Aller au contenu

Le topic du running, jogging, footing, triathlon...


Messages recommandés

C'est en projet.

Mais en une quinzaine de jours.

En un week-end, tu as explosé le record de Kilian Jornet qui était de 08 jours

NB: Pour le GRP, j'étais sérieux. :drinks

Lien vers le commentaire

Kilian Jornet, il est bidon, il appelle l'helico dés que ça devient un peu difficile. :)

Sinon, je savais que t'étais sérieux le bigourdan. Je suis juste épaté par les courses de certains d'entre vous (distance et dénivelé). Chapeau.

Lien vers le commentaire

Merci!

Tu ne mérites désormais plus ton avatar (ironiste). :clin

Tu peux nous (m'en) dire plus ?

C'est une course qui m'intéresse et l'intrigue même temps. Raconte !

Lien vers le commentaire

Bonjour Cyril,

je me suis aligné sur l'ultra trail (164 kms, 10600 m dénivelé).

Le parcours en dehors des conditions météo exécrables (pluie, brouillard, froid 1° à 2° sur les passages les plus haut de la course) est très technique (beaucoup de pierres glissantes et usantes) et les pentes très raides.

Les temps réalisés par les meilleurs sont ainsi supérieurs de 02 heures à l'UTMB.

La difficulté première est le brouillard nocturne qui limite la vision à 01 mètre et qui facilite l'égarement.

Pour ma part, je connais l'itinéraire pratiquement par cœur puisque je suis sur place mais malgré cela....7

La montée du Pic du Midi où les premiers croisent les suivants depuis le Col de Sencours restent un bon moment

Tous les renseignements utiles figurent sur le site du grand raid des Pyrénées.

J'ai bouclé mon périple en 29 heures et aujourd'hui c'est immersion d'eau froide et repos.

Je reste à ta disposition

  • Upvote 1
Lien vers le commentaire

:worthy::worthy:

P....N, et dire qu'en 29 heures ce WE, je me suis tapé des apéro, 3 bouteilles de Chablis, 1 St Emilion grand Cru et deux Pessac-Léognan.

Et la bière ça compte pas.

Honte à moi.

  • Upvote 5
Lien vers le commentaire

Bonjour Cyril,

je me suis aligné sur l'ultra trail (164 kms, 10600 m dénivelé).

Le parcours en dehors des conditions météo exécrables (pluie, brouillard, froid 1° à 2° sur les passages les plus haut de la course) est très technique (beaucoup de pierres glissantes et usantes) et les pentes très raides.

Les temps réalisés par les meilleurs sont ainsi supérieurs de 02 heures à l'UTMB.

La difficulté première est le brouillard nocturne qui limite la vision à 01 mètre et qui facilite l'égarement.

Pour ma part, je connais l'itinéraire pratiquement par cœur puisque je suis sur place mais malgré cela....7

La montée du Pic du Midi où les premiers croisent les suivants depuis le Col de Sencours restent un bon moment

Tous les renseignements utiles figurent sur le site du grand raid des Pyrénées.

J'ai bouclé mon périple en 29 heures et aujourd'hui c'est immersion d'eau froide et repos.

Je reste à ta disposition

Fichtre !!!!! 29 heures !!!

J'espère arriver un jour à faire cela. :worthy:

Lien vers le commentaire

Bon j'ai quelques questions aux specialistes de ce sport. Depuis quelques temps deja, un collegue me tane pour que je fasse un trail avec lui. Je me suis laisse tenter et vais donc faire le trail du Sancy avec lui (debut septembre soit 5 mois de prepa). Par contre j'ai arrete le sport intensif il y a plus de 4 ans maintenant. J'avais de bonnes bases de fond mais je n'ai aucune references de temps sur longue distance, et je suis encore a peu pres jeune (33 ans, et pas en surpoids malgre les exces). Je me suis quand meme legerement entretenu pendant 4 ans mais rien de vraiment concret. Selon vous, est-ce de la folie de le tenter (je me suis toujours pas decide entre le 35 et le 60 km)? On a programme un 33 km sur du plat pour fin juin, est-ce jouable? Valable comme entrainement? Combien de seances par semaine, a peu pres, pour esperer etre pret a temps?

Bon je reponds a mon propre message. Le trail du sancy etait aujourd'hui, j'ai choisi le 60 km que j'ai reussi a boucler en un peu plus de 10h20 apres seulement 5 mois d'entrainement. Grosse defaillance lors de la derniere descente de 8 km ou, deshydrate, je perds environ 30 minutes. Et le tout sans batons.

Je detaillerai un peu plus ma course et ma prepa si ca interesse certain. Mais la je vais mettre la viande dans le torchon, je suis mort.

Lien vers le commentaire

Je suis interessé par ton retour.

Je ne me suis pas inscrit à cette course à cause de la rentrée

Par contre, j'ai mis une croisX pour le trail des vulcains fin février 2015.

Lien vers le commentaire

Je suis interessé par ton retour.

Je ne me suis pas inscrit à cette course à cause de la rentrée

Par contre, j'ai mis une crois pour le trail des vulcains fin février 2015.

Alors, comme dit dans mon premier message, j'ai repris la course début avril après 4 ans et demi sans sport hormis une dizaine de sorties footing tranquille. Au début pas trop d'objectif, mais après 2 ou 3 semaines, à force de subir les provocations d'un collègue, je m'engage sur le 60 km du Sancy. Il n'est pas fou, connait un peu mon mental et mes capacités physique, il sait qu'il ne m'envoie pas à l'abattoir, lui l'a déjà couru 2 fois donc connait le parcours et me donne plein de conseils et infos. Moi de mon coté, j'aime me donner des objectifs et surtout j'aime les réaliser, je m’entraîne donc dur quitte à sacrifier du temps et d'autres plaisirs.

1 entrainement la première semaine, puis 2 la seconde, puis 3 la troisième, le plaisir et surtout les sensations arrivent petit à petit... les premiers bobo aussi, l’absence de semelles ortho se fait sentir et me réveille des douleurs un peu partout dans le corps, mais une fois équipé, plus rien. Je fais ma première sortie de 20 km avant la fin avril, en 2h04 avec un léger dénivelé positif.

Je stabilise mon nombre de sorties à 3 par semaine, une longue, une de recup et une physique (montées de marche, fractionné...). Je passe mai et juin sur ce rythme. Je fais ma première course début juin, un trail de 16 km, avec un peu de dénivelé quand même. Pas un très bon souvenir pour moi, je n'aime pas trop l'ambiance du départ avec toute cette foule, il est beaucoup trop tôt pour moi et je ne suis absolument pas préparé (petit déjeuné trop tardif et non adapté, short et chaussettes de rugby pas du tout en adéquation avec les besoins de la course à pied...), je fini en un peu plus d'une heure trente mais je prends peu de plaisir.

Fin juin, je devais courir le trail des traces du loup mais le boulot m'en empêche, je pars en mission en Italie et là c'est l’éclate, je découvre vraiment ce qu'est la course en montagne, et surtout ce qui me plait le plus, l'effort en solo. Je fais ma première sortie de 30 km en 4h30 dans les alpes, connais ma première défaillance ce jour là, en pensant naïvement qu’après avoir attaqué pendant des km dans une descente je pourrais faire la monté juste après, j'ai appris ce jour là que je n'avais pas encore les jambes pour le faire. Ce fut une bonne leçon, et j'en garde un très bon souvenir malgré la souffrance. 38 km une semaine plus tard dans les montagnes aux alentours de Florence, moins de 5h malgré une chaleur étouffante, la progression est assez intéressante, le tout sans pépins physiques majeurs.

Je baisse un peu de rythme les semaines suivantes, la fatigue des sorties, et surtout du travail, se fait ressentir, je n'ai plus autant de jus. Je calme le jeu mais fais quand même entre 20 et 25 bornes lors de ma grosse sortie hebdomadaire. Juillet est mon 3 éme mois successif à environ 130km de course, mon corps n’étant pas habitué je préfère m'entretenir afin de réaliser mon objectif, finir le trail du Sancy dans les temps, c'est à dire, en moins de 11H.

Août est beaucoup plus difficile, mon travail étant prenant et assez physique j'ai moins le temps (et le courage) de sortir m’entraîner en semaine, la chaleur ici me tue (des max à plus de 40 en journée et des nuits ou le mercure ne descend pas sous les 20), et des douleurs se font sentir. Dans ces moments là je regrette toutes ces années de rugby à ne pas soigner mes blessures, elles reviennent quasiment toutes en même temps. Je connais une autre grosse défaillance lors de ma dernière grosse sortie la première quinzaine d’août, après 16 km de course, plus de jus, impossible de courir, la marche fonctionne je décide de continuer comme ça et tente de courir de temps en temps mais je n'ai aucune sensations. Heureusement que j’étais seulement à 9 km de la voiture, j'ai pu rentrer en seulement 1h30. J'ai connu ma première déshydratation, j'avais été un peu malade la veille, je pense qu'ajouté à l'effort produit mon corps n'a pas trop supporté. Je profite donc des dernières semaines pour me ressourcer. Mes seules sorties sont inférieures à 10km (avec pas mal de dénivelés quand même) ou des randonnées assez longue. Les 15 derniers jours mes voûtes plantaires et mes tendons d’Achille me font beaucoup souffrir (la répétition des efforts, et mes conditions de travail surtout), je décide de faire la course quand même, je n'y vais pas seul et puis si ça va pas je m'accrocherai mais je la finirai.

En général, lors de mes grosses sorties, je cours beaucoup à l’instinct, pas de montre (juste un tracker que je garde dans une poche fermée et que je consulte après la course seulement pour voir mon temps, mon kilométrage, mon rythme... ou quand je me perds, ce qui arrive souvent), pas de cardio, pas de bâtons, juste l'envie de me défouler sans réelles obligations kilométriques ou horaires (je ne me mets aucunes limites min ou max, je cours tant que je prends du plaisir ou que mes jambes me portent). Dans cette optique, la veille du départ, je décide de ne pas regarder le profil de la course et de découvrir les difficultés les unes après les autres quand elles arriveront. De toute maniéré je ne pars pas seul et puis même si ça devait arriver je finirai.

Nous partons donc à 3, un autre collègue s’étant ajouté. Un peu de tension avant la course, la foule, le réveil très matinal (5H), la peur d'avoir des pépins physiques, le fait de m'attaquer à 60 km alors que ma sortie max est de 38... mais bon dés les premiers km, et la dispersion des coureurs, je commence à trouver quelques sensations. Miraculeusement, mes douleurs ne se réveillent pas, le rythme mené par mon collègue est largement à ma porté, je me lâche et profites du splendide paysage. Petit soucis au premier ravitaillement, le manque d’expérience se fait sentir, je ne sais pas trop quoi boire et manger et surtout en quelle quantité. Je repars un peu barbouillé mais tout revient dans l'ordre quelques minutes plus tard. Les difficultés s’enchaînent et tout se passe relativement bien jusqu'au 40éme km, à la fin de la 3éme grosse ascension je commence à sentir que je suis dans le dur. Je suis ballonné et j'ai envie de vomir, je comprends un peu plus tard que je suis encore victime de déshydratation malgré mon estomac rempli d'eau, mon corps ne l'assimile plus. Je fais quand même la descente au même rythme que les autres concurrents autour de moi, ainsi que la montée jusqu'au dernier ravitaillement. A ce moment là mes jambes n'en peuvent plus, je me rends compte que je suis victime du même pépin qu'un mois plus tôt, je dis à mon collègue de partir sans moi, que je finirai seul (le 3éme étant devant depuis un long moment). Les 200 derniers mètres de montée sur le puy de Sancy sont très dur, une famille de randonneurs avec enfants en bas age arrivent à me suivre tellement je suis lent. Les 8 derniers km de descente sont un calvaire mais l’émotion et l'envie de finir sont plus fort. Je ne cours qu'environ 2 km malgré ça, le corps n'en pouvant plus. Je fini en un peu plus de 10h10 (j'avais cru lire 10h20 hier mais je me suis trompé, la fatigue surement), très heureux de mon temps même si j'en perds bêtement, à cause du manque d’expérience, dans le final.

Le seul point négatif de cette course, pour moi, est l'ambiance. J'ai trouvé bizarre certaines attitudes d'autres coureurs, certainement une minorité. Avant la course je m'attendais à ce qu'il y ai une certaine solidarité entre coureurs et je n'ai pas trouvé que c’était le cas. Que les premiers se tirent la bourre et ne se fassent pas de cadeau pour la gagne je peux le comprends, mais les coureurs que j'ai côtoyé étaient en milieu de classement, et certaines attitudes étaient étranges. Par exemple quand je voyais un coureur s’arrêter en monté, au moment de le passer je lui glissais un "courage", ça ne coûte rien et ça fait plaisir, en tout cas je l'aurai pris comme ça si j'avais été à sa place. Mais bizarrement très peu de gens s'encourage. Idem, à mi-course, je vois au loin un gars arrêté à cause de crampes, quand je suis arrivé à son niveau je lui ai proposé de l'aider à s’étirer, ce que je trouve normal, mais apparemment la 20aine de coureurs devant moi ne le pensait pas, et sont passés à coté de lui sans même le regarder. Un autre exemple, lors d'un ravitaillement, avant mi-course donc encore frais et lucide, un gars fait tomber son bâton devant moi, je me penche, le ramasse et lui redonne, le gars ne m'a même pas regardé ni remercié, franchement je pense qu'un parisien dans le métro aux heures de pointe aurait été plus aimable. Et la palme, quand même, au connard qui au 2éme ravitaillement engueule sa femme, qui était venu jusque là pour lui apporter des fringues sèches, je n'ai pas trop compris la raison (elle n'a pas du l'aider assez vite) mais il est parti en lui gueulant "heureusement que je ne suis pas venu faire un temps". Eh mec, si tu étais venu faire un temps, tu as loupé ton coup y'a 200 mecs devant nous, entraînes toi au lieu de gueuler. Et dernier point, le pire, le nombre de tube de gel, emballage de barre... par terre, je veux bien croire qu'on peut en perdre un en voulant le glisser dans sa poche, mais vu le nombre que j'ai vu j'ai du mal à croire que ce soit involontaire. Comment peut-on faire du trail en pleine nature et aussi peu la respecter?

En tout cas, cette course, et les 5 mois qui l'ont précédés, sont une très bonnes expérience. Je ne regrette pas du tout de m’être lancé dans cette aventure, j'en sors grandi. Je prends tellement mon pied que je vais continuer à courir et faire des sorties trails. Je ne penses pas faire beaucoup de courses car l’atmosphère qui y règne ne me convient pas forcement beaucoup. J'aime courir où je veux et quand je veux. Du coup, je penses que je vais plus me diriger vers des défis en solo ou petit groupe. J'ai déjà repéré un coin superbe sur la cote méditerranéenne en dessous de Gênes, il y a moyen de faire une bonne sortie d'une quarantaine de km avec un dénivelé pas dégeu, j’espère me faire ça d'ici un mois, mais pour le moment repos.

Lien vers le commentaire

merci pour ton retour, c'est intéressant de voir la prépa nécessaire pour ce type de longueur.

je te rejoint sur l'irrespect des gens pour les détritus. Ayant été en queue de peloton sur le 18km, j'ai ramassé un paquet de papiers/tubes qui trainaient par terre. c'est pas ça qui allaient m'alourdir et la victoire de la course, c'était cuit depuis longtemps (et ce n'est pas ça que je visais).

belle performance, quand même, en 10h10 ! Bravo à toi ! :whistling:

Lien vers le commentaire

merci pour ton retour, c'est intéressant de voir la prépa nécessaire pour ce type de longueur.

je te rejoint sur l'irrespect des gens pour les détritus. Ayant été en queue de peloton sur le 18km, j'ai ramassé un paquet de papiers/tubes qui trainaient par terre. c'est pas ça qui allaient m'alourdir et la victoire de la course, c'était cuit depuis longtemps (et ce n'est pas ça que je visais).

belle performance, quand même, en 10h10 ! Bravo à toi ! :whistling:

Merci.

Pour la prèpa, étant débutant je pense pas forcement qu'il faille trop se baser sur la mienne. Comme déjà dit, je cours beaucoup à l'instinct, il doit y avoir des programmes beaucoup plus performant que ce que j'ai fait.

Lien vers le commentaire

Super récit !

Je retrouve des situations que je rencontre comme mon gros problème en descente. Je n'ai pas d'entrainement spécifique trail, plutôt piste (stade Charléty). Quand je suis dans le dur, je mets en route mon Ipod histoire d'éviter de trop gamberger, je n'écoute plus ce qu'il se passe autour de moi. Je reste dans ma bulle.

Avec quelle chaussures as-tu fait cette course ?

Lien vers le commentaire

Merci.

Pour la prèpa, étant débutant je pense pas forcement qu'il faille trop se baser sur la mienne. Comme déjà dit, je cours beaucoup à l'instinct, il doit y avoir des programmes beaucoup plus performant que ce que j'ai fait.

je ne comptais pas me baser sur quoi que ce soit, c'était par simple curiosité. Comment peut-on organiser sa préparation pour un trail de 60km ?

j'avais du mal à imaginer le truc, quand je vois le manque de temps que j'ai pour un simple 18.

Lien vers le commentaire

je ne comptais pas me baser sur quoi que ce soit, c'était par simple curiosité. Comment peut-on organiser sa préparation pour un trail de 60km ?

j'avais du mal à imaginer le truc, quand je vois le manque de temps que j'ai pour un simple 18.

Moi aussi.

Pour les gros coureurs, ceux qui font des trails, combien de temps d'entrainement cela vous prend-il par semaine ?

Quand je dis entrainement, c'est aussi le temps pour y aller, pour rentrer, la préparation, les éventuelles étirements, ... Bref, la durée entre le moment où vous partez de chez vous et où vous rentrez. :stuart:

Lien vers le commentaire

Salut,

Super récit en effet.

En ce qui concerne le temps, ben personnellement c'est 3 entrainements par semaines (1 lors des semaines de courses). En règle général c'est du fractionné court le mardi et long le jeudi. Sans jamais dépasser 1h30. Et le week end c'est sortie longue. Pour le trail il faut pas négliger les sortie sur terrain vallonnés. Après moi je gère bien les montée (à mon niveau hein :smile: ) par contre les descentes c'est affreux. Je souffre et perd beaucoup de temps. Ça va venir avec le temps. Du coup temps d'entrainement je dirais 5 bonnes heures facile voire plus.

Sinon samedi je pars à Roquefort les cascade pour le trail des cascades (20km, 900m de D+)

Lien vers le commentaire

Super récit !

Je retrouve des situations que je rencontre comme mon gros problème en descente. Je n'ai pas d'entrainement spécifique trail, plutôt piste (stade Charléty). Quand je suis dans le dur, je mets en route mon Ipod histoire d'éviter de trop gamberger, je n'écoute plus ce qu'il se passe autour de moi. Je reste dans ma bulle.

Avec quelle chaussures as-tu fait cette course ?

Ah c'est sur que pour s’entraîner au trail Charlety c'est pas top. C'est marrant je courrais toujours avec l'ipod moi aussi au départ mais j'ai arrêté. J'ai trop tendance à adapter mon rythme à celui de la musique, et puis quand on est en pleine nature autant en profiter (encore une fois, Charlety pas top).

Pour les chaussures, j'ai commencé en avril avec des saucony mirage II (je ne connaissais pas du tout cette marque), je les utilise encore un peu pour les sorties courtes sur plat, je les aime beaucoup, très légères. C'est des chaussures pour courir sur route normalement, mais elles s'adaptent aux terrains peu accidentés (parc, bord de fleuve...), mais inutilisables en trail car pas de crampons. Pour le trail, j'ai pris des Mizuno wave kazan, très légères aussi pour des chaussures de trail, bon grid, bon amorti, drop de 12mm, ça fait un peu bizarre au départ, je les aime bien mais je les ai mal essaye quand je les ai achetées et elles ont une 1/2 pointure de trop. Je les trouve un peu fragiles aussi, dés ma première sortie montagne avec, la semelle a pris des coups. J'ai pas trop de références niveau chaussures, donc je penses que j'essaierai un autre modèle pour le trail, voir si je trouve mieux. Par contre il y a de grandes chances que j’achète de nouvelles saucony quand les premières seront mortes (peut-être le même modèle aussi tellement je les trouve bien). J'ai la chance d'avoir un très bon magasin de running indépendant prés de chez moi et c'est de très bon conseilleur.

Les vrais, ils le font en tong.

Les baskets, c'est triché.

J'arrive pas à savoir si c'est du second degré ou pas. Dans tous les cas, jétes un œil la dessus: http://www.courirpiedsnus.com/2011/09/faire-du-trail-en-huaraches-et-sandales-de-course/#.VBHx8cJ_tA0

Moi aussi.

Pour les gros coureurs, ceux qui font des trails, combien de temps d'entrainement cela vous prend-il par semaine ?

Quand je dis entrainement, c'est aussi le temps pour y aller, pour rentrer, la préparation, les éventuelles étirements, ... Bref, la durée entre le moment où vous partez de chez vous et où vous rentrez. :stuart:

Perso, au début ça devait tourner autour de 5 ou 6 heures par semaine tout compris. Après, les 4 ou 5 semaines où j'ai fait des sorties longues ça devait tourner autour de 10H. J'ai aussi fait un weekend de randonné, là ça m'a pris 2 jours, mais bon ce genre d'entrainement peut-être fait en famille et être considéré comme un weekend de détente plutôt que du sport.

Attention, je n'ai pas compté de temps de transport car avant d’être en mission je courrais le midi en partant directement de mon lieu de travail. Ici j'ai 3 possibilités, soit un parc dans lequel je vais en courant, soit une grosse colline où je vais en courant aussi, ou alors la montagne et là dans ce cas j'ai environ 20 minutes de voitures pour y aller. Sinon quand je suis chez moi je pars en courant aussi, mon terrain de jeu étant à 200 mètres. C'est vrai que j'ai quand même pas mal de chance de ce coté là.

Salut,

Super récit en effet.

En ce qui concerne le temps, ben personnellement c'est 3 entrainements par semaines (1 lors des semaines de courses). En règle général c'est du fractionné court le mardi et long le jeudi. Sans jamais dépasser 1h30. Et le week end c'est sortie longue. Pour le trail il faut pas négliger les sortie sur terrain vallonnés. Après moi je gère bien les montée (à mon niveau hein :smile: ) par contre les descentes c'est affreux. Je souffre et perd beaucoup de temps. Ça va venir avec le temps. Du coup temps d'entrainement je dirais 5 bonnes heures facile voire plus.

Sinon samedi je pars à Roquefort les cascade pour le trail des cascades (20km, 900m de D+)

Bonne chance, hésites pas à faire un compte rendu aussi, pas seulement de ta course, mais aussi de l'ambiance, les paysages, la difficulté et technicité du parcours...

Lien vers le commentaire

Merci pour vos réponses.

Apparement, le 5h d'entrainement par semaine, ca semble être le minimum.

Au-delà, entre la conjointe, les enfants, le boulot, ca commence à être trop compliqué à caser pour moi.

Sinon, hier, aprés 2 mois d'arrêt (ma dernière sortie était une course de 10km début juillet), j'ai fait mon 1er fractionné de la rentrée. Résultat, j'ai perdu 2km/h pendant les apéros de l'été. Oups. :yes:

Lien vers le commentaire
Invité bigourdan

@Gabi

3 entraînements hebdomadaire me semblent représenter le minimum.

Mardi = fractionné VMA ou Seuil.

Jeudi= endurance fondamentale

Dimanche= sortie longue variant selon l'épreuve préparée.

La régularité de ces trois séances te permettront de regagner tes 2 km/h égarés sous le barbecue et de retrouver ta vitesse vma. Ouf!!

Il n'y a pas de règles établies. Juste une adaptation de son entraînement avec sa vie familiale, professionnelle, et des objectifs réalistes.

A ++

Lien vers le commentaire

@Gabi

3 entraînements hebdomadaire me semblent représenter le minimum.

Mardi = fractionné VMA ou Seuil.

Jeudi= endurance fondamentale

Dimanche= sortie longue variant selon l'épreuve préparée.

La régularité de ces trois séances te permettront de regagner tes 2 km/h égarés sous le barbecue et de retrouver ta vitesse vma. Ouf!!

Il n'y a pas de règles établies. Juste une adaptation de son entraînement avec sa vie familiale, professionnelle, et des objectifs réalistes.

A ++

Comme Bigourdan,

J'ai moi aussi une vie de famille/professionnelle assez prenante et pourtant j'arrive à caser 2 entrainements de 2 heures le mardi et jeudi soir après le taf avec minimum une sortie footing/semaine. Après en fonction de tes objectifs, tu peux trouver du temps le matin ou au boulot entre midi et deux. J'arrive en période de préparation type marathon à 5 séances/semaine.

Il y a des contraintes, c'est clair, et je ne te parle pas des pires pour moi (et mon entourage), la vie sociale : repas, week-end et soirées que tu dois décommander...

Exemple au boulot : fini les repas au resto avec les fournisseurs :yes:

Fini les samedi soir sur la tête :grin:

Fini les repas de famille 11h-16h30 :triste:

Tu rajoutes tous les aliments et boissons que tu ne dois plus manger et tu es vu comme un extra terrestre dans ta famille.

Lien vers le commentaire

Comme Bigourdan,

J'ai moi aussi une vie de famille/professionnelle assez prenante et pourtant j'arrive à caser 2 entrainements de 2 heures le mardi et jeudi soir après le taf avec minimum une sortie footing/semaine. Après en fonction de tes objectifs, tu peux trouver du temps le matin ou au boulot entre midi et deux. J'arrive en période de préparation type marathon à 5 séances/semaine.

Il y a des contraintes, c'est clair, et je ne te parle pas des pires pour moi (et mon entourage), la vie sociale : repas, week-end et soirées que tu dois décommander...

Exemple au boulot : fini les repas au resto avec les fournisseurs :yes:

Fini les samedi soir sur la tête :grin:

Fini les repas de famille 11h-16h30 :triste:

Tu rajoutes tous les aliments et boissons que tu ne dois plus manger et tu es vu comme un extra terrestre dans ta famille.

ahah, tu vas le degouter du sport avec des messages comme ca.

Gabi, effectivement ca demande des sacrifices, mais par exemple moi je n'ai fait aucun regime particulier, je fais juste attention a ce que je mange au quotidien. Mais pour info, les jours avant la course je suis rentre chez moi et j'ai donc vu pas mal d'amis que je n'avais pas vu depuis un moment, le mercredi soir c'etait entrecote de 500gr, raclette le jeudi et barbecue-andouillette le vendredi. Pas le top mais c'etait tres ponctuel, je ne pourrais pas le faire tous les jours.

Sinon pour le temps pour les sorties, j'ai un collegue que a une vie de famille tres prise et du coup pour aller courir c'est le matin tres tot ou le soir apres avoir couche les enfants, le tout a la lumiere de la frontale. C'est sur qu'il faut etre sacrement motive dans ces moments la, surtout en hiver, sinon tu craques.

Lien vers le commentaire

Merci pour vos messages.

C'est sûr que Cyril donne vraiment envie. :)

Concernant l'hygiène de vie, je suis capable de faire attention au quotidien mais je serai bien incapable d'annuler des soirées, resto, repas de famille, alcool.

Concernant l'entrainement, le fait de pouvoir courir entre midi et deux au boulot me sauve.

En vous lisant, je pense augmenter la fréquence car là, avec ma 1 ou maxi 2 sorties hebdo, je suis un peu léger.

Effectivement, je suis admiratif des types qui vont aller courir à 6 ou 7h du mat' avant d'amener les gosses à l'école ou durant les soirées ou nuits d'hiver quand la famille dort. Il faut vraiment kiffer la course à pied.

Lien vers le commentaire

En mode footing "entretien" tu peux vivre sur tes acquis, faire des 10km, des randos courses et autres.... Mais si tu te mets à un semi sur route, déjà ce n'est pas pareil. Un marathon, c'est un effort ultime au niveau physique et la préparation c'est deux mois minimum , le choix vient vite : je m'entraîne pourquoi ? Picole où temps ?

Non, sur de telles distances, avec un objectif de temps ( sinon ce n'est plus une course), une hygiène de vie stricte va s'imposer. Les écarts, malheureusement, tu les payes, le premier est les crampes.

Soit tu fais un marathon, soit tu fais une balade urbaine. Désolé.

Lien vers le commentaire

Mais je sais que tu as raison Cyril.

La course à pied, c'est autant l'entraînement que le mental. Et par mental, j'englobe l'hygiène de vie, les sacrifices.

Je me régale de vous lire et vous admire pour les distances dantesques que vous faites.

Pour l'instant, comme tu l'as tres bien dit Cyril, moi, je suis en mode gentillet, footing, mes petites sorties, mes courses de 10kms.

Mais, sans vouloir fanfaronner, je sens que j'en ai peut-etre sous la pédale et que je peux faire mieux, passer à la vitesse supérieure. Refaire un semi pour commencer.

Mais en vous lisant, ça me confirme qu'il faut alors revoir son organisation personnelle pour rajouter de l'entrainement et limiter les excès.

Faut se lancer quoi. :)

Modifié par Gabi
Lien vers le commentaire

Salut,

Désolé du retard à l'allumage mais voici mon compte rendu.

Alors déjà météo impec le week end de la course, super soleil et pas trop chaud.

Ce coin est vraiment sympas, perso je ne connaissait pas ce coté, c'est très chouette.

Concernant la course au final c'est plus 19km avec 1000m de D+. Profil très accidenté, beaucoup de succession de montées descentes avec un début très technique avec la montée sur les crêtes du castela (je suis pas sur du nom) et la descente raide, étroite et assez technique. J'ai manger un arbre au passage :smile: . Remonté de l'autre coté assez raide mais moins technique pour arriver sur le passage magnifique du parcours où on a emprunté un sentier sur les crêtes qui surplombent la vallée coté Lavelanet avec au fond a droite le château de Montségur et en face en visu celui de Roquefixade. Puis on enchaine avec la montée du château de Roquefixade, on le laisse d'ailleurs sur la droite pour continuer à grimper. Belle montée assez raide, bien connu des coureurs du 40 des citadelles. Et ensuite arrive le calvaire pour moi. Très longue descente à travers les bois, certes pas très techniques mais épuisantes pour mes petites guiboles. En bas de la descente au pied des cascades (sans eau au passage) la surprise du chef, un mur à monter, et a redescendre pour faire le tour de la cascade histoire de nous tuer définitivement. On débouche à nouveau dans le village de Roquefort ou se situé le départ avant de monter la dernière difficulté du jour pour rejoindre le hameau du Carol ou était la ligne d'arrivée. Je termine en 2h38, avec commme d'hab bcp de crampes aux mollets à la fin de la longue descente. mais HEUREUX et ces bien l'essentiel.

Bref c'est une super course (très ressemblante au citadelle) qui est très jeune mais avec une orga au top et une ambiance bien sympas. A refaire l'année prochaine.

Elle fait partie du défi sud trail qui comporte bcp de course très très belles dans les environ de Toulouse.

Maintenant normalement direction le pacte des loup dimanche.

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

Record du monde du marathon. Exploit ou arnaque ?
http://www.letelegramme.fr/course-sur-route/exploit-ou-arnaque-01-10-2014-10366814.phps

Dominique Chauvelier, moins de 2 h 03' sur marathon, faut-il applaudir ou s'inquiéter ?
Ça fait déjà 4-5 ans qu'il faut s'inquiéter. On voit des trucs « extraordinaires », si je puis dire. Moi, j'en suis resté à la bonne vieille époque des noms connus, comme Haile Gebreselassie, Paul Tergat, Kenenisa Bekele. Ce sont des gars qui avaient fait leurs preuves sur piste avant de monter sur marathon. Aujourd'hui, tu vois des athlètes qui ne sont même pas passés par la piste et qui courent en 2 h 03', 2 h 04' et maintenant en 2 h 02'. Ça dure un an, deux ans et ils disparaissent de la circulation.

Pourquoi n'y croyez-vous pas ?
Le champion de France du 10 km route vaut 28'55''. Ce gars-là, s'il prenait le départ au 30e kilomètre, serait incapable de suivre les marathoniens les plus rapides qui ont pourtant 30 kilomètres dans les jambes. Ces records du monde, je n'y crois pas.

Depuis combien temps avez-vous des doutes ?
Cela fait un petit moment. Pour l'anecdote, j'ai vu un truc incroyable au marathon de Reims, il y a deux ans. Les organisateurs avaient fait venir un Kenyan de 38 ans qui avait un record à 2 h 09' datant de 2007. Cela voulait dire que cinq ans plus tard, il avait un potentiel à 2 h 12'- 2 h 13'. Au semi-marathon, il passe en 1 h 03' en demandant aux lièvres d'aller plus vite et sur le second semi-marathon, il bat son record personnel sur semi ! Yohann Diniz, qui était animateur sur une moto, me disait : « Dominique, je ne comprends rien. Le gars court en 2'50'' au kilomètre et il ne ventile pas ! ». Le gars a explosé son record personnel de trois minutes (2 h 06'05''). Après l'arrivée, il faisait des montées de genoux et des exercices d'assouplissement, comme s'il n'avait pas couru. Là, tu te dis : « Ce n'est pas possible ! » Moi, quand je finissais un marathon, je m'asseyais sur un trottoir et je vomissais de la bile.

Pour en revenir au record du monde, les progrès ne sont-ils pas dus au fait qu'aujourd'hui les athlètes sont jeunes sur marathon, que l'entraînement ou les chaussures sont meilleures ?
Oui, mais tout ça, ce sont des tout petits plus. Tu ne gagnes pas 30 secondes en changeant de chaussures. Ça se saurait. Avant, il y a eu l'EPO (2), puis il y a eu l'Aicar (3). Maintenant, le dopage se fait au niveau de la thyroïde pour booster le système hormonal.

Selon vous, à quand remonte le dernier record du monde crédible ?
Pour moi, c'est celui d'Haile Gebreselassie en 2008 (2 h 3'59'').

La barre des deux heures va-t-elle tomber ou cela reste-t-il inimaginable ?
Il y a un an, j'aurais dit non. Maintenant, je dirais oui. Avec 30 secondes de moins chaque année, dans cinq ans, c'est fait.

La course sur route vous passionne-t-elle toujours ?
Beaucoup moins...

1. Ancien international français, Dominique Chauvelier a un record sur marathon à 2 h 11'24''.
2. L'EPO, ou érythropoïétine, améliore la capacité d'endurance grâce à une augmentation du nombre des globules rouges.
3. L'Aicar permet d'augmenter la masse musculaire, de brûler les graisses et d'accroître l'endurance.

Lien vers le commentaire

Tu lis toujours le Télégramme Cyril ? :grin:

Surtout les brèves "marines"... en souvenir de l'ancien temps.

Sinon, voici ma balade dominicale. Comme j'ai deux tendinites et que je dois me reposer, j'irai sans objectif de temps, en touriste car le parcours est très sympa.

Lien vers le commentaire
  • 3 weeks later...

Je suis pris d'un à priori très prononcé.

Cela ne fait il pas penser à une affiche de football?

Vive les courses dans nos Pyrénées.

NB: J'assume mon chauvinisme.

Lien vers le commentaire

Hello les boys/Girls,

KiCéKi vient dans 1 mois 1/2 en Rhône Alpes voir les illuminations ? Hein ? :shaun:

Ça a l'air sympa mais ce sera sans moi.

Au programme j'ai le trail hivernal du Sancy mi-janvier (30km; 1300m D+) et le trail des vulcains (81km; 3000m D+). Le tout dans la neige, ça va être sympa.

Toujours chaud pour les vulcains Cyril? Les inscriptions viennent d'ouvrir pour info.

Lien vers le commentaire

Bonjour amis coureurs,

J'aimerai aborder un nouveau sujet non traité ici : les compléments alimentaires.

Je ne parle bien sûr pas de dopage mais de toutes les choses légères et légales comme les boissons énergetiques, vitamines, gel, barres, etc...

Je n'en ai personnellement jamais pris. Je ne tourne qu'à l'eau pendant mes sorties.

Cependant, j'aimerai savoir si les habitués de la course comme vous en utilisent.

Si oui, ont-ils ressenti une efficacité ? Quel produits utilisez-vous ? Quand l'utilisez-vous (entrainement ? Course ?) et à partir de quelle distance cela vous a paru interessant ?

Merci pour vos réponses !

Modifié par Gabi
Lien vers le commentaire

Mon meilleur ami qui court le marathon en 3h utilise et m'a conseillé d'alterner ces deux là (un toutes les 25 mns) pour mon semi de dimanche prochain :

http://www.decathlon.fr/energy-gel-total-perf-citron-id_8029739.html

http://www.decathlon.fr/fruit-energy-gel-figues-6x20g-id_8274417.html

J'en ai testé un pour la première fois hier et ça semble efficace même si je ne courrais qu'en vitesse d'endurance.

Modifié par Gismo
Lien vers le commentaire
Invité Chrysler Rose

P'tain, mais caisse vous avez tous à runner ? :o

Vous avez fait des analyses de sang ou quoi ? :whist: C'était mieux avant, quand vous vous mettiez le compte sans chichis... :sorcerer:

Lien vers le commentaire
Invité Chrysler Rose

On runne mais on fait aussi du Vélib'...

Ceux qui cumulent, c'est grave. :triste:

Vous n'allez pas aussi aux expos éphémères et dans les théâtres d'avant-garde, si ? P'tain, c'est d'venu bobo ici... :heat:

Lien vers le commentaire

Ceux qui cumulent, c'est grave. :triste:

Vous n'allez pas aussi aux expos éphémères et dans les théâtres d'avant-garde, si ? P'tain, c'est d'venu bobo ici... :heat:

Non, faut pas déconner non plus.

Lien vers le commentaire

P'tain, mais caisse vous avez tous à runner ? :o

Vous avez fait des analyses de sang ou quoi ? :whist:C'était mieux avant, quand vous vous mettiez le compte sans chichis... :sorcerer:

Ca, c'est prévu pour dimanche soir, après un mois de quasi abstinence :shuriken:

Lien vers le commentaire
Invité Chrysler Rose

Ca, c'est prévu pour dimanche soir, après un mois de quasi abstinence.

Oui, mais enfin là, c'est quand même la mauvaise pente : un semi, un marathon, puis des trails dans des conditions dantesques et on finit par Saintélyon et ses 68 bornes avec départ à minuit et galopade à la torche frontale. :whist:

J'en connais un comme ça : après l'turbin, je l'ai vu refuser un demi plein de tariquet et prendre un coca zéro à la place. Avec respect, certes, mais ça l'a foutu mal. :triste: Un qui poste sur ce topic et qui nous signale plus haut qu'il est débordé de travail. :party:

Lien vers le commentaire

J'en connais un comme ça : après l'turbin, je l'ai vu refuser un demi plein de tariquet et prendre un coca zéro à la place.

Heureusement, je n'en suis pas encore là.

J'ai peur que cette décision soit le début de la fin, l'acte fondateur d'un voyage sans retour, le Temps 0 d'une escalade sportive incontrôlée.

Je cours, certes, mais sans changer mes habitudes alimentaires. :yes:

Lien vers le commentaire

Mon meilleur ami qui court le marathon en 3h utilise et m'a conseillé d'alterner ces deux là (un toutes les 25 mns) pour mon semi de dimanche prochain :

http://www.decathlon.fr/energy-gel-total-perf-citron-id_8029739.html

http://www.decathlon.fr/fruit-energy-gel-figues-6x20g-id_8274417.html

J'en ai testé un pour la première fois hier et ça semble efficace même si je ne courrais qu'en vitesse d'endurance.

Merci Gismo pour tes "trucs".

T'a t'on déjà conseillé de prendre ce genre de produits avant ou pendant l'entrainement ou seulement durant la course ?

Lien vers le commentaire

Merci Gismo pour tes "trucs".

T'a t'on déjà conseillé de prendre ce genre de produits avant ou pendant l'entrainement ou seulement durant la course ?

De ce qu'il m'a dit :

c'est très important de les tester avant la course mais pour une raison que l'on n'imagine pas au départ.

En gros, certains de ces gels peuvent filer une bonne courante à certaines personnes. Autant en forêt seul c'est gérable, autant lors d'une course urbaine, ça peut tout de suite devenir plus embêtant .... pour ne pas dire très chiant :yes: .

D'où l’intérêt du test pré compétition :shaun:

Modifié par Gismo
Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...