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Nouvelle gouvernance au ST... ou pas ...


Saint Thomas ST

Messages recommandés

il y a 11 minutes, Bota a dit :

Disons que s'il faut faire le doublé chaque année pour passer le cut de la DNACG, y'a bien un moment où ca va coincer. :biggrin:

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il y a 16 minutes, Gabi a dit :

Disons que s'il faut faire le doublé chaque année pour passer le cut de la DNACG, y'a bien un moment où ca va coincer. :biggrin:

 

Surtout si il faut en plus continuer à acheter les arbitres :p

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il y a 20 minutes, Bota a dit :

Surtout si il faut en plus continuer à acheter les arbitres :p

Pas besoin de les acheter, ils sont en telle admiration devant nous qu'ils nous laissent tout passer. :shaun:

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Il y a 6 heures, Bota a dit :

Est ce qu’on pourrait éviter de poster des liens aussi peu fiables ? Rien n’est étayé ! Ils auraient pu écrire que Lacroix et Mola étaient sur le point de se barrer avec la caisse ce serait la même chose.

7M de déficit, fait qu’on m’explique comment on recrute Jelonch, et on se positionne sur Barassi...

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La compensation de l'Etat pour la période janvier / juin 2021 n'a pas été encore versée ni enregistrée.

Son montant , n'est pas connu, mais viendra forcément réduire ce déficit.

Quant à l'annuler j'en doute, c'est pour ça que les finances resteront limite pendant quelques années.

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le zèbre aux courges
Il y a 5 heures, tolosaforever a dit :

Est ce qu’on pourrait éviter de poster des liens aussi peu fiables ? Rien n’est étayé ! Ils auraient pu écrire que Lacroix et Mola étaient sur le point de se barrer avec la caisse ce serait la même chose.

7M de déficit, fait qu’on m’explique comment on recrute Jelonch, et on se positionne sur Barassi...

Non mais C'est surtout que l'article parle de déficit en précisant que C'est malgré le pge. Le pge ne rentrant pas dans le résultat, rien à voir avec le déficit. Ou alors on ne parle pas de déficit mais de variation de trésorerie. 

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Tout à fait, les PGE et l'aide destinée à compenser les pertes de recettes dues au confinement ne sont pas comparables.

Le PGE est une aide à la trésorerie qu'il faut rembourser, cela ne compte pas dans le calcul du résultat.

L'aide compensatrice est une recette de remplacement et compte dans le calcul du résultat.

* mais on ne sait toujours pas son montant ni quand elle sera versée.

Modifié par stadeli
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Saint Thomas ST

 

il y a une heure, stadeli a dit :

Tout à fait, les PGE et l'aide destinée à compenser les pertes de recettes dues au confinement ne sont pas comparables.

Le PGE est une aide à la trésorerie qu'il faut rembourser, cela ne compte pas dans le calcul du résultat.

L'aide compensatrice est une recette de remplacement et compte dans le calcul du résultat.

* mais on ne sait toujours pas son montant ni quand elle sera versée.

 

Oui, à ceci près que Bruno Le Maire a annoncé que l'Etat pourrait annuler, en totalité ou de manière partielle, le remboursement de PGE (dans cas "exceptionnels" à ce stade, mais...), ce qui pourrait donc avoir une incidence sur le résultat.  Mais le secteur sportif n'est a priori pas visé.

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Un petit exemple avec l'ASM : 

 

"Grâce à ses fonds propres, l’ASM a traversé la crise financière due au Covid sans réel dommage. Mais le club est confronté à d’autres problèmes.

Il y a plusieurs mois, Jean-Michel Guillon fixait déjà le déficit de la saison dernière à 9 M€. La réalité a rejoint les prévisions. « Ce sera entre 8 et 9 avant les aides de l’État. Si on perçoit comme prévu les trois aides possibles, on couperait le déficit en deux. On va donc repartir cette saison avec 4,5 M€ de déficit. La question maintenant est de savoir comment on dégage 1 M€ (à quelque chose près) par an pour rembourser l’emprunt. »

« Donc, à la question de notre santé financière, je dirais que notre avantage, par rapport à d’autres clubs, a été l’importance de nos fonds propres. C’est déjà une garantie quand on discute avec les banques. Seulement, on a mangé nos fonds propres en l’espace d’un an avec la crise. Mais quand on va rentrer les 4 à 5 M€ d’aides qui restent à toucher on va pouvoir voir venir les choses. »

« Ceci étant dit, la situation est difficile et il va falloir revoir notre business plan dans son ensemble. Ou l’on trouve de nouvelles recettes, ou on adopte un modèle pour réduire les dépenses. Ce n’est pas tranché à ce jour mais à un moment, on a été en décalage. »

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La vraie question c’est comment rembourser le PGE?

Les clubs ont du mal à finir un exercice en période normale à l’équilibre et il va falloir en plus dégager X euros par an pour rembourser l’emprunt. 
 

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Saint Thomas ST
Il y a 1 heure, Keke a dit :

La vraie question c’est comment rembourser le PGE?

Les clubs ont du mal à finir un exercice en période normale à l’équilibre et il va falloir en plus dégager X euros par an pour rembourser l’emprunt. 
 

Dans les clubs sans mécènes,  en partie en comprimant la masse salariale.

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il y a une heure, Saint Thomas ST a dit :

Dans les clubs sans mécènes,  en partie en comprimant la masse salariale.

Dans certains clubs, en allant à la Mairie !

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Il y a 2 heures, Saint Thomas ST a dit :

Dans les clubs sans mécènes,  en partie en comprimant la masse salariale.

La réduction progressive du salary cap va y contribuer....pour ceux qui le respectent...

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Le Stade Toulousain, Barça du rugby ? Didier Lacroix ouvre la voie à l'entrée de socios au capital

Le président du Stade Toulousain Didier Lacroix a annoncé jeudi 9 septembre 2021 un projet de "recapitalisation du club", avec l'éventualité de l'entrée de socios au capital.

Les supporters d'Ernest Wallon seront-ils demain l'équivalent des socios du Camp Nou, le stade du FC Barcelone ?
Les supporters d’Ernest Wallon seront-ils demain l’équivalent des socios du Camp Nou, le stade du FC Barcelone ? (©Illustration / Iconsport)
Par Guillaume LaurensPublié le 9 Sep 21 à 16:13  mis à jour le 9 Sep 21 à 17:25
Actu Toulouse
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Le Stade Toulousain sera-t-il demain le FC Barcelone du rugby ? À l’occasion de sa conférence de presse de rentrée, jeudi 9 septembre 2021, Didier Lacroix, le président du Stade Toulousain, a ouvert la voie à une évolution que l’on n’attendait pas : une prochaine recapitalisation du club, et l’entrée de nouveaux actionnaires au capital, voire de socios, à l’instar du célébrissime club catalan de football.

 

« Garantir la pérennité du club »

« Nous devons renforcer la compétitivité du club au sens large », a esquissé Didier Lacroix, avant d’annoncer que la saison 2021-2022 serait celle d’une « période de recapitalisation du club, pour renforcer ses fonds propres et garantir sa pérennité ». 

"Nous devrions faire évoluer l’actionnariat dans la saison 2021-2022, regarder qui peut nous accompagner, et nous poser la question des socios et d’un actionnariat public".

Didier LacroixPrésident du Stade Toulousain

Le FC Barcelone en modèle

« La question va se poser dans l’année », a-t-il insisté. Interrogé sur cette ouverture du capital aux fans des Rouge et Noir, il n’a pas caché prendre pour référence les Blaugrana catalans, d’autant que le Stade Toulousain est aussi, comme le FC Barcelone, un club omnisport avec le rugby, le tennis… Le club catalan est en effet l’un des rares dont les « socios » sont les propriétaires, les supporters étant directement actionnaires. Est-ce ce modèle que Didier Lacroix veut transposer chez le plus grand palmarès du rugby européen ? Si « les cultures et identités occitanes et catalanes ne sont pas tout à fait similaires », le président voit nombre de points communs entre les clubs phares de Toulouse et de Barcelone.

"Le Barça est assis sur un omnisport, une économie qu'on regarde à la loupe depuis un moment, et dont on essaie de retenir des idées".

Didier Lacroix

Quels droits derrière ce statut ?

Pour Didier Lacroix, le club joue là son destin : « C’est ça, préparer les coups durs à venir. Car n’est pas quand ça va mal qu’il faut se poser la question ! », a esquissé le président, reconduit en juillet 2021 pour quatre ans à la tête du club, comme le reste du directoire (à l’exception de Thomas Castaignède, qui a souhaité arrêter, ndlr).

"On étudie la manière avec laquelle on va s'intéresser au grand public. Et on est en droit de se poser la question de savoir si l'entrée de socios est quelque chose qui peut être bénéfique pour notre club. Nous devons réfléchir à la gouvernance qui en découle, aux droits qui sont octroyés derrière ce statut de socios. C'est dans notre réflexion." 

Didier Lacroix

Surfer sur le « capital affectif » autour du club

Le président estime qu’outre l’aspect financier, faire entrer des supporters au capital, « c’est intéressant dans la construction sociologique » autour du club.

"Il y a un capital affectif avec le Stade Toulousain et une possibilité d'en témoigner qui est à explorer".

Didier Lacroix

Et maintenant, des parrainages sur le mur de soutien

« Le premier exemple que l’on a testé sur l’attractivité c’est le mur de soutien », a ensuite rappelé Didier Lacroix. Lancée lors du premier confinement pour soutenir financièrement le Stade, l’initiative a remporté un vif succès et s’est traduite par « un engouement planétaire autour du club ». « Alors que 25 000 briques ont déjà été installées, le mur de soutien  va se poursuivre, avec le lancement d’un mur digital, et un système de parrainage » a annoncé Didier Lacroix. L’idée ? Inciter ses amis ou proches à soutenir le Stade, en contrepartie de quoi ils pourront profiter de… photos avec des joueurs.

Au-delà de l’aspect sportif, « la chose la plus importante cette année » pour les champions de France et d’Europe en titre sera d’ailleurs de « retrouver le public », a insisté Didier Lacroix, qui veut donc capitaliser sur « l’attractivité du Stade Toulousain« , dopée cette année plus que jamais grâce à la vente par correspondance. 

 

Les autres gros chantiers du club

Outre la recapitalisation du club, Didier Lacroix a rappelé les prochains gros chantiers à Ernest Wallon : cette saison sera marquée par la poursuite cohabitation avec le TO XIII, le réaménagement du parvis, et d’un nouveau terrain d’entraînement en synthétique, « de la même dimension que le terrain principal ».

À plus long terme, le club travaille sur l’aménagement de la Cité des Rugbys et de la tribune Sud, à l’horizon 2025. Et il a également les yeux rivés sur « l’échéance de l’arrivée du métro » en 2028, dont une station desservira Ernest Wallon. Le Stade Toulousain planche d’ores et déjà sur le « potentiel économique du foncier », quitte à déménager les terrains d’entraînement.

"Nous devons réfléchir au déménagement du centre d’entraînement, pour innover, être performants et en tirer le meilleur profit économique".

Didier Lacroix

« Nous sommes face à deux difficultés », résume Didier Lacroix. « La première, c’est qu’on est à l’étroit, et qu’on ne sait pas jusqu’à quand notre centre d’entraînement sera valable. La deuxième, c’est le renforcement des capitaux du Stade ». Vastes chantiers.

Des comptes "à l'équilibre" avec les aides

Concernant les finances du club, le président s'est voulu rassurant et a battu en brèche les rumeurs sur le déficit, à l'issue de cette saison difficile où malgré des "performances exceptionnelles" sur le plan sportif, le club a perdu énormément de recettes, ayant dû jouer à huis clos quasiment toute la saison… 
S'il doit pour l'instant faire face à un déficit d’exploitation de l’ordre de 8 millions d’euros, avec les prêts garantis par l'Etat, un prêt rebond du conseil départemental, et une "compensation de billetterie" qui devrait être octroyée par l'État, il devrait terminer la saison 2020-2021 tout juste "à l'équilibre". Mais le gâchis est colossal pour le club… Didier Lacroix a fait ses calculs : sans la crise sanitaire, "une saison avec un double titre" aurait engendré "un bénéfice de l’ordre de 1 à 1,5 million d’euros".

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Saint Thomas ST
il y a une heure, Vonia a dit :

 

Le Stade Toulousain, Barça du rugby ? Didier Lacroix ouvre la voie à l'entrée de socios au capital

Le président du Stade Toulousain Didier Lacroix a annoncé jeudi 9 septembre 2021 un projet de "recapitalisation du club", avec l'éventualité de l'entrée de socios au capital.

Les supporters d'Ernest Wallon seront-ils demain l'équivalent des socios du Camp Nou, le stade du FC Barcelone ?
Les supporters d’Ernest Wallon seront-ils demain l’équivalent des socios du Camp Nou, le stade du FC Barcelone ? (©Illustration / Iconsport)
Par Guillaume LaurensPublié le 9 Sep 21 à 16:13  mis à jour le 9 Sep 21 à 17:25
Actu Toulouse
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Le Stade Toulousain sera-t-il demain le FC Barcelone du rugby ? À l’occasion de sa conférence de presse de rentrée, jeudi 9 septembre 2021, Didier Lacroix, le président du Stade Toulousain, a ouvert la voie à une évolution que l’on n’attendait pas : une prochaine recapitalisation du club, et l’entrée de nouveaux actionnaires au capital, voire de socios, à l’instar du célébrissime club catalan de football.

 

« Garantir la pérennité du club »

« Nous devons renforcer la compétitivité du club au sens large », a esquissé Didier Lacroix, avant d’annoncer que la saison 2021-2022 serait celle d’une « période de recapitalisation du club, pour renforcer ses fonds propres et garantir sa pérennité ». 

"Nous devrions faire évoluer l’actionnariat dans la saison 2021-2022, regarder qui peut nous accompagner, et nous poser la question des socios et d’un actionnariat public".

Didier LacroixPrésident du Stade Toulousain

Le FC Barcelone en modèle

« La question va se poser dans l’année », a-t-il insisté. Interrogé sur cette ouverture du capital aux fans des Rouge et Noir, il n’a pas caché prendre pour référence les Blaugrana catalans, d’autant que le Stade Toulousain est aussi, comme le FC Barcelone, un club omnisport avec le rugby, le tennis… Le club catalan est en effet l’un des rares dont les « socios » sont les propriétaires, les supporters étant directement actionnaires. Est-ce ce modèle que Didier Lacroix veut transposer chez le plus grand palmarès du rugby européen ? Si « les cultures et identités occitanes et catalanes ne sont pas tout à fait similaires », le président voit nombre de points communs entre les clubs phares de Toulouse et de Barcelone.

"Le Barça est assis sur un omnisport, une économie qu'on regarde à la loupe depuis un moment, et dont on essaie de retenir des idées".

Didier Lacroix

Quels droits derrière ce statut ?

Pour Didier Lacroix, le club joue là son destin : « C’est ça, préparer les coups durs à venir. Car n’est pas quand ça va mal qu’il faut se poser la question ! », a esquissé le président, reconduit en juillet 2021 pour quatre ans à la tête du club, comme le reste du directoire (à l’exception de Thomas Castaignède, qui a souhaité arrêter, ndlr).

"On étudie la manière avec laquelle on va s'intéresser au grand public. Et on est en droit de se poser la question de savoir si l'entrée de socios est quelque chose qui peut être bénéfique pour notre club. Nous devons réfléchir à la gouvernance qui en découle, aux droits qui sont octroyés derrière ce statut de socios. C'est dans notre réflexion." 

Didier Lacroix

Surfer sur le « capital affectif » autour du club

Le président estime qu’outre l’aspect financier, faire entrer des supporters au capital, « c’est intéressant dans la construction sociologique » autour du club.

"Il y a un capital affectif avec le Stade Toulousain et une possibilité d'en témoigner qui est à explorer".

Didier Lacroix

Et maintenant, des parrainages sur le mur de soutien

« Le premier exemple que l’on a testé sur l’attractivité c’est le mur de soutien », a ensuite rappelé Didier Lacroix. Lancée lors du premier confinement pour soutenir financièrement le Stade, l’initiative a remporté un vif succès et s’est traduite par « un engouement planétaire autour du club ». « Alors que 25 000 briques ont déjà été installées, le mur de soutien  va se poursuivre, avec le lancement d’un mur digital, et un système de parrainage » a annoncé Didier Lacroix. L’idée ? Inciter ses amis ou proches à soutenir le Stade, en contrepartie de quoi ils pourront profiter de… photos avec des joueurs.

Au-delà de l’aspect sportif, « la chose la plus importante cette année » pour les champions de France et d’Europe en titre sera d’ailleurs de « retrouver le public », a insisté Didier Lacroix, qui veut donc capitaliser sur « l’attractivité du Stade Toulousain« , dopée cette année plus que jamais grâce à la vente par correspondance. 

 

Les autres gros chantiers du club

Outre la recapitalisation du club, Didier Lacroix a rappelé les prochains gros chantiers à Ernest Wallon : cette saison sera marquée par la poursuite cohabitation avec le TO XIII, le réaménagement du parvis, et d’un nouveau terrain d’entraînement en synthétique, « de la même dimension que le terrain principal ».

À plus long terme, le club travaille sur l’aménagement de la Cité des Rugbys et de la tribune Sud, à l’horizon 2025. Et il a également les yeux rivés sur « l’échéance de l’arrivée du métro » en 2028, dont une station desservira Ernest Wallon. Le Stade Toulousain planche d’ores et déjà sur le « potentiel économique du foncier », quitte à déménager les terrains d’entraînement.

"Nous devons réfléchir au déménagement du centre d’entraînement, pour innover, être performants et en tirer le meilleur profit économique".

Didier Lacroix

« Nous sommes face à deux difficultés », résume Didier Lacroix. « La première, c’est qu’on est à l’étroit, et qu’on ne sait pas jusqu’à quand notre centre d’entraînement sera valable. La deuxième, c’est le renforcement des capitaux du Stade ». Vastes chantiers.

Des comptes "à l'équilibre" avec les aides

Concernant les finances du club, le président s'est voulu rassurant et a battu en brèche les rumeurs sur le déficit, à l'issue de cette saison difficile où malgré des "performances exceptionnelles" sur le plan sportif, le club a perdu énormément de recettes, ayant dû jouer à huis clos quasiment toute la saison… 
S'il doit pour l'instant faire face à un déficit d’exploitation de l’ordre de 8 millions d’euros, avec les prêts garantis par l'Etat, un prêt rebond du conseil départemental, et une "compensation de billetterie" qui devrait être octroyée par l'État, il devrait terminer la saison 2020-2021 tout juste "à l'équilibre". Mais le gâchis est colossal pour le club… Didier Lacroix a fait ses calculs : sans la crise sanitaire, "une saison avec un double titre" aurait engendré "un bénéfice de l’ordre de 1 à 1,5 million d’euros".

 

Comme je disais hier, une vraie révolution "en marche" de notre modèle économique. 

 

Mais a-t-on vraiment le choix pour survivre ? 

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Je trouve ça plutôt séduisant le principe des socios.

Mais comme le dit Lacroix il faut voir les détails.

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Rugby
 Top 14, 
ST

Toulouse : Didier Lacroix détaille tous les projets de son club

Didier Lacroix ne manque pas de projets pour son Stade Toulousain. (F.Lancelot/L'Equipe)
 
Didier Lacroix ne manque pas de projets pour son Stade Toulousain. (F.Lancelot/L'Equipe)

Le président du Stade Toulousain avait convié la presse à une conférence ce jeudi après-midi pour évoquer le présent, mais surtout le futur du champion de France et d'Europe sortant. Il a notamment fait le point sur les finances actuelles du club.

Laurent Campistron à Toulouse09 septembre 2021 à 20h06
 

Vers des comptes à l'équilibre ?

Didier Lacroix estime à 8 M€ le manque à gagner subi par le Stade Toulousain à cause de la pandémie de Covid-19. Un chiffre colossal qui aurait causé la perte du club si des prêts garantis par l'État (PGE) et une compensation de billetterie n'avaient pas renfloué ses caisses. « Sans cette double possibilité, on n'aurait pas pu tenir », affirme-t-il.

 
 

Pour la compensation de billetterie portant sur le deuxième semestre de la saison 2020-2021, le club fera son déclaratif dans le courant de ce mois avant d'avoir une réponse de l'État courant octobre. Le montant des aides garanties par l'État, lui, s'élevait à 3,971 M€ sur le premier semestre de la saison 2020-2021. « Nous attendons sensiblement la même chose sur le deuxième semestre, dit Lacroix. Avec un prêt rebond du Conseil régional de 300 000 €, ça nous amènerait alors à 8,3 M€. »

Ces prêts devront bien sûr être remboursés, dans un délai encore à déterminer, mais ils permettront au moins au club rouge et noir de présenter des comptes à l'équilibre dans un peu plus d'un mois. Mais seulement à l'équilibre. « C'est l'inconvénient de la règle de compensation de billetterie, explique le président. Elle ne vous amène qu'à un résultat à l'équilibre. Le Stade Toulousain perdra donc tout ce qu'une saison avec un double titre (champion d'Europe et de France) lui aurait très certainement amené, soit entre 1 et 1,5 M€. »

Reste que le la saison à venir s'annonce plutôt bien avec un nombre d'abonnés équivalent à la saison 2019-2020 (environ 8000, grand public et partenaires confondus) et des partenaires toujours fidèles. Par ailleurs, le premier match à domicile de la saison, dimanche contre Toulon (21h05), devrait se jouer à guichets fermés.

Une probable recapitalisation dans l'année

Le club étudie sérieusement l'idée. « Pour une fois, ça nous permettrait de le faire sans pression, avec plus de lucidité, indique Lacroix. Très souvent, on recapitalise quand on n'a pas d'argent dans les caisses, parce qu'on a le couperet de la DNACG juste au-dessus de la tête. Là, ce n'est pas le cas. Cette recapitalisation nous permettrait notamment de financer une partie de nos futures installations. Dans la saison qui vient, on verra donc comment notre partenariat pourrait évoluer, comment l'actionnariat actuel pourrait évoluer, et qui pourrait nous accompagner. »

« Ce n'est pas exclu d'évoquer un actionnariat public. »

Didier Lacroix

 
 
 

Le président lorgne notamment sur le lancement d'un actionnariat public, comme cela se pratique dans le foot au FC Barcelone avec les fameux « socios ». « On a mesuré via le mur de soutien (25000 briques achetées pour un total estimé entre 1,2 et 1,5 M€) quelle était l'attractivité du Stade Toulousain, dit-il. Alors, ce n'est pas exclu d'évoquer un actionnariat public. L'idée me semble bonne à explorer. Après, il faudra réfléchir à la gouvernance qui en découle, aux droits octroyés, etc. Aujourd'hui, c'est encore prématuré de savoir si on va y aller, comment on va y aller, et le montant que ça pourrait représenter. »

Un nouveau centre d'entraînement à l'horizon ?

Didier Lacroix a évoqué aussi l'avenir à moyen terme du club. Avec deux projets qui se détachent. Le premier prévu pour 2023, avec l'ouverture de la Cité des Rugby à Ernest-Wallon. « Ce sera un lieu où la thématique du rugby sera sacralisée, utilisée et pratiquée, observe-t-il. Elle nous permettra aussi de rafraîchir nos installations et d'être plus performants dans nos boutiques, à la brasserie, dans notre centre de conférence. Actuellement, nous sommes dans la période d'écriture du cahier des charges avec l'ensemble des institutions, c'est un objectif majeur du club. »

L'autre projet est à plus long terme et correspondra à l'arrivée du métro jusqu'à Ernest-Wallon, ce qui impliquera une modification de la règlementation de l'urbanisme. « Il est possible que ça s'accompagne d'un déménagement des terrains d'entraînement, car on est plutôt à l'étroit. Il faudra voir où ça se fait. L'idée serait encore une fois d'innover, d'être plus performants sportivement et d'en tirer le meilleur profit économique. »

Les objectifs sportifs de la saison

Lacroix l'affirme, ses joueurs sont rentrés de vacances avec un appétit de victoires incroyable. « Je n'ai pas d'inquiétude sur leur état d'esprit de compétiteurs. » Ses objectifs sont simples, évidents : « On espère compter en Coupe d'Europe et en Top 14. On est aussi un club qui va continuer à accompagner ses internationaux, et qui espère en avoir d'autres, avec une visée qui s'appelle la Coupe du monde en 2023. »

L'effectif n'a pas trop bougé, avec l'arrivée de deux joueurs seulement (Anthony Jelonch et Tim Nanaï-Williams), et notamment le départ de trois joueurs majeurs (Jerome Kaino, Yoann Huget et Cheslin Kolbe). « De cette saison, j'attends surtout les confirmations des joueurs émergents comme Meafu, Neti, Flament, Cramont, Youyoutte, Germain ou Delibes. Qui peut nous battre ? Tout le monde, tous les clubs du Top 14. Ma réponse est claire. Aucun match, y compris contre les promus, ne sera gagné d'avance, même avec notre meilleure équipe. On ne peut pas se permettre de dire en début de saison qu'on est le favori absolu. "

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le zèbre aux courges
Il y a 9 heures, Saint Thomas ST a dit :

 

 

Oui, à ceci près que Bruno Le Maire a annoncé que l'Etat pourrait annuler, en totalité ou de manière partielle, le remboursement de PGE (dans cas "exceptionnels" à ce stade, mais...), ce qui pourrait donc avoir une incidence sur le résultat.  Mais le secteur sportif n'est a priori pas visé.

Dans ce cas ce sera un abandon de créance qui rentrerait dans le résultat le jour où ça arrive. À mon avis ça pourrait arriver en cas de cessation de paiement et si le plan de redressement est trop juste avec le remboursement du pge. Mais souvent C'est accompagné d'autres mesures. Donc un club pro si ça devait arriver devrait sans doute largement alléger sa masse salariale.

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Saint Thomas ST
il y a 24 minutes, le zèbre aux courges a dit :

Dans ce cas ce sera un abandon de créance qui rentrerait dans le résultat le jour où ça arrive. À mon avis ça pourrait arriver en cas de cessation de paiement et si le plan de redressement est trop juste avec le remboursement du pge. Mais souvent C'est accompagné d'autres mesures. Donc un club pro si ça devait arriver devrait sans doute largement alléger sa masse salariale.

 

Oui, je pense aussi. Un cas d'école purement théorique pour nos petites affaires.

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le zèbre aux courges
il y a 3 minutes, Saint Thomas ST a dit :

 

Oui, je pense aussi. Un cas d'école purement théorique pour nos petites affaires.

Surtout que sans covid, beaucoup de clubs sont déjà en déficit. Si ça doit aller devant le TC, le mandataire et le juge demanderaient sans doute des contreparties.

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il y a 16 minutes, tropézien a dit :

Le modèle de Barcelone, c'est celui à 1 milliard de déficit ?

Non

Celui là , tu surpayes des mecs et tu sais pas recruter depuis 10 ans …😏
De ce côté là on est plutôt tranquilles 

Modifié par Pacino31
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il y a 10 minutes, tomanio31 a dit :

Leur déficit est liée au recrutement 

 

Ainsi qu'aux salaires astronomiques, de notre coté quand un joueur vient demander un salaire suréel pour un certain poste, ben on lui montre la porte, aussi médiatique soit-il.

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https://www.rugbyrama.fr/rugby/top-14/2021-2022/top-14-didier-lacroix-presente-la-saison-du-stade-toulousain-nous-sommes-prets_sto8533769/story.shtml

 

Dans cet article on peut lire:

 

Enfin, Didier Lacroix a aussi annoncé la reconduction du Comité directeur élu, lequel compte seulement un départ : celui de Thomas Castaigniède "qui l’avait annoncé deux ans avant".

 

Donc finalement ça serait peut-être pas pas suite à une embrouille qu'il serait parti comme on avait pu le lire ?

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Cette histoire d'ouverture du capital est très intéressante.

Cela signifie que les détenteurs de parts du stade sont prêts à perdre du contrôle contre un apport d'argent.

 

Ce scénario est à envisager de plusieurs façon :

Je ne pense pas qu'ils sont prêts à perdre le contrôle du stade donc quel serait l'intérêt d'investisseurs d'apporter des fonds ?

La passion : certainement 

Le prestige : peut-être 

La rentabilité : non impossible

 

En tant que supporter, je suis prêt à apporter des fonds uniquement pour la survie du club. 

même en faisant la somme des apports de supporters, je doutes que les fonds levés soient suffisants 

 

En tant qu'investisseur je ne mettrais pas 1€ dans un club qui ne dégage pas de bénéfice et que je ne controlerais pas.

 

Hâte de voir la suite de cette histoire.

Pour moi il s'agirait de l'entrée d'un mécène, c'est la seule solution possible.

 

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Il y a 9 heures, Beau-jeu-laid a dit :

Cette histoire d'ouverture du capital est très intéressante.

Cela signifie que les détenteurs de parts du stade sont prêts à perdre du contrôle contre un apport d'argent.

 

Ce scénario est à envisager de plusieurs façon :

Je ne pense pas qu'ils sont prêts à perdre le contrôle du stade donc quel serait l'intérêt d'investisseurs d'apporter des fonds ?

La passion : certainement 

Le prestige : peut-être 

La rentabilité : non impossible

...

Du peu que je connais du ST, il y a plusieurs "cercles".

 

Si vous avez participé a des "événements" du ST (hors matchs/sportifs) on trouve une kyrielle de TPE, PME ... artisans qui participent volontiers a ces événements en particulier tout ce qui concerne les commerces "de bouche". Il est très probable que parmi eux le ST trouve des investisseurs, ca n'est que du réseautage local, le ST est un réseau quasi incontournable pour tout ceux qui font du business a Toulouse.

 

Après ca devient plus compliqué je pense car c'est une question de prix ... On l'a bien vu avec le recul du taux de remplissage avec l'envolée des tarifs de Boucsou, Apparemment on est dans les 4000, il y a quelques années après une saison avec un doublé, certain qu'on aurait fait plus de 10.000 et carton plein a tous les matchs. Les "supporters" ST qui ont les moyens de mettre des centaines d'euros par an sont pas légions Mr Didier L. ...

 

Sur les affluences, je demande a voir aussi. Il y a quelques années on remplissaient facilement en quelques heures un Stadium, le public allaient bien au delà de Toulouse, aux tarifs actuels, je suis curieux de voir comment ca va se passer mais je vois plus difficile d'avoir un public régulier.

 

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le zèbre aux courges

Une question quand même. En l'espace de 5-6 ans je pense, le stade toulousain a dû faire rentrer fiducial dans le capital. Puis de nouveaux actionnaires (pour éviter que fiducial prenne trop de poids). Puis il y a eu le mur (même si covid). Et maintenant les socios. N'y a-t-il pas un risque qu'il y ait un problème structurel en demandant régulièrement de l'argent frais avec un manque de trésorerie et donc de rentrée d'argent par rapport aux besoins?

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Le problème n'est pas vraiment structurel, il y a eu un problème de gestion à la fin des années Bouscatel/Noves où il a été fait n'importe quoi avec les anciens autrement il n'y a pas vraiment de soucis, le mur les socios c'est le covid, sinon le club est plutôt bien géré pour un club sans mécène qui possède en plus son stade (et les frais qui en découlent).

On génère beaucoup de rentrées mais on génère aussi beaucoup de sortie hors salaire de joueur du coup il faut éviter les accidents sportifs, du moment qu'on participe à la Hcup on est à l'équilibre, La direction travaille justement à ce que nous ne soyons plus tributaire de cela en essayant de multiplier et diversifier les entrées.

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Pour info j'ai pu enfin voir ma brique, je suis à côté d'Olivier de Kersauson

Allez hop on lui donne un maillot ST pour le porter quand il fait ses tours de monde 😎

Faut bien un peu de concurrence a Pesquet 😇

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Socio et abonné ce n' est pas du tout la même chose.

Tu peux être socio sans être abonné.

Socio, c' est faire partie d' une association qui sera représentée dans le cercle dirigeant d'un club.

Son influence étant égale à son apport financier. Qui dans le cas précis sera limité au montant de l' ouverture au capital du club.

Il faut quand même être attentif à la forme de l' association.

Au BO nous avons une association de socios qui n' a aucun poids dans les décisions et  qui est contrôlée par des anciens joueurs et/ou dirigeants du club.

De plus les socios sont différenciés par le montant de leur apport à l' association. Des petits et des gros socios en somme.

Bon, tu as droit selon ton apport à ... disons, un pin's, une cravate, une écharpe, et au plus haut, une veste. :P

En déplacement, le socio qui amène 150€ ne couche pas dans la même chambre que le socio qui amène 5000€. :a0:

  • Confus 1
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Le 10/09/2021 à 21:18, le zèbre aux courges a dit :

Une question quand même. En l'espace de 5-6 ans je pense, le stade toulousain a dû faire rentrer fiducial dans le capital. Puis de nouveaux actionnaires (pour éviter que fiducial prenne trop de poids). Puis il y a eu le mur (même si covid). Et maintenant les socios. N'y a-t-il pas un risque qu'il y ait un problème structurel en demandant régulièrement de l'argent frais avec un manque de trésorerie et donc de rentrée d'argent par rapport aux besoins?

C'est les limites d'une économie réelle ...

On en a déjà parlé mais le ST est condamné, sinon à gagner , du moins à aller très loin chaque année ...

On l'a vu par le passé : Dès que sportivement on a été moins performant , c'est là qu'ont commencé les problèmes financiers .

C'est presque mécanique en fait .

La difficulté, c'est que pour être performant il faut soit:

-Avoir des jeunes de super niveau tout le temps pour assurer une continuité d'excellence sportive : IMPOSSIBLE 

-Soit aller chercher ailleurs ce que t'as pas , donc r recruter du gros poisson  ce qui demande des gros moyens dans un petit marché très concurrentiel .

Je vois bien que le ST cherche un mix entre appartenir à un groupe ou un sponsor et garder son indépendance 

Pas simple du tout 

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il y a 14 minutes, Pacino31 a dit :

C'est les limites d'une économie réelle ...

...

C'est aussi les limites de l'économie du top 14 ... qui ne peut s'équilibrer sans les mécènes qui comblent les trous. Sans eux, ou en limitant leur influence, les salaires dégonfleraient et un modèle économique comme celui du ST a toute sa place sans être contraint de tout gagner chaque fois.

 

Le rugby pro français vit très largement au dessus de ses moyens.

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le zèbre aux courges
Il y a 2 heures, rimram31 a dit :

C'est aussi les limites de l'économie du top 14 ... qui ne peut s'équilibrer sans les mécènes qui comblent les trous. Sans eux, ou en limitant leur influence, les salaires dégonfleraient et un modèle économique comme celui du ST a toute sa place sans être contraint de tout gagner chaque fois.

 

Le rugby pro français vit très largement au dessus de ses moyens.

Sauf que le st participe à ça également en allant toujours plus loin. Franchement C'est compliqué. Après je vais prendre l'exemple de Brive. Le club connaît ses moyens et en conséquence adapte son projet sportif. Mais la plupart des clubs ont d'abord le projet sportif (par exemple le stade toulousain veut rester tout en haut de la hiérarchie ) et donc on essaye tout ce qui est possible pour avoir le pognon pour réussir. Mais C'est dangereux si déjà tu n'as finalement pas l'argent, ou que les résultats ne suivent pas.

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Il y a 5 heures, le zèbre aux courges a dit :

Sauf que le st participe à ça également en allant toujours plus loin. Franchement C'est compliqué. ...

Ben je ne pense pas, je dirais plutôt que le ST est contraint de suivre même si il n'a pas tant dérogé a son "mode de rémunération" depuis des années, le cas Kolbe nous en a encore apporté une preuve. Si tout le monde suivait une économie du même genre, il n'y a jamais que l'argent que tu génères que tu peux distribuer.

 

C'est là ou les mécènes faussent l'équation ainsi que dans une certaine mesure une survalorisation du "produit" top 14 par la ligue. Mais il faut peut-être pas trop tirer sur la corde (je parle des droits) j'aimerai bien avoir des détails sur les droits des coupe d'Europe qui sont passés a BeIn. Apparemment ca se renouvelle en 2022, on verra si BeIn met autant sur la table.

 

Tu as raison sur l'inégalité d'un Brive vs ST par exemple mais ca tient au bassin économique et je pense que depuis la forte augmentation des droits télé, ca doit un peu minorer ces inégalités. Les budgets que je vois sont costauds, toutes équipes confondues.

Modifié par rimram31
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le zèbre aux courges
il y a 37 minutes, rimram31 a dit :

Ben je ne pense pas, je dirais plutôt que le ST est contraint de suivre même si il n'a pas tant dérogé a son "mode de rémunération" depuis des années, le cas Kolbe nous en a encore apporté une preuve. Si tout le monde suivait une économie du même genre, il n'y a jamais que l'argent que tu génères que tu peux distribuer.

 

C'est là ou les mécènes faussent l'équation ainsi que dans une certaine mesure une survalorisation du "produit" top 14 par la ligue. Mais il faut peut-être pas trop tirer sur la corde (je parle des droits) j'aimerai bien avoir des détails sur les droits des coupe d'Europe qui sont passés a BeIn. Apparemment ca se renouvelle en 2022, on verra si BeIn met autant sur la table.

 

Tu as raison sur l'inégalité d'un Brive vs ST par exemple mais ca tient au bassin économique et je pense que depuis la forte augmentation des droits télé, ca doit un peu minorer ces inégalités. Les budgets que je vois sont costauds, toute équipes confondus.

En fait C'est surtout la vente de kolbe maintenant les socios. On voit que C'est pour augmenter les rentrées d'argent. Mais en face un mécène va faire un chèque plus gros. Et ainsi de suite où on va s'arrêter. Le salary cap limitera ce phénomène mais on voit que même avec la limitation, le st cherche de l'argent.

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à l’instant, le zèbre aux courges a dit :

En fait C'est surtout la vente de kolbe maintenant les socios. On voit que C'est pour augmenter les rentrées d'argent. Mais en face un mécène va faire un chèque plus gros. Et ainsi de suite où on va s'arrêter. Le salary cap limitera ce phénomène mais on voit que même avec la limitation, le st cherche de l'argent.

 

Mais ça c'est normal. On aurait tord de se priver d'opportunités qui existent. Tout club cherche de l'argent. Si demain on propose 1 million pour Hervé je pense que ça fera aussi réfléchir le président.

Par contre au Stade pas de démesures dans les salaires, on ne fait pas venir une star surpayées par rapport au reste de l'équipe.

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Et la recherche d’argent actuelle au Stade, c’est pour assainir la situation, assurer une certaine sérénité en cas d’accident sportif( non qualif dans les 6) et avoir des fonds propres suffisants pour les prochains investissements(cité du rugby, Nouveau Centre d’entraînement…)

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