une génération toute dévouée à la haine du Boche et gavée à l'Alsace-Lorraine. D'où un enseignement d'une "Histoire" dévoyée à la limite du ridicule, émaillée d'événements caricaturaux censés façonner l'image d'une France une et "éternelle" qui s'étendrait des Gaulois jusqu'à la 3e République (Alésia, Poitiers, Clovis, Bouvines, Marignan, etc.), par exemple glorifier Charlemagne et les Francs en glissant sous le tapis qu'ils étaient Germains.

Il s'agissait aussi de faire du Français la langue unique du territoire en extirpant à la serpe les patois et autres idiomes régionaux.

- Donner à chaque enfant une base de connaissances communes,  lecture, écriture et calcul, qui puisse leur permettre de s'insérer dans une société de plus en plus "mécanisée", où l'ignorance crasse des prolétaires ne pouvait plus être compensée par le nombre.

 

Tu voudrais séparer une partie "éducative" attribuée aux parents d'une "instruction", du domaine de l'enseignant. Malheureusement, ça ne tient pas. Ça n'a jamais été le cas, et cela ne l'est toujours pas. Qu'on l'appelle "Instruction publique" ou "Éducation nationale", le but de l'école n'a jamais été de fournir une somme de savoirs, dépouillés de leur carcasse idéologique (à supposer que ça puisse exister), à un enfant idéalement déjà citoyen. Pure utopie.

 

Les "savoirs" viennent autant, sinon plus, de la sphère familiale et sociale que de l'institution scolaire. D'autant plus qu'aujourd'hui Internet a fait exploser la transmission verticale des connaissances. L'apport "instructif" de l'école, pour être bénéfique, suppose une acceptation commune de son rôle, au sein de la famille, du quartier, de la société tout entière.

Mais l'enseignant qui demande le port du masque en début de cours est décrit comme un suppôt de Big Pharma par le père antivax. Mal barré pour enseigner Pythagore. Imaginons qu'il parle ensuite de l'Univers sans mentionner son origine divine ! Comment obéir à un prof qui se fait convoquer dans le bureau du Principal à chaque mauvaise note attribuée au fils prodige de l'avocat ou du chirurgien ? 

Pour que ça fonctionne, il faudrait une interaction continue et une acceptation commune.

Mais je crains bien que ça ne se décrète pas.

 

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Il est sûr que l' enseignant a intérêt à être sûr de son coup.

Internet n' est pas fait pour les chiens.

c' est quand même une petite différence avec mon époque.

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(Où on apprend qu'il est auvergnat...):P

 

Chapitre 17 : Carapace bleue

Le mois de mai s’écoule paisiblement, ponctué de ses nombreux jours fériés qui semblent inviter les élèves à rentrer chez eux pour ne plus jamais revenir. Une clameur qu’ils interceptent volontiers au vu des rangs clairsemés qui constellent désormais mes salles de classe. Les effectifs de la 2nde 8 ont presque diminué de moitié !

Encore aujourd’hui, je suis toujours un peu triste de ne pas pouvoir profiter de la fin de l’année scolaire avec l’ensemble de mes élèves. J’ai le souvenir d’ambiances estivales décalées auprès de mes professeurs arborant une stature moins austère et plus propice à la connivence. Mais d’année en année, l’industrie du tourisme aidant, il n’est pas rare de terminer laborieusement le parcours avec une minuscule poignée d'irréductibles, ceux-là même qui répondraient présents quand le collège serait frappé d’une météorite ou balayé par un cyclone.

Il y a forcément une petite pointe d’amertume qui serre la gorge dans ces adieux au compte-gouttes à des années-lumière de la solennité que l’on aurait aimé partager.

Malgré tout, Redouane, Diego, et beaucoup d’autres ont quitté ma salle avec quelques mots qui, de leur bouche, revêtent une valeur considérable :

« Vous êtes le meilleur prof M’sieur. »

Ces quelques mots, on les a déjà tous entendus. Parce qu’à l’échelle de nos élèves, celle d’un monde qui n’a été exploré que très partiellement, les dimensions sont bien différentes des nôtres, et que même s’ils nous proclament roi d’un univers encore bien étriqué, il n’en reste pas moins que dans ce royaume, nous avons pris, l’espace d’une année, une place capitale à leurs yeux. Mais venant des 2nde 8, c’est différent. Parce qu’ils n’avaient bâti aucun royaume qu’un quelconque enseignant puisse fouler du pied sans en subir les tempêtes. Que ce respect mutuel s’est établi non pas sous le joug d’une admiration systématique, de celles que l’on doit gratuitement à ceux qui nous toisent ; mais par une découverte fracassante de deux camps qui se sont évalués avant de se considérer pleinement. Leurs mots sont simples, sobres, mais ont la droiture et la tempérance du salut militaire.

Je ne reverrai jamais les 2nde 8, ni ne saurai ce qu’ils sont devenus. Je crois que je préfère ne pas le savoir. Leur souvenir reste ancré en moi, profondément, comme un théâtre de marionnettes qui s’anime au gré du futur que j’ai souhaité leur tracer.

Pour ce qui est des STMG, j’ai la chance que les plus infernaux ne daignent pas assister aux dernières séances de révision. Seules quelques filles discrètes peuvent ENFIN laisser libre cours à leurs capacités et envisager les futures épreuves avec un sérieux exemplaire. Et je dois dire que je les redécouvre. Peut-être un peu tard, tant la toxicité des séances passées avec cette classe m’avait aveuglé, comme autant de poignées de sable brûlant jetées au visage. Et, réalité complètement folle voire inenvisageable de mon point de vue : elles ont beaucoup appris, cette année. Ça alors. Elles ont retenu absolument tout ce que j’ai tenté de leur transmettre. Les élèves ont cette capacité de garder l’esprit rivé sur le son de votre voix, quand bien même un ouragan de comportements tempétueux vient troubler la quiétude de leur voyage. Incroyable ! Je n’ai donc pas été si inutile…

Quant aux 2nde 4, ils sont présents jusqu’au bout ! Bon, tous ne sont pas là de gaieté de cœur et l’on pressent l’influence parentale dans cette obligation d’assiduité totale. Mais cela me permet d’aller assez loin dans l’analyse des dernières œuvres, et de jeter un œil discret sur les exigences de la classe de 1ère. Mais, un soir de l’avant-dernière semaine, j’intercepte une conversation qui attire mon attention :

« C’est Bowser, le meilleur personnage. Il va hyper vite, et il peut dégager tous les karts légers.

- Pas du tout. Il faut justement prendre Toad pour son accélération.

- Vous dites n’importe quoi. Le meilleur perso, c’est Donkey Kong. Il est très équilibré, juste un peu dur à manier au début mais une fois maîtrisé, il est imbattable. »

Les élèves m’observent, interdits :

« Vous jouez à Mario Kart, M’sieur ?

- Oui, bien sûr, j’ai fait tous les épisodes depuis la SNES.

- Je suis sûr que je vous bats !

- Alors là, c'est malheureusement impossible. Je ne veux pas vous décevoir mais je suis indétrônable à ce jeu. »

Je sens une pointe d’incrédulité dans leur regard. La semaine suivante, je débarque dans la salle 215 avec ma Nintendo Wii, quatre combos Wiimote et Nunchuk. Le tout branché au vidéo-projecteur.

« Alors, il paraît que je ne suis pas fort à Mario Kart ? Qui veut tenter le coup ? »

Très confiants et exagérément enthousiastes les 2nde 4 se bousculent pour me rosser… et se résignent après 10 minutes de jeu :

« C’est quoi ce délire ? Vous passez votre vie sur ce jeu ou quoi, M’sieur ?

- C’est abusé. Vous nous mettez des tours d’avance, on n’a aucune chance.

- Vas-y, on ne joue plus les uns contre les autres. On se ligue tous contre le prof. Si au moins l’un d’entre nous le bat, c'est gagné. »

Parfaitement sûr de ma maîtrise, j’accepte ces nouvelles règles, bien peu équitables (pour eux !)

Au fond, trois garçons boudent dans leur coin :

« Bah alors Nicolas, qu’est-ce que vous nous faites là ?

- PFFF ! Nous on joue pas à ça, c’est pour les bébés !

- D’accord, on vous laisse entre adultes alors ! »

Ils sont assez comiques, assis au fond de la classe à froncer les sourcils pour se donner une contenance. Parfois, je me retourne et je décris, singeant un documentaire animalier :

« Le Nicolatus Failatronchus est un petit herbivore de l’espèce des adulti responsabili. Lorsqu’il est confronté à une situation de stress, comme par exemple celle de se voir infliger une défaite cuisante par son professeur de français à un jeu pour bébés, il se terre avec sa meute dans son terrier afin de méditer sur le sens de la vie.

- M’sieur ça s’fait pas ! Pfff, je veux bien y jouer à votre jeu de bébé.

- Bah oui, surtout que toi, étant adulte, et nous, des bébés, tu vas nous rouler dessus ! »

Bien sûr, j'aligne les victoires avec plusieurs tours d’avance à chaque coupe.

« Mais c’est n’importe quoi ! Un prof, c'est pas censé être bon aux jeux vidéo. Moi j’abandonne !

- Hey mais M’sieur, vous avez aussi pris Smash Bros Brawl ! On peut y jouer ? Alban est super fort à ce jeu !

- Ouais, j’ai énormément joué à Smash Bros Melee sur Gamecube. Un peu moins à Brawl, mais je pense quand même pouvoir vous battre. M’sieur, on se fait un petit 1 contre 1 ? »

Et là, stupeur : je découvre qu’Alban est effectivement un dieu vivant à ce jeu de baston fantaisiste (mais extrêmement technique) qu’est Smash Bros Brawl. Pour les non initiés, le principe est simple : vous incarnez un personnage de Nintendo (Mario, Link, Pikachu, Samus, etc.) et vous devez faire sortir l’adversaire du stage, soit en l’envoyant valdinguer dans les airs, soit en le faisant tomber dans le vide. Plus l’on frappe son ennemi, plus sa jauge de dégâts augmente et le rend léger, et donc apte à être projeté.

Nous jouons en trois manches, et je me fais littéralement malmener. Je parviens difficilement à lui infliger des dégâts, si bien qu’au terme d’un duel fratricide opposant mon Pikachu à son Lucario, il nous reste à chacun une seule vie, mais ma jauge de dégâts frôle les 200% là où la sienne est vide ! Autant dire que s’il me touche, je suis cuit : il n’aura qu’à m’asséner une pichenette pour me faire voler dans les airs.

Fort heureusement, nous nous affrontons dans le stage des Colonnes Lances, un niveau inspiré de la thématique de l’espace et du temps dans la série de jeux Pokemon. Ce terrain a la particularité de jouer avec la gravité et de se retourner soudainement, sans crier gare, inversant de surcroît les commandes de jeu. Alban, qui est habitué à la physique et à la maniabilité du précédent opus, Smash Bros Melee (où ce stage n'apparaît pas) est confus face à la situation ! Il tombe purement et simplement dans le vide ! Je remporte, très injustement, la victoire.

Une clameur inonde l’espace de la salle, que j’alimente généreusement par ma propre euphorie :

« AAAAAAH je t’ai battu, Monsieur le dieu de Smash Bros !

- C’est dégueulasse ! Vous avez eu une chance de ouf, vous auriez dû perdre !

- Ouais, puis ça se fait pas ! Vous devriez être modeste dans la victoire !

- Oui, c’est vrai… je le reconnais… pardon Alban.. D’avoir été meilleur que toi et de t’avoir B.A. .U. »

Ça n’en a pas l’air, comme cela, mais cette dernière séance avec eux, à hurler et gesticuler devant un écran, à s’envoyer des carapaces dans la figure, à glisser sur des peaux de banane, est libératrice pour moi. C’est l’aboutissement d’une année entière passée à affronter les galères. Je crois que j’avais moi aussi besoin de cette débauche de couleurs, de musiques guillerettes et de rires enflammés d’adolescents pour réaliser combien j’étais à ma place dans ce petit monde.

Puis, c’est amusant, parce qu’en l’écrivant, je réalise qu’à chaque instant de ma vie, je dois affronter les pires horreurs, être plongé dans les difficultés les plus extrêmes jusqu’au moment où, accroché à la dernière branche surplombant le vide, je suis frappé d’un coup de chance qui me permet de retourner la situation. Mon dossier finalement retenu pour le Master en création éditoriale deux semaines après la date butoir ; le CAPES obtenu par miracle en ayant totalement raté la dissertation et en m’étant mis en difficulté face au jury ; les 2nde 8 qui lancent presque une vendetta à mon encontre avant de me suivre par le fruit d’un indicible hasard ; mon inspection calamiteuse qui se transforme en louange de dernière minute ; une arène Smash Bros qui se renverse inopinément et m’octroie la victoire face à un adversaire coriace et d’un niveau bien supérieur au mien. Peut-être que la chance, ce n’est pas simplement d’attendre que le bonheur nous tombe dessus, mais bien d’affronter tous les obstacles du monde, et de résister jusqu’à ce qu’un rayon de soleil ne vienne transpercer la pénombre.

Et, quand un courrier m’annonçant les résultats de ma future mutation fait une entrée fracassante dans ma boîte mail, ce soir-là, je ne puis que croire en ma bonne étoile. J’ai, après tout, vécu l’enfer. Peut-être le chemin des verdoyantes terres auvergnates me sera-t-il balisé de nouveau ? Je le mérite. Croisons les doigts !

Alors, retour en Auvergne, ou pas ?

 

 

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Il y a 1 heure, tire-bouchon a dit :

Il est sûr que l' enseignant a intérêt à être sûr de son coup.

Internet n' est pas fait pour les chiens.

c' est quand même une petite différence avec mon époque.

Alors oui, mais, il y a quand même quelques bémols et de taille…

Déjà quand tu vois certains élèves utiliser Internet, un moteur de recherches, faire un doc texte ou utiliser un tableur, tu rigoles. Elle est belle la génération Tik-Tok.

Ensuite, si Internet était la panacée, les Français, si critiques de l'École, n'auraient pas pleuré comme des veaux quand il y a eu le confinement et le télétravail. (J'entends encore certains parents chialer).

Enfin, acquérir des apprentissages, avoir le bon geste (je pense à mes élèves de LP), développer un esprit critique, s'aider, reformuler, tout seul face à la toile, ce n'est pas à la portée de tout le monde, adultes y compris.

 

Choper une date ou une info de base, oui ! pour le reste, quand il n'y aura plus de profs avec les progrès de l'IA (!) vous allez voir la génération 000 débouler.

Regardez les parents, vous verrez les enfants.

 

Lorsque je ne sais pas qq chose, je le dis (et souvent, j'encourage l'élève à chercher l'info : 8/10, ça s'arrête là :clin) et quand j'ai dit une erreur, je le reconnais, c'est la base du vivre ensemble. Personne n'est infaillible.

Modifié par manpat31
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Il y a 1 heure, manpat31 a dit :

Lorsque je ne sais pas qq chose, je le dis (et souvent, j'encourage l'élève à chercher l'info : 8/10, ça s'arrête là :clin) et quand j'ai dit une erreur, je le reconnais, c'est la base du vivre ensemble. Personne n'est infaillible.

Nos ancêtres les Gaulois ...

 

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il y a 18 minutes, diogene a dit :

 

La flip class ne sera plus une option.

 

Peut-être ...

 

Pour le bot IA, j'ai vu ça hier aux infos, c'est édifiant, c'est capable de te sortir une dissert selon une question posée au bac en quelques minutes

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Il y a 3 heures, Tlsefred31 a dit :

 

Peut-être ...

 

Pour le bot IA, j'ai vu ça hier aux infos, c'est édifiant, c'est capable de te sortir une dissert selon une question posée au bac en quelques minutes

J' ai entendu un reportage à la Radio !

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Il y a 4 heures, Tlsefred31 a dit :

 

Peut-être ...

 

Pour le bot IA, j'ai vu ça hier aux infos, c'est édifiant, c'est capable de te sortir une dissert selon une question posée au bac en quelques minutes

 

il y a 45 minutes, tire-bouchon a dit :

J' ai entendu un reportage à la Radio !

Pareil, hallucinant !

 

"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme." (Vincent Moscato. :yes:)

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On réunit les profs de la même université dans un avion. Avant le décollage de l'avion, on passe une information :

"Votre attention svp, l'avion qui va bientôt décoller a été fabriqué par vos étudiants en physique, chimie, mécanique, électronique et informatique".

Aussitôt dit, les profs se précipitent pour descendre.

À la fin, il ne reste plus que le doyen des facultés des sciences et techniques à l'intérieur de l'avion.

Étonné, on lui demande, pourquoi il est resté, et il répond : " j'ai une entière confiance en mes étudiants, si ce sont eux qui ont vraiment fabriqué cet avion, il ne va même pas décoller."

Modifié par manpat31
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il y a 52 minutes, manpat31 a dit :

On réunit des profs d'université d'une université dans un avion. Avant le décollage de l'avion, on passe une information :

"Votre attention svp, l'avion qui va bientôt décoller a été fabriqué par vos étudiants en physique, chimie, en mécanique, en électricité et en informatique".

Aussitôt dit, les profs se précipitent pour descendre.

À la fin, il ne reste plus que le doyen des facultés sciences et techniques à l'intérieur de l'avion.

Étonné, on lui demande, pourquoi il est resté, et il répond : " j'ai une entière confiance en mes étudiants, si ce sont eux qui ont vraiment fabriqué cet avion, il ne va même pas décoller."

Et si les Profs réparent l' avion, est ce que le vieux va rester à bord ??

Allez savoir.

:a0:

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il y a 19 minutes, Vigomar a dit :

 

il y a 12 minutes, Gabi a dit :

Le sport, ca rend bête.

 

Après les Argentins et le Football ça reste un délire assez dingue .

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il y a une heure, Bota a dit :

 

 

Après les Argentins et le Football ça reste un délire assez dingue .


Ouais enfin si chacun y va de sa passion.

 

A la limite t’assumes jusqu’au bout et tu ne mets pas ton gosse de la journée, ou de la matinée à l’école.

 

Mais à la carte comme ça c’est vraiment du footage (haha) de gueule.

 

J’espère qu’ils ont mis un peu de temps à venir voir qui sonnait, encore plus de temps à aller chercher son gamin, puis à faire signer la décharge, pour qu’il rate le début du match !

 

C’est mesquin, mais ça fait du bien.

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Il y a 15 heures, Vigomar a dit :

 C'est extraordinaire, il vit l'événement et le fait vivre à son enfant. Ce n'est pas la 1/2 journée de cours raté qui va abetir son fils. 

Pour un cas suspect de covid, c'était 8 jours à la maison ! 

C'est un unique rapprochement père /fils à l'occasion de ce match. 

Avec une attitude comportementale intéressante, comment ont-ils fête la victoire, et pour la finale, si l'Argentine perd, quel comportement devant la défaite et les espoirs envolés. 

C'est la part du rêve, l'enfant ce souviendra toujours de se moment fort qu'il a partagé avec son pere. 

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il y a 36 minutes, papé a dit :

 C'est extraordinaire, il vit l'événement et le fait vivre à son enfant. Ce n'est pas la 1/2 journée de cours raté qui va abetir son fils. 

Pour un cas suspect de covid, c'était 8 jours à la maison ! 

C'est un unique rapprochement père /fils à l'occasion de ce match. 

Avec une attitude comportementale intéressante, comment ont-ils fête la victoire, et pour la finale, si l'Argentine perd, quel comportement devant la défaite et les espoirs envolés. 

C'est la part du rêve, l'enfant ce souviendra toujours de se moment fort qu'il a partagé avec son pere. 


Ce n’est pas la question.

 

Nous ne sommes pas une garderie où tu peux venir récupérer et ramener ton gamin comme tu veux.

 

Tu veux profiter de ce moment avec ton fils, soit, mais dans ce cas là tu ne le mets pas de la demie journée.

 

Mais si dans une matinée il faut qu’on fasse les portiers pour les envies et désirs de chacun, c’est juste impossible.

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il y a 3 minutes, Vigomar a dit :


Ce n’est pas la question.

 

Nous ne sommes pas une garderie où tu peux venir récupérer et ramener ton gamin comme tu veux.

 

Tu veux profiter de ce moment avec ton fils, soit, mais dans ce cas là tu ne le mets pas de la demie journée.

 

Mais si dans une matinée il faut qu’on fasse les portiers pour les envies et désirs de chacun, c’est juste impossible.

Comment c'est possible que l'école ait accepté un truc pareil ?

 

Chez nous, impossible d'aller chercher/déposer ses gamins en dehors des heures d'ouverture (et c'est normal).

  • Confus 1
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il y a 14 minutes, Bota a dit :
Vigomar va pouvoir arriver a l’école en roue arrière sur son jet Ski flambant neuf .:biggrin:
 
 

 

T'emmerdes pas, les gars se sont barrés au soleil vendredi à 16h01 laissant des ignares derrière eux sans aucun remord.

Les salauds!

Modifié par capitole46
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Il y a 1 heure, capitole46 a dit :

T'emmerdes pas, les gars se sont barrés au soleil vendredi à 16h01 laissant des ignares derrière eux sans aucun remord.

Les salauds!


Il y allait avoir une chasse aux gitans  dans le quartier où j’étais vendredi, valait mieux pas trop traîner :yes:.

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il y a 16 minutes, Vigomar a dit :


Il y allait avoir une chasse aux gitans  dans le quartier où j’étais vendredi, valait mieux pas trop traîner :yes:.

 

Merde, tu y as pas participé?

 

C'est quand même mieux que la chasse à la galinette cendrée

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Il y a 7 heures, Tlsefred31 a dit :

Normal le niveau baisse régulièrement pour tout le monde, l'enseignement des enseignants a été réalisé par des enseignants enseignés par un enseignement déjà dégradé et ainsi de suite.... Si vous trouvez que ma démonstration n'est pas claire et limpide, c'est que l'enseignement que vous avez subi était dégradé, à cause d'enseignants déjà mal enseignés. 

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Il y a 11 heures, Vigomar a dit :


Il y allait avoir une chasse aux gitans  dans le quartier où j’étais vendredi, valait mieux pas trop traîner :yes:.

 

En ce moment le lot d'appelants en plastique pour la chasse aux Gitans est à 9 € sur Mano Mano

 

Lot de 3 figurines d'animaux de jardin - Statuettes de hérisson mignons - Sculpture de jardin - Décoration d'extérieur pour jardin et terrasse - En plastique

  • Haha 2
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il y a 38 minutes, Bota a dit :

 

En ce moment le lot d'appelants en plastique pour la chasse aux Gitans est à 9 € sur Mano Mano

 

Lot de 3 figurines d'animaux de jardin - Statuettes de hérisson mignons - Sculpture de jardin - Décoration d'extérieur pour jardin et terrasse - En plastique

Plus facile, il suffit d'imiter le cri du cuivre !

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Chapitre 18 : « Euh, je crois qu’ils ont mal orthographié CLERMONT-FERRAND. Ils ont écrit ça C.R.É.T.E.I.L. »

« C’est impossible, ils se sont trompés, non ? Je n’ai jamais demandé ça, ce n’était pas du tout dans ma liste de vœux. Il doit forcément y avoir une erreur. Oh non, pitié, pas Créteil ! »

Pour vous mettre en position fœtale sous votre bureau en vous roulant dans une mare de larmes mêlées à de l’urine, tapez 1.

Pour raisonner intelligemment et avec tempérance en cherchant les informations nécessaires, tapez 2.

Pour déléguer votre panique à votre tutrice et pleurnicher au téléphone, tapez 3.

« Allô, Sylvie ! C’est la galère, au secours ! Je viens de recevoir un courrier m’informant de ma mutation. Je suis envoyé à Créteil ! Alors que je ne l’ai pas du tout demandé. Moi, j’avais mis l’Auvergne, puis le Limousin et en dernier le Centre Val-de-Loire. Dis-moi que c’est une erreur et qu’ils peuvent la rectifier !

- Aïe… Ça veut dire que tu n’avais pas assez de points pour ces académies, donc ils t’ont automatiquement positionné sur Créteil. C’était ça ou Versailles, je pense… Quand aucun de tes vœux n’est possible, ils te glissent vers une académie qui manque d’enseignants.

- QUOI ? Mais je ne veux pas y aller. Je ne veux pas revivre les 2nde 8 multipliés par 10 ! Et encore moins vivre dans une grande ville ! Moi ce que j’aime, c’est la nature, pas le béton ! »

J’avais alors une vision très étriquée de l’académie de Créteil. Dans mon petit imaginaire auvergnat, il existait Paris, puis gravitant autour de la métropole, un gigantesque amas de cités malfamées que l’on nommait Créteil et Versailles.

« Mais je ne peux faire aucun recours ? Il y a forcément une solution, non ? Je peux contacter les syndicats pour que ma mutation soit révisée !

- Hélas non… C’est le dur jeu des mutations. Injuste, sourd et aveugle… »

Mais quelle poisse ! J’aurais dû écouter Stéphanie et mettre Orléans-Tours en premier vœu. Cela m’octroyait un bonus inestimable de 0,1 point, pour un total de 75,1. Ne riez pas, c’est la vérité, et les inspecteurs s’enorgueillissent de ce don du ciel. C’est d’autant plus ironique que cela fera VRAIMENT la différence pour Stéphanie, qui restera dans son académie natale !

Cette mutation sera un peu le drame de ma famille, qui me martèlera sans cesse, pendant de longues années :

« Tu pourrais te rapprocher, quand même… T’y aimes bien, ton Paris… (Le petit « y » auvergnat, les vrais savent). Tu renies ta famille, on n’est plus assez bien pour toi, c’est ça ?

- Mais je ne PEUX PAS revenir. J’ai pas les points. J’en ai 75, il m’en faut plusieurs centaines. Puis je ne suis pas à Paris, je vous l’ai déjà dit mille fois ! Je suis à une cinquantaine de minutes en RER.

- C’est pareil. Là-bas, pour moi, c’est Paris. Et les parigots, c’est des vrais cons, je sais pas comment tu fais pour supporter. Faut aimer, hein. Et pourquoi le fils de ma collègue, il a bien pu être prof dans le coin ? Lui, il peut et pas toi ?

- Je vous l’ai également déjà expliqué, il est contractuel. Comme moi avant d’avoir le CAPES. Il peut donc avoir un poste assez proche de chez lui.

- Et pourquoi tu n’as pas fait ça, plutôt ?

- Mais parce que c’est encore plus précaire que d’être titulaire, au niveau du salaire et de la considération ! »

Mais revenons à ces prémices de l’été 2013. Un mercredi après-midi, tous les enseignants de lettres de l’établissement sont convoqués par l’inspectrice, Mme Coinçard. La sympathique vieille dame (positionnez votre curseur du sarcasme sur « + l’infini », svp) souhaite nous parler des futures épreuves anticipées de français, à destination des élèves de 1ère. Son message est simple, limpide :

« Vous voyez ces graphiques ? Ce sont les résultats nationaux. Vous voyez cette petite barre, inférieure à toutes les autres ? Ce sont nos résultats. Cela doit cesser. Il n’est pas normal que les élèves d’Orléans-Tours aient des résultats inférieurs au reste de la France. Je vous demanderai donc, cette année et jusqu’à nouvel ordre, d’évaluer avec davantage d’indulgence. Cela correspond à des notes de 2 à 4 points supérieures à ce que vous auriez mis habituellement. Je préfère être claire : les tas de copies où de trop grosses différences seraient constatées mèneront à une convocation pure et simple du correcteur. Et il devra en répondre devant moi. »

Je trouve cela consternant, et je scrute avec une pitié profonde l’ensemble de mes collègues terrorisés qui n’osent pas formuler la moindre objection. Le moi de l’époque est encore bien trop timide et dépendant de la validation hiérarchique pour le faire.

Je remarque aussi que la vieille harpie ne m'accorde pas le moindre regard, et encore moins une parole sympathique pour saluer ma titularisation. Je n’en attendais rien, toutefois.

Pourtant, le soir, je prends la décision de lui écrire un mail :

« Bonjour Madame, je vous écris ce courrier pour vous informer de ma titularisation par M. Jeunet, auprès de mes élèves de 2nde 8. C’est une victoire pour moi car c’était une classe difficile, bien plus encore que celle que vous étiez venue observer en février dernier. Je sais que cette nouvelle vous comblera de bonheur car vous avez cru en moi et m’avez, je le sais bien, donné cette chance pour me prouver combien précieuses étaient mes compétences. Aussi me tenait-il à cœur de vous en informer, tant je sais que vous en serez aussi ravie que je le suis actuellement. »

(J’espère que le curseur de votre détecteur de sarcasme n’a pas fini par exploser)

Je n’aurai jamais de réponse.

L’année se termine très modestement, puisqu’il ne reste que de l’administratif et très peu d’élèves. Or, ayant intériorisé que je quittais l’établissement, je n’ai strictement rien à faire des conseils d’enseignement et autres réunions pédagogiques à deux balles (qui se résument généralement à « Bon bah comme on n’a pas encore toutes les infos, on verra ça en septembre ! »). Cela permet de souffler un peu.

Toutefois, il me reste une petite épine dans le pied : j’ai été convoqué comme secrétaire aux oraux de rattrapage du bac de français. En plein milieu du mois de juillet. GÉ-NIAL.

« C’est vrai que je n’ai que ça à foutre. Ce n’est pas comme si j’avais un gros déménagement à préparer. »

Le dernier jour, le lycée organise une cérémonie des départs, avec un petit repas. Dans le micro, je fais mes adieux à ce pan éphémère de ma vie qui m’a confronté à l’inconnu, à l’euphorie, à la violence, et même parfois à la mort, ou presque :

« Ne le prenez pas mal, mais je ne sais pas si je vais VRAIMENT regretter ce lycée ! Enfin… il a été bâti sur les ruines d’un ancien cimetière, non ? Un truc du genre ? En tout cas, il est temps pour moi de me reposer, puisque j’ai été admis dans un charmant village bucolique et verdoyant dont l’harmonie et la douce quiétude rappellent la Comté chère à Tolkien. Ça s’appelle Créteil, je crois. »

Et puisqu’il est question de mutations, j’apprends très vite que je dois faire mes vœux au sein même de ma nouvelle académie. Un petit tour sur les forums de Néoprofs m’apprend qu’il est plus judicieux de demander des établissements dans le sud Seine et Marne car c’est une région forestière assez paisible, à l’exception de quelques zones REP isolées. Et très accessible car nécessitant impérativement d’être véhiculé afin de travailler sereinement. Je tique un peu car j’ignorais totalement qu’il existait encore des lieux campagnards en Île-de-France.

Et quelle ne sera pas ma surprise lorsqu’un nouveau courriel me fera part de l’avancée de mes non-vœux (Oui, j’appelle cela des non-vœux. Un peu comme le « Joyeux non-anniversaire » d’Alice au Pays des Merveilles. Tu fais des vœux, mais ils ne servent à rien vu qu’on te refile systématiquement un truc que tu n’as jamais demandé).

« Allô, Sylvie ? Dis, j’ai un petit problème. J’ai bien eu confirmation que j’étais affecté à Créteil. Mais alors, il y a un truc que je ne pige pas trop. On dirait qu’ils ont oublié de donner le nom de l’établissement où je vais bosser. Et ça veut dire quoi, TZR ? »

 

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Il y a 14 heures, capitole46 a dit :

T'emmerdes pas, les gars se sont barrés au soleil vendredi à 16h01 laissant des ignares derrière eux sans aucun remord.

Les salauds!

On est au Qatar

avec @Vigomar

Notre voisine c'est Gala,

En direct de Doha,

On va foutre le dawa !

:P

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il y a 28 minutes, Bota a dit :

 

Si vigomar en vrai c'est la dame habillé légèrement en damier rouge et blanc , je veux bien discuter rugby avec lui :whist:

Elle va avoir beaucoup d'interlocuteurs. 

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Il y a 2 heures, papé a dit :

Elle va avoir beaucoup d'interlocuteurs. 

Elle a beaucoup de souffle.

 

sinon, j'aime bien ça :

 

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  • 2 weeks later...
Il y a 2 heures, manpat31 a dit :

 

J'ai pas de mots quand je vois l'exemple des nombres décimaux, ou de la définition du mot chancelant.

 

Mais quand tu critiques ces gens là, tu fais du bashing donc il faut positiver et les encourager ces pauvres démeurés.

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Il y a 19 heures, Tlsefred31 a dit :

 

J'ai pas de mots quand je vois l'exemple des nombres décimaux, ou de la définition du mot chancelant.

 

Mais quand tu critiques ces gens là, tu fais du bashing donc il faut positiver et les encourager ces pauvres démeurés.

Si tu veux les meilleurs pour faire prof il va falloir payer. Comme on propose des carrières de merde, on ramasse les pires. Et c'est partout pareil.

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il y a une heure, tire-bouchon a dit :

j' aimerais bien savoir dans quelle case tu me mets ! :a0:

Ça va être grossier...

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Il y a 20 heures, tire-bouchon a dit :

:nuke:

je ne savais pas quoi répondre ! :happy_dance:

C'est dans ces moments là que tu es sûr de ne pas dire 1 connerie.  Profite.:yes:

  • Haha 2
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Il y a 19 heures, Bota a dit :

 

 

 

J ai trouvé Mampat Vigomar , et Tire Bouchon :biggrin:

Image

J'arrive pas à lire sur mon mobile.

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il y a une heure, manpat31 a dit :

C'est dans ces moments là que tu es sûr de ne pas dire 1 connerie.  Profite.:yes:

Par contre j' en lis ! :whist:

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